876 resultados para Neonatal adiposity


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OBJECTIVE-To examine associations of neonatal adiposity with maternal glucose levels and cord serum C-peptide in a multicenter multinational study, the Hyperglycemia and Adverse Pregnancy Outcome (HAPO) Study, thereby assessing the Pederson hypothesis linking maternal glycemia and fetal hyperinsulinemia to neonatal adiposity. RESEARCH DESIGN AND METHODS-Eligible pregnant women underwent a standard 75-g oral glucose tolerance test between 24 and 32 weeks gestation (as close to 28 weeks as possible). Neonatal anthropometrics and cord serum C-peptide were measured. Associations of maternal glucose and cord serum C-peptide with neonatal adiposity (sum of skin folds >90th percentile or percent body fat >90th percentile) were assessed using multiple logistic regression analyses, with adjustment for potential confounders, including maternal age, parity, BMI, mean arterial pressure, height, gestational age at delivery, and the baby's sex. RESULTS-Among 23,316 HAPO Study participants with glucose levels blinded to caregivers, cord serum C-peptide results were available for 19,885 babies and skin fold measurements for 19,389. For measures of neonatal adiposity, there were strong statistically significant gradients across increasing levels of maternal glucose and cord serum C-peptide, which persisted after adjustment for potential confounders. In fully adjusted continuous variable models, odds ratios ranged from 1.35 to 1.44 for the two measures of adiposity for fasting, 1-h, and 2-h plasma glucose higher by 1 SD. CONCLUSIONS-These findings confirm the link between maternal glucose and neonatal adiposity and suggest that the relationship is mediated by fetal insulin production and that the Pedersen hypothesis describes a basic biological relationship influencing fetal growth. © 2009 by the American Diabetes Association.

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Introdução - A vitamina D desempenha funções na regulação da homeostase do cálcio e fósforo, diferenciação celular, metabolismo de hormônios e regulação do sistema imune. Sua deficiência em crianças pode ocasionar raquitismo, convulsões e insuficiência respiratória. Objetivo - Determinar a relação entre adiposidade materna e do recém-nascido com as concentrações de vitamina D materna e do cordão umbilical. Metodologia - Foram envolvidas 101 mães e seus respectivos recém-nascidos selecionados no Hospital Maternidade Vila Nova Cachoeirinha, São Paulo. A concentração de vitamina D foi determinada por cromatografia líquida. A composição corporal materna foi determinada por bioimpedância segmentada (InBody®, Coréia do Sul) e a dos recém-nascidos obtida por pletismografia por deslocamento de ar (PEA POD®, USA). Para análise estatística, utilizou-se análise de regressão linear múltipla e coeficiente de correlação de Spearman. Valores de p <0,05 foram considerados significantes. Resultados - As médias das concentrações de vitamina D da mãe e do cordão umbilical foram de 30,16 (DP=21,16) ng/mL e 9,56 (DP=7,25) ng/mL, respectivamente. As médias das porcentagens de massa gorda das mães e dos recém-nascidos foram de 32,32 (DP=7,74) por cento e 8,55 (DP=4,37) por cento , respectivamente. Foi observada relação positiva entre concentração de vitamina D materna e do cordão umbilical (r=0,210; p<0,04). Não foi observada associação entre adiposidade do recém-nascido e concentração de vitamina D do cordão umbilical, nem entre adiposidade materna e concentrações de vitamina D materna e do cordão umbilical. Conclusão Neste estudo, original na literatura internacional, foi utilizado método de referência, validado, de alta precisão e imparcial na estimativa do percentual de gordura neonatal, nem sempre utilizado em outros estudos. Foi observada relação positiva entre concentração de vitamina D materna e do cordão umbilical. A ausência de associação entre as variáveis analisadas pode ser devido à alta prevalência de sobrepeso e obesidade entre as gestantes, baixas concentrações de vitamina D nas gestantes e recém-nascidos, alteração do metabolismo da vitamina D e da composição corporal no período da gestação e imaturidade do processo de sequestro da vitamina D pelo tecido adiposo 1 neonatal. Torna-se relevante o desenvolvimento de estudos prospectivos do tipo coorte para avaliar desde o início da gestação a influência da adiposidaidade materna nas concentrações de vitamina D materna e do cordão umbilical.

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Plusieurs études se sont penchées sur les effets de l’activité physique maternelle sur le poids du nouveau-né, un paramètre reflétant l’environnement intra-utérin associé au risque ultérieur d’obésité et de problèmes métaboliques. Devant les taux alarmants d’obésité infantile à travers le monde, l’identification d’interventions préventives efficaces devient un enjeu majeur dans la lutte contre l’obésité et ses complications. L’activité physique maternelle pourrait être une avenue intéressante, étant donné ses effets bénéfiques sur le gain de poids et le profil métabolique maternels et son potentiel de diminution du poids de naissance de l’enfant. Cependant, la dose optimale d’activité physique et ses effets sur la composition corporelle du nouveau-né sont encore méconnus. Par ailleurs, la majorité des femmes enceintes ne rencontrent pas les recommandations en matière d’activité physique durant la grossesse et les femmes obèses, chez qui les bienfaits de l’activité physique pourraient possiblement avoir le plus grand impact, présentent souvent les niveaux les plus bas. Curieusement, peu d’études ont évalué les effets d’une intervention d’activité physique durant la grossesse dans cette population. Ainsi, avant d’envisager l’activité physique comme une intervention thérapeutique non-pharmacologique durant la grossesse, il importe d’en évaluer la faisabilité et la sécurité et d’en connaître extensivement les effets. Notamment, il s’avère primordial de vérifier s’il est possible d’augmenter en toute sécurité les niveaux d’activité physique durant la grossesse, particulièrement chez les femmes obèses, et de distinguer les effets spécifiques de différents stimuli d’activité physique (variant en type, volume, intensité et moment de la grossesse) sur la croissance fœtale. Dans ce contexte, nous avons dans un premier temps entrepris une revue systématique de la littérature des études observationnelles portant sur l’association entre l’activité physique maternelle et les paramètres de croissance fœtale mesurés à la naissance. Dans un deuxième temps, 2 études de cohortes évaluant l’impact du type, du volume, de l’intensité et du trimestre de pratique de l’activité physique ont été menées afin de complémenter et d’approfondir les résultats de la revue systématique. Finalement, une étude d’intervention randomisée a été réalisée afin d’évaluer s’il est possible d’améliorer les niveaux d’activité physique durant la grossesse chez les femmes enceintes obèses. Nos travaux ont permis d’illustrer l’influence variable que différents stimuli d’activité physique maternelle peuvent avoir sur l’anthropométrie néonatale. La revue systématique a montré qu’un volume moyen d’activité physique est associé à une augmentation du poids de naissance comparativement à un volume plus faible, alors qu’un volume élevé est associé à une diminution du poids de naissance, comparativement à un volume plus faible. Nos données suggèrent également que l’association entre l’activité physique maternelle et le poids de naissance varie en présence de certaines caractéristiques maternelles. Notamment, nous avons montré pour la première fois que l’activité physique vigoureuse pratiquée en début de grossesse était associée à une diminution importante du poids de naissance chez les femmes qui reçoivent un diagnostic de pré-éclampsie en fin de grossesse. L’importance de l’intensité de l’activité physique dans la relation entre l’activité physique maternelle et la croissance fœtale a également été soulignée pour la première fois dans notre étude de cohorte avec mesure de la composition corporelle néonatale. Contrairement à l’activité physique d’intensité modérée, l’activité physique vigoureuse en début de grossesse est associée à une diminution du poids de naissance, principalement en raison d’une adiposité néonatale réduite. Finalement, les résultats de l’essai randomisé ont permis d’établir la faisabilité d’une intervention d’activité physique supervisée visant à augmenter la pratique d’activité physique chez des femmes enceintes obèses et le potentiel d’une telle intervention à favoriser le maintien de la condition physique et une meilleure gestion du gain de poids chez ces femmes. L’ensemble de ces résultats permet de mieux cerner l’impact de l’activité physique maternelle sur la croissance fœtale, en fonction des caractéristiques spécifiques du stimulus d’activité physique mais également de la population étudiée. La faisabilité d’une intervention d’activité physique prénatale dans une population de femmes obèses laisse entrevoir de nouvelles possibilités dans la prévention de l’obésité infantile et de ses complications. L’identification d’une dose optimale d’activité physique favorisant la santé de l’enfant à court et à long terme dans diverses populations de femmes enceintes et l’identification des facteurs permettant une meilleure adhérence aux recommandations qui en découleront constituent des pistes de recherche essentielles à la lutte contre l’obésité.

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Résumé: Le surpoids et l’obésité dans la population pédiatrique sont des préoccupations grandissantes à l’échelle mondiale. Actuellement, au Canada, près de 21 % des jeunes Canadiens âgés de 2 à 5 ans présentent un surpoids et malheureusement, 6 % d’entre eux souffrent d’obésité. De plus, 80 % de ces enfants risquent d’être obèses à l’âge adulte, ce qui mène à plusieurs impacts sur la santé. Afin de prévenir l’obésité infantile, il est important d’identifier des facteurs de risques, notamment ceux se produisant tôt dans la vie. Plusieurs études ont démontré l’importance de l’environnement fœtal dans l’établissement de la santé métabolique à long terme. Le poids à la naissance a souvent été utilisé comme marqueur de l’exposition prénatale. Cependant, le poids à la naissance n’est qu’un marqueur grossier. L’adiposité à la naissance a été identifiée comme un facteur de risque plus important puisqu’elle permet de prédire de l’adiposité durant l’enfance. Les deux déterminants maternels majeurs de la croissance fœtale sont le statut pondéral et la glycémie maternelle. Récemment, une adipokine a été suggérée comme un déterminant potentiel dans la programmation fœtale de l’obésité. La leptine, qui est produite par les adipocytes, joue un rôle important dans la balance énergétique, mais elle semble aussi importante dans le développement de l’obésité postnatale. Durant la grossesse, le placenta produit une large quantité de leptine et la majorité est sécrétée du côté maternel. Appuyés par le fait que la leptine maternelle circulante est le reflet de la sécrétion placentaire de leptine, nous avons émis l’hypothèse que la leptine maternelle serait associée à l’adiposité du nouveau-né, et ce, indépendamment de la glycémie maternelle. Nous avons étudié la leptine durant l’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) chez les femmes enceintes au 2e trimestre. Nous avons montré, chez les femmes en surpoids ou obèse, qu’une plus haute leptine maternelle était lié à une adiposité néonatale augmentée à la naissance. D’un autre côté, chez les femmes minces, une glycémie élevée était liée à une adiposité néonatale augmentée. Ces associations sont indépendantes de la parité, du statut tabagique, du gain de poids durant la grossesse, des triglycérides maternels, du mode d’accouchement, du sexe du nouveau-né et de l’âge gestationnel à la naissance. Ces résultats suggèrent une régulation différentielle entre ces deux marqueurs métaboliques maternels et l’adiposité néonatale, selon le statut pondéral pré-grossesse.

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O estado nutricional e hormonal em fases iniciais de desenvolvimento (gestação e lactação) está relacionado a alterações epigenéticas, que podem levar ao desenvolvimento de doenças. A obesidade infantil está relacionada com a ocorrência da obesidade na idade adulta, resistência à insulina e maior risco cardiometabólico. Em estudos experimentais, a superalimentação neonatal causa obesidade e aumenta o risco de doenças cardiovasculares. Estes animais apresentam obesidade visceral, hiperfagia, hiperleptinemia e hipertensão na idade adulta. Previamente, demonstramos que a hiperleptinemia neonatal causa hiperfunção da medula adrenal e microesteatose na idade adulta. No presente estudo avaliamos a função adrenal de ratos adultos obesos no modelo de superalimentação neonatal por redução do tamanho da ninhada e a sensibilidade as catecolaminas no tecido adiposo visceral (TAV) e no fígado. Ao nascimento todas as ninhadas tiveram seu número de filhotes ajustados para 10. Para induzir a superalimentação neonatal, o tamanho da ninhada foi reduzido de dez para três filhotes machos no terceiro dia de lactação até o desmame (SA), enquanto que o grupo controle permaneceu com 10 filhotes durante toda a lactação. Após o desmame, os ratos tiveram livre acesso à dieta padrão e água até 180 dias (1 animal de cada ninhada, n = 7). O TAV e as glândulas adrenais foram pesadas. As contrações hormonais séricas, o conteúdo hepático de glicogênio e triglicerídeos foram avaliados por kits comerciais. O conteúdo e a secreção de catecolaminas adrenais foram avaliados utilizando o método do trihidroxindol. O conteúdo dos hormônios eixo hipotálamo-hipófise-córtex adrenal, das enzimas da via de síntese das catecolaminas na glândula adrenal, ADRB2 no fígado e ADRB3 no TAV foram determinados por Western blotting ou imunohistoquímica. As diferenças foram consideradas significativas quando p <0,05. Aos 180 dias de vida, o grupo SA apresentou maior massa corporal (+15%), maior consumo alimentar (+15%) e maior adiposidade visceral (+79%). Os hormônios do eixo hipotálamo-hipófise-córtex-adrenal não foram alterados. O grupo SA apresentou maior expressão de tirosina hidroxilase e de DOPA descarboxilase (+31% e 90%, respectivamente); conteúdo de catecolaminas adrenais (absoluta: 35% e relativa: 40%), e secreção de catecolaminas, tanto basal quanto estimulada por cafeína (+35% e 43%, respectivamente). O conteúdo ADRB3 no TAV não foi alterado nos grupo SA, entretanto o ADRB2 no fígado apresentou-se menor (-45%). O grupo SA apresentou maior conteúdo de glicogênio e triglicerídeos no fígado (+79% e +49%, respectivamente), além de microesteatose. A superalimentação neonatal resulta em hiperativação adrenomedular e aparentemente está associada a preservação da sensibilidade às catecolaminas no VAT. Adicionalmente sugerimos que o maior conteúdo de glicogênio e triglicerídeos hepático seja devido a menor sensibilidade as catecolaminas. Tal perfil pode contribuir para a disfunção metabólica hepática e hipertensão arterial que são características deste modelo de obesidade programada.

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OBJECTIVE: The goal was to describe the temporal pattern of neonatal plasma glucose levels and associations with maternal glucose levels, cord serum C-peptide levels, and neonatal size and adiposity. METHODS: A total of 17 094 mothers and infants were included in the Hyperglycemia and Adverse Pregnancy Outcome Study (15 centers in 9 countries). Mothers underwent a 75-g, 2-hour, oral glucose tolerance test (OGTT) at 24 to 32 weeks of gestation. Cord blood and neonatal blood samples were collected. Biochemical neonatal hypoglycemia was defined as glucose levels of 90th percentile. CONCLUSIONS: Mean neonatal plasma glucose concentrations varied little in the first 5 hours after birth, which suggests normal postnatal adjustment. Biochemical and clinical hypoglycemia were weakly related to maternal OGTT glucose measurements but were strongly associated with elevated cord serum C-peptide levels. Larger and/or fatter infants were more likely to develop hypoglycemia and hyperinsulinemia. These relationships suggest physiologic relationships between maternal glycemia and fetal insulin production. Copyright © 2010 by the American Academy of Pediatrics.

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BACKGROUND: Offspring of women with diabetes mellitus (DM) during pregnancy have a risk of developing metabolic disease in adulthood greater than that conferred by genetics alone. The mechanisms responsible are unknown, but likely involve fetal exposure to the in utero milieu, including glucose and circulating adipokines. The purpose of this study was to assess the impact of maternal DM on fetal adipokines and anthropometry in infants of Hispanic and Native American women.

METHODS: We conducted a prospective study of offspring of mothers with normoglycemia (Con-O; n = 79) or type 2 or gestational DM (DM-O; n = 45) pregnancies. Infant anthropometrics were measured at birth and 1-month of age. Cord leptin, high-molecular-weight adiponectin (HMWA), pigment epithelium-derived factor (PEDF) and C-peptide were measured by ELISA. Differences between groups were assessed using the Generalized Linear Model framework. Correlations were calculated as standardized regression coefficients and adjusted for significant covariates.

RESULTS: DM-O were heavier at birth than Con-O (3.7 ± 0.6 vs. 3.4 ± 0.4 kg, p = 0.024), but sum of skinfolds (SSF) were not different. At 1-month, there was no difference in weight, SSF or % body fat or postnatal growth between groups. Leptin was higher in DM-O (20.1 ± 14.9 vs. 9.5 ± 9.9 ng/ml in Con-O, p < 0.0001). Leptin was positively associated with birth weight (p = 0.0007) and SSF (p = 0.002) in Con-O and with maternal hemoglobin A1c in both groups (Con-O, p = 0.023; DM-O, p = 0.006). PEDF was positively associated with birth weight in all infants (p = 0.004). Leptin was positively associated with PEDF in both groups, with a stronger correlation in DM-O (p = 0.009). At 1-month, HMWA was positively associated with body weight (p = 0.004), SSF (p = 0.025) and % body fat (p = 0.004) across the cohort.

CONCLUSIONS: Maternal DM results in fetal hyperleptinemia independent of adiposity. HMWA appears to influence postnatal growth. Thus, in utero exposure to DM imparts hormonal differences on infants even without aberrant growth.

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Objective - The adjusted effect of long-chain polyunsaturated fatty acid (LCPUFA) intake during pregnancy on adiposity at birth of healthy full-term appropriate-for-gestational age neonates was evaluated. Study Design - In a cross-sectional convenience sample of 100 mother and infant dyads, LCPUFA intake during pregnancy was assessed by food frequency questionnaire with nutrient intake calculated using Food Processor Plus. Linear regression models for neonatal body composition measurements, assessed by air displacement plethysmography and anthropometry, were adjusted for maternal LCPUFA intakes, energy and macronutrient intakes, prepregnancy body mass index and gestational weight gain. Result - Positive associations between maternal docosahexaenoic acid intake and ponderal index in male offspring (β=0.165; 95% confidence interval (CI): 0.031–0.299; P=0.017), and between n-6:n-3 LCPUFA ratio intake and fat mass (β=0.021; 95% CI: 0.002–0.041; P=0.034) and percentage of fat mass (β=0.636; 95% CI: 0.125–1.147; P=0.016) in female offspring were found. Conclusion - Using a reliable validated method to assess body composition, adjusted positive associations between maternal docosahexaenoic acid intake and birth size in male offspring and between n-6:n-3 LCPUFA ratio intake and adiposity in female offspring were found, suggesting that maternal LCPUFA intake strongly influences fetal body composition.

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OBJECTIVE: The adjusted effect of long-chain polyunsaturated fatty acid (LCPUFA) intake during pregnancy on adiposity at birth of healthy full-term appropriate-for-gestational age neonates was evaluated. STUDY DESIGN: In a cross-sectional convenience sample of 100 mother and infant dyads, LCPUFA intake during pregnancy was assessed by food frequency questionnaire with nutrient intake calculated using Food Processor Plus. Linear regression models for neonatal body composition measurements, assessed by air displacement plethysmography and anthropometry, were adjusted for maternal LCPUFA intakes, energy and macronutrient intakes, prepregnancy body mass index and gestational weight gain. RESULT: Positive associations between maternal docosahexaenoic acid intake and ponderal index in male offspring (β=0.165; 95% confidence interval (CI): 0.031-0.299; P=0.017), and between n-6:n-3 LCPUFA ratio intake and fat mass (β=0.021; 95% CI: 0.002-0.041; P=0.034) and percentage of fat mass (β=0.636; 95% CI: 0.125-1.147; P=0.016) in female offspring were found. CONCLUSION: Using a reliable validated method to assess body composition, adjusted positive associations between maternal docosahexaenoic acid intake and birth size in male offspring and between n-6:n-3 LCPUFA ratio intake and adiposity in female offspring were found, suggesting that maternal LCPUFA intake strongly influences fetal body composition.

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OBJECTIVE The aim of this research project was to obtain an understanding of the barriers to and facilitators of providing palliative care in neonatal nursing. This article reports the first phase of this research: to develop and administer an instrument to measure the attitudes of neonatal nurses to palliative care. METHODS The instrument developed for this research (the Neonatal Palliative Care Attitude Scale) underwent face and content validity testing with an expert panel and was pilot tested to establish temporal stability. It was then administered to a population sample of 1285 neonatal nurses in Australian NICUs, with a response rate of 50% (N 645). Exploratory factor-analysis techniques were conducted to identify scales and subscales of the instrument. RESULTS Data-reduction techniques using principal components analysis were used. Using the criteria of eigenvalues being 1, the items in the Neonatal Palliative Care Attitude Scale extracted 6 factors, which accounted for 48.1% of the variance among the items. By further examining the questions within each factor and the Cronbach’s of items loading on each factor, factors were accepted or rejected. This resulted in acceptance of 3 factors indicating the barriers to and facilitators of palliative care practice. The constructs represented by these factors indicated barriers to and facilitators of palliative care practice relating to (1) the organization in which the nurse practices, (2) the available resources to support a palliative model of care, and (3) the technological imperatives and parental demands. CONCLUSIONS The subscales identified by this analysis identified items that measured both barriers to and facilitators of palliative care practice in neonatal nursing. While establishing preliminary reliability of the instrument by using exploratory factor-analysis techniques, further testing of this instrument with different samples of neonatal nurses is necessary using a confirmatory factor-analysis approach.

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Preterm infants have an increased risk of low bone mass and subsequent fracture due to limited bone mass accretion in utero and a greater need for bone nutrients. The diagnosis of ostepeonia of prematurity remains difficult as there is no sctreening test which is both sensitive and specific.