998 resultados para NHL-2


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La divison cellulaire asymétrique est un processus essentiel qui permet aux cellules souches de s’auto-renouveller et de produire une cellule fille destinée à la différenciation. La lignée germinale de C. elegans, totipotente et immortelle, est une lignée de cellules souches qui contient des organites ribonucléoprotéiques appelés granules P. Au cours du développement ces derniers sont toujours localisés spécifiquement dans les cellules précurseurs de la lignée germinals, suggérant qu’ils sont des déterminants de la lignée germinale. De façon intéressante, des granules ribonucléoprotéiques, comme les P bodies impliqués dans le contrôle post-transcriptionnel, ont été observés chez tous les organismes. Néanmoins, la fonction précise des granules P de C. elegans est inconnue. Récemment, notre laboratoire a montré que NHL-2, un homologue de Mei-P26 de Drosophile, colocalise avec les granules P dans des embryons précoces et joue un rôle dans la division cellulaire asymétrique et dans la polarité cellulaire. Tous les granules P contiennent NHL- 2, ce qui nous a mené à poser l’hypothèse que NHL-2 régule la biogenèse et la fonction des granules P. Nous avons testé cette hypothèse par imagerie et quantification de l'intensité de PGL-1, un composant essentiel des granules P, dans des embryons fixés. Nos résultats montrent que dans des embryons mutants pour nhl-2 il y a une réduction du nombre de granules P, de l'intensité de fluorescence moyenne (IFM) et de l'intensité de fluorescence total (IFT) de PGL-1. Une analyse plus poussée a montré qu'il existe deux populations distinctes d’embryons mutants pour nhl-2 : l’une présente une intensité de PGL-1 comparable à celle d’une population sauvage alors que le second groupe présente une forte réduction des quantités de PGL-1 et est comparable à des mutants pour pgl-1. Cette variabilité est aussi observée dans le phénotype de stérilité de nhl-2 mutant à des températures élevées. Globalement, nos résultats suggèrent que la perte de fonction de NHL-2 perturbe la prolifération des cellules germinales ainsi que la formation et/ou la stabilité des granules P au cours des étapes précoces du développement des précurseurs de la lignée germinals. D’autre part, ils suggèrent que la fonction de NHL-2 pourrait être partiellement redondants avec les autres régulateurs de la stabilité des granules P. Mots-clés : Granules P, NHL-2, Cellules germinals.

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Background The analysis of cellular networks and pathways involved in oncogenesis has increased our knowledge about the pathogenic mechanisms that underlie tumour biology and has unmasked new molecular targets that may lead to the design of better anti-cancer therapies. Recently, using a high resolution loss of heterozygosity (LOH) analysis, we identified a number of potential tumour suppressor genes (TSGs) within common LOH regions across cases suffering from two of the most common forms of Non-Hodgkin’s lymphoma (NHL), Follicular Lymphoma (FL) and Diffuse Large B-cell Lymphoma (DLBCL). From these studies LOH of the protein tyrosine phosphatase receptor type J (PTPRJ) gene was identified as a common event in the lymphomagenesis of these B-cell lymphomas. The present study aimed to determine the cellular pathways affected by the inactivation of these TSGs including PTPRJ in FL and DLBCL tumourigenesis. Results Pathway analytical approaches identified that candidate TSGs located within common LOH regions participate within cellular pathways, which may play a crucial role in FL and DLBCL lymphomagenesis (i.e., metabolic pathways). These analyses also identified genes within the interactome of PTPRJ (i.e. PTPN11 and B2M) that when inactivated in NHL may play an important role in tumourigenesis. We also detected genes that are differentially expressed in cases with and without LOH of PTPRJ, such as NFATC3 (nuclear factor of activated T-cells, cytoplasmic, calcineurin-dependent 3). Moreover, upregulation of the VEGF, MAPK and ERBB signalling pathways was also observed in NHL cases with LOH of PTPRJ, indicating that LOH-driving events causing inactivation of PTPRJ, apart from possibly inducing a constitutive activation of these pathways by reduction or abrogation of its dephosphorylation activity, may also induce upregulation of these pathways when inactivated. This finding implicates these pathways in the lymphomagenesis and progression of FL and DLBCL. Conclusions The evidence obtained in this research supports findings suggesting that FL and DLBCL share common pathogenic mechanisms. Also, it indicates that PTPRJ can play a crucial role in the pathogenesis of these B-cell tumours and suggests that activation of PTPRJ might be an interesting novel chemotherapeutic target for the treatment of these B-cell tumours.