al- Bustān fī dhikr al-awliyāʼ wa-al-ʻulamāʼ bi-Tilimsān

taʼlīf Abī ʻAbd Allāh Muḥammad ibn Muḥammad ibn Aḥmad, al-mulaqqab bi-Ibn Maryam al-Sharīf al-Malītī al-Madyūnī al-Tilimsānī ; wāfaqa ʻalá ṭabʻihi wa-iʻtaná bi-murājaʻati aṣlihi Muḥammad ibn Abī Shanab.

Ṭalʻat al-mushtarī fī al-nasab al-Jaʻfarī

taʼlīf Abī al-ʻAbbās Sayyidī Aḥmad ibn Khālid al-Nāṣirī al-Jaʻfarī al-Zaynabī.

Semerat ül-fuad fi 'l-mebde ve 'l-me'ad

li-şarih il-Mesnevi Abdullah Efendi.

Sarīyat al-ḥaqq wa-al-intiṣār wa-al-dhabb ʻan awliyāʼ Allāh al-akhyār

Muḥammad ibn Muḥammad al-Ṣaghīr al-Shinjīṭī.

Kitāb Ṭabaqāt al-aqṭāb fī dhikr awliyāʼ Allāh taʻālá wa-aqwālihim wa-aḥwālihim ilá intihāʼ ājālihim / taʼlīf al-Shaykh al-Imām al-ʻĀlim al-ʻAllāmah Taqī al-Dīn al-Subkī : manuscript, 1567

A biographical dictionary of sufis.

St. Columba, Silnán, and the 'Male Bovine' (VC 2.17)

At Vita Columbae VC 2.17, Adomnán has severely misunderstood a written source which originally described how Columba ordered one party to a dispute, an alleged maleficus ‘evil-doer’ called Silnán, to milk a sick cow in order to settle the dispute by demonstrating that its contaminated milk was the real, hidden cause of the harm which had occasioned the dispute. Adomnán misread a description of a bos maculosus ‘pock-marked bovine’ to refer to a bos masculus ‘male bovine’, and proceeded to misunderstand the story as the description of some form of contest between Columba and a maleficus ‘sorcerer’.

al- Manhaj al-aʻdal fī tarjamat al-Shaykh al-ʻAllāmah ʻAlī al-Ahdal wa-baʻḍ mashāhīr dhurrīyatihi wa-atbāʻihi wa-aṣḥāb hādhā al-Sayyid al-Akmal

taʼlīf Muḥammad ibn Aḥmad ibn ʻAbd al-Bārī al-Ahdal ; qad ihtamma bi-ṭabʻihi wa-nashrihi ʻAlī ibn ʻAlī ibn ʻUmar al-Ahdal.

Hādhihi Tarjamat quṭb al-wāṣilīn wa-ghawth al-sālikīn al-ʻārif billāh Sayyidī Shams al-Dīn Muḥammad Abī al-Maḥāsin al-Qāwuqjī al-Ḥasanī

min qalam ʻAbd al-Qādir al-Adʹhamī al-Ṭarābulusī.

Kitāb al-Jaysh al-kafīl bi-akhdh al-thaʼr mimman salla ʻalá al-Shaykh al-Tijānī sayf al-inkār

taʼlīf Muḥammad ibn Muḥammad al-Ṣaghīr al-Shinjīṭī al-Tashītī ; bi-taṣḥīḥ wa-muqābalat Abī ʻAbd Allāh Muḥammad Gannūn.

Hādhā kitāb Qiṣaṣ al-ʻulamāʼ

min taʼlīfāt al-ʻālim al-fāḍil al-kāmil nukhbat al-ʻulamāʼ wa-al-mujtahidīn al-Mīrzā Muḥammad ibn Sulaymān al-Tunukābunī.

Tarjamat Fayḍ Allāh Afandī : manuscript, undated

Autobiography of Şeyhülislam Feyzullah Efendi.

L’émir Abdelkader et la franc-maçonnerie française : de l’engagement (1864) au renoncement (1877)

Figure majeure de l’histoire des relations coloniales franco-algériennes, l’émir Abdelkader est généralement présenté par ses compatriotes comme le modèle politique, militaire et religieux du résistant au colonialisme français du 19ième siècle. L’historiographie officielle algérienne en véhicule l’image du chef religieux qui a initié al-jihad de résistance conforme aux règles exotériques de la chari’ia. Il est décrit comme un guerrier loyal et magnanime, fin stratège, dont la défaite militaire a paradoxalement marqué la fondation de l’Algérie moderne en tant que Nation et État. La construction sociopolitique postcoloniale de ce mythe a permis de légitimer les différents régimes politiques, qui se sont succédé dans l’Algérie indépendante et qui ont toujours tenu, dans le cadre d’une lecture littérale de l’Islam. Ceci dans le but de taire la dimension spirituelle d’Abdelkader disciple, héritier et commentateur de l’œuvre du magister Magnus soufi, IbnʻArabî. Fascinés dès le début de l’occupation par cet adversaire hors du commun, les français, de plus en plus sécularisés, en ont érigé une image utilitaire, l’aliénant ainsi de ses compatriotes coreligionnaires et le découplant de sa foi islamique. Les mémoires concurrentes de l’ancienne puissance coloniale et de son ex-colonie, l’Algérie, ont généré plusieurs débats contemporains en ce qui a trait à l’écriture de l’histoire de la colonisation. Le personnage d’Abdelkader a été instrumentalisé par les uns et les autres. Deux évènements controversés de sa biographie sont devenus les objets d’une polémique souvent âpre et amère entre auteurs chercheurs algériens et français : l’adhésion de l’émir à la franc-maçonnerie française et sa séparation d’avec celle-ci. Nous allons présenter que la prémisse d’auteurs algériens, selon laquelle Abdelkader n’aurait pas pu adhérer au Grand Orient de France, pour cause d’incompatibilité doctrinale musulmane, est inconsistante. Nous essayerons de démontrer au contraire, que son initiation à la maçonnerie telle qu’elle s’était présentée à lui était en accord avec sa vision soufie et légaliste du dogme islamique. En nous basant sur le choix de la franc-maçonnerie française pour la laïcité au moment de la réception supposée de l’émir dans la fraternité, nous montrerons qu’il s’en éloigna pour des raisons de doctrine islamique. En effet, l’élimination de toute référence déiste des textes constitutifs du Grand Orient de France fut inacceptable pour le musulman qu’était Abdelkader, vaincu militairement mais raffermi spirituellement par sa proximité grandissante avec son maître spirituel IbnʻArabî. L’humanisme des francs-maçons français avait motivé une refondation basée sur les droits de l’homme issus de la révolution française. Tandis que celui de l’émir Abdelkader prenait sa source dans l’Unicité de l’Être, concept-cadre Akbarien de la compréhension de la relation de Dieu avec ses créatures. Nous allons montrer que les polémiques franco-algériennes sur les relations d’Abdelkader avec la franc-maçonnerie française, masquent un autre débat de fond qui dure depuis des siècles dans le monde musulman. Un débat opposant deux herméneutiques légalistes des textes islamiques, l’une exotérique s’incarnant dans l’œuvre du théologien musulman Ibn Taymiyya et l’autre ésotérique se trouvant au cœur des écrits du mystique IbnʻArabî.

A review of Islamic mutual funds’ financial performance and investment style in Muslim and non-Muslim countries

Islamic finance has grown beyond its reputation of providing small-scale banking options and now provides investment and financing options for complex large-scale commercial transactions. Islamic investments are one area that has attracted the attention of investors due to its performance, especially during the economic downturn. The Shari’ah compliance nature of Islamic funds provides an opportunity for those Muslim investors to be part of the global investment sector who have previously been reluctant to invest in conventional mutual funds. The fact that the funds’ managers are prohibited from investing in activities such as weapons production, alcohol production and interest-bearing finance operations, makes Islamic mutual funds also attractive for those Non-Muslim investors who wish to invest ethically. Today there are hundreds of Islamic equity indices offered by Dow Jones, FTSE, MSCI and S&P. Despite the growing importance of Islamic funds, there have been limited studies exploring the performance of Islamic funds worldwide. Due to very limited data sets and not too rigorous analytical methods, these existent studies have neither investigated Islamic funds’ financial performance in noticeable detail nor analysed the investment style of more than six funds. For instance, relevant questions such as the financial performance of Islamic mutual funds’ beyond their investment styles or a difference in performance between funds from Muslim and non-Muslim countries have nearly not been investigated at all. Very recently, a study by Hoepner, Rammal and Rezec (2011) analysed the financial performance and investment style of 262 Islamic equity funds from 20 countries in five regions (Africa, Asia-Pacific, Europe, Gulf Cooperative Council-GCC, and North America). As comparison, previous studies did not even analyse 60 funds. Hoepner et al.’s study sampled a period of two decades and was therefore able to test the performance of the funds during economic booms as well as economic downturns. The findings of the study provide new insights into the performance of Islamic mutual funds in Muslim and Western markets and during financial crisis.

Saints of chaos

--Harbingers of change.-- Martin Luther.-- Galileo Galilei.--Ludwig van Beethoven.-- James Watt.-- Thomas Hobbes.-- The new unity.