954 resultados para Morfosintaxis del español


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Esta investigación analiza las interferencias de la lengua portuguesa en el habla y en la escritura de alumnos universitarios brasileños que, inician y concluyen su licenciatura en español. La teoría de referencia empleada es la Escala de Préstamos de Sarah Thomason, que aborda el proceso de interferencia desde una perspectiva integral, dinámica y diacrónica.. Este estudio recurre a la inversión de la Escala propuesta por la teoría mencionada pero se tiene en cuenta, a diferencia de ésta, que se aborda un proceso de contacto lingüístico de hablantes que aprenden una lengua extranjera en un contexto de enseñanza formal con una finalidad profesional. La previsión más destacada que se asocia en este trabajo a la inversión mencionada es la siguiente: cuanto más contacto lingüístico hay, menos interferencias se producen. Esta afirmación es opuesta a lo defendido por Thomason. El corpus de esta investigación se compone de redacciones, cuestionario escrito y cuestionario oral, grabado. Los resultados obtenidos muestran, en primer lugar, que la hipótesis de partida y la previsión asociada a la misma son confirmadas por abundantes guarismos al nivel de la fonética-fonología, de la morfosintaxis, y del léxico. En segundo lugar, como afirma Thomason, no hay límites absolutos para las interferencias. Por último, se verifica que hay procesos de resistencia-dosilización de ciertas interferencias, aunque se produce una disminución de las mismas.. Esta tesis facilita una contribución, tanto al estudio del contacto lingüístico, como a la fundamentación de la enseñanza del español como lengua extranjera, y tal vez a la enseñanza de lenguas extranjeras en general..

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En este trabajo se hace una descripción de la adquisición y desarrollo del español desde el nacimiento hasta la edad de tres años. En la primera parte se hace una revisión de teorías que explican la adquisición del lenguaje; en la segunda se presenta el estudio empírico del desarrollo de nuestra lengua. Se reduce a un sólo caso. El corpus de datos abarca más de 4.000 expresiones, vocalizaciones, balbuceos, palabras y frases. Estudio longitudinal. La variable estudiada ha sido el lenguaje del sujeto en cuanto a la fonología, morfosintaxis y semántica. El instrumento para la recogida de datos ha sido un magnetófono para la grabación diaria de las emisiones espontáneas del niño. Al mismo tiempo se tomaban anotaciones sistemáticas en el contexto en que eran emitidas. Análisis cuantitativo y cualitativo de las emisiones. Uno y otro han permitido elaborar un modelo de adquisición y desarrollo del español en sus primeras etapas. Los datos de este estudio han permitido la elaboración de un modelo de desarrollo del español como primera lengua. Se ha intentado comprobar la validez de los postulado por diversos autores sobre la adquisición del lenguaje. Este trabajo permitirá establecer un modelo, junto con otros que se están realizando, de desarrollo del español. Este modelo podrá, a su vez, servir de pauta para aquellos que se dedican al estudio de los trastornos del lenguaje.

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Résumé L’hypothèse de la période critique, émise par Lenneberg dans les années 60, affirmait qu’un enfant pouvait acquérir une langue seconde, sans difficulté, environ jusqu’à l’âge de la puberté. Après cette période, l’apprentissage d’un autre idiome serait difficile, dû à la latéralisation du cerveau. En même temps, les travaux de Chomsky enrichirent cette théorie avec l’idée de la Grammaire universelle, laquelle établit que nous possédons tous, dès la naissance, les éléments linguistiques universels qui nous permettent d’acquérir une langue maternelle. Tant que la Grammaire universelle est active, notre langue maternelle se développe et c’est pourquoi, si nous apprenons une autre langue pendant cette période, l’acquisition de celle-ci se produit de manière presque naturelle. Pour cette raison, plus une langue est apprise tôt, plus elle sera maîtrisée avec succès. En nous appuyant sur ce cadre théorique ainsi que sur l’Analyse d’erreurs, outil qui permet au professeur de prédire quelques erreurs avec la finalité de créer des stratégies d’apprentissage d’une langue seconde, nous tenterons de vérifier dans le présent travail si l’âge est un facteur qui influence positivement ou négativement l’apprentissage d’une langue seconde, l’espagnol dans ce cas-ci, par le biais de l’analyse comparative des prépositions a/ en dans deux groupes d’étudiants différents.

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La bibliographie comprends des adresses web consultables en ligne

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La hausse démographique de la population des aînés dans le dernier tiers du XX siècle et leur désir d’une retraite productive où ils puissent réinventer une nouvelle étape de leur vie, ont produit un changement dans les salles de classes des institutions formelles et informelles au Québec. Les aînés d’aujourd’hui retournent aux salles de classes mais pas pour la même raison que lorsqu’ils étaient adolescents ou étudiants à l’université, là où l’éducation était connectée aux objectifs professionnels et à la promotion sociale, mais plutôt avec le désir d’intégration continue et de la croissance personnelle. Ce désir est traduit par un apprentissage tout au long de la vie. En effet, l’éducation du Troisième âge devient importante, ainsi que la gérontagogie (branche de la gérontologie) qui étudie le processus d’apprentissage des aînés. Le rôle des Universités du troisième âge (UTA) demeure important mais aussi celui des institutions diverses comme par exemple les « Elder Hostels » et les Centres Communautaires. Dans ce contexte-ci, et basé sur nôtre expérience d’animateur d’ateliers d’espagnol d’une Université (de la province) du Québec, nous présentons quelques méthodologies et stratégies appliquées aux cours d’espagnol langue étrangère (ELE). Ces méthodologies et stratégies sont résumées dans un journal du professeur qui nous aidera à observer le niveau d’efficacité de celles-ci dans les ateliers de conversation. Ainsi, nous avons la possibilité de créer notre propre approche méthodologique qui pourra venir en aide à d’autres professeurs d’espagnol.

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Cette recherche se construit autour d’un travail de terrain réalisé dans trois communautés autochtones quichuas vivant au nord de l’Équateur. Il prétend étudier l’incidence que devrait avoir la diversité culturelle et linguistique dans les politiques éducatives en milieu plurilingue et multiculturel. En Amérique hispanique, l’éducation des peuples autochtones n’a jamais été très attentive à leurs besoins spécifiques en ce qui a trait à l’apprentissage de l’espagnol comme langue seconde. En effet, les motivations des apprenants, plus instrumentales qu’intégratives, prouvent que les autochtones apprennent la langue espagnole presqu’exclusivement pour communiquer, sans vraiment être intéressés au groupe natif de cette langue. De plus, notre recherche sur le terrain avec les apprenants du peuple Otavalo nous a démontré que leur très forte identification ethnique influence l’acquisition de l’espagnol. D’une part, ils sont plus enclins à se distinguer des autres, spécialement des hispano parlants, et de l’autre, ils réussissent plus difficilement à atteindre une compétence élevée dans la langue seconde. Notre recherche conclut donc que l’éducation, qu’elle soit issue du système national ou bilingue, devrait davantage prendre en considération l’identité ethnolinguistique des nombreux enfants indigènes, afin de ne pas préjudicier leurs droits. Ceci permettrait de favoriser un apprentissage positif et significatif de l’espagnol comme langue seconde ou langue maternelle, mais tout en consolidant l’identité autochtone des apprenants.

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Pourquoi, dans un contexte migratoire, certains enfants parlent la langue maternelle de leurs parents tandis que d’autres ne l'acquièrent jamais? Cette question nous paraît particulièrement pertinente dans le contexte multiculturel et plurilingue du Canada, plus particulièrement à Montréal, où on trouve « le plus haut pourcentage de distribution du groupe minoritaire ‘latino-américain’ de tout le pays » (Pato 2010: 1). L’objectif principal de cette recherche est d’apporter de nouvelles connaissances en lien avec la transmission et le maintien de l’espagnol comme langue d’origine à Montréal, sujet très peu exploré à ce jour. Afin de mieux comprendre les facteurs impliqués dans la transmission intergénérationnelle de la langue, nous avons étudié deux groupes, les parents et les enfants, formés de huit participants chacun. Les données recueillies à travers de questionnaires et d’entrevues sociolinguistiques apportent des réponses aux questions suivantes : (1) Quels sont les principaux facteurs impliqués dans le maintien de l’espagnol comme langue d’origine à Montréal ? (2) Quelles sont les attitudes des parents et des enfants face à la conservation et à la perte de l’espagnol ? (3) Quelles types de stratégies emploient les parents pour maintenir l’utilisation de l’espagnol à la maison ? (4) Quelle importance a le bilinguisme (français – anglais) dans le maintien et la perte de l’espagnol à Montréal ? L’analyse de nos données nous permet d’identifier que les cinq principaux facteurs impliqués dans la conservation de l’espagnol à Montréal sont : (i) l’exposition à la langue ; (ii) l’utilisation de la langue formelle ; (iii) la motivation ; (iv) le contact avec la famille ; (v) l’exposition à la culture d’origine. Notre recherche démontre que les familles étudiées ont une attitude favorable face à la conservation de leur langue, ce qui ne semble pas être déterminée par l’implémentation des « politiques linguistiques » ou stratégies explicites à la maison. Pour terminer, nos données démontrent aussi que, contrairement à notre hypothèse, le contexte bilingue particulier à Montréal ne semble pas influer de façon significative sur la conservation de l’espagnol.