A glimpse at the monumental architecture and sculpture of Great Britain, from the earliest period to the eighteenth century.

Mode of access: Internet.

Vihara architecture: defining the existential foothold of VIII century Buddhist monastery "Somapura Mahavihara" of ancien Bengal

Lost in history, the ruin of ‘Somapura Mahavihara’ was not recognized separated from its birthplace, i.e. nature, for more than 700 years. Yet, within its silent presence, the monument dominated the name of the region: ‘Paharpur’ (land of hillock), according to its appearance surrounds by its flat land topo¬graphy. Discovered in 1919, the single largest Buddhist Vihara (monas¬tery) of ancient Bengal came into light, pronouncing the flou¬rishing minute of Buddhist architecture, once dominant religious force of the subcontinent. The earliest historical monumental architecture of greater Asia, had long been deriving itself from the Buddhist monastic architecture as early as VI century BC. In line of history, the discovery of ‘Somapura Mahavihara’ contributed attesting the sensitivities of a highly sophisticated architectonic typology of Vihara Architecture in the land of ancient Bengal. The recovery of ‘Somapura Mahavihara’ was not only from its cradle of nature, but also from its remarkable existence imprinted in the reign of Pala dynasty (750 - 1155 AD) announcing the existential foothold of man in his nature. The existential foothold of ‘Somapura Mahavihara’ comprises the factors, responsible in shaping the anchorage of the mo¬nument since the birth of Vihara architecture, as early as 530 BC. These factors not only denote the building technology in response to its environment but also the amalgamation of be¬lief, upon which the dwellers transformed the site as a place announcing their existence on earth. This research paper aims at exploring the existential foothold of ‘Somapura Mahavihara’, in terms of its territorial, functional, structural, social, cultural, religious sym¬bolic hierarchies of human achievement while clarifying the architectonic typology that shaped ‘Somapura Mahavihara’ through evolution process of ‘Vihara Architecture’. This understanding intends to combine the archaeological knowledge with comparative architectural analysis of contem¬porary Viharas of ancient Bengal, to define the singularity of ‘Somapura Mahavihara’. In consequence, the glorious past of ‘Somapura Mahavihara’ is intended to portray through iden¬tifying the relation of religious and functional rationalism with the connotation of art, architecture and belief moulded within natural forces, as one complete entity; RESUMO: Vihara Arquitetura: Definindo a posição existencial do século VIII Budista mosteiro “Somapura Mahavihara” de Bengala antiga. Perdidas na História, as ruínas de ‘Somapura Mahavihara’ foram confundidas com uma montanha durante mais de setecentos anos. Contudo, no seu silêncio presente, o monumento marcou a toponímia da região; ‘Paharpur’ significa ‘a terra do outeiro’, evidenciando a singularidade deste monumento numa região dominada por uma extensa planície. Em 1919, foi descoberto o maior mosteiro budista da antiga região de Bengal, demonstrando a prosperidade da arquitectura budista. Tem¬poralmente, a descoberta de ‘Somapura Mahavihara’ contribuiu para atestar a evolução e a sofisticação da tipologia arquitectónica denominada ‘Arquitectura Vihara’, existente na antiga região de Bengal. A noção de pegada existencial de ‘Somapura Mahavihara’ compreende os factores responsáveis por moldar a ancoragem do monumento ao lugar em que se insere desde o início da arquitectura Vihara, que remonta a 530 a.C. Estes factores evidenciam a tecnologia construtiva empregue para responder ao ambiente envolvente mas também a evolução da religião, factores estes que os monges construtores consideraram ao transformar o lugar e anunciar a sua existência na Terra. Esta investigação tem por objectivo explorar a noção de pegada existencial de ‘Somapura Mahavihara’, nas suas dimensões territoriais, funcionais, estruturais, sociais, culturais e nas hierarquias simbólicas das realizações humanas para clarificar a tipologia arquitectónica que deu forma a ‘Somapura Mahavihara’ durante a evolução da arquitectura Vihara. Este entendimento pretende combinar/cruzar o conhecimen¬to arqueológico com estudos arquitectónicos comparativos de Viharas na antiga região de Bengal, com o objectivo de definir a singularidade de ‘Somapura Mahavihara’. Neste estudo estudar-se-á também o confronto entre a dimensão religiosa e a artística (divino vs. humano), integrados na arquitectura de ‘Somapura Mahavihara’ em perfeita harmonia.

The marmora used in the imperial cult area of Tarraco (Hispania Citerior)

The imperial cult area of Tarraco was built in the 1st century AD in the highest part of the city and presided over the seat of the Concilium Prouinciae Hispaniae Citerioris. It was a temenos with a similar layout to that of the Forum Pacis and architectural decoration imitating that of the Forum Augustum in Rome, where the use of marble was a fundamental part of the architectural and sculptural decorative programme. An extensive assemblage of marble was recovered during the excavations carried out under the Tarragona Cathedral Master Plan. It reflects the use of imperial quarries in the decorative programme and has been analyzed at the Unitat d’Estudis Arqueomètrics (ICAC) facilities. This assemblage reflects the wide panorama of marmora imported and used in the decoration of the temenos. Local varieties of marmora have been identified in Tarraco, plus a series of foreign marmora from quarries all over the Roman Empire (Greece, Turkey, Egypt and North Africa). All this shows the involvement of the imperial power in the monumental architecture of the capital of the prouincia Hispania Citerior.

Moyens informatiques de restitution en archéologie monumentale : cas du temple de Karnak

L’objectif de notre recherche est l’exploration et l’étude de la question de l’instrumentation informatique des projets de reconstitution archéologiques en architecture monumentale dans le but de proposer de nouveaux moyens. La recherche a pour point de départ une question, à savoir : « Comment, et avec quels moyens informatiques, les projets de reconstitution architecturale pourraient-ils être menés en archéologie? ». Cette question a nécessité, en premier lieu, une étude des différentes approches de restitution qui ont été mises à contribution pour des projets de reconstitution archéologiques, et ceci, à ses différentes phases. Il s’agit de comprendre l’évolution des différentes méthodologies d’approche (épistémologiquement) que les acteurs de ce domaine ont adoptées afin de mettre à contribution les technologies d’information et de communication (TIC) dans le domaine du patrimoine bâti. Cette étude nous a permis de dégager deux principales avenues: une première qui vise exclusivement la « représentation » des résultats des projets et une seconde qui vise la modélisation de ce processus dans le but d’assister l’archéologue dans les différentes phases du projet. Nous démontrons que c’est la deuxième approche qui permet la combinaison et met à la disposition des archéologues une meilleure exploitation des possibilités que l’outil informatique peut et pourra présenter. Cette partie permet de démontrer la nature systémique et complexe de la mise à contribution des TICs dans le domaine de la restitution archéologique. La multitude des acteurs, des conditions techniques, culturelles et autres, des moyens utilisés ainsi que la variété des objectifs envisagés dans les projets de reconstitution archéologiques poussent à explorer une nouvelle approche qui tient compte de cette complexité. Pour atteindre notre objectif de recherche, la poursuite de l’étude de la nature de la démarche archéologique s’impose. Il s’agit de comprendre les liens et les interrelations qui s’établissent entre les différentes unités techniques et intellectuelles en jeu ainsi que les différents modes de réflexions présents dans les projets de reconstitution archéologique du patrimoine bâti. Cette étude met en évidence le rapport direct entre le caractère subjectif de la démarche avec la grande variabilité des approches et des raisonnements mis en œuvre. La recherche est alors exploratoire et propositionnelle pour confronter notamment le caractère systémique et complexe de l’expérience concrète et à travers les publications savantes, les éléments de la réalité connaissable. L’étude des raisonnements archéologiques à travers les publications savantes nous permet de proposer une première typologie de raisonnements étudiés. Chacune de ces typologies reflète une méthodologie d’approche basée sur une organisation d’actions qui peut être consignée dans un ensemble de modules de raisonnements. Cette recherche fait ressortir, des phénomènes et des processus observés, un modèle qui représente les interrelations et les interactions ainsi que les produits spécifiques de ces liaisons complexes. Ce modèle témoigne d’un processus récursif, par essais et erreurs, au cours duquel l’acteur « expérimente » successivement, en fonction des objectifs de l’entreprise et à travers des modules de raisonnements choisis, plusieurs réponses aux questions qui se posent à lui, au titre de la définition du corpus, de la description, de la structuration, de l’interprétation et de la validation des résultats, jusqu’à ce que cette dernière lui paraisse satisfaire aux objectifs de départ. Le modèle établi est validé à travers l’étude de cas du VIIème pylône du temple de Karnak en Égypte. Les résultats obtenus montrent que les modules de raisonnements représentent une solution intéressante pour assister les archéologues dans les projets de reconstitution archéologiques. Ces modules offrent une multiplicité de combinaisons des actions et avantagent ainsi une diversité d’approches et de raisonnements pouvant être mis à contribution pour ces projets tout en maintenant la nature évolutive du système global.

Les monuments "funéraires" thraces : une crise d'identité

Cette étude porte sur l’analyse de l’identité, en termes de fonction, des monuments érigés sous tumulus dans le territoire actuel de la Bulgarie. Ces monuments sont généralement datés du Ve au IIIe siècle avant notre ère et ont été associés aux peuples thraces qui ont évolué sur ce territoire durant cette époque. Les monuments thraces sous tumulus, aux structures en blocs de pierre ou en moellons, ou d’un mélange de matériaux et de techniques différentes, ont été invariablement recouverts de monticules de terre dès l’Antiquité. Les tumuli ainsi obtenus ont été utilisés à différentes fins par les peuples locaux jusqu’à l’époque moderne. Les études plus ou moins détaillées des monuments thraces sous tumulus, qui ont débuté dès la fin du XIXe siècle de notre ère, ainsi que l’accumulation rapide de nouveaux exemplaires durant les deux dernières décennies, ont permis de constater une grande variabilité de formes architecturales en ce qui a trait aux différentes composantes de ces constructions. Cette variabilité a poussé certains chercheurs à proposer des typologies des monuments afin de permettre une meilleure maîtrise des données, mais aussi dans le but d’appuyer des hypothèses portant sur les origines des différents types de constructions sous tumulus, ou sur les origines des différentes formes architectoniques identifiées dans leurs structures. Des hypothèses portant sur la fonction de ces monuments, à savoir, sur l’usage qu’en ont fait les peuples thraces antiques, ont également été émises : certains chercheurs ont argumenté pour un usage funéraire, d’autres pour une fonction cultuelle. Un débat de plus en plus vif s’est développé durant les deux dernières décennies entre chercheurs de l’un et de l’autre camp intellectuel. Il a été constamment alimenté par de nouvelles découvertes sur le terrain, ainsi que par la multiplication des publications portant sur les monuments thraces sous tumulus. Il est, de ce fait, étonnant de constater que ni les hypothèses portant sur les origines possibles de ces constructions, ni celles ayant trait à leurs fonctions, n’ont été basées sur des données tangibles – situation qui a eu pour résultat la désignation des monuments thraces par « tombes-temples-mausolées », étiquette chargée sinon d’un sens précis, du moins d’une certaine connotation, à laquelle le terme « hérôon » a été ajouté relativement récemment. Notre étude propose de dresser un tableau actuel des recherches portant sur les monuments thraces sous tumulus, ainsi que d’analyser les détails de ce tableau, non pas dans le but de trancher en faveur de l’une ou de l’autre des hypothèses mentionnées, mais afin d’expliquer les origines et la nature des problèmes que les recherches portant sur ces monuments ont non seulement identifiés, mais ont également créés. Soulignant un fait déjà noté par plusieurs chercheurs-thracologues, celui du manque frappant de données archéologiques exactes et précises dans la grande majorité des publications des monuments thraces, nous avons décidé d’éviter la tendance optimiste qui persiste dans les études de ces derniers et qui consiste à baser toute analyse sur le plus grand nombre de trouvailles possible dans l’espoir de dresser un portrait « complet » du contexte archéologique immédiat des monuments ; portrait qui permettrait au chercheur de puiser les réponses qui en émergeraient automatiquement, puisqu’il fournirait les éléments nécessaires pour placer l’objet de l’analyse – les monuments – dans un contexte historique précis, reconstitué séparément. Ce manque de données précises nous a porté à concentrer notre analyse sur les publications portant sur les monuments, ainsi qu’à proposer une approche théoriquement informée de l’étude de ces derniers, en nous fondant sur les discussions actuelles portant sur les méthodes et techniques des domaines de l’archéologie, de l’anthropologie et de l’histoire – approche étayée dans la première partie de cette thèse. Les éléments archéologiques (avant tout architecturaux) qui ont servi de base aux différentes hypothèses portant sur les constructions monumentales thraces sont décrits et analysés dans le deuxième volet de notre étude. Sur la base de cette analyse, et en employant la méthodologie décrite et argumentée dans le premier volet de notre thèse, nous remettons en question les différentes hypothèses ayant trait à l’identité des monuments. L’approche de l’étude des monuments thraces sous tumulus que nous avons adoptée tient compte tant de l’aspect méthodologique des recherches portant sur ceux-ci, que des données sur lesquelles les hypothèses présentées dans ces recherches ont été basées. Nous avons porté une attention particulière à deux aspects différents de ces recherches : celui du vocabulaire technique et théorique implicitement ou explicitement employé par les spécialistes et celui de la façon dont la perception de l’identité des monuments thraces a été affectée par l’emploi de ce vocabulaire. Ces analyses nous ont permis de reconstituer, dans le dernier volet de la présente étude, l’identité des monuments thraces telle qu’implicitement ou explicitement perçue par les thracologues et de comparer cette restitution à celle que nous proposons sur la base de nos propres études et observations. À son tour, cette comparaison des restitutions des différentes fonctions des monuments permet de conclure que celle optant pour une fonction funéraire, telle que nous la reconstituons dans cette thèse, est plus économe en inférences et mieux argumentée que celle identifiant les monuments thraces de lieux de culte. Cependant, l’impossibilité de réfuter complètement l’hypothèse des « tombes-temples » (notamment en raison du manque de données), ainsi que certains indices que nous avons repérés dans le contexte architectural et archéologique des monuments et qui pourraient supporter des interprétations allant dans le sens d’une telle identification de ces derniers, imposent, d’après nous, la réévaluation de la fonction des constructions thraces sous tumulus sur la base d’une restitution complète des pratiques cultuelles thraces d’après les données archéologiques plutôt que sur la base d’extrapolations à partir des textes grecs anciens. À notre connaissance, une telle restitution n’a pas encore été faite. De plus, le résultat de notre analyse des données archéologiques ayant trait aux monuments thraces sous tumulus, ainsi que des hypothèses et, plus généralement, des publications portant sur les origines et les fonctions de ces monuments, nous ont permis de constater que : 1) aucune des hypothèses en question ne peut être validée en raison de leur recours démesuré à des extrapolations non argumentées (que nous appelons des « sauts d’inférence ») ; 2) le manque flagrant de données ou, plus généralement, de contextes archéologiques précis et complets ne permet ni l’élaboration de ces hypothèses trop complexes, ni leur validation, justifiant notre approche théorique et méthodologique tant des monuments en question, que des études publiées de ceux-ci ; 3) le niveau actuel des connaissances et l’application rigoureuse d’une méthodologie d’analyse permettent d’argumenter en faveur de la réconciliation des hypothèses « funéraires » et « cultuelles » – fait qui ne justifie pas l’emploi d’étiquettes composites comme « templestombes », ni les conclusions sur lesquelles ces étiquettes sont basées ; 4) il y a besoin urgent dans le domaine de l’étude des monuments thraces d’une redéfinition des approches méthodologiques, tant dans les analyses théoriques des données que dans le travail sur le terrain – à défaut de procéder à une telle redéfinition, l’identité des monuments thraces sous tumulus demeurera une question d’opinion et risque de se transformer rapidement en une question de dogmatisme.

Lo popular en la arquitectura moderna en España. Coderch, Fisac, De La Sota, Fernández del Amo

Desde los orígenes, la construcción popular ha vivido al lado --a veces, dentro-- de la arquitectura culta, encargándose de dar noticia y alojo a lo más vital de la existencia y poniéndose al servicio de lo construido para la pura representación. El interés por incorporar intelectualmente los depósitos plásticos, constructivos y funcionales de esa arquitectura anónima ha sido determinante para la configuración del Ciclo Moderno. Esta tesis se focaliza en la arquitectura que se hizo en la España de mediados del pasado siglo y que, de la mano de arquitectos como Fisac, Coderch, De la Sota y Fernández del Amo, entre otros, concretó un momento dulce en nuestra manera del construir y de habitar, fundamentado en una nueva mirada a lo popular, que supuso una contestación desde el realismo al tipismo de la Reconstrucción, la arquitectura monumentalista de la década de los 40. A partir del estudio sobre ese momento concreto de la arquitectura, nuestro campo reflexivo se amplía, por un lado, hacia la arquitectura de la Vanguardia de la II República (a la que, en cierto modo, se remite) y, por otro, hacia la rama de la arquitectura del Desarrollismo de los años 60, en la que continuó la invocación a lo popular como sustancia del proyecto, si bien entendida ahora en un sentido más amplio. La arquitectura de los maestros que articulan nuestro trabajo, entró de lleno en el debate sobre lo contextual, que acabará oficializándose tras la crisis del Movimiento Moderno acaecida sobre las ruinas de la II Guerra Mundial. El motivo de esta tesis es intentar hacer aflorar los útiles proyectuales de estas arquitecturas empeñadas en el arraigo, particularmente en un momento como el actual, en el que están experimentando un interesante renacer global. ABSTRACT From its origins, popular or traditional architecture has lived next door -- sometimes within-- high architecture, in charge of hosting and providing information about the most vital part of human existence, serving to what is built just for purely representative matters. Such an interest in intellectually incorporating the plastic, constructive and functional deposits from anonymous architecture has been instrumental in the configuration of the Modern Architectural Cycle. This thesis focuses on the architecture made in Spain halfway through the last century. Our way of building and living went through an extraordinary period by means of the work of architects such as Fisac, Coderch, De la Sota and Fernández del Amo, among others. Their projects, based on a new look at our popular material, became a rejoinder from realism to the picturesque model of the so-called Reconstrucción, the monumental architecture of the 40s. From the study of this particular architectural moment, the objective of our reflection widens, on the one hand, to the architecture of the Avantgarde of the II Spanish Republic (to which it somehow refers) and, secondly, to a branch of the architecture of the 60s (when an extraordinary development boom took place in Spain) which kept on relying on the popular as the essence of the project, although now understood in a broader sense. The architecture of the masters who articulate our work, engaged fully in the debate on the role of context which will eventually be formalized after the crisis of the Modern Movement occurred on the ruins of World War II. The purpose of this thesis is to try to bring out some of the project tools from these architectures committed to roots, particularly now, when they are experiencing an interesting overall reborn.

Thorium-230 coral chronology of a late prehistoric Hawaiian chiefdom

Documenting the history of settlement in Hawaii during the last few Centuries before European contact, is crucial to charting the evolution of the most complex chiefdom in Polynesia. It is precisely this period that Hawaii. and many Polynesian Societies, Underwent their most rapid changes in political, economic and social organisation. The last similar to 500 to 300 years in the C-14 calibration curve is problematic with wide fluctuations Often rendering large age spans that do not precisely date single events, especially troubling with a culture-historical record of similar to 1000 years duration. Here we present in extremely high precision Th-230 chronology for archaeologically constrained coral samples from a range of occupancy sites. Our high precision dates allow the time of site use to be clearly demonstrated. They also provide the first dates for habitation sites in Hawaii that clearly show contemporaneous occupation-the major problem in settlement pattern archaeology. We demonstrate that two sites were occupied within the same year. Our refined chronology, provides new and exciting oppurtunities for tracking sociopolitical and economic developments during the last few centuries-the crucial period in the evolution and transformation of Polynesian societies. (c) 2005 Elsevier Ltd. All rights reserved.

Visibilidad y percepción en la construcción de un paisaje Prehistórico. El caso de Calviá (Mallorca, Islas Baleares)

El presente trabajo se centra en el estudio del papel que juega el control visual del espacio en las prácticas sociales de las comunidades prehistóricas. Este trabajo se articula a partir de un estudio de caso, el término municipal de Calviá, situado en el sureste de la isla de Mallorca, para analizar las diferentes formas de monumentalidad arquitectónica y cómo estas se constituyen cómo un punto de referencia social dentro del paisaje. Partiendo de una amplia horquilla temporal, que abarcaría el Bronce Naviforme (1550-850 AC), el período Talayótico (850-550 AC) y el Postalayótico (550-123 AC), se propone analizar los cambios y pervivencias en la construcción del paisaje, a través de estrategias de visibilidad, percepción y movimiento alrededor de los monumentos arquitectónicos. A través de la perspectiva de la Arqueología del Paisaje y mediante el uso de Sistemas de Información Geográfica (SIG) se propone un análisis de tendencias a largo plazo en la configuración social de un paisaje.

Physical and mineralogical changes of Hungarian monumental stones exposed to different conditions: stone-testing in-situ and under laboratory conditions

The Székesfehérvár Ruin Garden is a unique assemblage of monuments belonging to the cultural heritage of Hungary due to its important role in the Middle Ages as the coronation and burial church of the Kings of the Hungarian Christian Kingdom. It has been nominated for “National Monument” and as a consequence, its protection in the present and future is required. Moreover, it was reconstructed and expanded several times throughout Hungarian history. By a quick overview of the current state of the monument, the presence of several lithotypes can be found among the remained building and decorative stones. Therefore, the research related to the materials is crucial not only for the conservation of that specific monument but also for other historic structures in Central Europe. The current research is divided in three main parts: i) description of lithologies and their provenance, ii) physical properties testing of historic material and iii) durability tests of analogous stones obtained from active quarries. The survey of the National Monument of Székesfehérvár, focuses on the historical importance and the architecture of the monument, the different construction periods, the identification of the different building stones and their distribution in the remaining parts of the monument and it also included provenance analyses. The second one was the in situ and laboratory testing of physical properties of historic material. As a final phase samples were taken from local quarries with similar physical and mineralogical characteristics to the ones used in the monument. The three studied lithologies are: fine oolitic limestone, a coarse oolitic limestone and a red compact limestone. These stones were used for rock mechanical and durability tests under laboratory conditions. The following techniques were used: a) in-situ: Schmidt Hammer Values, moisture content measurements, DRMS, mapping (construction ages, lithotypes, weathering forms) b) laboratory: petrographic analysis, XRD, determination of real density by means of helium pycnometer and bulk density by means of mercury pycnometer, pore size distribution by mercury intrusion porosimetry and by nitrogen adsorption, water absorption, determination of open porosity, DRMS, frost resistance, ultrasonic pulse velocity test, uniaxial compressive strength test and dynamic modulus of elasticity. The results show that initial uniaxial compressive strength is not necessarily a clear indicator of the stone durability. Bedding and other lithological heterogeneities can influence the strength and durability of individual specimens. In addition, long-term behaviour is influenced by exposure conditions, fabric and, especially, the pore size distribution of each sample. Therefore, a statistic evaluation of the results is highly recommended and they should be evaluated in combination with other investigations on internal structure and micro-scale heterogeneities of the material, such as petrographic observation, ultrasound pulse velocity and porosimetry. Laboratory tests used to estimate the durability of natural stone may give a good guidance to its short-term performance but they should not be taken as an ultimate indication of the long-term behaviour of the stone. The interdisciplinary study of the results confirms that stones in the monument show deterioration in terms of mineralogy, fabric and physical properties in comparison with quarried stones. Moreover stone-testing proves compatibility between quarried and historical stones. Good correlation is observed between the non-destructive-techniques and laboratory tests results which allow us to minimize sampling and assessing the condition of the materials. Concluding, this research can contribute to the diagnostic knowledge for further studies that are needed in order to evaluate the effect of recent and future protective measures.

Juan Bautista Lázaro y la restauración monumental: su intervención en la Catedral de León (1892-1909)

La catedral de León, debido al estado de ruina que presentaba a mediados del siglo XIX, se vio sometida a partir de entonces a una serie de intervenciones de conservación, restauración y reconstrucción que la transforma-ron significativamente. A pesar de encontrarnos con gran cantidad de documentación escrita sobre este monumento y de existir varios estudios sobre los arquitectos restauradores que intervinieron en este a finales del siglo XIX, resulta sorprendente que todavía existan períodos de este lapso de tiempo en el que su análisis y profundización haya sido menor. Este es el caso del período de Juan Bautista Lázaro como arquitecto director de las obras de la catedral leonesa, existiendo únicamente sobre toda su obra un estudio general que fue realizado por el director de este trabajo de investigación, por lo que nos llevó a considerar que era oportuno profundizar sobre la figura y obra de uno de los arquitectos más importante de la restauración en España de este período, no solo por su obra en sí, sino también por sus pos-turas significativas respecto a la intervención en el patrimonio arquitectónico: su respeto por los añadidos históricos, su preferencia por no aislar los monumentos, sus interés por los sistemas constructivos y su deseo de recuperar los oficios tradicionales que estaban completamente perdidos en la España decimonónica. El objetivo principal de la tesis es, por tanto, el análisis descriptivo y arquitectónico de los proyectos e intervenciones que Lázaro desarrolló y ejecutó para la catedral de Santa María de Regla de León, para deducir los principios e ideas que guiaron su quehacer en este templo, y poder, tras estudiar sus diversas publicaciones escritas y los proyectos e intervenciones de restauración acometidas en otros edificios de carácter monumental, llegar a establecer sus criterios de intervención en el patrimonio histórico y artístico. De acuerdo con esto, la tesis se estructura en tres partes: una primera parte en la que se contempla el pensamiento arquitectónico de Lázaro en su intervención en el patrimonio histórico; una segunda, en la que se abordan directamente los proyectos e intervenciones de Lázaro en la pulchra leonina, previa aproximación del citado arquitecto al proceso de restauración que se acometía en dicho templo; y una tercera, en la que se realiza el estudio de las principales intervenciones de restauración que ejecutó en otros edificios del patrimonio arquitectónico español. El presente trabajo de investigación se ha servido de la documentación escrita, gráfica, planimétrica y fotográfica que sobre los temas tratados existe desperdigada en diversos archivos dependientes de distintos organismos oficiales civiles y eclesiásticos. Además, el hecho de haber podido acceder a los trabajos de conservación y restauración que en estos momentos se están llevando a cabo en las zonas en las que intervino Lázaro (vidrieras, rejas, puertas, fábricas, cubiertas, etc.), y el poder intercambiar opiniones y criterios con la persona que actualmente es responsable de las obras de la catedral de León, ha facilitado y complementado el desarrollo de la presente tesis al haber podido contrastar y tomar datos directamente en el monumento objeto de estudio. También se ha llevado a cabo la consulta de las distintas revistas de arquitectura publicadas en aquellos años y de los múltiples libros que versaban sobre los edificios objeto de este trabajo o que guardaban relación con ellos. Asimismo hemos logrado conocer el testimonio de algunos de los herederos de Lázaro y de varios de los descendientes de los operarios que trabajaron bajo sus órdenes. Como conclusiones generales, la tesis define por primera vez los criterios generales que guiaron su quehacer profesional en el patrimonio. Además, en este trabajo se analizan pormenorizadamente los proyectos y actuaciones de Lázaro en la catedral de León, abordándose también en profundidad el trabajo del mencionado arquitecto en el ámbito de la restauración arquitectónica. Para lograr este objetivo, esta tesis no se ha limitado únicamente a analizar la información existente en los proyectos y en los in-formes de supervisión de los mismos, como tradicionalmente se había hecho, sino que también se ha tratado de verificar si los datos contenidos en los diferentes documentos de un mismo proyecto y en los borradores de los mismos tenían relación y coherencia entre sí. Además, se ha procurado realizar el análisis comparativo de la realidad construida con el contenido de los proyectos, liquidaciones y documentos de la fase de ejecución de las obras. Este análisis comparativo no había sido realizado hasta la fecha, siendo este, por tanto, una de las aportaciones del trabajo. Por último, la tesis abre tres vías de investigación futuras (que ya se han tratado y avanzado en parte, pero que escapan a los límites de este trabajo). Estas se refieren al estudio de la evolución de la representación gráfica de los planos de la catedral leonesa catalogados en este trabajo, de la actividad pública de Lázaro y su preocupación por la defensa del patrimonio como diputado en las Cortes, arquitecto municipal de Ávila y arquitecto diocesano de Ávila y Toledo, y de cómo sus actuaciones de restauración en el patrimonio arquitectónico influyeron en los proyectos de obra nueva que construyó. ABSTRACT Due to the state of ruin in mid-nineteenth century, the Cathedral of Santa Maria de Regla of León was subjected to a series of interventions on conservation, restoration and reconstruction that transformed it significantly. There have been several studies on the architects who took part in the restoration during the mentioned century and despite abundant documentation and research on this monument, it is surprising to note the lack of deep analysis in some of the periods. In particular, the interventions accomplished by Juan Bautista Lázaro, as chief architect of the works of the Cathedral of León, have not been documented and analysed in adequate depth, despite the outstanding recognition of his work nationally and internationally. Furthermore, up to date, only the director of this research had conducted a general research of all his architectural work. For these reasons, we felt it was appropriate to elaborate on the life and work of one of the most important architects of the restoration in Spain during that period, not only for his work itself, but also for his significant contribution to the debate on architectural interventions on heritage. He is notable for his respect to historical additions, his preference for not isolating the monuments, his interest in building systems and his continuous desire to re-cover the traditional crafts that were completely lost in the nineteenth century in Spain. The main aim of this thesis is therefore the descriptive and architectural analysis of Lázaro’s projects and interventions developed and executed for the Cathedral of León. The thesis identifies the principles and ideas that guided his work in this temple and establish the criteria for intervention in the historical and artistic heritage architecture he applied after studying its various print publications, projects and restoration works undertaken in other buildings. Accordingly, the thesis is structured in three parts: the first part where it deals Lázaro’s architectural thinking in his interventions on heritage constructions; the second one, in which analyses the projects and interventions carried out by Lazaro in the “pulchra leonina”, but this analysis is preceded by the description of Lázaro’s relationship with the Cathedral of León before taking charge of its restoration in 1892; and the third and final section, in which the study of major restoration interventions implemented by Lázaro in other buildings of Spanish architectural heritage is made. This research has used available documentation (in written or graphic form, plans or photographs) scattered in a diverse range of archives de-pendent on various civil and ecclesiastical institutions. Moreover, we could access the conservation and restoration works, currently being carried out in areas where Lázaro intervened (stained glass windows, forged iron en-closures, gates, doors, masonry, covers, etc.). It has been possible to ex-change views and opinions with the person currently in charge of the referred restoration works which has facilitated and complemented the development of this thesis. It further, it has allowed contrasting and obtaining data directly from the monument under study. Consultation of various architectural journals published in those years has also been taken into account, as well as a diversity of books and articles which concerned the buildings assessed in this work, or related to them. Also, although not with the results expected, it has been obtained the testimony of some of Lázaro’s descendants as well as descendants of the workers who operated under him. As a general conclusion, the thesis defines the general criteria that guided his professional work in the heritage for the first time. Furthermore, Juan Bautista Lázaro’s projects and interventions in the Cathedral of León are analysed in detail. Also, it has been studying in detail the Lazaro’s work in the architectural heritage. To achieve this goal, the thesis has studied not only the information from the official projects and technical reports of them, but also it has been tried to verify if the information contained in the different documents of the same project and in the drafts were related and consistent with each other. In addition, it has been attempted to per-form a comparative analysis of the execution of Lázaro’s projects and the entire projected content. This comparative study had not been done to date and this will be, therefore, one of the main contributions of this re-search. Finally, this thesis opens up three lines of investigation (that have already been discussed and partially advanced, but which fall beyond the scope of this research). These refer to the study of the evolution of the graphical representation of the plans of Leon Cathedral catalogued in this thesis, public activity of Lazaro and his concern for the defence of heritage as deputy in Parliament, municipal architect of Avila, and as diocesan architect Ávila and Toledo, and even more how its restoration actions in architectural heritage influenced his projects of new construction.

The episcopal complex of Eio-El Tolmo de Minateda (Hellín, Albacete, Spain). Architecture and spatial organization. 7th to 8th centuries AD

The episcopal complex of Eio, located in El Tolmo de Minateda, was built between the end of the 6th century and the beginning of the 7th century, possibly as a political decision taken by the ecclesiastical authority in the capital of the Visigothic kingdom (Toletum). With the comprehensive study of the whole complex presented below (construction cycles, furniture, decoration and location of spaces), we can interpret the function of each space in the basilica and the domus episcopi, the liturgical and general movement routes, the existence of some hierarchical environments, and specify the chronological development of the buildings. After the Arab-Berber conquest of Hispania in the early 8th century, the whole complex will experience a series of transformations that will convert the religious and monumental public area into a private, residential and industrial Islamic quarter.

Bulletin monumental.

Includes v. 1-2, 1934-35, of Congrès archéologique de France. [Séances générales tenues par la] Société française d'archéologie.

Roman monumental arches /

Vita.

Session organiser/chair: The architecture of coal and other energies

Coal ignited the industrial revolution. An organic sedimentary rock that energized the globe, transforming cities, landscapes and societies for generations, the importance of ‘King Coal’ to the development and consolidation of modernity has been well-recognised. And yet, as a critical factor in the production of modern architecture, coal—as well as other forms of energy—has been mostly overlooked.

From Appalachia to Lanarkshire, from the pits of northern France, Belgium and the Ruhr valley, to the monumental opencast excavations of Russia, China, Africa and Australia, mining operations have altered the immediate social and physical landscapes of coal-rich areas. But in contrast to its own underground conditions of production, the winning of coal, especially in the twentieth-century, has produced conspicuously enlightened and humane approaches to architecture and urbanism. In the twentieth century, educational buildings, holiday camps, hospitals, swimming pools, convalescent homes and housing prevailed alongside model collieries in mining settlements and areas connected to them. In 1930s Britain, pit head baths—funded by a levy on each ton produced—were often built in the International Style. Many won praise for architectural merit, appearing in Nicholas Pevsner’s guides to the buildings of England alongside cathedrals, village manors and Masonic halls as testimonies to the public good.

The deep relationships between coal and modernity, and the expressions of architecture it has articulated, in the collieries from which it was hewn, the landscape and towns it shaped, and the power stations and other infrastructure where it was used, offer innumerable opportunities to explore how coal produced architectures which embodied and expressed both social and technological conditions. While proposals on coal are preferred, we also welcome papers that interrogate the complexity, heterogeneity and hybridity of other forms of energy production and how these have also interceded into architectural form at a range of scales.