29 resultados para Monodelphis brevicaudata
Resumo:
O complexo de espécies M. brevicaudata possui distribuição reconhecida para o Norte da América do sul e compreende três espécies descritas ‐ M. brevicaudata, M. glirina, e M. palliolata ‐ e duas não descritas, reconhecidas em estudos prévios. A delimitação de espécies baseada somente em caracteres morfológicos é complicada, de forma que diversos táxons nominais já foram associados ao grupo e diversos arranjos taxonômicos foram propostos. Os poucos estudos baseados em dados moleculares que incluíram espécimes do complexo brevicaudata revelaram altas taxas de divergência genética. Este trabalho buscou elucidar a sistemática do complexo de espécies M. brevicaudata através do estudo dos padrões de variação morfológica e genética. Para tal, desenvolvemos análises filogenéticas baseadas em dois genes mitocondriais: citocromo b e 16 S rDNA. Adicionalmente, estudamos a morfologia externa e craniana dos espécimes, investigando a existência de congruência entre a variação genética e morfológica. As análises morfológicas foram, em geral, congruentes com as moleculares, as quais indicaram os mesmos clados em todas as análises filogenéticas. Foram formalmente reconhecidas nove espécies para o complexo. Monodelphis brevicaudata, M. palliolata e M. glirina são consideradas espécies válidas; M. touan é revalidado da sinonímia de M. brevicaudata e duas espécies novas são descritas e nomeadas; a espécie M. domestica provou ser intimamente relacionada a espécimes do grupo brevicaudata, sendo aqui considerada como integrante do referido grupo; duas espécies reconhecidas como distintas permanecem sem uma descrição formal; M. maraxina é sinonimizada com M. glirina. Foi observado dimorfismo sexual para as espécies estudadas, sendo que para as duas espécies estatisticamente testadas (teste T de student), M. glirina e M. sp. nov. “Trombetas”, os machos apresentaram crânios significativamente maiores que as fêmeas. Rios de grande porte parecem ter participado na diferenciação genética e estruturação filogeográfica das espécies. O padrão filogeográfico encontrado sugere ao menos dois centros de diversificação para o grupo, um no escudo das Guianas, envolvendo as espécies ao norte do rio Amazonas, e outro no escudo brasileiro, envolvendo M. glirina e M. domestica.
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A região de estudo está localizada na porção nordeste do Estado de Roraima, na região do Médio e Alto Rio Surumu, entre as coordenadas 3º 58’ – 4º 27’ N e 60º 13’ – 61º 16’ W e inserida em uma paisagem dominada por formações de savanas. Um total de 95 espécimens de pequenos mamíferos terrestres foram capturados, divididos entre 6 espécies (Monodelphis brevicaudata (Didelphimorphia), Oligoryzomys sp., Sigmodon alstoni, Rhipidomys nitela, Proechimys cf guyannensis e Zygodontomys brevicauda (Rodentia, Sigmodontinae), através de um esforço de 9.479 armadilhas/dia sendo o sucesso de capturas de 1%. As estações de captura positivas, e parte das estações com ausência de captura, foram descritas considerando variáveis quantitativas e qualitativas. As probabilidades de ocorrência das espécies em conjunto e de Z. brevicauda, separadamente, foram calculadas via Regressão Logística utilizando as características estruturais dos hábitats. Um mapa de vegetação foi gerado a partir de imagem de satélite LANDSAT-TM, onde 14 classes de cobertura vegetal foram identificadas. As probabilidades foram associadas às diferentes classes e permitiram a espacialização da distribuição potencial das espécies considerando o mosaico de hábitats da região As espécies, quando vistas em conjunto, evidenciaram restrições de uso das formações fechadas tais como as zonas internas das Matas Ciliares. As zonas de transição entre as formações arbóreas e as formações abertas de savana apresentaram alta probabilidade de ocorrência de pequenos mamíferos. Z. brevicauda, uma espécie reconhecida como um elemento característico das formações abertas, apresentou restrições de ocorrência em grande parte da sua extensão. Os modelos de distribuição potencial para Z. brevicauda destacam apenas os hábitats de borda como as classes com maior potencial de ocorrência.
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L’inhibition est nécessaire à la génération d’outputs coordonnés entre muscles antagonistes lors de la locomotion. Une baisse de la concentration neuronale en ions chlorure au cours du développement des mammifères conduit à l’émergence de l’inhibition. Cette baisse repose sur l’équilibre entre deux cotransporteurs cation-chlorure, KCC2 et NKCC1. KCC2 expulse Cl- de la cellule alors que NKCC1 pompe Cl- dans la cellule. L’opossum Monodelphis domestica naît dans un état très immature. Le seul comportement locomoteur qu’il présente à la naissance consiste en des mouvements rythmiques et alternés des membres antérieurs pour grimper le long du ventre de la mère vers une tétine. Les membres postérieurs sont des bourgeons immobiles dont le développement est en grande partie postnatal. Pour cette raison, cette espèce constitue un modèle idéal pour l’étude du développement locomoteur. Afin d’étudier les mécanismes conduisant à l’émergence de l’inhibition durant le développement moteur, nous avons décrit l’expression développementale de KCC2 et NKCC1 chez l’opossum postnatal par immunohistochimie au niveau des renflements spinaux. Les motoneurones et afférences primaires ont été identifiés en utilisant un marquage rétrograde au TRDA. Le marquage pour KCC2 et NKCC1 est détecté dans la moelle épinière ventrale dans la matière grise et blanche présomptive dès la naissance, ce qui suggère que l’inhibition serait déjà mise en place avant la naissance, permettant subséquemment l’alternance des membres antérieurs observée chez les nouveau-nés. L’expression développementale de KCC2 et NKCC1 suit des gradients ventrodorsal et médiolatéral, tels qu’observés chez les rongeurs (rats et souris). Le patron mature d’expression de ces cotransporteurs est observé aux alentours de la 5ème semaine postnatale lorsque la locomotion de l’opossum est mature. Enfin, entre la naissance et P5, les dendrites exprimant KCC2 au niveau de la corne dorsale sont retrouvées en apposition aux afférences primaires ce qui suggère un rôle de KCC2 dans la formation des circuits sensori-moteurs.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Rôle du système du trijumeau dans la locomotion chez le nouveau-né d’opossum (Monodelphis domestica)
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L’opossum Monodelphis domestica naît très immature et grimpe sans aide de la mère, du sinus urogénital à une mamelle où il va s’attacher pour poursuivre son développement. Des informations sensorielles sont nécessaires pour guider le nouveau-né vers la mamelle et les candidats les plus probables sont le toucher, l’équilibre et l’olfaction. Pour tester l’action des différents systèmes sur la motricité chez l’opossum nouveau-né, des régions céphaliques du trijumeau, du vestibulaire et de l’olfaction ont été stimulées électriquement sur des préparations in vitro en comparaison avec une stimulation seuil T (intensité minimale de la stimulation à la moelle épinière cervicale induisant le mouvement des membres antérieurs). Par comparaison, un mouvement similaire était induit par des stimulations à ~2T du ganglion du trijumeau, à ~20 T du complexe vestibulaire, et à ~600 T des bulbes olfactifs. L’étude de l'innervation de la peau faciale et des voies relayant les informations du trijumeau vers la moelle épinière (ME) a été approfondie en utilisant de l’immunohistochimie pour les neurofilament-200 et du traçage rétrograde avec du Texas-Red couplé à des Dextrans Aminés. De nombreuses fibres nerveuses ont été révélées dans le derme de plusieurs régions de la tête. Quelques cellules du ganglion trigéminal projettent à la ME rostrale, mais la majorité projette vers la médulla caudale où se trouvent les neurones secondaires du trijumeau ou des cellules réticulospinales. Les résultats de cette étude indiquent une influence significative des systèmes du trijumeau et du vestibulaire, mais pas de l'olfaction, sur le mouvement des membres antérieurs des opossums nouveau-nés.
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L’opossum nait dans un état très immature, mais rampe avec ses membres antérieurs (MA) de l’orifice urogénital de la mère à une tétine, où il s’attache pour poursuivre son développement. Des informations sensorielles sont nécessaires pour guider le nouveau-né vers une tétine et déclencher son attachement. Des expériences précédentes ont montré que le système du trijumeau, dont dépend l’innervation somesthésique du museau, influence les mouvements précoces des MA. Le présent projet vise à déterminer si les mécanorécepteurs faciaux sont fonctionnels et exercent une influence sur les MA. On s’intéresse particulièrement aux cellules de Merkel, un mécanorécepteur épidermique innervé par des fibres à adaptation lente de type I (SA I). Ces cellules ont été localisées sur le pourtour du museau de l’opossum nouveau-né en utilisant un traceur cellulaire, l’AM1-43. Nous avons analysé les réponses musculaires des MA consécutives à l’application de forces calibrées au museau sur des préparations in vitro. Ces réponses sont bilatérales et simultanées, très variables, et leur intensité augmente avec la force de la stimulation. Lors de stimulations répétitives pendant 60 min, les réponses diminuent avec le temps. Le retrait de la peau faciale abolit presque ces réponses. De plus, l’application d’un antagoniste des récepteurs métabotropiques du glutamate, qui affecte l’activité des fibres SA I, ou d’un antagoniste des récepteurs purinergiques les diminue fortement, suggérant une participation des cellules de Merkel. Ces résultats soutiennent que le sens du toucher facial relayé par le système du trijumeau est fonctionnel chez l’opossum nouveau-né et qu’il pourrait influencer les mouvements des MA.
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Atualmente, sabe-se que danos causados por espécies exóticas invasoras são umas das principais causas de extinção de espécies, afetando mais seriamente espécies que evoluíram em ilhas. A jaqueira, Artocarpus heterophyllus Lamarck (Moraceae) é originária das florestas tropicais da Índia. Foi introduzida no Brasil ainda no período Colonial e atualmente é invasora em áreas de Mata Atlântica, incluindo a Ilha Grande, RJ. Durante três anos foram amostrados bimestralmente 18 grades, 10 com diferentes densidades de jaqueiras e oito sem jaqueiras. Em cada grade foram colocadas 11 armadilhas de captura de mamíferos, que ficavam abertas durante três dias consecutivos por mês. No laboratório as fezes de todos os animais capturados foram analisadas para verificar a dieta e a quantidade de sementes nativas defecadas. Para verificar as espécies capazes de predar e dispersar sementes de jaca, fizemos testes com sementes de jaca atados a carretéis e armadilhas fotográficas. Neste contexto, o estudo teve como objetivo verificar a influência da jaqueira na comunidade de pequenos mamíferos e na dispersão de sementes de espécies nativas. Os resultados mostraram que em áreas com maior densidade de jaqueiras adultas, houve uma maior abundância de espécies frugívoras e a diminuição da abundância de espécies mais insetívoras. Embora a jaqueira não tenha influenciado no consumo de itens de origem animal e vegetal entre áreas com e sem jaqueiras e durante os períodos de maior e menor frutificação, essa espécie desfavoreceu a dispersão de sementes nativas. Em áreas com maior densidade de jaqueiras verificamos uma quantidade menor de sementes nativas sendo defecadas pelos pequenos mamíferos. O número de sementes defecadas durante o período de menor frutificação das jaqueiras não foi significativo em relação ao período de maior frutificação e em todos os períodos somados. Já em relação à frequência de fezes contendo sementes nativas, os resultados das regressões simples foram significativos para todos os períodos. O fruto da jaqueira A. heterophyllus foi mais consumido por D. aurita, T. dimidiatus eCuniculus paca, sendo que D. auritanão teve influência sobre a predação e a dispersão de sementes de jaca. Os roedores T. dimidiatuse C. paca foram registrados pelas armadilhas fotográficas predando 20% e 16% das sementes de jaca e carregaram 65% e 44% das sementes, respectivamente. Os testes com carretel mostraram que 86% das sementes foram predadas, 10% foram deixadas intactas no local e apenas 4% foram dispersas a pequenas distâncias, entre 2 e 15 metros, sendo possível que esses roedores propiciem a dispersão dessa espécie exótica e invasora para novas áreas
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通过野外观察,发现羽叶铁线莲Clematis pinnata Maxim.在形态上相似于短尾铁线莲C. brevicaudata DC.及大叶铁线莲C. heracleifolia DC.,推测羽叶铁线莲为后二者杂交产生。本文从形态学、解剖学、孢粉学、分子生物学等方面寻找证据,为这一推测寻找证据: 1. 形态学 通过野外观察结合标本馆工作,对这三个种的外部形态性状及其变异进行全面的分析,以探讨羽叶铁线莲C. pinnata在形态上与二假定亲本的异同及其产生原因。发现花、叶、习性等性状,在二假定亲本种种内稳定,但种间差异很大,在羽叶铁线莲中,性状变异的幅度正是处于二假定亲本差异之间。 2.解剖学 在光学显微镜及扫描电镜下,观察了这三种铁线莲的叶表皮特征,结果表明:叶片上表皮均不具有气孔器,下表皮气孔器类型均为无规则型;表皮细胞多为不规则形,仅在短尾铁线莲C. brevicaudata的上表皮中为近多边形;上表皮角质膜均具细条纹,下表皮角质膜均具环状或放射状波状嵴。 在扫描电镜下对瘦果形态及宿存花柱进行观察,结果表明:瘦果均密被长柔毛,并有蜡质颗粒状附属物。 在三个种植物之间叶表皮和瘦果的特征均无明显差别,对解释所讨论的问题意义不大。 3.孢粉学 在扫描电镜下对这三种铁线莲的花粉粒进行观察,结果表明:短尾铁线莲的花粉粒具三沟;大叶铁线莲的杂性株中花粉高度败育,说明其杂性株其实即为雌株;羽叶铁线莲的花粉也高度败育,但本种均为两性株,支持本种为杂交种的推测。 4.等位酶研究 利用莽草酸脱氢酶SKD和苹果酸脱氢酶MDH对采自3个居群的羽叶铁线莲大叶铁线莲和短尾铁线莲进行等位酶试验,结果显示在短尾铁线莲与大叶铁线莲中分别出现种内一致的谱带,而羽叶铁线莲则显示出二者杂合的带型。这一结果有力的支持了羽叶铁线莲是由短尾铁线莲和大叶铁线莲杂交产生的推测。 5.居群遗传结构分析 利用随机扩增多态性DNA标记(RAPD)分别检测三个种的遗传多样性和居群遗传结构。15个随机引物对这三个种共160个个体 (短尾铁线莲C. brevicaudata 五个居群73个个体;大叶铁线莲Clematis heracleifolia五个居群75个个体;羽叶铁线莲Clematis pinnata三个居群12个个体。)进行分析,总共得到123个用于分析的条带。我们对这三个种扩增出的条带按照居群进行了聚类分析,结果表明这三个种在聚类树上能够很好的区分开,但是种内居群间没有表现出地理分布式样方面的信息;个体水平上聚类结果表明,百花山采到的7株无法确定的铁线莲幼苗有6株是短尾铁线莲C. brevicaudata另外一株是羽叶铁线莲Clematis pinnata,这说明在幼苗形态上二者差别不大;我们对这三个种分别进行了居群遗传结构的分析,结果表明:短尾铁线莲C. brevicaudata的多态条带比率为90.65%,遗传变异主要分布在居群内,居群间分化较小,而大叶铁线莲Clematis heracleifolia的多态条带比率为90.76%,居群间遗传变异占30.52%,居群间有明显分化。羽叶铁线莲Clematis pinnata的遗传多样性很低,有可能是由于营养繁殖造成的。 6.DNA序列分析 选取叶绿体基因组的trn L-F序列和核基因组的ITS序列进行了测序分析。发现从三个种十个个体得到的trn L-F序列之间几乎没有差异,在640 bp中只得到了3个信息位点。对ITS测序过程中发现短尾铁线莲可直接用PCR产物测序,而对大叶铁线莲和羽叶铁线莲必须进行克隆测序,由于时间关系,我们得到的序列不足以进行进一步分析。 基于以上研究结果,我们初步认为羽叶铁线莲是通过短尾铁线莲和大叶铁线莲的杂交而起源,并根据我们观察到的变异式样对羽叶铁线莲系的一些种类进行了分类学处理。
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The bycatch of Australia’s northern prawn fishery (NPF) comprises 56 elasmobranch species (16 families). The impact of this fishery on the sustainability of these species has not been addressed. We obtained estimates of catch rates and the within-net survival of elasmobranchs. Carcharhinus tilstoni, C. dussumieri, Rhynchobatus djiddensis, and Himantura toshi represented 65% of the bycatch. For most species, >50% of individuals in the bycatch were immature, and some species recruited to the fishery at birth. For all species combined, 66% of individuals in the bycatch died in the trawl net. The relative sustainability of elasmobranchs caught as bycatch was examined by ranking species with respect to their susceptibility to capture and mortality due to prawn trawling and with respect to their capacity to recover once the population was depleted. The species that were least likely to be sustainable were four species of pristids, Dasyatis brevicaudata, and Himantura jenkinsii. These are bottom-associated batoids that feed on benthic organisms and are highly susceptible to capture in prawn trawls. The recovery capacity of these species was also low according to our criteria. Our results provide a valuable first step towards ensuring the sustainability of elasmobranchs that are caught as bycatch by highlighting species for management and research. The effectiveness of turtle excluder devices (TEDs) in reducing elasmobranch bycatch varied greatly among species but was generally not very effective because most of the captured species were small.
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This article documents the addition of 512 microsatellite marker loci and nine pairs of Single Nucleotide Polymorphism (SNP) sequencing primers to the Molecular Ecology Resources Database. Loci were developed for the following species: Alcippe morrisonia morrisonia, Bashania fangiana, Bashania fargesii, Chaetodon vagabundus, Colletes floralis, Coluber constrictor flaviventris, Coptotermes gestroi, Crotophaga major, Cyprinella lutrensis, Danaus plexippus, Fagus grandifolia, Falco tinnunculus, Fletcherimyia fletcheri, Hydrilla verticillata, Laterallus jamaicensis coturniculus, Leavenworthia alabamica, Marmosops incanus, Miichthys miiuy, Nasua nasua, Noturus exilis, Odontesthes bonariensis, Quadrula fragosa, Pinctada maxima, Pseudaletia separata, Pseudoperonospora cubensis, Podocarpus elatus, Portunus trituberculatus, Rhagoletis cerasi, Rhinella schneideri, Sarracenia alata, Skeletonema marinoi, Sminthurus viridis, Syngnathus abaster, Uroteuthis (Photololigo) chinensis, Verticillium dahliae, Wasmannia auropunctata, and Zygochlamys patagonica. These loci were cross-tested on the following species: Chaetodon baronessa, Falco columbarius, Falco eleonorae, Falco naumanni, Falco peregrinus, Falco subbuteo, Didelphis aurita, Gracilinanus microtarsus, Marmosops paulensis, Monodelphis Americana, Odontesthes hatcheri, Podocarpus grayi, Podocarpus lawrencei, Podocarpus smithii, Portunus pelagicus, Syngnathus acus, Syngnathus typhle,Uroteuthis (Photololigo) edulis, Uroteuthis (Photololigo) duvauceli and Verticillium albo-atrum. This article also documents the addition of nine sequencing primer pairs and sixteen allele specific primers or probes for Oncorhynchus mykiss and Oncorhynchus tshawytscha; these primers and assays were cross-tested in both species.
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This article documents the addition of 512 microsatellite marker loci and nine pairs of Single Nucleotide Polymorphism (SNP) sequencing primers to the Molecular Ecology Resources Database. Loci were developed for the following species: Alcippe morrisonia morrisonia, Bashania fangiana, Bashania fargesii, Chaetodon vagabundus, Colletes floralis, Coluber constrictor flaviventris, Coptotermes gestroi, Crotophaga major, Cyprinella lutrensis, Danaus plexippus, Fagus grandifolia, Falco tinnunculus, Fletcherimyia fletcheri, Hydrilla verticillata, Laterallus jamaicensis coturniculus, Leavenworthia alabamica, Marmosops incanus, Miichthys miiuy, Nasua nasua, Noturus exilis, Odontesthes bonariensis, Quadrula fragosa, Pinctada maxima, Pseudaletia separata, Pseudoperonospora cubensis, Podocarpus elatus, Portunus trituberculatus, Rhagoletis cerasi, Rhinella schneideri, Sarracenia alata, Skeletonema marinoi, Sminthurus viridis, Syngnathus abaster, Uroteuthis (Photololigo) chinensis, Verticillium dahliae, Wasmannia auropunctata, and Zygochlamys patagonica. These loci were cross-tested on the following species: Chaetodon baronessa, Falco columbarius, Falco eleonorae, Falco naumanni, Falco peregrinus, Falco subbuteo, Didelphis aurita, Gracilinanus microtarsus, Marmosops paulensis, Monodelphis Americana, Odontesthes hatcheri, Podocarpus grayi, Podocarpus lawrencei, Podocarpus smithii, Portunus pelagicus, Syngnathus acus, Syngnathus typhle,Uroteuthis (Photololigo) edulis, Uroteuthis (Photololigo) duvauceli and Verticillium albo-atrum. This article also documents the addition of nine sequencing primer pairs and sixteen allele specific primers or probes for Oncorhynchus mykiss and Oncorhynchus tshawytscha; these primers and assays were cross-tested in both species.
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An organism is built through a series of contingent factors, yet it is determined by historical, physical, and developmental constraints. A constraint should not be understood as an absolute obstacle to evolution, as it may also generate new possibilities for evolutionary change. Modularity is, in this context, an important way of organizing biological information and has been recognized as a central concept in evolutionary biology bridging on developmental, genetics, morphological, biochemical, and physiological studies. In this article, we explore how modularity affects the evolution of a complex system in two mammalian lineages by analyzing correlation, variance/covariance, and residual matrices (without size variation). We use the multivariate response to selection equation to simulate the behavior of Eutheria and Metharia skulls in terms of their evolutionary flexibility and constraints. We relate these results to classical approaches based on morphological integration tests based on functional/developmental hypotheses. Eutherians (Neotropical primates) showed smaller magnitudes of integration compared with Metatheria (didelphids) and also skull modules more clearly delimited. Didelphids showed higher magnitudes of integration and their modularity is strongly influenced by within-groups size variation to a degree that evolutionary responses are basically aligned with size variation. Primates still have a good portion of the total variation based on size; however, their enhanced modularization allows a broader spectrum of responses, more similar to the selection gradients applied (enhanced flexibility). Without size variation, both groups become much more similar in terms of modularity patterns and magnitudes and, consequently, in their evolutionary flexibility. J. Exp. Zool. (Mol. Dev. Evol.) 314B:663-683, 2010. (C) 2010 Wiley-Liss, Inc.
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Here we describe the stomach contents of nine small mammal species (seven rodents and two didelphid marsupials) co-occurring in an old-growth Atlantic forest area. For four terrestrial rodents, we also compared the importance of arthropods in the diet and the selection of arthropod groups by comparing consumption with availability. Small mammals and arthropods were sampled in a 36-ha grid containing 25 sampling stations spaced every 150 m, and 47 stomach contents were analysed. While plant matter was the predominant item in the stomach contents of two rodents (Oligoryzomys nigripes and Rhipidomys mastacalis), four species presented arthropods as the main food item (the rodents Brucepattersonius soricinus and Oxymycterus dasytrichus, and the marsupials Monodelphis n. sp. and Marmosops incanus) and three consumed more plant matter than arthropods, but had significant amounts of both items (the rodents Delomys sublineatus, Euryoryzomys russatus and Thaptomys nigrita). Our results suggest that differences in diet, coupled with differences in habit and microhabitat preferences, are important factors allowing resource partition among species of the diverse group of co-occurring terrestrial small mammals in Atlantic forest areas. Moreover, arthropods were not preyed opportunistically by any of the four terrestrial rodents, since consumption was not proportional to availability. Rather, selection or rejection of arthropod groups seems to be determined by aspects other than availability, such as nutritional value, easiness of capture and handling or palatability.
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The adaptive potential of a species to a changing environment and in disease defence is primarily based on genetic variation. Immune genes, such as genes of the major histocompatibility complex (MHC), may thereby be of particular importance. In marsupials, however, there is very little knowledge about natural levels and functional importance of MHC polymorphism, despite their key role in the mammalian evolution. In a previous study, we discovered remarkable differences in the MHC class II diversity between two species of mouse opossums (Gracilinanus microtarsus, Marmosops incanus) from the Brazilian Atlantic forest, which is one of the most endangered hotspots for biodiversity conservation. Since the main forces in generating MHC diversity are assumed to be pathogens, we investigated in this study gastrointestinal parasite burden and functional associations between the individual MHC constitution and parasite load. We tested two contrasting scenarios, which might explain differences in MHC diversity between species. We predicted that a species with low MHC diversity would either be under relaxed selection pressure by low parasite diversity (`Evolutionary equilibrium` scenario), or there was a recent loss in MHC diversity leading to a lack of resistance alleles and increased parasite burden (`Unbalanced situation` scenario). In both species it became apparent that the MHC class II is functionally important in defence against gastrointestinal helminths, which was shown here for the first time in marsupials. On the population level, parasite diversity did not markedly differ between the two host species. However, we did observe considerable differences in the individual parasite load (parasite prevalence and infection intensity): while M. incanus revealed low MHC DAB diversity and high parasite load, G. microtarsus showed a tenfold higher population wide MHC DAB diversity and lower parasite burden. These results support the second scenario of an unbalanced situation.