Melancholy and the Early Modern University

Critics have observed that in early Stuart England, the broad, socially significant concept of melancholy was recoded as a specifically medical phenomenon—a disease rather than a fashion. This recoding made melancholy seem less a social attitude than a private ailment. However, I argue that at the Stuart universities, this recoded melancholy became a covert expression of the disillusionment, disappointment, and frustration produced by pressures there—the overcrowding and competition which left many men “disappointed” in preferment, alongside James I’s unprecedented royal involvement in the universities. My argument has implications for Jürgen Habermas’s account of the emergence of the public sphere, which he claims did not occur until the eighteenth-century. I argue that although the university was increasingly subordinated to the crown’s authority, a lingering sense of autonomy persisted there, a residue of the medieval university’s relative autonomy from the crown; politicized by the encroaching Stuart presence, an alienated community at the university formed a kind of public in private from authority within that authority’s midst. The audience for the printed book, a sphere apart from court or university, represented a forum in which the publicity at the universities could be consolidated, especially in seemingly “private” literary forms such as the treatise on melancholy. I argue that Robert Burton’s exaggerated performance of melancholy in The Anatomy of Melancholy, which gains him license to say almost anything, resembles the performed melancholy that the student-prince Hamlet uses to frustrate his uncle’s attempts to surveil him. After tracing melancholy’s evolving literary function through Hamlet, I go on to discuss James’s interventions into the universities. I conclude by considering two printed (and widely circulated) books by university men: the aforementioned The Anatomy of Melancholy by Burton, an Oxford cleric, and The Temple by George Herbert, who left a career as Cambridge’s public orator to become a country parson. I examine how each of these books uses the affective pattern of courtly-scholarly disappointment—transumed by Burton as melancholy, and by Herbert as holy affliction—to develop an empathic form of publicity among its readership which is in tacit opposition to the Stuart court.

No Laughing Matter: Shakespearean Melancholy and the Transformation of Comedy

Mon projet de thèse démontre le rôle essentiel que tient la mélancolie dans les comédies de Shakespeare. J’analyse sa présence au travers de multiples pièces, des farces initiales, en passant par les comédies romantiques, jusqu’aux tragicomédies qui ponctuent les dernières années de sa carrière. Je dénote ainsi sa métamorphose au sein du genre comique, passant d’une représentation individuelle se rapportant à la théorie des humeurs, à un spectre émotionnel se greffant aux structures théâtrales dans lesquelles il évolue. Je suggère que cette progression s’apparent au cycle de joie et de tristesse qui forme la façon par laquelle Shakespeare dépeint l’émotion sur scène. Ma thèse délaisse donc les théories sur la mélancolie se rapportant aux humeurs et à la psychanalyse, afin de repositionner celle-ci dans un créneau shakespearien, comique, et historique, où le mot « mélancolie » évoque maintes définitions sur un plan social, scientifique, et surtout théâtrale. Suite à un bref aperçu de sa prévalence en Angleterre durant la Renaissance lors de mon introduction, les chapitres suivants démontrent la surabondance de mélancolie dans les comédies de Shakespeare. A priori, j’explore les façons par lesquelles elle est développée au travers de La Comedie des Erreurs et Peines d’Amour Perdues. Les efforts infructueux des deux pièces à se débarrasser de leur mélancolie par l’entremise de couplage hétérosexuels indique le malaise que celle-ci transmet au style comique de Shakespere et ce, dès ces premiers efforts de la sorte. Le troisième chapitre soutient que Beaucoup de Bruit pour Rien et Le Marchand de Venise offrent des exemples parangons du phénomène par lequel des personnages mélancoliques refusent de tempérer leurs comportements afin de se joindre aux célébrations qui clouent chaque pièce. La mélancolie que l’on retrouve ici génère une ambiguïté émotionnelle qui complique sa présence au sein du genre comique. Le chapitre suivant identifie Comme il vous plaira et La Nuit des Rois comme l’apogée du traitement comique de la mélancolie entrepris par Shakespeare. Je suggère que ces pièces démontrent l’instant où les caractérisations corporelles de la mélancolie ne sont plus de mise pour le style dramatique vers lequel Shakespeare se tourne progressivement. Le dernier chapitre analyse donc Périclès, prince de Tyr et Le Conte d’Hiver afin de démontrer que, dans la dernière phase de sa carrière théâtrale, Shakespeare a recours aux taxonomies comiques élucidées ultérieurement afin de créer une mélancolie spectrale qui s’attardent au-delà des pièces qu’elle hante. Cette caractérisation se rapporte aux principes de l’art impressionniste, puisqu’elle promeut l’abandon de la précision au niveau du texte pour favoriser les réponses émotionnelles que les pièces véhiculent. Finalement, ma conclusion démontre que Les Deux Nobles Cousins représente la culmination du développement de la mélancolie dans les comédies de Shakespeare, où l’incarnation spectrale du chapitre précèdent atteint son paroxysme. La nature collaborative de la pièce suggère également un certain rituel transitif entre la mélancolie dite Shakespearienne et celle développée par John Fletcher à l’intérieure de la même pièce.

Melancholy and power, knowledge and propaganda : discussing the contribution of the bologna process to higher education research in Europe. 'Melancolía y poder, conocimiento y propaganda : discutiendo la contribución del proceso de Bolonia sobre la investigación en enseñanza superior en Europa'.

Resumen tomado de la publicación. Monográfico con el título: El proceso de Bolonia : dinámicas y desafíos de la enseñanza superior en Europa a comienzos de una nueva época

When fathers murder sons: male melancholy in Dostoyevsky, Mailer and Murakami

 This thesis identifies what is unique about male melancholia as represented in literary texts from the nineteenth century to the present. It argues that male melancholia is written into western civilisation and sustained as a necessity for social order and that it involves male violence towards its male offspring by the father.

A treatise of the spleen and vapours, or Hypocondriacal and hysterical affections : with three discourses on the nature and cure of the cholik, melancholy, and palsies /

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Memoir and poetical remains of Henry Kirke White; also Melancholy hours.

Introduction. - Account of the life of Henry kirke White, by Robert Southey. - Clifton Grove and other poems. - Poems of a later date. - Poems of various dates. - Fragments. - Melancholy hours. - Tributary verses.

The melancholy tale of "me"; my remembrances,

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The anatomy of melancholy : what it is, with all the kinds, causes, symptomes, prognostics, and several cures of it : in three partitions. With yheir several sections, members, and subsections, philosophically, medicinally, historically opened and cut up. /

Added engraved t.-p.

The anatomy of melancholy, what it is, with all the kinds, causes, symptoms, prognostics, and several cures of it. In three partitions: with their several sections, members, and subsections, philosophically, medicinally, historically opened and cut up.

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