973 resultados para Marriage (Islamic law)
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Reflecting on the legal consequences of globalisation in the 21st century, Twining predicted that societies in the West would have to 'wrestle with the extent to which the state should recognise, make concessions to, or even enforce norms and values embedded in different religions, cultures or traditions'. This is borne out as the direction across the common law world moves towards entrenching legal pluralism. The concessions each nation has made to minorities with different religions, cultures and traditions have varied. The special character of Islam, as a comprehensive blueprint for life in which law and religion unite, has meant that the negotiations for a special place for Muslims within each common law jurisdiction has been at the forefront of new legal ordering possibilities. This is the crux of the pluralism debate. Cautiously, Australians have watched the, at times histrionic, discourse in Canada and Great Britain on official recognition for Islamic law.
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The relationship between Islamic Law and other legal systems (basically western type domestic legal orders and international law) is often thought of in terms of compatibility or incompatibility. Concerning certain subject matters of choice, the compatibility of Islamic (legal) principles with the values embedded in legal systems that are regarded as characteristic of the Modern Age is tested by sets of questions: is democracy possible in Islam? Does Islam recognize human rights and are those rights equivalent to a more universal conception? Does Islam recognize or condone more extreme acts of violence and does it justify violence differently? Etc. Such questions and many more presuppose the existence of an ensemble of rules or principles which, as any other set of rules and principles, purport to regulate social behavior. This ensemble is generically referred to as Islamic Law. However, one set of questions is usually left unanswered: is Islamic Law a legal system? If it is a legal system, what are its specific characteristics? How does it work? Where does it apply? It is this paper`s argument that the relationship between Islamic Law and domestic and international law can only be understood if looked upon as a relationship between distinct legal systems or legal orders.
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Incldes bibliography.
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li-Maḥmūd Afandī al-Ḥamzāwī.
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Title from f. 1r.
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With: Hādhihi al-Fatāwá lil-ʻAllāmah al-Shaykh Muḥammad al-Khalīlī al-Maqdisī al-Shāfiʻī (ff. 4v-39r).
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Microfilm.
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Infertility is a social onus for women in Iran, who are expected to produce children early within marriage. With its estimated 1.5 million infertile couples, Iran is the only Muslim country in which assisted reproductive technologies (ARTs) using donor gametes and embryos have been legitimized by religious authorities and passed into law. Th is has placed Iran, a Shia-dominant country, in a unique position vis-à-vis the Sunni Islamic world, where all forms of gamete donation are strictly prohibited. In this article, we first examine the “Iranian ART revolution” that has allowed donor technologies to be admitted as a form of assisted reproduction. Then we examine the response of Iranian women to their infertility and the profound social pressures they face. We argue that the experience of infertility and its treatment are mediated by women’s socioeconomic position within Iranian society. Many women lack economic access to in vitro fertilization (IVF) technologies and fear the moral consequences of gamete donation. Thus, the benefits of the Iranian ART revolution are mixed: although many Iranian women have been able to overcome their infertility through ARTs, not all women’s lives are improved by these technologies.
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Mode of access: Internet.
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This article explores the influence of cultural and religious beliefs and laws on how individuals make decisions about asset distribution through wills, drawing on a case study of Islamic will makers. Findings highlight diversity in beliefs and practices within Australian Islamic communities. When drafting a will people from culturally diverse backgrounds need to accommodate their religious and cultural values and local law. Implications of research findings for legal policy and practice in Australia are discussed.
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L’objectif de cette thèse est d’analyser et de comprendre la dynamique de la controverse autour de l’adoption en 2009 du code des personnes et de la famille au Mali. Elle s’intéresse particulièrement aux principaux enjeux, c'est-à-dire aux questions à l’origine de cette controverse ainsi qu’aux stratégies mises en place par les différents acteurs sociaux (les organisations islamiques et leurs alliés, d’une part, et d’autre part, les organisations féminines et les leurs) afin d’infléchir le processus. En plus du pourquoi et du comment de cette controverse, notre recherche visait à comprendre le bilan du processus tiré par les acteurs eux-mêmes, le sentiment qui les anime à l’issu de ce long processus, leur appréciation de leur expérience, et leur vision de l’avenir. Pour étudier cette problématique, nous avons choisi l’approche de l’action collective protestataire, laquelle s’inspire à la fois des théories de l’action collective, et de celles des mouvements sociaux et des dynamiques contestataires. Afin d’analyser les enjeux au cœur de cette controverse, les stratégies utilisées par les acteurs ainsi que leur bilan du processus, nous avons opté pour une démarche qualitative. En plus de la littérature grise, des articles de presse, documents audio et audiovisuels sur le sujet, notre travail de terrain de quatre mois dans la capitale malienne nous a permis de réaliser plusieurs entrevues auprès des acteurs impliqués dans ce processus. S’étendant de 1996 à 2011, soit seize ans, l’élaboration du code des personnes et de la famille au Mali fut un processus long, complexe, inhabituel et controversé. Les résultats de notre recherche révèlent que plusieurs enjeux, notamment sociaux, étaient au cœur de cette controverse : le «devoir d’obéissance » de la femme à son mari, la légalisation du mariage religieux, l’« égalité » entre fille et garçon en matière d’héritage et de succession et la reconnaissance de l’enfant naturel ont été les questions qui ont suscité le plus de débats. Si durant tout le processus, les questions relatives à l’égalité de genre, au respect des droits de la femme et de l’enfant, étaient les arguments défendus par les organisations féminines et leurs alliés, celles relatives au respect des valeurs religieuses (islamiques), sociétales ou socioculturelles maliennes étaient, par contre, mises de l’avant par les organisations islamiques et leurs alliés. Ainsi, si le discours des OSC féminines portait essentiellement sur le « respect de l’égalité des sexes » conformément aux engagements internationaux signés par le Mali, celui des OSC islamiques s’est, en revanche, centré sur le « respect des valeurs islamiques et socioculturelles » du Mali. Quant aux canaux de communication, les OSC féminines se sont focalisées sur les canaux classiques comme la presse, les radios, les conférences, entre autres. Les OSC islamiques ont également utilisé ces canaux, mais elles se sont distinguées des OSC féminines en utilisant aussi les prêches. Organisés généralement dans les mosquées et autres espaces désignés à cet effet, ces prêches ont consacré la victoire des OSC islamiques. Les radios islamiques ont joué elles aussi un rôle important dans la transmission de leurs messages. Pour ce qui est des stratégies d’actions, l’action collective qui a changé la donne en faveur des OSC islamiques (renvoi du code en seconde lecture, prise en compte de leurs idées), a été le meeting du 22 août 2009 à Bamako, précédé de marches de protestation dans la capitale nationale et toutes les capitales régionales du pays. Quant aux OSC féminines, elles n’ont mené que quelques actions classiques (ou habituelle) comme les pétitions, le plaidoyer-lobbying, les conférences-débats, au point que certains observateurs ont parlé de « stratégie d’inaction » chez elles. L’analyse a également révélé l’utilisation de stratégies inusitées de menaces et d’intimidation par certains acteurs du camp des OSC islamiques à l’endroit des partisans du code. Si chaque groupe d’acteurs a noué des alliances avec des acteurs locaux, les OSC féminines sont les seules à reconnaitre des alliances avec les acteurs extérieurs. Aujourd’hui, si la plupart des membres des OSC islamiques ne cachent pas leur satisfaction face à leur « victoire » et se présentent en « sauveur de la nation malienne », la plupart des membres des OSC féminines se disent, quant à elles, très « déçues » et « indignées » face à l’adoption du code actuel. Elles ne comprennent pas pourquoi d’un « code progressiste », le Mali s’est retrouvé avec un « code rétrograde et discriminatoire » envers les femmes. La thèse confirme non seulement la difficile conciliation entre droit coutumier, loi islamique et droit « moderne », mais également l’idée que le droit demeure l’expression des rapports de pouvoir et de domination. Enfin, notre recherche confirme la désormais incontournable influence des acteurs religieux sur le processus d’élaboration des politiques publiques au Mali.