995 resultados para Marcel Duchamp, period room


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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Dans cette thèse, nous étudions la period room présentée dans le musée d’art. À travers un examen de sa spécificité matérielle, spatiale et temporelle, nous analysons les mécanismes propres à cette stratégie de mise en exposition et nous identifions ses principales conditions de possibilité. Ce faisant, nous étudions les différents savoirs qui sont sollicités par la period room, leurs interactions ainsi que l’apport réciproque de cette stratégie de mise en exposition à la construction de ces savoirs et ce, de manière à établir les fondements d’une épistémologie de la period room. Nous montrons ainsi quelle est sa contribution particulière à l’élaboration et à la médiation de l’histoire dans l’espace muséal. Grâce à cette étude, nous posons des assises conceptuelles qui permettent de repenser le rôle de la period room pour la discipline de l’histoire de l’art, déjouant par le fait même les apories de l’historicisme et de l’authenticité en vertu desquelles la period room est le plus souvent discréditée. Nous procédons par études de cas à partir d’un corpus principalement composé de period rooms ayant pour référents des intérieurs français de la seconde moitié du 18ième siècle et qui sont présentées dans des musées d’art américains (Frick Collection, Metropolitan Museum of Art, Philadelphia Museum of Art) et dans un musée canadien d’histoire naturelle et culturelle (Royal Ontario Museum). Dans la première partie de la thèse, nous établissons la typologie muséographique de la period room et nous envisageons les enjeux, notamment idéologiques, associés à la question de son « authenticité » à travers une analyse de son double statut de pastiche et de simulacre. Nous posons en outre l’un des fondements théoriques de notre étude en montrant que, parce qu’elle est formée de l’articulation entre pouvoirs et savoirs, la period room est un dispositif au sens où l’entendent Michel Foucault (1977) et Giorgio Agamben (2007). Dans la seconde partie, nous examinons la spécificité matérielle de la period room en démontrant comment elle est simultanément une réunion d’objets et un « tout », c’est-à-dire un objet muséographique en elle-même. Nous étudions les implications épistémologiques de cette idée pour la représentation de l’histoire proposée au moyen de la period room, tout en portant une attention particulière aux enjeux politiques qui informent cette représentation dans l’espace muséal. Dans la troisième partie, nous nous concentrons sur les particularités spatiales et temporelles de cette stratégie de mise en exposition et nous démontrons que, en dépit de son apparente unité de lieu et de temps, la period room est composée de plusieurs espaces et concentre plusieurs temps. En puisant dans la spécificité même de ce dispositif, nous élaborons des outils théoriques et méthodologiques inédits qui contribuent à repenser la fonction de la period room pour la mise en forme et la transmission de l’histoire. En conclusion, nous présentons une dernière étude de cas qui, examinant l’intervention de Valerie Hegarty dans trois period rooms du Brooklyn Museum (2013), synthétise les principaux enjeux traités dans la thèse et défend la valeur d’actualité de la period room.

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Nesta dissertação discutimos os movimentos em torno da temática da apropriação evidenciando o deslocamento do objeto de uso comum para o campo da arte em três movimentos paradigmáticos: o Dadaísmo, o Surrealismo e o Novo Realismo, e seus desdobramentos na arte contemporânea no sentido de legado cultural. Permitimo-nos transitar pelas demais vertentes dos processos de apropriação na arte nova-iorquina e europeia seguindo as propostas da arte com objetos. Investigamos os processos envolvidos nas controvérsias do ready-made, executado por Marcel Duchamp desde 1913, para dar partida ao percurso histórico das manifestações onde ocorre o objet trouvé, a colagem e a assemblagem. Nosso objetivo é responder à pergunta com a qual o filósofo Arthur C. Danto inicia suas investigações filosóficas acerca das apropriações e condições que fazem de um objeto comum uma obra de arte. Para tanto buscamos as teorias de Abrahan Moles e Jean Baudrillard acerca do objeto industrializado e Roland Barthes com as questões metalingüísticas de sua função-signo. Para discutir tais relações da arte com os objetos, recorremos aos textos de Peter Bürger, André Breton, Pierre Restany, Gregory Battcock, Walter Benjamin, Hal Foster e outros. Destacamos alguns trabalhos artísticos, evidenciando o objeto caixa, tratado como um utilitário com forma e finalidade definidas, reafirmando-se como objeto de consumo, no discurso sobre a poética do espaço de Gaston Bachelard. A pesquisa propõe analisar as transformações radicais das estruturas conservadoras da arte e especular sobre o gesto de apropriação dos objetos, com algumas reflexões direcionadas sobre o objeto e a transgressividade da apropriação como experiência de tensão e poder.

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L’alchimie, science de la manipulation des influences spirituelles par une métallurgie sacrée, et la pataphysique, esthétique pseudo-scientifique associant l'ésotérisme à l'humour, sont les deux principaux fondements idéologiques qui unissent Marcel Duchamp et Roberto Matta. Tandis que Duchamp s'intéresse déjà à l'ésotérisme dès 1910, soit près d'une vingtaine d'années avant sa rencontre avec Matta. Ce dernier aborde, dans sa production, des thèmes propres à la littérature alchimique, soit les opérations occultes, les états merveilleux de la matière et les appareils de laboratoire. De plus, les écrivains symbolistes et pseudo-scientifiques, lus par Duchamp, puis par Matta, influencent l'humour pataphysique, teinté d'ésotérisme, qui s'exprime dans la production de ces deux artistes. Ainsi, Les Célibataires, vingt ans plus tard, est une huile sur toile, réalisée en 1943, par Roberto Matta, qui représente un paysage cosmique, composé d'astres et de trous noirs, de trois alambics et d'une grande machine noire. Dans cette œuvre, Matta réinterprète très librement certains éléments du Grand verre, une peinture sur verre de Marcel Duchamp, laissée inachevée en 1923. Le présent mémoire de maîtrise étudie l'influence de l'alchimie et de l'iconographie duchampienne sur Les Célibataires, vingt ans plus tard. Dans un premier temps, cette étude vise à mettre en exergue et à examiner les influences alchimiques et pataphysiques dans l'œuvre de Matta. Dans un deuxième temps, notre mémoire vise à démontrer comment l'œuvre de Matta s'intègre dans le projet surréaliste de création d'un mythe nouveau, dans la continuité du projet duchampien.

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L’effondrement des repères artistiques (que plusieurs associent aux premiers ready-made de Marcel Duchamp) dévoile les symptômes d’une crise de l’art. Comme l’histoire de l’art est en quelque sorte la représentation de ce que nous sommes, on peut raisonnablement penser que la crise s’étend bien au-delà de l’art. Toutefois, l’art possède un éclairage puissant, car il illustre, littéralement, plusieurs problèmes notamment au niveau du jugement et de la raison. Faute de repères, le monde contemporain manquerait-il de discernement ? Cette question est tout à fait légitime dans le contexte actuel où tout et n’importe quoi semblent pouvoir être élevés au rang de l’Art. Le culte que l’on voue à l’individu paraît être l’une des causes du problème. On observe qu’en régime de singularité (pour reprendre l’expression de la sociologue de l’art, Nathalie Heinich) les relations du monde de l’art sont de plus en plus conflictuelles : lorsqu’on demande à un artiste de justifier son propre travail, la rationalité devient nécessairement instrumentale ; on rend également caduc le rôle du critique et des institutions. Ce mémoire s’intéresse à analyser, dans une perspective philosophique, les différentes manifestations de la crise de l’art et ses enjeux dans le monde actuel.

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In the ‘Object as Subject’ exhibition held at the Stephen Lawrence Gallery, Greenwich University, myself and two other artists showed work which explores the use of the ‘found object’ in their respective practices. My work was selected by the gallery curator David Waterworth. The work exhibited by me, two multi-media pieces and two films, continues my (practice as research) investigation into using everyday objects as starting points for creating work in a variety of mediums including: sculpture, films, installations and multiples. In this work I address a range of subject matters – philosophical, social and cultural. The history of the use of found object in art began in early 20th century European art when Marcel Duchamp and Pablo Picasso independently introduced everyday objects into their practice. My work continues this research.

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Pós-graduação em Artes - IA

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From Marcel Duchamp’s readymade, tried to establish a historical overview with emphasis on the possible affinities between art and design from modernity, seeking to end weave such a reflection on the contemporary condition.

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Este trabajo estudia, de la manera más rigurosa posible, las relaciones entre las distintas artes practicadas por Enric Miralles y la influencia de estas sobre su arquitectura. Las obras artísticas realizadas por este arquitecto son analizadas y posteriormente contrastadas paralelamente a sus mecanismos de crear arquitectura. Desde un principio se pone en evidencia a través de la búsqueda de información la existencia de un amplio material artístico perteneciente al legado de este arquitecto. En algunas ocasiones sus obras están vinculadas directamente a su arquitectura y en otras, son un simple mecanismo de acercamiento a la representación de la realidad. Enric Miralles toma numerosas influencias artísticas, literarias y arquitectónicas que condicionan su manera de trabajar. Gracias a estas influencias es posible entender ciertas convicciones y maneras de hacer de este arquitecto. George Perec, Raymond Queneau, Federico García Lorca, Le Corbusier, Josep María Jujol, Marcel Duchamp, Paul Klee, David Hockney o Erik Satie, son algunos de sus principales referentes sobre los que fundamentó una manera de trabajar propia y personal. A partir de estos autores evolucionó su forma pensamiento y generó un método de trabajo que dio lugar a un lenguaje propio en la arquitectura. La evolución en la forma de realizar sus dibujos, pinturas, collages, esculturas... afectó directamente a su forma de proyectar en sus diferentes etapas, transformando a su vez su manera de representar la realidad. El trabajo comienza con la obra artística de Enric Miralles estableciendo tres categorías; pintura, escultura y collages. Posteriormente cada una de sus obras se divide atendiendo a la técnica de ejecución. Tras el conocimiento de la técnica, se establece una conclusión estudiando la manera, que tiene Enric Miralles, de trasladar las cualidades de estas obras, con intencionalidad artística, a la arquitectura.

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En 1938 surge en la escena académica un nuevo hombre –el homo ludens–, que llega de la mano del historiador Johan Huizinga. Ante el inminente aumento del tiempo libre, a partir de la disminución de la jornada de trabajo por una creciente automatización de la industria, el homo ludens viene a complementar el tiempo de trabajo ocupado desde la Revolución Industrial por el homo faber. La validez y fuerza de la propuesta de Huizinga está basada en el Juego como generador de cultura y desde allí el estudio del comportamiento de la sociedad desde su aspecto lúdico. Aquí radica la fortaleza representativa del HOMO LUDENS para las vanguardias de posguerra, que se proponen incluirlo en sus debates culturales analíticos y propositivos. En la posguerra Europa vivía el triunfalismo de la guerra en medio de sociedades y ciudades ruinosas que necesitaban una urgente reconstrucción. Se oían otras realidades, tanto el ‘American way of life’ como “The Americans” (Robert Frank, 1958): la sociedad de la abundancia, el gusto popular, la inclusión de lo cotidiano y lo banal, la publicidad, los medios de comunicación de masas, el consumo, la reconversión de la industria bélica en doméstica, las telecomunicaciones, los robots, los nuevos materiales, la carrera espacial y la ciencia ficción. Inglaterra surge como natural vínculo social y cultural con Estados Unidos, convirtiéndose en catalizador de las ideas vanguardistas. Ese panorama efervescente, ‘los años pop’, surge como una realidad cultural que representaba la complejidad, el caos, y la fascinación de la imaginería de un futuro presente, ilustrado en las propuestas artísticas de la época. Surgían, tanto desde Estados Unidos como desde Europa, ideas novedosas sobre la utilización lúdica del tiempo libre, como forma de potenciar la naturaleza creativa del ser humano: el Independent Group, Charles y Ray Eames, el Black Mountain Collage, el Theatre of Action, The Factory, la Internacional Situacionista y la Generación Beat. Estos grupos de gran impacto cultural basaron sus acciones en la utilización del Juego en sus propuestas, esencialmente bajo la in¬ fluencia dadá y singularmente de Marcel Duchamp cuyas propuestas revolucionaron la historia del arte del siglo XX. Todos ellos exploraron permanentemente la unión del arte a la vida a través de experiencias lúdicas, sirviendo como motivadores de las propuestas arquitectónico-urbanísticas en estudio en esta investigación. Estas principales son: de Alison y Peter Smithson “Berlín Hauptstadt” (1957); de ARCHIGRAM “Plug-in city” (1963-1964) e Instant City (1968); de Yona Friedman “Arquitectura Móvil” (1957); de Cederic Price “Fun Palace” (1960-1961); y de Constant Nieuwenhuys “New Babylon” (1959-64). La investigación fue conducida por una búsqueda ‘flexible’ de conceptos, hechos, personajes y proyectos. Desde el análisis de los escritos, gráficos, estudios y trabajos realizados por los protagonistas de la vanguardia, así como de una lectura contextual de la época enriquecida e ilustrada con hechos significativos y anécdotas divertidas, se opera en simultaneidad con una multiplicidad de fuentes. Se maneja un gran volumen de información proveniente de áreas de conocimiento muy diferentes (filosofía, arte, arquitectura, antropología, sociología, sicología, etc.), trabajándose con un objeto de estudio ‘vivo’, abierto y en constante reorganización. Pretende además de comunicar sus dérives, como construcción de discursos históricos, estimular el planteamiento de nuevas derivas. A través de un proceso minucioso se buscaron las relaciones entre los conceptos de Juego teóricos elaborados por distintos pensadores a partir de Kant y Schiller, que tuvieran una clara relación con los procesos proyectuales de los Arquitectos de la vanguardia en estudio. Dos factores son claves: el carácter de seriedad del Juego y la decisión de situar la investigación en el lugar del juego-play (juego libre y sin reglas). Se concluye sobre la estrecha relación Arquitectura y Juego en la vanguardia estudiada, profundizando en: el acto creativo del proyectar como proceso lúdico –por parte del Arquitecto–; el desarrollo de un homo ludens destinatario/usuario; las nuevas herramientas disciplinares desarrolladas: soporte topológico, plug-in, fragmentación, flexibilidad, on-off, transportabilidad. Una nueva arquitectura lúdica desde la que se profundiza en los aportes disciplinares teóricos y prácticos bajo este enfoque: la Arquitectura desde el automovimiento, lo efímero, el fragmento, el azar e indeterminación, lo ficticio, el vacío.

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Si el siglo XX creó una extendida conciencia sobre las variantes de la intertextualidad en la ficción literaria, hoy enfrentamos transformaciones en la naturaleza de la ficción y sus relaciones con otras formas discursivas y/o creativas como el arte, y con la misma realidad, que es posible designar con el concepto de ficción extrema. Desde "Don Quijote" o "Las meninas" hay incursiones en la metaficción y/o autorrefecividad. Pero a partir de las vanguardias modernistas y de modo creciente en los estertores de la postmodernidad nos abocamos a un singular tipo de hipertextualidad que desbordando lo literario se apropia de prácticas artísticas (o lo contrario) como recurso para la transposición de sus ficciones, no sólo de uno a otro campo, sino para su inserción en la realidad: la ficción extrema. ^ Max Aub (España 1903-México 1973), Leonora Carrington (Inglaterra 1917-México 2011) y Enrique Vila-Matas (España 1958), radicalizaron este tránsito o filtración de los imaginarios artísticos y literarios subvirtiendo las delimitaciones entre —pintor catalán Jusep Torres Campalans, junto con sus obras pictóricas, creadas como sombra o doble de Picasso. Así insertó su existencia en ciertos dominios del cubismo como un modo de meta-crítica artística. Carrington asumió un doble animal que transitó entre cuentos y cuadros y se inscribió en la memoria del surrealismo. Vila-Matas narró su "Historia abreviada de la literatura portátil" como un doble del espectro Marcel Duchamp —a su vez asaltado por otros— que reescribe la memoria del dadaísmo de tal modo que ha llegado a ser confundida con un ensayo. La revisión de las estrategias de la ficción extrema en estos autores junto con las de otros contemplados en el epilogo —Mario Bellatín, y los artistas Liliana Porter, Luis Camnitzer, José Guillermo Castillo, Ana Tisconia, Rubén Torres Llorca y Carlos Amorales— arroja nueva luz sobre sus obras, enriquece los estudios transatlánticos y revela la movilidad y multiplicación de la identidad y los deslizamientos de la ficción en la realidad como signos de tránsito a la altermodernidad.^

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Si el siglo XX creó una extendida conciencia sobre las variantes de la intertextualidad en la ficción literaria, hoy enfrentamos transformaciones en la naturaleza de la ficción y sus relaciones con otras formas discursivas y/o creativas como el arte, y con la misma realidad, que es posible designar con el concepto de ficción extrema. Desde “Don Quijote” o “Las meninas” hay incursiones en la metaficción y/o autorrefecividad. Pero a partir de las vanguardias modernistas y de modo creciente en los estertores de la postmodernidad nos abocamos a un singular tipo de hipertextualidad que desbordando lo literario se apropia de prácticas artísticas (o lo contrario) como recurso para la transposición de sus ficciones, no sólo de uno a otro campo, sino para su inserción en la realidad: la ficción extrema. Max Aub (España 1903-México 1973), Leonora Carrington (Inglaterra 1917-México 2011) y Enrique Vila-Matas (España 1958), radicalizaron este tránsito o filtración de los imaginarios artísticos y literarios subvirtiendo las delimitaciones entre —pintor catalán Jusep Torres Campalans, junto con sus obras pictóricas, creadas como sombra o doble de Picasso. Así insertó su existencia en ciertos dominios del cubismo como un modo de meta-crítica artística. Carrington asumió un doble animal que transitó entre cuentos y cuadros y se inscribió en la memoria del surrealismo. Vila-Matas narró su “Historia abreviada de la literatura portátil” como un doble del espectro Marcel Duchamp —a su vez asaltado por otros— que reescribe la memoria del dadaísmo de tal modo que ha llegado a ser confundida con un ensayo. La revisión de las estrategias de la ficción extrema en estos autores junto con las de otros contemplados en el epilogo —Mario Bellatín, y los artistas Liliana Porter, Luis Camnitzer, José Guillermo Castillo, Ana Tisconia, Rubén Torres Llorca y Carlos Amorales— arroja nueva luz sobre sus obras, enriquece los estudios transatlánticos y revela la movilidad y multiplicación de la identidad y los deslizamientos de la ficción en la realidad como signos de tránsito a la altermodernidad.