907 resultados para Magical realism


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Jewish magical realism is often associated immediately with the historical trauma of the Holocaust. This article sets out to point to some of the problems and limitations such an interpretive approach may bring. After a reconsideration of the allegedly inherent subversive qualities of the mode and a discussion of its frequent association with trauma narratives, especially in the case of Jewish texts engaging with the Holocaust, the discussion will focus on two examples, Michael Chabon’s The Amazing Adventures of Kavalier & Clay (2000) and Jonathan Safran Foer’s Everything Is Illuminated (2002). The aim throughout is to caution against rashly reproducing familiar interpretive maneuvers, which may be in need of reassessment in face of recent fictions like the ones under discussion in this article.

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Three experiments explore the hypothesis that due to linguistic and cultural factors, metaphor usage – or thinking in terms of what something is like – differs across cultures. In Experiment 1, a lexical decision task supported the hypothesis that perception of what something is like tends to be faster and more automatic in Latino participants than in Anglo participants. In Experiment 2, Anglo participants were less able to solve a problem framed metaphorically than Latino participants were. To ensure that a preference for metaphor is not applicable to all bilingual populations, we included bilingual Asian participants in Experiment 3. In this study, Latino participants rated arguments presented with metaphors as more persuasive than arguments that did not have metaphors, while the opposite pattern was found in Anglo and Asian participants. The findings from these three studies provide support for the hypothesis that the Latino preference for metaphor is real and pervasive. Implications in the domains of education and public health interventions are briefly noted.

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A obra romanesca de Mia Couto é o objeto da investigação desta tese, ponto de partida para tentar compreender a contribuição do autor na afirmação do romance africano e na reconstrução da identidade de seu país, Moçambique. Para tanto, o estudo discute a importância da revelação de uma paisagem oculta ao leitor, de matriz cultural e complexo entendimento. O capítulo que traz esta análise mostra como a obra retrata as condições históricas e políticas de dominação, desigualdade, identificando aqui e lá um tom levemente engajado na escrita miacoutiana, tanto quanto suas posições ideológicas, suas denúncias. Entre os temas mais destacados na obra está o animismo africano que dá origem a uma série de circunstâncias sobrenaturais nos enredos, como uma lembrança constante: em África, os espíritos estão por toda a parte, mantendo intensa relação com os vivos. Em torno da questão, a tese discute o fato de parte da crítica classificar a obra por gêneros como o Realismo Mágico, o Maravilhoso e o Fantástico. Também são investigadas as estratégias narrativas deste autor, suas opções regulares na composição de enredos, personagens, nomes de personagens e epígrafes. Com base nessas marcas e em outros traços comuns a todos os seus romances talvez presentes igualmente em seus contos descobre-se a adequação entre a criação de um sistema de pensamento dicotômico, que atravessa a obra, e estruturas frasais que revelam algo significativo: os romances de Mia Couto são propositivos, especialmente quando convidam o leitor ao movimento constante de questionamento de suas próprias certezas

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Héritière de la tradition fantastique borgésienne, imprégnée d’une réalité composée de mythes précolombiens et des résidus industriels de la modernité, et développée à l’ère de la mondialisation, du post-modernisme, des jeux vidéos, du cinéma numérique et d’animation, la tendance cyberpunk latino-américaine est cultivée du Mexique jusqu’en Argentine, en passant par Cuba et d’autres pays souvent méconnus dans le monde de la science-fiction comme le Paraguay et la Bolivie. Pressenti dans les œuvres de certains écrivains canoniques comme Ricardo Piglia, Carmen Boullosa ou Edmundo Paz-Soldán, le cyberpunk se manifeste avec force dans l’écriture de jeunes artistes interdisciplinaires et de collaborateurs assidus des fanzines. Cette adaptation du sous-genre dans un continent où la référence reste encore le réel merveilleux et le réalisme magique, malgré l’apport des générations plus récentes comme celle de « McOndo » ou celle du « Crack », essaie d’élaborer une série de réponses aux questions issues de la conjoncture historique et artistique dans laquelle nous vivons : comment situer l’identité latino-américaine dans la nouvelle cartographie culturelle mondiale à travers une littérature qui cherche à se renouveler par rapport au canon littéraire et à la marginalité de son propre genre? Quelles sont les stratégies d’assimilation et de résistance qu’adoptent des jeunes auteurs latino-américains devant le cyberpunk anglo-américain littéraire et cinématographique? Peut-on parler d’un impact esthétique et philosophique du cyberpunk sur la culture latino-américaine, perçue habituellement comme une consommatrice passive de ces produits culturels et non comme une productrice? Ce travail cherche à parcourir l’ensemble de ces questions à partir d’une réflexion sur les principaux dispositifs constitutifs du cyberpunk – la dystopie et la virtualité – dans les discours (post)identitaires en Amérique Latine. Représentation presque mimétique de l’espace socioculturel et historique latino-américain à travers la violence et la répression politique, militaire, ethnique ou sexuelle, la dystopie est un moyen d’articuler certaines figures spatiales aux mythes nationaux et à la politique identitaire dans le contexte de la mondialisation. Cette dernière réalité socioculturelle, ainsi que l’idéologie esthétique que véhicule celle-ci à travers le cyberpunk, crée un conflit avec ces discours identitaires nationaux, conflit qui est accentué ou dissous par la représentation de la réalité virtuelle. La réalité virtuelle, comprise ici comme la direction que le récit prend pour défaire ou consolider la figure dystopique, mène à réfléchir également sur les enjeux de la (post)identité. Penser à une (post)identité (en gardant bien à l’esprit cette parenthèse) à travers le cyberpunk signifie poser une question sur la résistance au passé identitaire des mythes nationaux, au présent de la mondialisation culturelle, et aux discours post-humanistes qui semblent marquer le futur. À l’appui de travaux sur la dystopie et la réalité virtuelle dans le cyberpunk anglo-américain, ainsi que des études culturelles latino-américaines, je parcourrai un corpus composé des romans écrits entre 1990 et 2005. Ce corpus comprendra La Primera Calle de la Soledad (1993) de Gerardo Horacio Porcayo, Santa Clara Poltergeist (1991) de Fausto Fawcett, Ygdrasil (2005) de Jorge Baradit, et les films argentins No muera sin decirme adónde vas (1992) d’Eliseo Subiela et La sonámbula (1998) de Fernando Spiner. Dans ces oeuvres, la dystopie se configure aux possibilités narratives de la virtualité et traverse des thématiques identitaires comme les mythes sexuels et nationaux, la mémoire et le traumatisme ainsi que les projets utopiques des minorités.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Ce travail se propose de démontrer la pertinence de l’utilisation du roman La Cité des Bêtes (Isabel Allende, 2002) comme recours pédagogique dans l’enseignement de l’espagnol langue étrangère (ELE) au niveau intermédiaire (B2) et dans un contexte scolaire multiculturel. Dans ce cadre, l’enseignement d’une langue étrangère vise à l’acquisition linguistique et à l’exploration d’une culture différente afin de favoriser la découverte des valeurs de l’autre et son intégration critique, attitude indispensable en vue du développement identitaire de l’individu au sein de sociétés exposées de l’intérieur et de l’extérieur au contact entre cultures. Le roman sélectionné facilite l’accès à des thématiques interdisciplinaires au sein des programmes collégiaux du Québec et encourage une attitude d’ouverture par rapport à la découverte d’autres cultures et valeurs, dans une perspective de disponibilité au questionnement des certitudes culturelles de l’étudiant, conformément aux positions des études interculturelles contemporaines. L’appartenance de l’œuvre au courant littéraire du Réalisme magique permet aussi d’introduire l’exploration de thématiques culturelles spécifiques au monde hispanique. Après un survol de la place de l’interculturalité et de l’interdisciplinarité dans l’enseignement d’ELE, le mémoire analyse la contribution spécifique du roman sélectionné à ces dimensions, pour ensuite procéder à la présentation d’exercices orientés à la pratique et la consolidation de la connaissance grammaticale et du vocabulaire, et au développement d’une sensibilité interculturelle dans les étudiants, à travers des activités individuelles et de groupe élaborées à partir des perspectives du texte.

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Dans la première partie du présent mémoire, l’essai Entre poésie, réalisme magique et postmodernisme : Madman Claro, je tente d’abord de définir les concepts du réalisme magique, de la littérature postmoderne et de la « mi-fiction » (qui englobe peut-être les deux premiers) afin de situer l’oeuvre de l’écrivain et traducteur français Claro au sein du spectre réflexif-mimétique que je propose. Je décris ensuite sa vision de l’écriture et de la littérature avant d’analyser la dissolution des personnages principaux du roman CosmoZ entraînée par le mauvais traitement qu’ils reçoivent aux mains des médecins et du Magicien d’Oz. J’essaie de montrer en quoi ces devenirs-autres sont liés au début et à la fin du monde (qui, lui, ne cesse de recommencer) dans cet ouvrage fabuleusement réaliste où Claro rend des personnages fictifs réels et les fait vivre des aventures rocambolesques et tragiques au début du XXe siècle en Europe et en Amérique. La deuxième partie du mémoire, intitulée Les Fleurs compliquées, est un recueil de nouvelles surréalistes qui demeurent toutefois ancrées dans le monde contemporain et qui mettent parfois en scène des versions diffractées de figures réelles. Alors que le premier récit mêle des contraintes formelles à des questions ontologiques et généalogiques, la deuxième nouvelle, davantage marquée par l’oralité, porte sur une expérience extracorporelle dans une boîte de nuit montréalaise. S’ensuit alors une version satirique et cauchemardesque de la désastreuse tournée 777 de la chanteuse Rihanna, rebaptisée La Reina, qui culmine en un combat inspiré des légendes amérindiennes. La dernière nouvelle comporte six courtes parties enchâssées racontant un même récit de façon non linéaire. Globalement, je vise une certaine saturation baroque : le travail sur l’image, les élans imaginatifs débridés et le rythme jouent donc un rôle important dans ces récits. Sur le plan thématique, je consacre autant mon attention aux silences éloquents du quotidien qu’au legs du colonialisme occidental sur la culture populaire d’aujourd’hui, le tout présenté d’un point de vue féministe et volontairement « ex-centrique ». Enfin, j’essaie, sur un fond d’humour tirant sur le noir, d’accorder une place aux voix marginalisées tout en évitant l’écueil du sentimentalisme et du moralisme sermonneur.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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This article retraces the “genealogy” of the fideist perspective in philosophy as well as literature, especially within the writings of Søren Kierkegaard and the novel Don Quixote. It contends that a demythologized perspective of the fideist-humanist sort, based upon Erasmian tolerance and intellectual creativity and updated with the insights of post-analytic theory (e.g., the work of Alasdair MacIntyre, Richard Rorty, and Jeffrey Stout), without revoking the vocabulary of transcendence, can reinforce the weathered but still valuable post-Enlightenment moral vocabulary, and can reiterate the humaneness of liberal hope without undue encumbrance from the dogmatic baggage of traditional theological jargon and metaphysics.

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Alexander von Humboldt (1769–1859) was a world traveler, bestselling writer, and versatile researcher, a European salon sensation, and global celebrity. Yet the enormous literary echo he generated has remained largely unexplored. Humboldt inspired generations of authors, from Goethe and Byron to Enzensberger and García Márquez, to reflect on cultural difference, colonial ideology, and the relation between aesthetics and science. This collection of one-hundred texts features tales of adventure, travel reports, novellas, memoirs, letters, poetry, drama, screenplays, and even comics—many for the first time in English. The selection covers the foundational myths and magical realism of Latin America, the intellectual independence of Emerson, Thoreau, Poe, and Whitman in the United States, discourses in Imperial, Weimar, Nazi, East, and West Germany, as well as recent films and fiction. This documented source book addresses scholars in cultural and postcolonial studies as well as readers in history and comparative literature.

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Acercarse a las obras de José M. García de Paredes, y mirarlas como un conjunto de ideas que nos indican una manera de pensar y de hacer arquitectura, nos explica un ideario que persiste en el tiempo. Tomando prestado el término “explicar” en el sentido que Stravinski le da en su Poética musical1: desplegar, desarrollar, describir una cosa, descubrir y aclarar su génesis, se comprueban las relaciones que cosas aparentemente dispersas tienen entre si, cómo se originan las obras para saber cómo determinan la arquitectura, una vez que ésta tiene vida propia y uso, pasado el tiempo. El motivo de esta tesis se encuentra en el orden, análisis y estudio de su archivo, realizado a partir del año 1990. García de Paredes, titulado en Madrid, fue arquitecto entre 1950 y 1990 y se inició en la arquitectura en un tiempo tan complejo como el actual. No fue un teórico de la arquitectura, si bien conoció en profundidad su teoría y dejó escritos y reflexiones sobre la manera de abordar el proyecto. Quizás no fue un arquitecto radicalmente innovador y sus obras son silenciosas, aunque muchas encierran planteamientos rotundos que permanecen voluntariamente en penumbra. Sin embargo sus obras son nítidas, tienen el valor de la coherencia y son valiosas por el conocimiento y por los valores que transmiten. Han cumplido su objetivo y ahora son parte de los lugares para los que se construyeron y parte de la vida de las personas para las que se proyectaron. En gran medida, poseen ya la pátina del tiempo. Su obra, no muy extensa, aúna ideas necesarias para abordar la práctica del proyecto y para llegar a ese voluntario resultado final en el que la arquitectura sea, además de una expresión personal, una actividad social capaz de hacer mejor la vida de las personas. Mirar la arquitectura de García de Paredes a través del estudio de todas las cuestiones que intervienen en ella y convertir su conocimiento en un instrumento útil de trabajo en el proyecto, es el objetivo de esta tesis. Así se analizan determinadas obras para exponer temas de antes y de ahora, ideas que son a la vez antiguas y contemporáneas. Este ideario sobre la arquitectura de García de Paredes no pertenece sólo a un tiempo, pues la bella utilidad social de la arquitectura y cómo llegar a ella a través del conocimiento y de la economía intelectual, sigue vigente. Y este objetivo tiene claramente una segunda lectura, pues al poner en valor el ideario de su obra, la presente tesis constituye tanto un homenaje como un agradecimiento al arquitecto. Sintetizar este ideario ha necesitado tanto del tiempo para organizar un archivo como de la práctica de la arquitectura para constatarlo. Durante una década, entre 1981 y 1990, trabajé en el estudio de José M. García de Paredes, con la mirada enfocada hacia los proyectos que entonces se desarrollaban en su estudio. En esos años, la música y las secciones de las salas de concierto llenaban las mesas de dibujo. En 1990, tras su inesperada marcha, me encontré con un legado de documentos que constituyen un fragmento de la arquitectura contemporánea española, que encierran la explicación de proyectos y planteamientos que son respuesta clara a la realidad de su momento. La preparación entonces de la documentación para las tres monografías sobre su obra me llevó a ordenar, clasificar y a documentar los fondos del estudio de manera sistemática y cronológicamente. Los documentos, conservados en archivadores y tubos sin numerar, desvelaban una obra en un momento en el cual el escenario de fondo del debate sobre arquitectura era ético. De manera casi artesanal y próximo de un grupo coherente de arquitectos, algunos vinculados también a las artes plásticas, García de Paredes utiliza los medios materiales a su alcance, interpretando la realidad de una forma personal, alejada de la frialdad del movimiento moderno estricto, con una voluntad de mejorarla y de prescindir de todo aquello que no fuera necesario. Las obras dan respuesta a esa realidad de tal manera que la transforman, como si de un “mágico realismo” se tratara. Estos documentos con olor a antiguo, más que narrar una historia, explican la manera en que se ha hecho esa historia, cómo las biografías y los acontecimientos se entrelazan para llegar al conocido resultado final. Y de un primer análisis, disponiéndolos a la vista de un mismo tiempo, va surgiendo otro interés que no es el de explicar su obra sino el de observar el proceso de trabajo de un arquitecto para desvelar un método de proyecto. Sobre el método de trabajo de un músico, Azorín se pregunta en su artículo “Vida imaginaria de Falla”: “Es fácil ver trabajar a un pintor, no es tan fácil ver enfrascado en su labor a un literato, aunque en las redacciones solamos ver cómo escribe un poeta que hace artículos para un periódico. ¿Pero cómo imaginamos a un músico en su tarea?. ¿Cómo escribe un músico?. ¿Es que siente de pronto un arrebato lírico y un poco desmelenado, los músicos deben llevar el pelo largo, se sienta al piano y comienza a tañer como una inspirada pitonisa?. ¿es que se levanta a media noche y, arrebatado por la inspiración y a la luz de la luna, si la hay, escribe febrilmente esas garrapatitas que vemos en los hilos telegráficos de la música?" Manuel de Falla en una carta le responde: “Nada de eso, mi querido amigo, mi trabajo de compositor no es tan misterioso como usted imagina: podría compararse al de un escritor que fuera a la vez arquitecto”. ¿Y cómo trabaja un arquitecto?. La complejidad del proceso arquitectónico nos presenta sin embargo resultados finales que sólo a través de una observación minuciosa permiten entrever el recorrido desde el pensamiento hasta la obra acabada. El escritor narra lo que ve o imagina y el arquitecto construye y da forma a esa realidad o a esos deseos y para ello debe mirar, escuchar y debe saber hacer. Analizar este proceso nos lleva inexorablemente a desvelar las claves que hacen valiosas determinadas arquitecturas. En junio de 1986 García de Paredes escribe el texto “Tres paisajes con arquitecturas”4. El texto describe tres paisajes culturales diferentes en distintos tiempos. El primero que describe es el Madrid neoclásico y el significado que tiene en este paisaje el Museo del Prado. El segundo paisaje se denomina “Alhambra versus Carlos V” y en él relata un delicado escenario donde se entrelazan distintas cuestiones relativas a la intervención en lugares históricos. En el tercer paisaje “Paisaje con Ruinas” tras describir las hermosas ruinas físicas del pasado concluye con una reflexión: “Hay ruinas y ruinas… Pero quizá no sean estas las verdaderas ruinas de nuestro tiempo. Qué clase de ruina producirá nuestra modesta arquitectura del siglo XX?. Nuestro legado no debería leerse en clave de piedras como las de otras épocas que no disponían de otro lenguaje que el de construir para los tiempos. Sin embargo es posible que surjan otras claves, quizá aún no bien conocidas, que sean para las generaciones futuras de tan clara lectura como la de este tercer Paisaje”. Encontrar esas claves contemporáneas, es el objeto de este paseo por las obras y escritos de García de Paredes. Mirar, suprimido el tiempo, los planos, dibujos, escritos, libros y fotografías del archivo del arquitecto, ordenando y comprendiendo los motivos que propiciaron cada obra, nos lleva a pensar que la arquitectura de cada momento es sólo un desplazamiento de los anteriores. Nada ahora es completamente distinto de lo que era entonces y la arquitectura de antes puede ser interpretada, más allá de aspectos formales, por otras generaciones, desdibujándose el tiempo donde pretendemos ordenarla. Este legado de claves conceptuales nos es útil ahora para conocer lo que permanece en la arquitectura pensando en cuestiones actuales a través de papeles antiguos. El legado de esa “modesta arquitectura” no se debe leer pues en clave de “piedras”, como expresaba García de Paredes. Gran parte de sus obras se construyen con materiales sencillos y la lectura de su valor no es directa. Sin embargo explican en qué momento la arquitectura pasa a ser un hecho capaz de transmitir intenciones ocultas y convertirse en una actividad social en sintonía con la realidad. Desvelar esta colección de ideas para enfocar cuestiones de arquitectura, en el convencimiento de que este ideario es tan válido hoy como entonces, nos acerca a ese utópico método de trabajo del arquitecto. En este ciclo abierto se han seleccionado determinadas obras que permiten plantear mejor las cuestiones que ilustran su razón de ser y así pues se suceden lugares y personas, números y geometrías, música, artes plásticas y arquitecturas. ABSTRACT Looking at the work of José M. García de Paredes as a set of ideas that outline a way of imagining and producing architecture, explains a vision that has persisted in time. Employing the word “explain” in the same sense as Stravinsky in his Poetics of Music: deploying, developing and describing something, discovering and clarifying its origins as a way of observing the relationships between things and the way designs originate in order to understand how they determine the architecture, once it has a life and use of its own after time has passed. This thesis is based on an analysis of the archives of José M. Garcia de Paredes, which began in 1990. After graduating from the Madrid School in 1950 —an equally complex time as today— he continued to practise architecture until 1990. He was not an architectural theorist but he had a deep understanding of theory and left essays and ideas on the way to tackle projects. Although he may not have been a radically innovative architect and his work may seem subdued, much of it embodies categorical approaches, which are deliberately overshadowed. Nevertheless, his work is sharp, consistent and is valuable for the knowledge and values it transmits. It has served its purpose, it now forms part of the places for which it was built and has become part of the lives of the people it was designed for. To a large extent, his buildings already show the patina of time. While not large in number, they bring together the ideas needed to put a project into practice and arrive at an end result in which the architecture is also a personal expression, a social activity that makes life better for people. The discourse takes a new look at the architecture of Garcia de Paredes through an analysis of all the issues involved in order to turn the resulting knowledge into a useful tool for project work. It therefore now, ideas that are old but at the same time contemporary. This vision time. The beautiful social utility of his architecture and the way he arrived at it through knowledge and intellectual economy still remain valid. The synthesis of this vision has required much time to organize the archive and also a professional architectural practice to put it into perspective. The preserved documents reveal a body of work that was designed at a time when ethics shaped the underlying scenario of the Relación de architectural debate. The architect used the material resources at his disposal in an almost craftsman-like way, in the company of a congruent group of architects. He interpreted reality in a personal way, removed from the coldness of the strict Modern Movement, striving to improve it and strip off anything that was unnecessary. His buildings responded to their context in such a way that transformed it, as if they were “magical realism”. Another line of analysis emerged from an initial analysis, with all the documents in view at the same time: not to explain his work but rather to study the design process of an architect in order to discover a method. In 1986, García de Paredes wrote “Three landscapes with architectures”, which describes three cultural landscapes in different times. After describing the beauty of the physical ruins of the past, the third landscape, “Landscape with Ruins”, concludes with this observation: “There are ruins and ruins ... But these might not be the real ruins of our time. What kind of ruin will be produced by our modest 20th century architecture? Our legacy should not be interpreted in the key of mere stones, like those of past eras which had access to no other language than construction for all times. Other keys, perhaps not yet familiar, may well emerge and be as legible for future generations as this third Landscape”. This tour of the work and writings of Garcia de Paredes is aimed at discovering these contemporary keys. The legacy of such keys can now help us to know what endures in architecture; thinking about current issues through the perspective of old papers. Having set aside the time factor, looking at the drawings, essays, books and photographs from the architect’s archives, organising and understanding the reasons that gave rise to each work, I now believe that the architecture of each moment is only previous work that has been shifted. Nothing is completely different now from what it was back then. The architecture of the past can be interpreted by other generations, looking beyond the aspects of form, blurring the time factor when we want to order it. For this purpose I have selected particular works that permit a better enunciation of the issues that illustrate their rationale, hence the succession of places and people, numbers and geometries, music, art and architectures.