978 resultados para Lymphocytes Th17


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Introduction: L’activation des cellules stellaires hépatiques (CSHs) est un point clé du processus de fibrose hépatique. Les lymphocytes T CD4+ intra-hépatiques sont une source majeure de cytokines anti-inflammatoires comme l’IL-10 et pro-inflammatoire (IL-17A), hépatoprotectrice (IL-22) produites par les Th17. Les Th17 sont impliqués dans de nombreuses pathologies inflammatoires mais l’effet de ces cellules sur les CSHs n’est pas encore élucidé. Objectif: Comprendre le rôle des cytokines de type Th17 dans le processus d’activation des CSHs. Méthodes: La lignée de CSHs humaine LX2 a été stimulée par l’IL-17A ou l’IL-22 puis comparée à des cellules traitées par le TGF-b et le tampon phosphate salin (PBS). L’activation des CSHs a été évaluée en examinant les molécules profibrotique alpha-smooth muscle actin (a-SMA), collagène de type I (COL1A1) et inhibiteur produits par les tissus des métalloprotéases matricielles I (TIMP-I) par q-PCR. L’expression protéique a été validée par immunobuvardage ou coloration au rouge de picro Sirius. L’expression membranaire de l’IL-10Rb, du TGF-b-RII et de l’IL-17RA a été mesurée par cytométrie en flux. Résultats: L’IL-17A et l’IL-22 n’activent pas les cellules LX2, car aucune induction d’a-SMA, de COL1A1 et de TIMP-I n’a été observée. Cependant, l’IL-17A et l’IL-22 sensibilisent les CSHs à l’action du TGF-b, tel que démontré par une forte expression et production d’a-SMA, collagène type I et TIMP-I. L’IL-17A, mais pas l’IL-22, induit la surexpression à la surface cellulaire du TGF-b-RII et inhibe partiellement la baisse d’expression du TGF--RII après stimulation au TGF-b. Conclusion: Nos résultats démontrent une fonction pro-fibrotique de l’IL-17A et de l’IL-22, car les deux cytokines sensibilisent les CSHs à l’action du TGF-b. L’IL-17A agit via la surexpression et la stabilisation du TGF-b-RII tandis que l’IL-22 agit probablement par des mécanismes intracellulaires.

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La candidose oro-pharyngée (COP) est l’infection fongique opportuniste la plus commune chez les individus infectés par le VIH-1. La production des cytokines Il-17 et Il-22 par les lymphocytes Th17 est importante lors de la résolution de la COP, puisque ces cytokines induisent la production de peptides antifongiques et le recrutement des neutrophiles polymorphonucléaires. Toutefois, les lymphocytes Th17 sont préférentiellement déplétés chez les individus infectés par le VIH-1. Le modèle de COP chez la souris transgénique (Tg) CD4C/HIVMutA, exprimant les gènes nef, env et rev du VIH-1, permettra de déterminer si des altérations quantitatives et/ou fonctionnelles des sous-populations de lymphocytes T CD4+ causent la sensibilité à la candidose. Les sous-populations Th1, Th2, Th1Th17, Th17 et Treg, ainsi que leurs précurseurs, les lymphocytes T CD4+ naïfs, sont sévèrement déplétées dans les ganglions cervicaux de la souris Tg. Cependant, les lymphocytes T CD4+ naïfs conservent la capacité à se différencier in vitro en présence de cytokines polarisantes et à produire les cytokines typiques des diverses sous-populations. De plus, les cytokines requises pour la polarisation des lymphocytes T CD4+ naïfs n’étaient pas réduites dans les ganglions cervicaux des souris Tg, 7 jours après le début de l’infection. Les gènes S100a8, Ccl20, Il17 et Il22 étaient surexprimés en réponse à la COP chez la souris non-Tg, mais pas chez la souris Tg. Le traitement de souris Tg infectées à l’aide de la combinaison des cytokines Il-17 et Il-22 réduit significativement la charge fongique buccale de C. albicans et le nombre d’hyphes dans l’épithélium de la langue et restaure la capacité à surexprimer des gènes S100a8, Ccl20 et Il22. Ces résultats démontrent que la perturbation de l’induction de l’immunité innée par l’Il-17 et l’Il-22 augmente la susceptibilité à la COP chez la souris Tg.

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Objectifs: Chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP), des lymphocytes pro-inflammatoires utilisent des molécules d’adhérence afin de parvenir à traverser la barrière hémo-encéphalique (BHE) et former des lésions multifocales dans le système nerveux central (SNC). Dans le contexte de la SEP, les lymphocytes CD4 auto-agressifs polarisés en TH17 (sécrétant de l’IL-17) sont reconnus comme contribuant à la formation des lésions. Le rôle des lymphocytes CD8 TC17 est quant à lui encore mal défini. L’identification de marqueurs de surface spécifiquement exprimés par les lymphocytes TH17 et TC17 faciliterait la caractérisation de ces sous-populations pathogéniques et fournirait de nouvelles cibles thérapeutiques pour traiter la SEP. Méthodologie: Nous avons identifié MCAM lors d’analyses protéomiques de cellules endothéliales de la BHE humaine et de lymphocytes T humains. Nous avons caractérisé le phénotype et la fonction de ces cellules exprimant MCAM ex vivo, in vitro, in situ et in vivo, à partir de matériel obtenu de témoins (contrôles), de patients atteints de SEP et d’animaux atteints d’encéphalomyélite auto-immune expérimentale (EAE). Résultats: MCAM est exprimé à la fois par les cellules endothéliales de la BHE humaine et par une sous-population de lymphocytes T effecteurs mémoire CD161+ et CCR6+. Les lymphocytes CD4 et CD8 MCAM+ expriment plus d’IL-17, IL-22, GM-CSF et granzyme B (Gz B) que les lymphocytes MCAMneg. De plus, l’expression de MCAM est fortement augmentée à la surface des lymphocytes T CD4+ et CD8+ lors des poussées de SEP, alors que les traitements immunomodulateurs en diminuent l’expression. In situ, l’expression de MCAM par les cellules endothéliales de la BHE est plus marquée au site des lésions de SEP et d’EAE, et on retrouve des lymphocytes CD4 et CD8 MCAM+ au sein de ces infiltrats périvasculaires du SNC. In vitro, les lymphocytes CD8 MCAM+ causent plus de mort oligodendrocytaire et bloquer MCAM diminue la transmigration des CD8 TC17 et des CD4 TH17 à travers les cellules endothéliales de la BHE humaine. In vivo, dépléter les lymphocytes CD4 ou CD8 MCAM+ améliore les signes cliniques de l’EAE par transfert. Par ailleurs, l’expression de MCAM est régulée à la hausse à la surface des lymphocytes CD4 et CD8 de la souris transgénique TCR1640, un modèle animal d’EAE spontanée. Finalement, bloquer MCAM atténue les déficits neurologiques chroniques aussi bien du modèle d’EAE induite avec le MOG35-55 que du modèle d’EAE spontanée. Conclusion: Nos données démontrent que les lymphocytes encéphalitogéniques produisant de l’IL-17 et présentant une capacité effectrice et migratoire marquée expriment MCAM. MCAM pourrait servir de biomarqueur en SEP et constituer une cible thérapeutique valable pour traiter les conditions neuroinflammatoires.

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La fibrose kystique (FK) est la maladie autosomique récessive la plus fréquente chez les individus de race caucasienne. Elle est secondaire à la mutation du gène Cystic Fibrosis Transmembrane Regulator (CFTR). Grâce à des traitements plus agressifs, la médiane de l’espérance de vie des individus atteints de la FK a augmenté et cette augmentation est associée à l’émergence du diabète secondaire ou associé à la FK (DAFK), une complication associée à une augmentation du taux de mortalité. La pathophysiologie du DAFK n’est pas parfaitement comprise. Par exemple, la cause de l’accélération de la perte de la fonction pulmonaire, qui débute des années avant l’apparition du DAFK, n'est pas élucidée. Tous les patients atteints de la FK, même ceux sans le DAFK, présentent de l’hyperglycémie et des fluctuations glycémiques. D’ailleurs, une étude a démontré que la réactivité immunitaire est affectée par l’hyperglycémie dans un modèle animal de la FK et il y a des évidences que les lymphocytes sans CFTR fonctionnel ou en présence d’un excès de glucose ont des réactions inflammatoires anormales. Donc, nous avons émis l’hypothèse que les patients atteints de la FK, surtout ceux non-diabétiques et pré-diabétiques, auront une plus grande proportion de lymphocytes Th17 et Treg produisant la cytokine pro-inflammatoire IL-17A comparativement aux sujets sains et que l’augmentation de cette cytokine pourrait influencer la chute accélérée des fonctions pulmonaires avant l’apparition du DAFK. Des niveaux élevés d’IL-17A sont retrouvés dans les poumons des patients atteints de la FK et dans le sang périphérique des patients avec le diabète de type 1 (DT1) et de type 2 (DT2). L’IL-17A peut aussi être produite par les lymphocytes Treg dysfonctionnels. Habituellement, ces lymphocytes atténuent les réponses inflammatoires excessives, mais lorsqu’ils sont dysfonctionnels, ils peuvent produire de l’IL-17A, contribuant ainsi à l’état inflammatoire. De plus, nous avons supposé que les proportions de Th17 et Treg produisant de l’IL-17A seront associées aux fonctions pulmonaires des patients atteints de la FK et que l’alimentation, l’activité physique et la composition corporelle influenceraient ces relations. Les résultats de cette thèse ont montré que, malgré une association entre la proportion de lymphocytes dans le sang périphérique et les indices de fluctuations glycémiques, celles-ci n’influençaient pas les proportions de lymphocytes Th17 et Treg produisant de l’IL-17A lorsqu’ils étaient mis en culture pour 24 ou 48 heures dans des milieux contenant soit 5 mM ou 25 mM de glucose et stimulés par le phorbol 12-myristate 13-acetate (PMA) et le phytohemagglutinine (PHA) ou, encore, non stimulés. De plus, ces proportions étaient semblables entre les patients atteints de la FK et les individus en santé. Toutefois, les proportions de lymphocytes Treg stimulés produisant de l’IL-17A des sujets sains étaient plus élevées que les proportions de lymphocytes Treg non stimulés de tous les participants (patients atteints de la FK et individus en santé). Tout ceci suggérant donc que les Treg des sujets sains et atteints de la FK ne réagissaient pas de la même façon à la stimulation. D’ailleurs, la durée d’incubation affectait les proportions de Th17 produisant de l’IL-17A, mais elle n’avait aucun effet sur les proportions de Treg produisant cette cytokine. Donc, ces types cellulaires réagissaient différemment dans les mêmes milieux de culture. De plus, nous avons observé que seulement l’énergie provenant des glucides affectait modestement les indices de fluctuations glycémiques et que les proportions de Th17 et Treg produisant de l’IL-17A n’étaient pas associées aux fonctions pulmonaires des patients atteints de la FK. En conclusion, les patients atteints de la FK avaient plus d’hyperglycémie et de fluctuations glycémiques, mais elles n’influençaient pas les proportions de lymphocytes Th17 et Treg produisant de l’IL-17A ex vivo. Dans des études futures, il faudrait étudier le rôle de l’IL-17A dans les poumons des patients avec et sans le DAFK et réaliser une étude prospective pour déterminer si une augmentation des niveaux d’IL-17A chez les patients sans le DAFK se traduit par une chute accélérée des fonctions pulmonaires avant l’apparition de cette complication.

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Estrogen treatment exerts a protective effect on experimental autoimmune encephalomyelitis (EAE) and is under clinical trial for multiple sclerosis therapy. Estrogens have been suspected to protect from CNS autoimmunity through their capacity to exert anti-inflammatory as well as neuroprotective effects. Despite the obvious impacts of estrogens on the pathophysiology of multiple sclerosis and EAE, the dominant cellular target that orchestrates the anti-inflammatory effect of 17β-estradiol (E2) in EAE is still ill defined. Using conditional estrogen receptor (ER) α-deficient mice and bone marrow chimera experiments, we show that expression of ERα is critical in hematopoietic cells but not in endothelial ones to mediate the E2 inhibitory effect on Th1 and Th17 cell priming, resulting in EAE protection. Furthermore, using newly created cell type-specific ERα-deficient mice, we demonstrate that ERα is required in T lymphocytes, but neither in macrophages nor dendritic cells, for E2-mediated inhibition of Th1/Th17 cell differentiation and protection from EAE. Lastly, in absence of ERα in host nonhematopoietic tissues, we further show that ERα signaling in T cells is necessary and sufficient to mediate the inhibitory effect of E2 on EAE development. These data uncover T lymphocytes as a major and nonredundant cellular target responsible for the anti-inflammatory effects of E2 in Th17 cell-driven CNS autoimmunity.

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INTRODUCTION Human host immune response following infection with the new variant of A/H1N1 pandemic influenza virus (nvH1N1) is poorly understood. We utilize here systemic cytokine and antibody levels in evaluating differences in early immune response in both mild and severe patients infected with nvH1N1. METHODS We profiled 29 cytokines and chemokines and evaluated the haemagglutination inhibition activity as quantitative and qualitative measurements of host immune responses in serum obtained during the first five days after symptoms onset, in two cohorts of nvH1N1 infected patients. Severe patients required hospitalization (n = 20), due to respiratory insufficiency (10 of them were admitted to the intensive care unit), while mild patients had exclusively flu-like symptoms (n = 15). A group of healthy donors was included as control (n = 15). Differences in levels of mediators between groups were assessed by using the non parametric U-Mann Whitney test. Association between variables was determined by calculating the Spearman correlation coefficient. Viral load was performed in serum by using real-time PCR targeting the neuraminidase gene. RESULTS Increased levels of innate-immunity mediators (IP-10, MCP-1, MIP-1beta), and the absence of anti-nvH1N1 antibodies, characterized the early response to nvH1N1 infection in both hospitalized and mild patients. High systemic levels of type-II interferon (IFN-gamma) and also of a group of mediators involved in the development of T-helper 17 (IL-8, IL-9, IL-17, IL-6) and T-helper 1 (TNF-alpha, IL-15, IL-12p70) responses were exclusively found in hospitalized patients. IL-15, IL-12p70, IL-6 constituted a hallmark of critical illness in our study. A significant inverse association was found between IL-6, IL-8 and PaO2 in critical patients. CONCLUSIONS While infection with the nvH1N1 induces a typical innate response in both mild and severe patients, severe disease with respiratory involvement is characterized by early secretion of Th17 and Th1 cytokines usually associated with cell mediated immunity but also commonly linked to the pathogenesis of autoimmune/inflammatory diseases. The exact role of Th1 and Th17 mediators in the evolution of nvH1N1 mild and severe disease merits further investigation as to the detrimental or beneficial role these cytokines play in severe illness.

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The present study was conducted to explore whether single nucleotide polymorphisms (SNPs) in Th1 and Th17 cell-mediated immune response genes differentially influence the risk of rheumatoid arthritis (RA) in women and men. In phase one, 27 functional/tagging polymorphisms in C-type lectins and MCP-1/CCR2 axis were genotyped in 458 RA patients and 512 controls. Carriers of Dectin-2 rs4264222T allele had an increased risk of RA (OR = 1.47, 95%CI 1.10-1.96) whereas patients harboring the DC-SIGN rs4804803G, MCP-1 rs1024611G, MCP-1 rs13900T and MCP-1 rs4586C alleles had a decreased risk of developing the disease (OR = 0.66, 95%CI 0.49-0.88; OR = 0.66, 95%CI 0.50-0.89; OR = 0.73, 95%CI 0.55-0.97 and OR = 0.68, 95%CI 0.51-0.91). Interestingly, significant gender-specific differences were observed for Dectin-2 rs4264222 and Dectin-2 rs7134303: women carrying the Dectin-2 rs4264222T and Dectin-2 rs7134303G alleles had an increased risk of RA (OR = 1.93, 95%CI 1.34-2.79 and OR = 1.90, 95%CI 1.29-2.80). Also five other SNPs showed significant associations only with one gender: women carrying the MCP-1 rs1024611G, MCP-1 rs13900T and MCP-1 rs4586C alleles had a decreased risk of RA (OR = 0.61, 95%CI 0.43-0.87; OR = 0.67, 95%CI 0.47-0.95 and OR = 0.60, 95%CI 0.42-0.86). In men, carriers of the DC-SIGN rs2287886A allele had an increased risk of RA (OR = 1.70, 95%CI 1.03-2.78), whereas carriers of the DC-SIGN rs4804803G had a decreased risk of developing the disease (OR = 0.53, 95%CI 0.32-0.89). In phase 2, we genotyped these SNPs in 754 RA patients and 519 controls, leading to consistent gender-specific associations for Dectin-2 rs4264222, MCP-1 rs1024611, MCP-1 rs13900 and DC-SIGN rs4804803 polymorphisms in the pooled sample (OR = 1.38, 95%CI 1.08-1.77; OR = 0.74, 95%CI 0.58-0.94; OR = 0.76, 95%CI 0.59-0.97 and OR = 0.56, 95%CI 0.34-0.93). SNP-SNP interaction analysis of significant SNPs also showed a significant two-locus interaction model in women that was not seen in men. This model consisted of Dectin-2 rs4264222 and Dectin-2 rs7134303 SNPs and suggested a synergistic effect between the variants. These findings suggest that Dectin-2, MCP-1 and DC-SIGN polymorphisms may, at least in part, account for gender-associated differences in susceptibility to RA.

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IL-6 plays a central role in supporting pathological TH2 and TH17 cell development and inhibiting the protective T regulatory cells in allergic asthma. TH17 cells have been demonstrated to regulate allergic asthma in general and T-bet-deficiency-induced asthma in particular. Here we found an inverse correlation between T-bet and Il-6 mRNA expression in asthmatic children. Moreover, experimental subcutaneous immunotherapy (SIT) in T-bet((-/-)) mice inhibited IL-6, IL-21R and lung TH17 cells in a setting of asthma. Finally, local delivery of an anti-IL-6R antibody in T-bet((-/-)) mice resulted in the resolution of this allergic trait. Noteworthy, BATF, crucial for the immunoglobulin-class-switch and TH2,TH17 development, was found down-regulated in the lungs of T-bet((-/-)) mice after SIT and after treatment with anti-IL-6R antibody, indicating a critical role of IL-6 in controlling BATF/IRF4 integrated functions in TH2, TH17 cells and B cells also in a T-bet independent fashion in allergic asthma.

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OBJECTIVE: A distinct subset of proinflammatory CD4+ T cells that produce interleukin-17 was recently identified. These cells are implicated in different autoimmune disease models, such as experimental autoimmune encephalomyelitis and collagen-induced arthritis, but their involvement in human autoimmune disease has not yet been clearly established. The purpose of this study was to assess the frequency and functional properties of Th17 cells in healthy donors and in patients with different autoimmune diseases. METHODS: Peripheral blood was obtained from 10 psoriatic arthritis (PsA), 10 ankylosing spondylitis (AS), 10 rheumatoid arthritis (RA), and 5 vitiligo patients, as well as from 25 healthy donors. Synovial tissue samples from a separate group of patients were also evaluated (obtained as paraffin-embedded sections). Peripheral blood cells were analyzed by multiparameter flow cytometry and immunohistochemistry. Cytokine production was examined by enzyme-linked immunosorbent assay and intracellular cytokine staining using specific monoclonal antibodies. Synovial tissue was examined for infiltrating T cells by immunohistochemical analysis. RESULTS: We found increased numbers of circulating Th17 cells in the peripheral blood of patients with seronegative spondylarthritides (PsA and AS), but not in patients with RA or vitiligo. In addition, Th17 cells from the spondylarthritis patients showed advanced differentiation and were polyfunctional in terms of T cell receptor-driven cytokine production. CONCLUSION: These observations suggest a role of Th17 cells in the pathogenesis of certain human autoimmune disorders, in particular the seronegative spondylarthritides.

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Inflammasome-mediated IL-1beta production is central to the innate immune defects that give rise to certain autoinflammatory diseases and may also be associated with the generation of IL-17-producing CD4(+) T (Th17) cells that mediate autoimmunity. However, the role of the inflammasome in driving adaptive immunity to infection has not been addressed. In this article, we demonstrate that inflammasome-mediated IL-1beta plays a critical role in promoting Ag-specific Th17 cells and in generating protective immunity against Bordetella pertussis infection. Using a murine respiratory challenge model, we demonstrated that the course of B. pertussis infection was significantly exacerbated in IL-1R type I-defective (IL-1RI(-/-)) mice. We found that adenylate cyclase toxin (CyaA), a key virulence factor secreted by B. pertussis, induced robust IL-1beta production by dendritic cells through activation of caspase-1 and the NALP3-containing inflammasome complex. Using mutant toxins, we demonstrate that CyaA-mediated activation of caspase-1 was not dependent on adenylate cyclase enzyme activity but was dependent on the pore-forming capacity of CyaA. In addition, CyaA promoted the induction of Ag-specific Th17 cells in wild-type but not IL-1RI(-/-) mice. Furthermore, the bacterial load was enhanced in IL-17-defective mice. Our findings demonstrate that CyaA, a virulence factor from B. pertussis, promotes innate IL-1beta production via activation of the NALP3 inflammasome and, thereby, polarizes T cell responses toward the Th17 subtype. In addition to its known role in subverting host immunity, our findings suggest that CyaA can promote IL-1beta-mediated Th17 cells, which promote clearance of the bacteria from the respiratory tract.

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T helper type 17 (Th17) cells play an important pathogenic function in autoimmune diseases; their regulation, however, is not well understood. We show that the expression of a tumor necrosis factor receptor family member, death receptor 3 (DR3; also known as TNFRSF25), is selectively elevated in Th17 cells, and that TL1A, its cognate ligand, can promote the proliferation of effector Th17 cells. To further investigate the role of the TL1A-DR3 pathway in Th17 regulation, we generated a TL1A-deficient mouse and found that TL1A(-/-) dendritic cells exhibited a reduced capacity in supporting Th17 differentiation and proliferation. Consistent with these data, TL1A(-/-) animals displayed decreased clinical severity in experimental autoimmune encephalomyelitis (EAE). Finally, we demonstrated that during EAE disease progression, TL1A was required for the optimal differentiation as well as effector function of Th17 cells. These observations thus establish an important role of the TL1A-DR3 pathway in promoting Th17 cell function and Th17-mediated autoimmune disease.

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Chez les patients cancéreux, les cellules malignes sont souvent reconnues et détruites par les cellules T cytotoxiques du patient. C'est pourquoi, depuis plusieurs années, des recherches visent à produire des vaccins sensibilisant les cellules de l'immunité adaptative, afin de prévenir certains cancers. Bien que les vaccins ciblant les cellules T CD8+ (cytotoxiques) ont une efficacité in-vitro élevée, un vaccin pouvant cibler les cellules T CD8+ et CD4+ aurait une plus grande efficacité (1-3). En effet, les cellules T helper (CD4+) favorisent la production et la maintenance des cellules T CD8+ mémoires à longue durée de vie. Il existe un grand nombre de sous-types de cellules T CD4+ et leur action envers les cellules cancéreuses est différente. Par exemple, les lymphocytes Treg ont une activité pro-tumorale importante (4) et les lymphocytes Th1 ont une activité anti-tumorale (5). Cependant, le taux naturel des différents sous-types de cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes tumoraux est variable. De plus, une certaine flexibilité des différents sous-types de cellules T CD4+ a été récemment démontrée (6). Celle-ci pourrait être ciblée par des protocoles de vaccination avec des antigènes tumoraux administrés conjointement à des adjuvants définis. Pour cela, il faut approfondir les connaissances sur le rôle des cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes dans l'immunité anti-tumorale et connaître précisément la proportion des sous-types de cellules T CD4+ activées avant et après la vaccination. L'analyse des cellules T, par la cytométrie de flux, est très souvent limité par le besoin d'un nombre très élevé de cellules pour l'analyse de l'expression protéique. Or dans l'analyse des cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes tumoraux cette technique n'est souvent pas applicable, car ces cellules sont présentes en très faible quantité dans le sang et dans les tissus tumoraux. C'est pourquoi, une approche basée sur l'analyse de la cellule T individuelle a été mise en place afin d'étudier l'expression du profil génétique des cellules T CD8+ et CD4+. (7,8) Méthode : Ce nouveau protocole (« single cell ») a été élaboré à partir d'une modification du protocole PCR-RT, qui permet la détection spécifique de l'ADN complémentaire (ADNc) après la transcription globale de l'ARN messager (ARNm) exprimé par une cellule T individuelle. Dans ce travail, nous optimisons cette nouvelle technique d'analyse pour les cellules T CD4+, en sélectionnant les meilleures amorces. Tout d'abord, des clones à profils fonctionnels connus sont générés par cytométrie de flux à partir de cellules T CD4+ d'un donneur sain. Pour cette étape d'optimisation des amorces, la spécificité des cellules T CD4+ n'est pas prise en considération. Il est, donc, possible d'étudier et de trier ces clones par cytométrie de flux. Ensuite, grâce au protocole « single cell », nous testons par PCR les amorces des différents facteurs spécifiques de chaque sous-type des T CD4+ sur des aliquotes issus d'une cellule provenant des clones générés. Nous sélectionnons les amorces dont la sensibilité, la spécificité ainsi que les valeurs prédictives positives et négatives des tests sont les meilleures. (9) Conclusion : Durant ce travail nous avons généré de l'ADNc de cellules T individuelles et sélectionné douze paires d'amorces pour l'identification des sous-types de cellules T CD4+ par la technique d'analyse PCR « single cell ». Les facteurs spécifiques aux cellules Th2 : IL-4, IL-5, IL-13, CRTh2, GATA3 ; les facteurs spécifiques aux cellules Th1 : TNFα, IL-2 ; les facteurs spécifiques aux cellules Treg : FOXP3, IL-2RA ; les facteurs spécifiques aux cellules Th17 : RORC, CCR6 et un facteur spécifique aux cellules naïves : CCR7. Ces amorces peuvent être utilisées dans le futur en combinaison avec des cellules antigènes-spécifiques triées par marquage des multimères pMHCII. Cette méthode permettra de comprendre le rôle ainsi que l'amplitude et la diversité fonctionnelle de la réponse de la cellule T CD4+ antigène-spécifique dans les cancers et dans d'autres maladies. Cela afin d'affiner les recherches en immunothérapie oncologique. (8)

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A new subtype of CD4+ T lymphocytes characterized by the production of interleukin 17, i.e., TH17 cells, has been recently described. This novel T cell subset is distinct from type 1 and type 2 T helper cells. The major feature of this subpopulation is to generate significant amounts of pro-inflammatory cytokines, therefore appearing to be critically involved in protection against infection caused by extracellular microorganisms, and in the pathogenesis of autoimmune diseases and allergy. The dynamic balance among subsets of T cells is important for the modulation of several steps of the immune response. Disturbances in this balance may cause a shift from normal immunologic physiology to the development of immune-mediated disorders. In autoimmune diseases, the fine balance between the proportion and degree of activation of the various T lymphocyte subsets can contribute to persistent undesirable inflammatory responses and tissue replacement by fibrosis. This review highlights the importance of TH17 cells in this process by providing an update on the biology of these cells and focusing on their biology and differentiation processes in the context of immune-mediated chronic inflammatory diseases.

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Thymosin alpha 1 (Tα1) has been shown to have beneficial effects on numerous immune system parameters, but little is known about the effects of Tα1 on patients with gastric carcinoma. The objective of this study was to determine the effect of Tα1 on subpopulations of Th1, Th2, Th17, and regulatory T cells (Tregs) in vitro, and to evaluate its efficacy as an immunoregulatory factor in patients with gastric carcinoma. We compared the effect of Tα1 on the frequency of CD4+ and CD8+ T cells, especially the CD4+CD25+Foxp3+ Tregs in peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) from gastric carcinoma patients (N = 35) and healthy donors (N = 22). We also analyzed the changes in the proliferation of PBMCs in response to treatment with Tα1, and examined the production of Th1, Th2, and Th17 cytokines by PBMCs and tumor-infiltrating lymphocytes. The treatment of PBMCs from gastric cancer patients, with Tα1 (50 µg/mL) alone increased the percentage of CD4+CD25+Foxp3+ (suppressive antitumor-specific Tregs) from 1.68 ± 0.697 to 2.19 ± 0.795% (P < 0.05). Our results indicate that Tα1 increases the percentage of Tregs and IL-1β, TNF-α, and IL-6 in vitro.

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Les chimiokines et leurs récepteurs respectifs jouent un rôle important dans l’immunité innée et adaptative. Les récepteurs de chimiokines identifient des cellules T CD4+ avec potentiel de migration dans des tissus spécifiques et à fonctionnalité distincte du point de vue de la spécificité antigénique et de la production de cytokines. L’identité de la population des cellules T CD4+ susceptibles versus résistantes à l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) reste mal définie. Le recrutement dans les muqueuses intestinales d’un excès de cellules T effectrices (CD8+) comparé aux cellules cibles (CD4+) représente un bon pronostic de l’infection par le virus de l’immunodéficience simienne (VIS), tandis que la déplétion des cellules Th17 dans les tissus lymphoïdes associés au tractus gastro-intestinal (GALT) est un marqueur de la progression de l’infection à VIH. L’effet régulateur des chimiokines sur l’activation de la réplication virale dans différentes sous-populations cellulaires T CD4+ reste peu étudié. Ce projet de maîtrise est divisé en 3 parties: (1) l’identification des récepteurs de chimiokines CCR4, CXCR3 et CCR6 comme marqueurs de surfaces des sous populations T CD4+ avec susceptibilité distincte à l’infection par le VIH; (2) la caractérisation phénotypique et fonctionnelle des cellules T CD4+ et T CD8+ spécifiques au VIH de sujets à progression lente vers le stade sida (LTNP); et (3) les effets des chimiokines ligands de CCR4, CXCR3 et CCR6 sur l’activation cellulaire et la réplication virale in vitro. Nos résultats démontrent que les cellules T CD4+ CCR4+CCR6+ (profile cytokinique Th17) et CXCR3+CCR6+ (profile cytokinique Th1/Th17) sont hautement permissives à l’infection par le VIH. Nous proposons également de nouveaux corrélats de protection immunitaire contre le VIH chez les sujets LTNP: (i) le potentiel de co-localisation dans les muqueuses intestinales des cellules T CD4+ et CD8+ spécifiques au VIH via l’intégrine β7, (ii) le ratio élevé entre les cellules T effectrices (CD8+) versus les cellules cibles (CD4+) spécifiques au VIH, (iii) le profil cytokinique Th17 et (iv) la capacité des cellules T CD4+ et CD8+ spécifiques au VIH à produire des ligands de CCR5 bloquant l’entrée virale. Finalement, nos résultats sur l’effet co-stimulateur des chimiokines sur les cellules T et leurs effets opposés sur la réplication virale démontrent l’implication du réseau des chimiokines dans la régulation de la pathogenèse de l’infection à VIH.