1000 resultados para Luz-Saint-Sauveur
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Copie manuscrite de documents d’archives : F. 1-91. Archives de l’Eglise d’Arcoules de Marseille. F. 92-104. Augustins. F. 105-149. Archives des Dominicains (precheurs) de Marseille. F. 150-153. Abbaye de l’Huveaune, prémontrés. F. 154-178. Frères Mineurs. F. 179-180. La Major. F. 181 -184. St Carmat. F. 185-186. St Etienne des îles Ratoneau. F. 187-191. St Jacques de Corrégie. F. 192-193. St Laurent. F. 194-195. Prieuré de St Lazare. F. 196-199. St Martin F. 200-206. St Michel et St Etienne du Plan. F. 207 -379. Archives du monastère de Saint Sauveur de Marseille. F. 381-387. Sainte Claire. F. 388-391. N.D. de Syon. F. 392 459. Archives des Grands Trinitaires de Marseille.
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Contient : « Compte de messire Jehan Viet, prebstre, chappelain et boursier de la grant bourse de l'esglise de Saint Saulveur ou chasteau de Bloys, de la recepte des deniers et autres rentes venant à la grant bourse de la dicte esglise,... depuis la vigille de saint Bartholomy appoustre mil CCCC quarante-neuf inclus, jusques à la vigille de ladicte feste mil IIIIe cinquante exclus » ; « Compotus Bartholomei Baudrici, ecclesie Sancti Salvatoris Blesensis canonici, ac Petri de Montigniaco, capellani perpetui ipsius ecclesie, presbiterorum censuariorum, de recepta censuum querendorum..., a vigilia beati Andree apostoli anni quadringentesimi usque ad dictam vigiliam anni quadringentesimi primi »
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Collection diocesaiue "La Sainte église d'Aix et d'Arles.
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Référence bibliographique : Colas, 1292
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L’immigration maronite à Montréal date de la fin du XIXe siècle, mais c’est dans les années 1970 et 1990, à la suite des guerres au Liban, qu’il y a eu les plus grandes vagues. De rite syriaque antiochien, mais d’obédience catholique romaine, les immigrants maronites n’avaient pas d’église paroissiale propre. Les autorités diocésaines montréalaises avaient rassemblé les catholiques orientaux dans une même église dont le service était assuré par l’ordre melkite du Saint-Sauveur. En 1969, le père de l’ordre maronite mariamite Élias Najjar fonde avec des Égyptiens maronites la première paroisse. Cette étude se penche sur le processus qui a mené à la naissance de cette paroisse, son évolution à travers le temps et la vie de ses paroissiens. L’approche est narrative et descriptive, elle s’inscrit dans le cadre de l’histoire sociale et religieuse. Les résultats de l’analyse mettent en lumière une église nationale et un nouveau modèle de paroisse diasporique, différent du modèle classique, recelant des diversités infranationale, internationale et interconfessionnelle.