804 resultados para Living dead
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Resumen basado en el del autor
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Given that an extant comprehensive study of homosexuality and the twentieth century Irish novel has yet to produced, this thesis is an attempt at rectifying such a gap in research by way of close textual analysis of writing from the latter half of the century—that is, from 1960-2000. Analysis of seven novels by four male authors – John Broderick, Desmond Hogan, Colm Tóibín and Keith Ridgway – lead to one overarching feature common to all four writers becoming clear: the homosexual or queer is always dying or already ‘dead’. ‘Dead’ is placed in inverted commas here as it is not only biological death that characterises the fate of gay men in the aforementioned literature. In the first instance, such men are also always already ‘dead’—that is, by light of their disenfranchisement as homosexual or queer, they are, in socialized terms, examples of the ‘living’ dead. Secondly, biological death neither fully obliterates the queer body nor its disruptive influence. Consequently, one of the overarching ways in which I read queer death in the late twentieth century Irish novel is through the prism of its reparative ‘afterw(a)ord’. On the one hand, such readings are temporally based (that is, reading from a point beyond the death of the protagonist - or their ‘afterward’); while, on the other hand, such readings are stylistically premised (that is, reading or interpreting the narrative itself as an ‘afterword’). The current project thus constitutes an original contribution to knowledge by establishing variant ways of reading the contemporary Irish novel from the point of view of the queer ‘unliving’. In assessing such heterogeneous aspects of contemporary queer death, the project a) contributes to recent, largely Anglo-American-based literary theoretical research on the queer and the eschatological, and b) provides a more contemporized literary base upon which future research can uncover a continuum of Irish queer writing in the twentieth century, one concerned with writing prior to 1960 and not limited to writing my men, in which death and same-sex desire are at parallel angles to one another.
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Dans Mortuaires, une pièce de théâtre en fragments, deux soeurs se rencontrent dans une chambre d'hôtel; Jiji, la plus vieille, vient de retrouver les cendres de leur mère, morte dix ans auparavant; elle voudrait enterrer l'urne définitivement, alors que la plus jeune, Ge, tient à la garder près d'elle. Ce sera l'occasion pour les soeurs de faire valoir leur propre désir et de célébrer la morte, de reprendre contact avec ce qui reste d'elle dans leur mémoire. Le texte se présente sous forme de mini-scènes sans continuité, bien qu’étant toutes reliées, comme un dialogue interrompu, une cérémonie rejouant la mise en pièces du corps. La fragmentation de la mémoire constitue le projet esthétique de la pièce, dont le ressort dramatique tourne autour du souvenir endeuillé et du corps mort. La mort-vivance comme motif d'écriture dans « Aurélia » de Gérard de Nerval est un essai portant sur le rapport qu'entretient Nerval avec les morts dans le récit, ceux-ci constituant son moteur d'écriture. Au moyen de théories telles que la psychanalyse (Freud, Jackson), la sociologie (Muray) et la théorie de la lecture (Picard), il sera démontré que Nerval, dans Aurélia, se fait spirite en faisant revenir les morts au moyen du rêve. L'écriture se pose comme un lieu de rencontre entre les vivants et les morts, un espace dans lequel chacun doit se faire mort-vivant pour aller retrouver l'autre. Les frontières se brouillent et il devient difficile pour Nerval, ainsi que pour le lecteur, de distinguer le rêve de la réalité.
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La partie création de ce mémoire se veut soutenue par une tension narrative reliée à la curiosité suscitée par le personnage principal, de prime abord énigmatique, qui se dévoile de façon capricieuse par un changement constant de focalisation et de temporalité. Nathan vit à une ère où l’humanité a frôlé l’extinction, et où tout est à repenser après l’annihilation du virus ramenant les morts à la vie. N’ayant pas été témoin de ces horreurs, ses plus grandes préoccupations concernent son cheminement vers l’authenticité. Saltimbanque de métier, il voyage de communauté en communauté, où chacune a fait ses choix pour recréer le monde. Sa volonté de prôner l’art dans un processus de reconstruction sociale et sa poursuite d’une image perdue le pousseront toujours plus loin dans ses pérégrinations; vers des réalités qui le conduiront à redéfinir son univers. La partie essai s’interroge sur les procédés formant la tension narrative des romans d’Émile Ajar, pseudonyme laissant deviner la plume expérimentée de Romain Gary qui se réinvente dans l’anonymat. L’attention est centrée sur les jeux de narration, le rôle actanciel des personnages et l’orchestration formelle des récits, à savoir s’ils sont assez similaires pour lier les opus et les constituer en une série unifiée. Cette réflexion à la recherche de l’essence de l’oeuvre ajarienne, touchante par ses antihéros souvent démunis dans leur quête existentielle, a été une inspiration pour la rédaction de Le jour où la Terre en avait vu d’autres. Les rêves de Nathan sont racontés à la première personne, rejoignant certaines modalités ajariennes où la psyché des protagonistes se révèle par une narration au “je”. Les questionnements sur la tension narrative ont été déclencheurs de cette première démarche d’écriture romanesque, même si elle est située dans un cadre complètement autre et use d’une plume bien différente de celle d’Ajar.
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Aucune figure, au XXe siècle et aujourd'hui, n'est comparable au zombie. Sa prolifération et sa réitération en font un cas d'étude exceptionnel. Or, une figure est inséparable des discours qui la voient naître. Il existe un subtil et profond arrimage entre la production d'une figure, son interprétation et l'économie de sens qui la voit naître. Ma modeste ambition, dans ce mémoire, s'insère dans une réflexion à caractère épistémologique où les enjeux narratifs et les notions critiques encadrant le phénomène zombie seront interrogés. De même, afin de faire émerger cette économie de sens, les modalités de sens de la métaphore doivent être cernées. Ce mémoire est donc une série de prolégomènes nécessaires à l'intelligence d'un important problème contemporain : l'interprétation d'une figure telle que le zombie. Le premier chapitre est une synthèse des manifestations de la figure et de sa compréhension. Les années 60 opèrent une importante transformation dans le corpus filmique zombie (et d'horreur) qui s'incarne dans Night of the Living Dead, de George Romero. Le second chapitre s'intéresse aux enjeux narratifs et aux notions critiques qui encadrent le phénomène zombie. La distinction entre thématique et esthétisme s'incarne alors dans la séparation stricte entre forme et contenu et se fait sentir dans les interprétations offertes du phénomène de l'horreur et dont les études sur le zombie sont tributaires. Cela fait, je rappellerai la vision de Todorov et d'Ingarden sur la représentation afin de cerner les enjeux véritables d'une interprétation. En définitive, la question sera de savoir si le zombie peut être pris à la lettre. Le troisième chapitre sera le moment d'interroger la métaphore afin qu'émergent les modalités de sens qui lui sont inhérentes. Ce chapitre se divisera en deux parties qui reprennent les moments essentiels de la métaphore : sa production et sa lecture. Pour ce faire, je parcourrai la tradition théorique sur la métaphore afin de saisir la portée de l'affirmation poétique qui établit un rapport métaphorique entre les zombies et les humains. Quelle est la signification de cette affirmation qui assume et guide la mise en récit d'une figure (le zombie), et qui assume et guide une lecture métaphorique de l'être humain? En guise de conclusion, je réfléchirai sur les modalités de la lecture en vue d'une interprétation de la figure du zombie. En ce sens, j'explorerai cette inséparabilité entre la manière, c'est-à-dire la métaphore, et son contenu, c'est-à-dire ses interprétations.
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Este trabalho teve por objetivo construir tabelas de vida ecológica para Bemisia tabaci (Genn.) biótipo B em soja. Para isso realizaram-se sucessivas infestações artificiais em plantas de soja, Glycine max (L.) Merrill, cultivar FT 2000. As amostragens foram realizadas retirando-se 10 folhas ao acaso com intervalos de três dias, durante oito gerações da mosca branca. O número de insetos vivos, mortos, parasitados e a distribuição etária foi registrado para cada folha amostrada. No presente trabalho os coeficientes de correlação para a mortalidade de ovos (0,1954), ninfas de 1º ínstar (0,5610) e pupas (0,6168), não foram significativos, porém as ninfas de 2º e 3º ínstar apresentaram coeficientes significativos de 0,7978 e 0,8641, respectivamente. No entanto o fator chave não foi identificado. O parasitóide Encarsia spp., apresentou-se como fator de mortalidade importante na fase de 'pupa' de B. tabaci biótipo B, porém o coeficiente de correlação não foi significativo.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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This research argues for an analysis of textual and cultural forms in the American horror film (1968- 1998), by defining the so-called postmodern characters. The “postmodern” term will not mean a period of the history of cinema, but a series of forms and strategies recognizable in many American films. From a bipolar re-mediation and cognitive point of view, the postmodern phenomenon is been considered as a formal and epistemological re-configuration of the cultural “modern” system. The first section of the work examines theoretical problems about the “postmodern phenomenon” by defining its cultural and formal constants in different areas (epistemology, economy, mass-media): the character of convergence, fragmentation, manipulation and immersion represent the first ones, while the “excess” is the morphology of the change, by realizing the “fluctuation” of the previous consolidated system. The second section classifies the textual and cultural forms of American postmodern film, generally non-horror. The “classic narrative” structure – coherent and consequent chain of causal cues toward a conclusion – is scattered by the postmodern constant of “fragmentation”. New textual models arise, fragmenting the narrative ones into the aggregations of data without causal-temporal logics. Considering the process of “transcoding”1 and “remediation”2 between media, and the principle of “convergence” in the phenomenon, the essay aims to define these structures in postmodern film as “database forms” and “navigable space forms.” The third section applies this classification to American horror film (1968-1998). The formal constant of “excess” in the horror genre works on the paradigm of “vision”: if postmodern film shows a crisis of the “truth” in the vision, in horror movies the excess of vision becomes “hyper-vision” – that is “multiplication” of the death/blood/torture visions – and “intra-vision”, that shows the impossibility of recognizing the “real” vision from the virtual/imaginary. In this perspective, the textual and cultural forms and strategies of postmodern horror film are predominantly: the “database-accumulation” forms, where the events result from a very simple “remote cause” serving as a pretext (like in Night of the Living Dead); the “database-catalogue” forms, where the events follow one another displaying a “central” character or theme. In the first case, the catalogue syntagms are connected by “consecutive” elements, building stories linked by the actions of a single character (usually the killer), or connected by non-consecutive episodes about a general theme: examples of the first kind are built on the model of The Wizard of Gore; the second ones, on the films such as Mario Bava’s I tre volti della paura. The “navigable space” forms are defined: hyperlink a, where one universe is fluctuating between reality and dream, as in Rosemary’s Baby; hyperlink b (where two non-hierarchical universes are convergent, the first one real and the other one fictional, as in the Nightmare series); hyperlink c (where more worlds are separated but contiguous in the last sequence, as in Targets); the last form, navigable-loop, includes a textual line which suddenly stops and starts again, reflecting the pattern of a “loop” (as in Lost Highway). This essay analyses in detail the organization of “visual space” into the postmodern horror film by tracing representative patterns. It concludes by examining the “convergence”3 of technologies and cognitive structures of cinema and new media.