998 resultados para Lemery, Nicolas, 1645-1715
Resumo:
Tesis de la Universidad Central (Madrid), Facultad de Farmacia, leída el 10-06-1865.
Resumo:
Tesis de la Universidad Central (Madrid), Facultad de Farmacia, leída el 22-10-1862.
Resumo:
Aims. Although the time of the Maunder minimum (1645–1715) is widely known as a period of extremely low solar activity, it is still being debated whether solar activity during that period might have been moderate or even higher than the current solar cycle (number 24). We have revisited all existing evidence and datasets, both direct and indirect, to assess the level of solar activity during the Maunder minimum. Methods. We discuss the East Asian naked-eye sunspot observations, the telescopic solar observations, the fraction of sunspot active days, the latitudinal extent of sunspot positions, auroral sightings at high latitudes, cosmogenic radionuclide data as well as solar eclipse observations for that period. We also consider peculiar features of the Sun (very strong hemispheric asymmetry of the sunspot location, unusual differential rotation and the lack of the K-corona) that imply a special mode of solar activity during the Maunder minimum. Results. The level of solar activity during the Maunder minimum is reassessed on the basis of all available datasets. Conclusions. We conclude that solar activity was indeed at an exceptionally low level during the Maunder minimum. Although the exact level is still unclear, it was definitely lower than during the Dalton minimum of around 1800 and significantly below that of the current solar cycle #24. Claims of a moderate-to-high level of solar activity during the Maunder minimum are rejected with a high confidence level.
Resumo:
Florilegio theorico-practico segundo curso quimico, con portadilla propia, [14], 477-632 p.
Resumo:
Florilegio theorico-practico segundo curso quimico, con portadilla propia, [14], 477-632 p.
Resumo:
Le réseau magnétique consiste en un ensemble de petites concentrations de flux magnétique sur la photosphère solaire. Vu sa petite échelle de taille et de flux, à la limite de détection, son comportement n'est connu que depuis récemment. Les interactions du réseau sont pourtant cruciales afin de comprendre la dynamo et l'irradiance solaires, car beaucoup de caractérisques du réseau dépendent de ces interactions. De plus, le réseau est la principale contribution magnétique surfacique à l'irradiance solaire. Les modèles existants du réseau ne tenaient jusqu'à maintenant pas compte des interactions du réseau. Nous avons tenté de combler cette lacune avec notre modèle. Nos simulations impliquent une marche aléatoire en 2D de tubes de flux magnétiques sur la photosphère solaire. Les tubes de flux sont injectés puis soumis à des règles de déplacement et d'interaction. L'injection se fait à deux échelles, respectivement la plus petite et la plus grande observables: les tubes de flux élémentaires et les taches solaires. Des processus de surface imitant ceux observés sont inclus, et consistent en l'émergence, la coalescence, l'annulation et la submergence de flux. La fragmentation des concentrations n'est présente que pour les taches, sous forme de désintégration libérant des tubes de flux. Le modèle est appliqué au cycle solaire 21 (1976-1986, le mieux documenté en termes de caractéristiques de taches solaires. Il en résulte des réponses à deux questions importantes en physique solaire. La première est: l'injection de flux magnétique à deux échelles très distinctes peut-elle conduire à une distribution de flux en loi de puissance comme on l'observe, si l'on inclut des processus de surface qui retraitent le flux? Cette question est étroitement liée à l'origine de la dynamo solaire, qui pourrait produire ladite distribution. Nous trouvons qu'on peut effectivement produire une telle distribution avec ce type d'injection et ce type de processus de surface. Cela implique que la distribution de flux observée ne peut servir à déterminer quel type de dynamo opère dans le Soleil. La deuxième question à laquelle nous avons apporté un élément de réponse est celle à savoir combien de temps il faut au réseau pour retrouver son état d'activité de base. Cet état a été observé lors du minimum de Maunder en 1645-1715 et touche de près la question de l'influence de l'activité solaire sur le climat terrestre. Le récent minimum d'activité est considéré par certains comme ayant atteint cet état. Nous trouvons plutôt que ça n'a pas été le cas. En effet, le temps de relaxation du réseau que nous avons calculé est supérieur au temps écoulé entre la fin du dernier cycle solaire d'activité et celui de l'amorce du présent cycle.
Resumo:
Cover title.
Resumo:
At head of title: Malebranche.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Some letters in French. Letters by others include Luther, (I), Rabelais (XCII), and Isaac Casaubon (IV). Grotius letters mostly to, not by, him.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
v. 1-3. De la recherche de la vérite.--v. 4. Conversations chrétiennes.--v. 5. Traité de la nature et de la grâce.--v. 10. Méditations chrétiennes et métaphysiques.--v. 11. Traité de moral.--v. 12-13. Entretiens sur la métaphysique et sur la religion. Entretiens sur la mort.--v. 14. Traité de l'amour de Dieu.--v. 15. Entretien d'un philosophie chrétien et d'un philosophie chinois.--v. 16. Réflexions sur la prémotion physique.--v. 17. Pièces joimtes, ecrits divers.--v. 18. Correspondance, actes et documents, 1638-1689.--v. 19. Correspondance, actes et documents, 1690-1715.
Resumo:
Comprend : [ Planche dépliante entre pp. 64-65. ] Elévation des faces des murs du Salon de l'Académie [royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107129. ] ; [ Planche dépliante entre pp.104-105. ] Plan et élévation de la salle où se tiennent ordinairement les Assemblés. [ Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107130. ] ; [ Planche dépliante entre pp.164-166. ] Plan et élévation de la troisième salle de l'Académie [royale des Arts de peinture et de sculpture] où sont les vases de Medicis. [XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 106592. ] ; [ Planche dépliante entre pp.208-209. ] Plan de la salle séparée des autres. [ Une salle de l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107131. ] ; [ Planche dépliante entre pp. 246-247. ] Plan du vestibule par où on entre dans le salon [de l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107132. ] ; [ Planche dépliante entre pp.256-257. ] Plan de l'Ecole du modèle [ à l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107133. ]
Resumo:
Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.