38 resultados para Lévinas
Resumo:
Resumen: La cuestión del otro entra en escena en la modernidad. Heidegger y Lévinas se interrogan en relación al otro. Son dos posiciones debido a que parte de experiencias diferentes. Heidegger toma como punto de partida a los griegos y plantea el “olvido del ser”. Para Lévinas el origen está en la tradición rabínica y plantea “el olvido del otro”. Para el filósofo alemán el otro es la mismidad y por eso el hombre es un ser-con-otro. Para Lévinas el otro es la diferencia y desde esa diferencia interroga, se hace epifanía.
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Resumen: La tesis del trabajo es que la deconstrucción entraña en sí misma una actitud ética, y que ésta radica intrínsecamente en su apertura al otro y en la responsabilidad frente a ese otro. Para ello, se intenta en primer lugar una elucidación del concepto, caracterizándola como un protocolo de lectura compuesto de dos fases: des-sedimentación y reinscripción, siendo este último momento el que la identifica como una lectura singular y no universalizable. Posteriormente, a través de las nociones de “sujeto” y “alteridad del texto”, se muestra cómo las bases de la ética deconstructiva giran en torno a las nociones de “yo” y “otro”, conceptos que Derrida, como se demuestra, toma de Lévinas. La instancia ética es la apertura al otro, que se verifica por la responsabilidad que supone concebir al otro como aquello incapaz de apropiación. Dicha responsabilidad configura la aporía ética de lo general-particular, al concebirse como la posibilidad imposible de una opción general que es al mismo tiempo una decisión personal o singular, o, en otros términos, la indecidibilidad entre la norma general y la decisión concreta, que es a su vez la tensión entre “justicia”, “hospitalidad” y “negociación”. Lo anterior demuestra que el acto ético (o acto deconstructivo) tiene la misma estructura de la différance, imbricada siempre en la iteración del significante.
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L‟objectif de mon mémoire se concentre sur la notion d‟altérité émanant des philosophies d‟Emmanuel Lévinas et de Paul Ricoeur ; je m‟intéresse plus précisément au concept clé d‟éthique et de savoir en quoi enrichit-elle le dialogue judéo-chrétien. Le point initial de ma réflexion est l‟herméneutique biblique, qu‟Emmanuel Lévinas et Paul Ricoeur articulent, d‟après moi, différemment selon leurs héritages religieux respectifs à savoir juif et chrétien. Néanmoins, la signification éthique des Textes Sacrés perdure pour chacun d‟eux comme lieu commun même si la signification leur est différente et propre à leurs traditions religieuses. Ainsi, dans ce mémoire l‟altérité développée par Lévinas, talmudiste reconnu, sera comparée avec la pensée de Ricoeur dont la conception est davantage chrétienne, en référence à son travail exégétique. Quand bien même Lévinas et Ricoeur ont tenu à distinguer leurs philosophies de leurs théologies, l‟hypothèse de départ prend une liberté herméneutique qui oscille souvent entre philosophie et théologie et qui tend à retracer au mieux l‟altérité et son lien intrinsèque avec l‟éthique. Cette lecture comparatiste m‟amènera donc à penser et à intégrer l‟altérité comme une prémisse éthique au dialogue judéo-chrétien. Mon travail en sciences des religions qui prend racine depuis l‟herméneutique même, s‟oriente vers une perspective éthique et dialogique et c‟est cette visée de médiation interreligieuse qui lui confère une appartenance à cette discipline.
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Plusieurs critiques ont été adressées à Lévinas quant à la difficulté de conjuguer le caractère infini de la responsabilité éthique, qu’il présente comme condition de possibilité de l’expérience, et la mesure de l’obligation envers autrui qui naît inévitablement dans le politique. En effet, la distinction semble si prononcée entre l’obligation éthique transcendante envers l’autre et la logique politique, univers de sens associé à l’ontologie et présenté comme violent et immanent, que l’éthique peut apparaître compromise dès qu’elle est exprimée dans un contexte social. En réponse à ces difficultés, ce mémoire vise à démontrer qu’en dépit de leur opposition fondamentale, l’ordre éthique et l’ordre ontologico-politique font partie d’une structure unique. À la lumière de l’entrée en scène du tiers et de la nécessité de justice qui l’accompagne, l’existence d’un carrefour entre ces couches de significations distinctes, mais interdépendante, peut être illustrée. De fait, la justice constitue un concept amphibologique chez Lévinas qui, participant à la fois de l’éthique et du politique, permet de mettre au jour l’ancrage a priori social de l’éthique. Cette étude présentera des réflexions critiques reliées à la discipline juridique et aux droits de l’homme, qui démontreront comment la pensée de Lévinas non seulement peut, mais doit s’ouvrir à une expression sociale.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
Partikularität des Jüdischen und Partikularität als anthropologische Kategorie. Eine Lévinas-Lektüre