989 resultados para Internalizing problems
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The present study assesses the effects of a semi-structured intervention held exclusively with mothers and its effects on internalizing problems, social skills of children, and positive and negative parenting practices. The single subject experimental design with three participants was adopted. The three mothers had, in baseline, children diagnosed with internalizing and externalizing problems. The instruments used were CBCL, RE-HSE-P, QRSH-Pais and PHQ-9, they were performed in baseline, pre-test, post-test, and follow-up assessments. The intervention held is characterized as semi-structured for it promotes the development of parental practices that are considered positive by the literature on behavior problems, however, contingently to the difficulties and demands of each case. The number of sessions performed for each case was 14, 15 and 17, which lasted about two hours each. The data were analyzed according to the instruments' norms and under the perspective of each singular case. The results found include remission of internalizing problems, increase in frequency of the children's social skills, increase in frequency of positive parental practices, and decrease in variability of negative parental practices. All the improvements were maintained on the six months follow-up, with the exception of variability on the negative parental practices of one client. Results are discussed in a context of mental health promotion and indicate the need for strategies to prevent internalizing problems in children.
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A growing literature supports the importance of understanding the link between religiosity and youths' adjustment and development, but in the absence of rigorous, longitudinal designs, questions remain about the direction of effect and the role of family factors. This paper investigates the bidirectional association between adolescents' relationship with God and their internalizing adjustment. Results from 2-wave, SEM cross-lag analyses of data from 667 mother/adolescent dyads in Belfast, Northern Ireland (50% male, M age = 15.75 years old) supports a risk model suggesting that greater internalizing problems predict a weaker relationship with God 1 year later. Significant moderation analyses suggest that a stronger relationship with God predicted fewer depression and anxiety symptoms for youth whose mothers used more religious coping.
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To investigate the psychological and behavioral status and their influencing factors of children left behind in rural areas in China, 604 students were chosen from primary fifth grade, junior second grade and senior first grade in high schools in local villages and towns of Chongqing and Guizhou to complete some investegations. The results showed that children left behind actually had some internalizing problems including depression, state-trait anxiety, social anxiety, low self-esteem and some social problems in campus; however, they had no delinquency or aggression behaviors. Low parents’ educational level, low life standards, no-good parent-child relationship, the long years parent spent outside, the long time parent spent outside every year, the young age of child when his parent left him, the low contact frequency between parent and child when parent went out for work, all can be the influencing factors made child behave some psychological or behavioral problems. Children left behind need some appropriate psychological intervention, to improve parent-child relationship, to help release internalizing problems and amend interpersonal relationship at school. Several advices may be useful to improve psychological and behavioral problems of children left behind, which are for parents who work outside home not to work long to 10 years, or stay out for work more than 10 months per year, or left child to work when he is younger than two years old, or contact child more than one month after the last contact when work outside home, and you’d better contact child once a day. All of these could be helpful for children left behind to overcome some psychological or behavioral problems.
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Links between political violence and children's adjustment problems are well-documented. However, the mechanisms by which political tension and sectarian violence relate to children's well-being and development are little understood. This study longitudinally examined children's emotional security about community violence as a possible regulatory process in relations between community discord and children's adjustment problems. Families were selected from 18 working class neighborhoods in Belfast, Northern Ireland. Participants (695 mothers and children, M=12.17, SD=1.82) were interviewed in their homes over three consecutive years. Findings supported the notion that politically-motivated community violence has distinctive effects on children's externalizing and internalizing problems through the mechanism of increasing children's emotional insecurity about community. Implications are considered for understanding relations between political violence and child adjustment from a social ecological perspective.
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Tout autant que la mère, le père est une figure d’attachement importante pour l’enfant. Toutefois le lien d’attachement père-enfant se formerait différemment du lien d’attachement mère-enfant. Les pères sont souvent plus engagés que les mères dans des activités ludiques, moins dans des activités de soins. Les jeux faits avec le père sont souvent plus physiques aussi, plus stimulants. En incitant son enfant au jeu de façon sensible, le père devient un tremplin pour l’exploration de son enfant et le développement de sa confiance en soi et en l’autre. C’est en tant que figure d’ouverture sur le monde que le père aurait une plus grande influence sur le développement de son enfant. C’est ce que nous apprennent les études sur l’engagement paternel. Jusqu’à maintenant peu d’auteurs ont étudié l’engagement des pères en même temps que l’attachement père-enfant, mais plusieurs proposent déjà que cette fonction d’ouverture sur le monde expliquerait la formation du lien père-enfant. La relation d’attachement père-enfant serait basée sur une relation d’activation. L’objectif de la présente thèse est précisément de mieux comprendre la nature du lien d’attachement père-enfant. Deux articles composent cette thèse. Le premier article est théorique et fait une recension de la littérature sur l’attachement père-enfant et l’engagement paternel. Le deuxième article est empirique et propose justement de vérifier l’influence de l’engagement paternel sur la formation du lien d’attachement au père. En tout 53 dyades pères-enfants ont participé à cette étude. L’engagement des pères au niveau du réconfort, de la stimulation et de la discipline a été évalué lorsque les enfants avaient entre 12 et 18 mois. À cet âge, la qualité d’attachement et de la relation d’activation ont aussi été évaluées, respectivement avec la Situation étrangère et la Situation risquée. Les deux mises en situation ont ensuite été comparées pour voir laquelle prédit mieux le développement des enfants à l’âge préscolaire, au niveau des compétences sociales, des problèmes intériorisés et des problèmes extériorisés. Les résultats obtenus indiquent que la Situation risquée prédit mieux le développement socio-affectif des enfants (compétences sociales et problèmes intériorisés). Aucun lien n’a été trouvé avec la Situation étrangère, même en tenant compte de l’engagement du père au niveau du réconfort. Ces résultats valident la théorie de la relation d’activation et l’importance de la fonction paternelle d’ouverture sur le monde. Les limites de la présente étude, ainsi que ses implications théoriques et méthodologiques, seront abordées dans la discussion du deuxième article et en conclusion de la présente thèse.
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Le contrôle psychologique parental est un facteur de risque réputé pour les problèmes intériorisés des enfants (p. ex., Affrunti & Ginsburg, 2011; McLeod, Wood & Weisz, 2007). Selon la Théorie de l'auto-détermination, le contrôle psychologique mène aux problèmes intériorisés (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) car il brime le besoin fondamental d'autonomie. En effet, recevoir de la pression afin de penser, se comporter et se sentir d’une certaine façon (Ryan, 1982) semble favoriser une régulation trop rigide et surcontrôlée (Ryan et al., 2006). Suite aux travaux de Soenens et Vansteenkiste (2010), la distinction conceptuelle entre deux formes de contrôle psychologique, soit manifestes (p. ex., les menaces, forcer physiquement) et dissimulées (p. ex., la surprotection, le marchandage), ont été utilisées pour évaluer le style parental (Étude 1) et les pratiques disciplinaires (Étude 2). Le contrôle psychologique parental et le soutien de l'autonomie (Étude 2) ont été mesurés durant la petite enfance puisque (1) les problèmes intériorisés émergent tôt, (2) le développement du sentiment d'autonomie est central au cours de cette période, et (3) attire probablement plus de contrôle psychologique parental. Avec ses deux articles, la présente thèse vise à clarifier la façon dont le contrôle psychologique manifeste et dissimulé est lié au développement précoce de problèmes intériorisés. L'étude 1 est une étude populationnelle examinant l'impact relatif du style parental sur des trajectoires développementales d'anxiété (N = 2 120 enfants; de 2,5 à 8 ans) avec de nombreux facteurs de risque potentiels provenant de l'enfant, de la mère et de la famille, tous mesurés au cours de la petite enfance. Les résultats ont montré qu'en plus de la timidité des enfants, de la dépression maternelle et du dysfonctionnement familial, le contrôle psychologique manifeste (c.-à-d., coercitif) et dissimulé (c.-à-d., la surprotection) augmentent le risque, pour les enfants, de suivre une trajectoire d'anxiété élevée. Une interaction entre la dépression maternelle et le contrôle dissimulé a été trouvée, ce qui indique que la surprotection augmente l'anxiété des enfants seulement lorsque la dépression maternelle est élevée. Enfin, le contrôle dissimulé prédit également l'anxiété telle que rapportée par les enseignants de deuxième année. Le deuxième article est une étude observationnelle qui examine comment l'autorégulation (AR) des bambins est liée au développement précoce des symptômes intériorisés, tout en explorant comment les pratiques disciplinaires parentales (contrôle et soutien de l'autonomie) y sont associées. Les pratiques parentales ont été codifiées lors d'une requête de rangement à 2 ans (contexte "Do", N = 102), tandis que l'AR des bambins a été codifiée à la fois durant la tâche de rangement ("Do") et durant une tâche d'interdiction (ne pas toucher à des jouets attrayants; contexte «Don't » ), à 2 ans puis à 3 ans. Les symptômes d'anxiété / dépression des enfants ont été évalués par leurs parents à 4,5 ans. Les résultats ont révélé que l'AR aux interdictions à 3 ans diminue la probabilité des enfants à manifester des taux élevés de symptômes d'anxiété / dépression. Les analyses ont aussi révélé que le parentage soutenant l'autonomie était lié à l'AR des enfants aux requêtes, un an plus tard. En revanche, le contrôle psychologique manifeste et dissimulé ont eu des effets délétères sur l'AR. Enfin, seul le contrôle dissimulé a augmenté les probabilités de présenter des niveaux plus élevés de problèmes intériorisés et ce, au-delà de l’effet protecteur de l'AR des bambins. Des résultats mitigés sont issus de cette thèse concernant les effets respectifs des deux formes de contrôle sur les problèmes intériorisés, dépendamment de l'informateur (mère c. enseignant) et de la méthodologie (questionnaires c. données observationnelles). Toutefois, le contrôle psychologique dissimulé était lié à ce problème affectif dans les deux études. Enfin, le soutien à l'autonomie s’est révélé être un facteur de protection potentiel et mériterait d'être étudié davantage.
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Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.
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Anxious mothers’ parenting, particularly transfer of threat information, has been considered important in their children’s risk for social anxiety disorder (SAnxD), and maternal narratives concerning potential social threat could elucidate this contribution. Maternal narratives to their pre-school 4-5 year-old children, via a picture book about starting school, were assessed in socially anxious (N=73), and non-anxious (N=63) mothers. Child representations of school were assessed via Doll Play (DP). After one school term, mothers (CBCL) and teachers (TRF) reported on child internalizing problems, and child SAnxD was assessed via maternal interview. Relations between these variables, infant behavioral inhibition, and attachment, were examined. Socially anxious mothers showed more negative (higher threat attribution), and less supportive (lower encouragement) narratives, than controls, and their children’s DP representations, SAnxD and CBCL scores were more adverse. High narrative threat predicted child SAnxD; lower encouragement predicted negative child CBCL scores and, particularly for behaviorally inhibited children, TRF scores and DP representations. In securely attached children, CBCL scores and risk for SAnxD were affected by maternal anxiety and threat attributions, respectively. Low encouragement mediated the effects of maternal anxiety on child DP representations, and CBCL scores. Maternal narratives are affected by social anxiety, and contribute to adverse child outcome.
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Scopo del nostro lavoro è stato descrivere ed inquadrare gli aspetti psico-comportamentali e la qualità di vita della narcolessia in età evolutiva. Metodi: Abbiamo pertanto disegnato uno studio caso-controllo comprendente 30 pazienti narcolettici, 39 epilettici, e 39 controlli sani, appaiati per sesso e età. Risultati: La nostra popolazione di bambini e adolescenti affetti da narcolessia mostra un aumento delle problematiche internalizzanti. I due gruppi patologici hanno in comune punteggi più elevati rispetto ai controlli per i disturbi d’ansia, le difficoltà attentive e di socializzazione, i disturbi oppositivo-provocatori. Ciò che distingue, invece, i pazienti narcolettici, sono gli aspetti di ritiro e depressione, la tendenza alla somatizzazione, i problemi del pensiero ed i disturbi affettivi. Fattori di rischio psicopatologici per i giovani narcolettici sono risultati essere l’esordio precoce, il ritardo diagnostico, il sonno notturno disturbato, la minor latenza di sonno all’addormentamento, un maggior numero di SOREMP all’MSLT. Dall’altro lato la terapia farmacologica, un maggior numero di sonnellini spontanei e la durata di malattia, sembrano influenzare positivamente l’evoluzione comportamentale. La salute psicosociale dei giovani narcolettici, inoltre, risulta essere peggiore rispetto ai controlli sani, mentre la salute fisica non mostra differenze. I problemi internalizzanti influenzano negativamente tutti gli ambiti della salute di questi ragazzi, mentre la durata di malattia sembra migliorare il funzionamento scolastico. Conclusioni: Il nostro lavoro conferma che i giovani narcolettici presentano un maggior rischio psicopatologico sia rispetto ai controlli sani sia rispetto un’altra patologia neurologica cronica. Se da un lato alcuni aspetti comportamentali possono essere giustificati come una reazione adattativa verso una patologia neurologica invalidante, dall’altro un quadro distimico caratterizzato da ritiro e lamentele somatiche, sembra essere tipico dei bambini ed adolescenti narcolettici.
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Objective: Healthy relationships between adolescents and their caregivers have been robustly associated with better youth outcomes in a variety of domains. Youth in contact with the child welfare system are at higher risk for worse outcomes including mental health problems and home placement instability. A growing body of literature points to youth mental health problems as both a predictor and a consequence of home placement instability in this population; the present study aimed to expand our understanding of these phenomena by examining the interplay among the caregiver-child relationship, youth mental health symptoms, and placement change over time. Method: The sample consisted of 1,179 youths aged 11-16, from the National Survey of Child and Adolescent Well-Being, a nationally representative sample of children in contact with the child welfare system. We used bivariate correlations and autoregressive cross-lagged path analysis to examine how youths’ reports of their externalizing and internalizing symptoms, their relationship with their caregivers, and placement changes reciprocally influenced one another over three time points. Results: In the overall models, early internalizing symptoms significantly negatively predicted the quality of the caregiver-child relationship at the next time point, and early externalizing symptoms predicted subsequent placement change. In addition, later externalizing symptoms negatively predicted subsequent reports of relationship quality, and later placement changes predicted subsequent externalizing problems; these relationships were significant only at the trend level (p < .10). The quality of the relationship was significantly negatively correlated with externalizing and internalizing problems at all time points, and all variables demonstrated autoregressive stability over time. Conclusions: Our findings support the importance of comprehensive interventions for youth in contact with the child welfare system, which target not only youth symptoms in isolation, but also the caregiver-child relationship, as a way to improve social-emotional outcomes in this high-risk population.
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Stressful developmental transitions related to identity and intimacy may have significant implications for adjustment in adolescence that last into young adulthood. Social and economic barriers experienced by minority adolescents have attracted attention as significant influences on normative developmental processes and psychosocial adjustment. The primary aim of this study was to describe significant relations among identity, intimacy, and adjustment in a sample of adolescents in an alternative school who were at elevated risk for problem behaviors. A sample of 120 multi-ethnic high school students responded to five self-administered questionnaires. In addition to describing significant gender differences in identity, and internalizing problems, this study documented that measures of identity accounted for significant variance in standard measures of internalizing problems using hierarchical multiple regression. The implications of these results for future research and practice are discussed.
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Objective: Clinical studies of asthmatic children have found an association between lung disease and internalizing behavior problems. The causal direction of this association is, however, unclear. This article examines the nature of the relationship between behavior and asthma problems in childhood and adolescence. Methods: Data were analyzed on 5135 children from the Mater University Study of Pregnancy and its outcomes (MUSP), a large birth cohort of mothers and children started in Brisbane, Australia, in 1981. Lung disease was measured from maternal reports of asthma/bronchitis when the children were aged 5 and maternal reports of asthma symptoms when the children were aged 14. Symptoms of internalizing behaviors were obtained by maternal reports (Child Behavior Checklist) at 5 years and by maternal and children's reports at 14 years (Child Behavior Checklist and Youth Self Report). Results: Although there was no association between prevalence of asthma and externalizing symptoms, asthma and internalizing symptoms were significantly associated in cross-sectional analyses at 5 and 14 years. In prospective analyses, after excluding children with asthma at 5 years, internalizing symptoms at age 5 were not associated with the development of asthma symptoms at age 14. After excluding children with internalizing symptoms at 5 years, those who had asthma at 5 years had greater odds of developing internalizing symptoms at age 14. Conclusion: Children who have asthma/bronchitis by the age of 5 are at greater risk of having internalizing behavior problems in adolescence.
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Depression in childhood or adolescence is associated with increased rates of depression in adulthood. Does this justify efforts to detect (and treat) those with symptoms of depression in early childhood or adolescence? The aim of this study was to determine how well symptoms of anxiety/depression (A-D) in early childhood and adolescence predict adult mental health. The study sample is taken from a population-based prospective birth cohort study. Of the 8556 mothers initially approached to participate 8458 agreed, of whom 7223 mothers gave birth to a live singleton baby. Children were screened using modified Child Behaviour Checklist (CBCL) scales for internalizing and total problems (T-P) at age 5 and the CBCL and Youth Self Report (YSR) A-D subscale and T-P scale at age 14. At age 21, a sub-sample of 2563 young adults in this cohort were administered the CIDI-Auto. Results indicated that screening at age 5 would detect few later cases of significant mental ill-health. Using a cut-point of 20% for internalizing at child age 5 years the CBCL had sensitivities of only 25% and 18% for major depression and anxiety disorders at 21 years, respectively. At age 14, the YSR generally performed a little better than the CBCL as a screening instrument, but neither performed at a satisfactory level. Of the children who were categorised as having YSR A-D at 14 years 30% and 37% met DSM-IV criteria for major depression and anxiety disorders, respectively, at age 21. Our findings challenge an existing movement encouraging the detection and treatment of those with symptoms of mental illness in early childhood.
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Background Mothers' self-reported stroking of their infants over the first weeks of life modifies the association between prenatal depression and physiological and emotional reactivity at 7 months, consistent with animal studies of the effects of tactile stimulation. We now investigate whether the effects of maternal stroking persist to 2.5 years. Given animal and human evidence for sex differences in the effects of prenatal stress we compare associations in boys and girls. Method From a general population sample of 1233 first-time mothers recruited at 20 weeks gestation we drew a random sample of 316 for assessment at 32 weeks, stratified by reported inter-partner psychological abuse, a risk indicator for child development. Of these mothers, 243 reported at 5 and 9 weeks how often they stroked their infants, and completed the Child Behavior Checklist (CBCL) at 2.5 years post-delivery. Results There was a significant interaction between prenatal anxiety and maternal stroking in the prediction of CBCL internalizing (p = 0.001) and anxious/depressed scores (p < 0.001). The effects were stronger in females than males, and the three-way interaction prenatal anxiety × maternal stroking × sex of infant was significant for internalizing symptoms (p = 0.003). The interactions arose from an association between prenatal anxiety and internalizing symptoms only in the presence of low maternal stroking. Conclusions The findings are consistent with stable epigenetic effects, many sex specific, reported in animal studies. While epigenetic mechanisms may be underlying the associations, it remains to be established whether stroking affects gene expression in humans.