998 resultados para Internalized disorder


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Exposés à de multiples facteurs de risque avant et pendant le placement, les enfants placés présentent une prévalence élevée de troubles intériorisés. Ces troubles peuvent entraver leur intégration familiale, sociale et scolaire. L’objectif de ce mémoire est de tracer un portrait des enfants placés présentant des troubles intériorisés afin de mieux les repérer pour ainsi mieux les soutenir, ainsi que les adultes qui en prennent soin. L’échantillon est composé de 62 enfants, âgés de 10 à 12 ans, placés en famille d’accueil régulière et impliqués dans le projet S’Occuper des Enfants (SOCEN). Les données analysées proviennent du Cahier d’évaluation et de suivi (CÉS-C2), outil clinique (avec mesures standardisées) dans lequel l’intervenant, le parent d’accueil et l’enfant inscrivent des informations sur différents aspects du développement de l’enfant. Des variables relatives au placement ainsi que d’autres portant sur l’intégration familiale, sociale et scolaire de l’enfant placé sont mises en relation avec les scores de la sous-échelle des symptômes émotionnels du Strengths and Difficulties Questionnaire à l’aide de corrélations de Pearson et d’ANOVA. Près de 19% des 62 enfants éprouvent des symptômes émotionnels élevés. Les résultats révèlent la forte présence de troubles extériorisés (troubles hyperactifs, troubles de la conduite) chez les enfants placés présentant des symptômes émotionnels élevés. Ces enfants éprouvent aussi plus de problèmes avec les pairs. Ceux qui ont vécu plus de trois placements présentent davantage de symptômes émotionnels élevés.

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Plusieurs facteurs de risque de développement de troubles intériorisés, tels que les troubles d’anxiété et de l’humeur, ont été identifiés dans la littérature. Les deux plus importants facteurs de risques regroupent l’adversité vécue durant l’enfance (par exemple la maltraitance) et le risque parental (c’est-à-dire la présence d’un trouble intériorisé chez l’un ou les deux parents). Ces facteurs de risque ont été liés à des changements neuroanatomiques similaires à ceux observés en lien avec les troubles intériorisés. Ainsi, en présence de ces facteurs de risque, des anomalies anatomiques pourraient laisser présager l’apparition prochaine d’une symptomatologie de troubles intériorisés chez des individus encore asymptomatiques. Chez les quelques populations de jeunes investiguées, les participants présentaient des comorbidités et/ou étaient sous médication, ce qui rend difficile l’interprétation des atteintes cérébrales observées. Ce travail de thèse s’est intéressé aux liens entre ces deux facteurs de risque et les substrats neuroanatomiques associés à chacun d’eux, chez des adolescents asymptomatiques et n’étant sous aucune médication. Une première étude a examiné le lien entre le niveau de pratiques parentales coercitives et le niveau de symptômes d’anxiété, mesurés de manière longitudinale depuis la naissance, et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 2). Une deuxième étude a examiné le lien entre le risque parental de développer des troubles d’anxiété et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 3). Une troisième étude s’est intéressée au lien entre le risque parental de développer un trouble de dépression ou un trouble bipolaire et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 4). Les résultats démontrent des différences de volume et/ou d’épaisseur corticale dans plusieurs structures clés impliquées dans le traitement et la régulation des émotions. C’est le cas du cortex préfrontal, de l’amygdale, de l’hippocampe et du striatum. Ces résultats suggèrent que certaines des différences neuroanatomiques observées dans les troubles intériorisés peuvent être présentes avant que le trouble ne se manifeste, et représenter des marqueurs neuronaux du risque de développer le trouble. Les implications théoriques et les limites de ces trois études sont finalement discutées dans le Chapitre 5.

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Plusieurs facteurs de risque de développement de troubles intériorisés, tels que les troubles d’anxiété et de l’humeur, ont été identifiés dans la littérature. Les deux plus importants facteurs de risques regroupent l’adversité vécue durant l’enfance (par exemple la maltraitance) et le risque parental (c’est-à-dire la présence d’un trouble intériorisé chez l’un ou les deux parents). Ces facteurs de risque ont été liés à des changements neuroanatomiques similaires à ceux observés en lien avec les troubles intériorisés. Ainsi, en présence de ces facteurs de risque, des anomalies anatomiques pourraient laisser présager l’apparition prochaine d’une symptomatologie de troubles intériorisés chez des individus encore asymptomatiques. Chez les quelques populations de jeunes investiguées, les participants présentaient des comorbidités et/ou étaient sous médication, ce qui rend difficile l’interprétation des atteintes cérébrales observées. Ce travail de thèse s’est intéressé aux liens entre ces deux facteurs de risque et les substrats neuroanatomiques associés à chacun d’eux, chez des adolescents asymptomatiques et n’étant sous aucune médication. Une première étude a examiné le lien entre le niveau de pratiques parentales coercitives et le niveau de symptômes d’anxiété, mesurés de manière longitudinale depuis la naissance, et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 2). Une deuxième étude a examiné le lien entre le risque parental de développer des troubles d’anxiété et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 3). Une troisième étude s’est intéressée au lien entre le risque parental de développer un trouble de dépression ou un trouble bipolaire et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 4). Les résultats démontrent des différences de volume et/ou d’épaisseur corticale dans plusieurs structures clés impliquées dans le traitement et la régulation des émotions. C’est le cas du cortex préfrontal, de l’amygdale, de l’hippocampe et du striatum. Ces résultats suggèrent que certaines des différences neuroanatomiques observées dans les troubles intériorisés peuvent être présentes avant que le trouble ne se manifeste, et représenter des marqueurs neuronaux du risque de développer le trouble. Les implications théoriques et les limites de ces trois études sont finalement discutées dans le Chapitre 5.

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Research and discourse on Eating Disorders (ED) have a tendency to perpetuate certain stereotypes regarding women of color, however unintentional or innocuous it may appear. The research conducted, does show that the prominent ED within communities of minorities or of lower social status is Binge Eating Disorder (BED). A Foucauldian discourse analysis of online forums by young women with ED, such as myproana.com, would be the primary method of documenting how these women form a hierarchy of the community's ED, and analyze if it correlates with the social status primarily associated with the Eating Disorder. Within these forums, and ED based communities, a clear hierarchy is formed, with Anorexia Nervosa at the top and BED at the bottom. From the minimal research available on women of color and ED, it is clear that, for Black women at least, BED is the most common—and thus it is my goal to explore any possible correlation if applicable. Because so little exists that focuses on EDs in women of color, this analysis may help to promote more research in race and class dynamics of Eating Disorders, as well on how those factors affect how women view their own bodies.

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Objective: This study aimed to investigate rates of psychiatric disorder in human immunodeficiency virus (HIV) infection, in an Australian sample of homosexual and bisexual men. Method: A cross-sectional study of a total of 65 HIV sero-negative (HIV-) and 164 HIV sero-positive men (HIVt) (79 CDC stage 1 1/1 11 and 85 CDC stage IV) was conducted in three centres. Lifetime and current prevalence rates of psychiatric disorder were evaluated using the Diagnostic Interview Schedule Version lllR (DIS-IIIR). Results: Elevated current and lifetime rates of major depression were detected in both HIV negative and HIV positive homosexual/bisexual men. Lifetime rates of alcohol abuseldependence were significantly elevated in HIV positive men (CDC group IV) when compared with HIV negative men. Among the HIV positive group the majority of psychiatric disorders detected were preceded by a pre-HIV diagnosis of psychiatric disorder. Major depression represented the disorder most likely to have first onset after HIV infection diagnosis. Conclusions: Lifetime rates of major depression were elevated in this sample of HIV-negative and HIV-positive men, In the HIV-positive men, psychiatric disorder was significantly associated with the presence of lifetime psychiatric disorder prior to HIV infection diagnosis, The findings indicate the importance of evaluation of psychiatric history prior to HIV infection and the clinical significance of depressive syndromes in this population.

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This study investigated the psychological impact of HIV infection through assessment of posttraumatic stress disorder in response to HIV infection. Sixty-one HIV-positive homosexual/bisexual men were assessed for posttraumatic stress disorder in response to HIV infection (PTSD-HIV) using a modified PTSD module of the DIS-III-R. Thirty percent met criteria for a syndrome of posttraumatic stress disorder in response to HIV diagnosis (PTSD-HIV). In over one-third of the PTSD cases, the disorder had an onset greater than 6 months after initial HIV infection diagnosis. PTSD-HIV was associated with other psychiatric diagnoses, particularly the development of first episodes of major depression after HIV infection diagnosis. PTSD-HIV was significantly associated with a pre-HIV history of PTSD from other causes, and other pre-HIV psychiatric disorders and neuroticism scores, indicating a similarity with findings in studies of PTSD from other causes. The findings from this preliminary study suggest that a PTSD response to HIV diagnosis has clinical validity and requires further investigation in this population and other medically ill groups. The results support the inclusion of the diagnosis of life-threatening illness as a traumatic incident that may lead to a posttraumatic stress disorder, which is consistent with the DSM-IV criteria.

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This study addressed why girls are less likely to be referred for mental health services for attention deficit/hyperactivity disorder (ADHD) than boys. Ninety-six parents of children with elevated ADHD symptoms and 140 elementary school teachers read vignettes about children with ADHD. Half of the participants read vignettes with boys' names, and half read the same vignettes but with girls' names. Participants then rated their likeliness to seek or recommend services for the child in each vignette. Parents and teachers were less likely to seek or recommend services for girls than boys with ADHD, but results did not support the hypothesis that this is because girls are less disruptive than boys. Rather, differences in service seeking were explained by the fact that parents and teachers believed that learning assistance is less effective for girls than boys with ADHD.

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Objectives. We tested predictions from the elaborated intrusion (EI) theory of desire, which distinguishes intrusive thoughts and elaborations, and emphasizes the importance of imagery. Secondarily, we undertook preliminary evaluations of the Alcohol Craving Experience (ACE) questionnaire, a new measure based on EI Theory. Methods. Participants (N ¼ 232) were in correspondence-based treatment trials for alcohol abuse or dependence. The study used retrospective reports obtained early in treatment using the ACE, and daily self-monitoring of urges, craving, mood and alcohol consumption. Results. The ACE displayed high internal consistency and test – retest reliability and sound relationships with self-monitored craving, and was related to Baseline alcohol dependence, but not to consumption. Imagery during craving was experienced by 81%,with 2.3 senses involved on average. More frequent imagery was associated with longer episode durations and stronger craving. Transient intrusive thoughts were reported by 87% of respondents, and were more common if they frequently attempted to stop alcohol cognitions. Associations between average daily craving and weekly consumption were seen. Depression and negative mood were associated with more frequent, stronger and longer lasting desires for alcohol. Conclusions. Results supported the distinction of automatic and controlled processes in craving, together with the importance of craving imagery. They were also consistent with prediction of consumption from cross-situational averages of craving, and with positive associations between craving and negative mood. However, this study’s retrospective reporting and correlational design require that its results be interpreted cautiously. Research using ecological momentary measures and laboratory manipulations is needed before confident inferences about causality can be made.

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Objective - We report the first randomised controlled trial (RCT) using a combination of St. John’s wort (SJW) and Kava for the treatment of major depressive disorder (MDD) with comorbid anxiety. Methods - Twenty-eight adults with MDD and co-occurring anxiety were recruited for a double-blind RCT. After a placebo run-in of 2 weeks, the trial had a crossover design testing SJW and Kava against placebo over two controlled phases, each of 4 weeks. The primary analyses used intention-to-treat and completer analyses. Results - On both intention-to-treat ( p¼0.047) and completer analyses ( p¼0.003), SJW and Kava gave a significantly greater reduction in self-reported depression on the Beck Depression Inventory (BDI-II) over placebo in the first controlled phase. However, in the crossover phase, a replication of those effects in the delayed medication group did not occur. Nor were there significant effects on anxiety or quality of life. Conclusion - There was some evidence of antidepressant effects using SJW and Kava in a small sample with comorbid anxiety. Possible explanations for the absence of anxiolysis may include a potential interaction with SJW, the presence of depression, or an inadequate dose of Kava.

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A literature review was conducted to examine the evidence for nutritional interventions in depression. It revealed a number of significant conclusions. Interestingly, more positive clinical trials were found to support adjuvant, rather than monotherapeutic, use of nutrients to treat depression. Much evidence exists in the area of adjuvant application of folic acid, S-adenosyl-methionine, omega-3, and L-tryptophan with antidepressants. Current evidence does not support omega-3 as an effective monotherapy to treat depression. However, this may be due, at least in part, to olive oil being used as the control intervention, some studies using docosahexaenoic acid alone or a higher docosahexaenoic acid to eicosapentaenoic acid ratio, and significant heterogeneity regarding depressive populations. Nevertheless, adjunctive prescription of omega-3 with antidepressants, or in people with dietary deficiency, may be beneficial. Inositol lacks evidence as an effective antidepressant and cannot be currently recommended. Evidence on the use of L-trytophan for depression is inconclusive and additional studies utilizing a more robust methodology are required.

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Objective: Expressed emotion (EE) and substance use disorder predict relapse in psychosis, but there is little research on EE in comorbid samples. The current study addressed this issue. Method: Sixty inpatients with a DSM-IV psychosis and substance use disorder were recruited and underwent diagnostic and substance use assessment. Key relatives were administered the Camberwell Family Interview. Results: Patients were assessed on the initial symptoms and recent substance use, and 58 completed the assessment over the following 9 months. High EE was observed in 62% of households. Expressed emotion was the strongest predictor of relapse during follow up and its predictive effect remained in participants with early psychosis. A multivariate prediction of a shorter time to relapse entered EE, substance use during follow up Q1 and (surprisingly) an absence of childhood attention deficit hyperactivity disorder. Conclusions: Since high EE is a common and important risk factor for people with comorbid psychosis and substance misuse, approaches to address it should be considered by treating clinicians.