4 resultados para Indigneous
Resumo:
Major global changes are placing new demands on the Australian education system. Recent statements by the Prime Minister, together with current education policy and national curriculum documents available in the public domain, look to education’s role in promoting economic prosperity and social cohesion. Collectively, they emphasise the need to equip young Australians with the knowledge, understandings and skills required to compete in the global economy and participate as engaged citizens in a culturally diverse world. However, the decision to prioritise discipline-based learning in the forthcoming Australian history curriculum without specifically encompassing culture as a referent, raises the following question. How will students acquire the cultural knowledge, understandings and skills necessary for this process? This paper addresses this question by situating the current push for a national history curriculum, with specific reference to the study of Indigenous history and the study of Asia in Australia.
Resumo:
Indigenous Australian visual art is an outstanding case of the dynamics of globalization and its intersection with the hyper-local wellsprings of cultural expression, and of the strengths and weaknesses of state, philanthropic and commercial backing for cultural production and dissemination. The chapter traces the development of the international profile of Indigenous ‘dot’ art – a traditional symbolic art form from the Western Desert – as ‘high-end’ visual art, and its positioning within elite markets and finance supported by key international brokers, collectors and philanthropists.
Resumo:
Les femmes autochtones vivent une discrimination intersectionnelle, en ce qu’elle provient d’au moins deux sources: le genre et la race (ou la culture), et qu’elle est plus complexe que la somme de ses sources. Par conséquent, les revendications des femmes autochtones se situent sur au moins deux plans: elles ont des revendications comme autochtones au sein de la population canadienne et comme femmes à l’intérieur de leurs communautés. Partant de la prémisse que l’État canadien doit reconnaître le droit à l’autodétermination des peuples autochtones et par le fait même le droit autochtone, nous nous interrogeons sur les moyens qui permettraient aux femmes autochtones d’exercer l’influence nécessaire pour faire reconnaître et accepter leurs revendications politiques et juridiques dans les processus décisionnels de leurs communautés. Féminisme et revendications autochtones sont-ils nécessairement antinomiques? Pour certaines auteures autochtones, une approche libérale fondée sur la « structure des droits » est incompatible avec les valeurs autochtones. Comment surmonter ces objections en apparence inébranlables? Le problème des femmes autochtones est-il simplement une affaire de « droits » non reconnus? N’est-ce pas plutôt un problème de rapports de pouvoir à l’extérieur, mais également à l’intérieur, des communautés? Nous tentons dans ce qui suit de démontrer qu’au-delà d’un cadre théorique basé sur les droits de la personne, une approche basée sur le principe démocratique permettrait aux femmes autochtones de faire valoir leurs revendications en tant que femmes et en tant qu’autochtones d’une manière plus efficace. En effet, la participation démocratique de tous les membres de la communauté permettrait de contourner les problèmes théoriques liés à une dichotomie entre droits individuels et collectifs, en mettant l’accent sur le processus décisionnel plutôt que sur la valeur des décisions en découlant. Dans cette perspective, féminisme et revendications autochtones peuvent s’allier avantageusement.
Resumo:
Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06