994 resultados para Ibn Khaldun
Resumo:
En esta investigación se recurre a los aportes teóricos socioculturales que brinda Ibn Jaldún, con el fin de evidenciar los factores que influyen en la migración de musulmanes magrebíes hacia Francia en la década de los noventas.
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La obra histórica del erudito y enciclopedista de la edad de oro de la literatura árabe copta, de la cual el Dr. Samuel Moawad (Munster) está preparando una edición, representa en realidad una colección de tres tratados divididos artificialmente en 51 capítulos secuenciales. El núcleo cronológico es precedido por un largo tratado con 47 capítulos sobre cálculos astronómicos y eclesiásticos así como épocas históricas y calendarios de diferentes naciones. La parte histórica propia (ch. 48-50), de los cuales el llamado Chronicon orientale representa una deficiente revisión anónima, trata sucesivamente de historia universal, dinastías islámicas y patriarcas coptos. Un sumario histórico, así como dogmático, de los primeros siete/ocho concilios de la Iglesia cristiana (cap. 51) termina la compilación entera. El conocido historiador al-Makin Ibn al-.Amid hace un gran uso de la labor de su contemporáneo y, al parecer a través de él, los grandes historiadores musulmanes: Ibn Khaldun, Maqrizi o Qalqashandi hacen mención continua de Ibn al-Rahib. Más tarde en el siglo XVI, el K. al-Tawarikh fue traducido en etiópico y tuvo un gran impacto en la literatura histórica y computacional de los etíopes.
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Ce mémoire porte sur les retraductions françaises du XXe siècle d’Al Moqaddima (Les Prolégomènes) (1377) d’Ibn Khaldoun, un traité historique et philosophique du XIVe siècle. La première traduction française, Les Prolégomènes, est réalisée par De Slane entre 1840 et 1863. Elle est suivie de deux retraductions, à savoir Discours sur l’histoire universelle (1967- 1968) réalisée par Vincent-Mansour Monteil, et Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) réalisée par Abdesselam Cheddadi. L’objet de ce mémoire est de mener une analyse contextuelle, paratextuelle et discursive de ces deux retraductions de l’œuvre monumentale d’Ibn Khaldoun, afin de dégager les principaux facteurs déterminant, dans chaque cas, le choix de retraduire. Notre approche théorique s’inscrit dans le contexte récent de remise en cause de ladite « hypothèse de la retraduction » d’Antoine Berman, qui privilégie une analyse textuelle de l’œuvre (re)traduite en négligeant quelque peu l’analyse contextuelle éclairant les conditions de production des retraductions, et en limitant le positionnement du traducteur à sa relation envers la « vérité » du texte source. Ainsi, en retraçant l’histoire des différentes éditions des Prolégomènes au XXe siècle, en exposant le contexte qui entoure les retraductions, et en nous nous attachant aux stratégies discursives déployées par les traducteurs en marge de ces dernières, nous tenons compte des réflexions récentes sur les « causalités multiples » du phénomène de la retraduction, tout en montrant comment la subjectivité du traducteur, ses décisions et ses motivations sont reliées à tous les éléments extratextuels ou contextuels mis en valeur par les théoriciens. Nous montrons par notre analyse que les deux retraductions au corpus sont motivées par des facteurs internes au texte (tels que l’authenticité de leur original, une meilleure connaissance du texte, de la langue et de la culture source, la nécessité de corriger des erreurs dans les traductions antérieures), mais aussi par de nouveaux éléments externes au texte (tels que le changement de normes sociales, littéraires et traductionnelles, l’émergence de nouvelles interprétations du texte, le positionnement idéologique du retraducteur, sa volonté de s’imposer comme une autorité, etc.). La retraduction s’avère donc un phénomène complexe motivé par une combinaison de facteurs, à la fois internes (textuels), externes (contextuels) et personnels, propres au (re)traducteur.
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Ce mémoire porte sur les retraductions françaises du XXe siècle d’Al Moqaddima (Les Prolégomènes) (1377) d’Ibn Khaldoun, un traité historique et philosophique du XIVe siècle. La première traduction française, Les Prolégomènes, est réalisée par De Slane entre 1840 et 1863. Elle est suivie de deux retraductions, à savoir Discours sur l’histoire universelle (1967- 1968) réalisée par Vincent-Mansour Monteil, et Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) réalisée par Abdesselam Cheddadi. L’objet de ce mémoire est de mener une analyse contextuelle, paratextuelle et discursive de ces deux retraductions de l’œuvre monumentale d’Ibn Khaldoun, afin de dégager les principaux facteurs déterminant, dans chaque cas, le choix de retraduire. Notre approche théorique s’inscrit dans le contexte récent de remise en cause de ladite « hypothèse de la retraduction » d’Antoine Berman, qui privilégie une analyse textuelle de l’œuvre (re)traduite en négligeant quelque peu l’analyse contextuelle éclairant les conditions de production des retraductions, et en limitant le positionnement du traducteur à sa relation envers la « vérité » du texte source. Ainsi, en retraçant l’histoire des différentes éditions des Prolégomènes au XXe siècle, en exposant le contexte qui entoure les retraductions, et en nous nous attachant aux stratégies discursives déployées par les traducteurs en marge de ces dernières, nous tenons compte des réflexions récentes sur les « causalités multiples » du phénomène de la retraduction, tout en montrant comment la subjectivité du traducteur, ses décisions et ses motivations sont reliées à tous les éléments extratextuels ou contextuels mis en valeur par les théoriciens. Nous montrons par notre analyse que les deux retraductions au corpus sont motivées par des facteurs internes au texte (tels que l’authenticité de leur original, une meilleure connaissance du texte, de la langue et de la culture source, la nécessité de corriger des erreurs dans les traductions antérieures), mais aussi par de nouveaux éléments externes au texte (tels que le changement de normes sociales, littéraires et traductionnelles, l’émergence de nouvelles interprétations du texte, le positionnement idéologique du retraducteur, sa volonté de s’imposer comme une autorité, etc.). La retraduction s’avère donc un phénomène complexe motivé par une combinaison de facteurs, à la fois internes (textuels), externes (contextuels) et personnels, propres au (re)traducteur.
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Un conocido dicho sufí dice que: "El color del agua es el color de su recipiente". Para hablar de la visión teofánica, al-Junayd, Ibn 'Arabi y otros muchos místicos invocaban frecuentemente este símbolo. Según al-Bistami, el color del recipiente -el corazón del contemplador- da "color" al agua que en sí es invisible; según Ibn 'Arabi, no es el corazón quien da su "color" a la Forma que recibe, sino que, a la inversa, el corazón del gnóstico "se colorea" en cada instante con el color, es decir, con la modalidad de la Forma bajo la cual el Ser divino se epifaniza en él. Así es como "l gnóstico,asume las peculiaridades del carácter de Dios, hasta tal punto que parece como si él fuera El". El propósito del presente artículo es analizar la teoría neoplatónica de la manifestación de lo divino expresada por medio de dos parábolas -el color del agua y el color del vidrio- presentes tanto en la tradición islámica como en la judía.
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Nacido en Ronda o en su Serranía, pero establecido en la sede del poder, la Córdoba de los emires omeyas, Ibn Firnás (muerto en 887 d. C.) fue un claro precedente del sabio renacentista; en efecto, al modo de Leonardo da Vinci, destacó en el cultivo de las ciencias, de las técnicas y de las humanidades. Conocido por sus intentos de volar con unas alas que él mismo se construyó, representa un primer modelo de sabio andalusí, que, tras asimilar las influencias que venían de la Bagdad abbasí, desarrolla ya en al-Ándalus un saber que no es copia servil.
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El palacio conocido con el nombre de Qasr ibn Wardan se encuentra hoy día en el interior de la zona esteparia siria. Aunque nosotros nos vamos a centrar en el palacio en sí, en realidad es un complejo de edificios que también incluye una iglesia y un posible cuartel. Aparte del alto grado de conservación, su importancia radica en ser uno de los pocos ejemplos de arquitectura civil de época justinianea en todo Oriente Próximo. Redescubierto a finales del siglo xix, el palacio ha sido estudiado parcialmente desde entonces. Gracias a los trabajos de restauración llevados a cabo entre las décadas de 1970 y 1990, se pudieron volver a estudiar los restos, destacando en ello la obra de F. De’Maffei publicada en 1995. Nuestro trabajo pretende retomar el estudio de este edificio, ofrecer una restitución en 3D para una mejor comprensión de sus fases edilicias y plantear nuevas hipótesis acerca de las motivaciones que llevaron a su construcción a partir del año 561.
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Este artigo apresenta uma comparação conceitual entre a obra De anima, de Aristóteles, e a concepção das faculdades da alma no Kitáb al-Nafs - edição árabe - (Livro da Alma, De anima), de Ibn Sina (Avicena), com o intuito de mostrar similitudes e influências de Aristóteles sobre o pensamento de Ibn Sina, nessa temática. Destaca, ainda, como e a época em que o estagirita foi recebido em terras do Islã, indicando o seu primeiro receptor, o filósofo Al-Kindi, assim como, de modo pormenorizado, uma comparação sobre a definição de alma dada pelos dois filósofos, e as três espécies de alma, com ênfase para o conceito de alma racional. Apresenta, também, a estrutura de cada uma das obras
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Este artigo apresenta uma tradução da hermenêutica sobre a unicidade de Deus de um capítulo (sura) do Alcorão, de acordo com o pensamento de Avicena (Ibn Sῑnā). É o capítulo denominado capítulo do Monoteísmo, cujo número é 112 no Alcorão. Antes, porém, há uma introdução sobre o que representou o Alcorão nos primórdios do Islã e a sua influência no desenvolvimento da filosofia e da teologia em terras do Islã. Nesse texto, pode ser constatado que, na doutrina islâmica, o primeiro fundamento e o mais rigoroso é a unicidade de Deus. É sobre isso que este artigo discorre.
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Ibn Gabirol apresenta, em sua obra Fons Vitae, um modelo metafísico baseado no hilemorfismo universal, ou seja, na presença de matéria e de forma em todos os seres, tanto corpóreos quanto espirituais. Embora considerado um autor neoplatônico, Ibn Gabirol não explicita propriamente uma henologia, mas parte das realidades sensíveis e corpóreas em direção às mais sutis. Este artigo pretende inverter essa apresentação do autor, buscando redesenhar sua metafísica a partir da Essência Primeira até o fim da criação. Para tanto, o ponto específico analisado, ainda que de modo incipiente, é a questão da unidade e seu qualificativo uno/una, tanto na atribuição que ele faz em seu modelo ontológico, quanto nos seus aspectos lógicos.