989 resultados para INSTITUCIONES DE BRETTON WOODS
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Different ‘monetary architectures’ are distinguished, as a background to a discussion of the change in developed country monetary policy frameworks from fixed exchange rates under the Bretton Woods international monetary system to, ultimately, formal or informal inflation targeting. The introduction and experience of monetary targets in the 1970s is considered, followed by an analysis of the changes in countries’ monetary architectures, with particular reference to money and bond markets and to France and Italy, in the 1980s. Exchange rate targeting in Europe in the 1980s and 1990s is examined, followed by the changes in central bank independence in the 1990s. This leads to a discussion of the introduction of inflation targeting, and the issues raised for inflation targeting by the financial crisis of the late 2000s.
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RESUME DE LA THESE Le but de cette thèse est d'analyser la réforme générale de l'Etat au Cameroun et au Gabon par les institutions de Bretton Woods sur une période de vingt ans (1987-2007). Pour ce faire, mon travail consiste à étudier le rôle majeur joué par les différentes mesures économiques impulsées dans les pays par le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale. Il s'agit de voir si les différentes réformes d'ajustement que ces institutions ont imposé au Cameroun et au Gabon ont produit des effets positifs en vue de solution la crise économique qui s'y installait durablement et remettre ces Etats sur le sentier de la croissance et du développement. L'avènement de la crise économique qui sévissait dans les pays au milieu des années 1980 montrait que le modèle développementaliste expérimenté par ces Etats n'avait expérimenté contribué qu'à provoquer la paralysie de l'appareil de production. Les causes profondes résidaient dans l'omniprésence de l'Etat qui privilégiait une logique administrative au dépend de celle de production au point de nuire gravement aux politiques interventionnistes étatiques. A cela, s'ajoutaient d'autres facteurs endogènes et exogènes aux Etats comme la mauvaise gestion couplée à la forte corruption et au clientélisme politique, la contrebande et le dumping, l'effritement du secteur agricole dû au vieillissement des plantations et à la sous-mécanisation, l'explosion démographique, la détérioration des termes de l'échange, le chômage endémique et galopant, etc. En ayant recours aux réformes d'ajustement structurel du FMI et de la Banque Mondiale, les gouvernements camerounais et gabonais entendaient lutter contre les rigidités institutionnelles et les distorsions structurelles qui empêchaient leurs économies de répondre aux signaux du marché et d'accroître l'offre d'une part. Et, d'autre part, les réformes d'ajustement devaient permettre de renforcer la concurrence des produits sur les marchés, accroître les capacités d'adaptation des marchés de facteurs et améliorer l'efficacité et l'efficience du secteur public. Mais avant d'analyser les réformes d'ajustement dans les pays j'ai d'abord présenté dans une première partie, l'évolution sociopolitique et économique des deux pays. Cette partie donne à l'analyse une profondeur historique indispensable et rend compte de l'évolution des politiques sectorielles des Etats marquée par une phase de croissance (1960-1984), puis par une phase de décroissance ou de crise qui commence à partir de 1985. La seconde partie met en évidence les politiques d'ajustement structurelle principalement axées sur la régulation monétaire, financière et budgétaire, la réforme de la fonction publique, la réforme agricole, le désengagement de l'Etat du secteur productif national et les privatisations. Je termine cette seconde partie par un bilan contrasté que je dresse de l'impact de ces réformes dans les économies camerounaises et gabonaises. La troisième partie met en évidence les nouvelles orientations stratégiques des institutions de Bretton Woods en partant de l'agenda politique des réformes au Cameroun et au Gabon. Elle fait intervenir une batterie de réformes portant sur l'initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE), les Documents de Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP), l'Evaluation Politique et Institutionnelle du Pays (EPIP) et la «Bonne Gouvernance». Cette thèse s'achève par une conclusion exhaustive mettant en évidence les insuffisances des modèles théoriques et conceptuels fondant l'ajustement structurel et la remise en cause des nouvelles stratégies de lutte contre la pauvreté impulsées par le FMI et la Banque Mondiale dans les pays d'une part. D'autre part, j'observe une faiblesse institutionnelle de l'Etat dans ces pays qui se résume à la mauvaise gouvernance ; à l'absence d'un cadre et des outils appropriés pour la gestion économique et stratégique du développement à long terme ; à l'impunité généralisée et à l'inefficacité des mesures de lutte contre la pauvreté ; à l'absence d'un Etat de droit et à l'autoritarisme des régimes en place.
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After sixty years, the Bretton Woods Agreement continuous to be a reference for the debates concerning institutional organization of the international monetary system. This paper compares some features of the arrangements that have emerged in that context with the recent wave of institutional reforms in the international financial architecture. We explore some arguments suggesting that, in an instable financial environment, is possible to envisage a strong rationality in strategies for emerging economies associated with a more active capital flows and exchange rate management. Apparently, those strategies are not dissimilar to the ones today's advanced countries had used in Bretton Woods Era.
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Rapport de recherche
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Para el autor, la principal característica del sistema económico mundial actual es el enorme y creciente déficit de cuenta corriente que presentan los Estados Unidos y que sirve de motor para el dinamismo económico mundial, y por sobre todo, para el crecimiento sostenido de las economías emergentes como la de China. Utilizando la Teoría de Juegos, Cadena pretende determinar si es o no sostenible este sistema económico en el tiempo.
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O tema central deste trabalho é a política cambial. Seu objetivo básico é analisar a condução da política cambial no Brasil entre 1945-1973, que compreende a vigência do Acordo de Bretton Woods, identificando as principais medidas adotadas e seus efeitos sobre algumas das principais variáveis econômicas. Ainda que o Acordo de Bretton Woods tenha estabelecido o dólar norte-americano como base do sistema monetário mundial, de forma que cada país deveria adotar uma taxa fixa de câmbio em relação ao dólar-norte americano, verificou-se, especialmente após a Segunda Guerra Mundial, a utilização freqüente de alternância de instrumentos de política cambial pelo governo brasileiro. Dessa forma, ficou evidenciado que durante o período mencionado, a política cambial, esteve em grande parte, subordinada à gestão de freqüentes estrangulamentos cambiais, decorrentes da necessidade de equilibrar as contas externas ou de fornecer divisas à importação dos bens de produção necessários à continuidade do desenvolvimento industrial. Tais fatos, levavam o governo brasileiro a adotar medidas intercaladas de controle cambial, ora austeras, ora mais flexíveis, para fazer frente a tais desequilíbrios. Em 1973, o Acordo de Bretton Woods ruiu e desta forma o sistema monetário internacional passou a adotar taxas de câmbio flexíveis. No entanto, o Brasil já vinha praticando uma política cambial mais flexível desde 1968, com base em minidesvalorizações cambiais, levando em consideração a variação da paridade do poder de compra. À guisa de conclusão, evidenciou-se que a política cambial teve importância crucial, constituindo-se num marco decisivo no processo de desenvolvimento econômico do país, durante o período analisado, procurando, em conjunturas específicas, compatibilizar a estabilidade econômica com os compromissos desenvolvimentistas assumidos pelos governos do período.
Beyond Bretton Woods: what international monetary and financial system for the twenty-first century?
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Includes bibliography
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We apply the efficient unit-roots tests of Elliott, Rothenberg, and Stock (1996), and Elliott (1998) to twenty-one real exchange rates using monthly data of the G-7 countries from the post-Bretton Woods floating exchange rate period. Our results indicate that, for eighteen out of the twenty-one real exchange rates, the null hypothesis of a unit root can be rejected at the 10% significance level or better using the Elliot et al (1996) DF-GLS test. The unit-root null hypothesis is also rejected for one additional real exchange rate when we allow for one endogenously determined break in the time series of the real exchange rate as in Perron (1997). In all, we find favorable evidence to support long-run purchasing power parity in nineteen out of twenty-one real exchange rates. Second, we find no strong evidence to suggest that the use of non-U.S. dollar-based real exchange rates tend to produce more favorable result for long-run PPP than the use of U.S. dollar-based real exchange rates as Lothian (1998) has concluded.
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This paper examines the mean-reverting property of real exchange rates. Earlier studies have generally not been able to reject the null hypothesis of a unit-root in real exchange rates, especially for the post-Bretton Woods floating period. The results imply that long-run purchasing power parity does not hold. More recent studies, especially those using panel unit-root tests, have found more favorable results, however. But, Karlsson and Löthgren (2000) and others have recently pointed out several potential pitfalls of panel unit-root tests. Thus, the panel unit-root test results are suggestive, but they are far from conclusive. Moreover, consistent individual country time series evidence that supports long-run purchasing power parity continues to be scarce. In this paper, we test for long memory using Lo's (1991) modified rescaled range test, and the rescaled variance test of Giraitis, Kokoszka, Leipus, and Teyssière (2003). Our testing procedure provides a non-parametric alternative to the parametric tests commonly used in this literature. Our data set consists of monthly observations from April 1973 to April 2001 of the G-7 countries in the OECD. Our two tests find conflicting results when we use U.S. dollar real exchange rates. However, when non-U.S. dollar real exchange rates are used, we find only two cases out of fifteen where the null hypothesis of an unit-root with short-term dependence can be rejected in favor of the alternative hypothesis of long-term dependence using the modified rescaled range test, and only one case when using the rescaled variance test. Our results therefore provide a contrast to the recent favorable panel unit-root test results.