953 resultados para Hypertension gestationnelle


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Objectif: Évaluer l'efficacité du dépistage de l’hypertension gestationnelle par les caractéristiques démographiques maternelles, les biomarqueurs sériques et le Doppler de l'artère utérine au premier et au deuxième trimestre de grossesse. Élaborer des modèles prédictifs de l’hypertension gestationnelle fondées sur ces paramètres. Methods: Il s'agit d'une étude prospective de cohorte incluant 598 femmes nullipares. Le Doppler utérin a été étudié par échographie transabdominale entre 11 +0 à 13 +6 semaines (1er trimestre) et entre 17 +0 à 21 +6 semaines (2e trimestre). Tous les échantillons de sérum pour la mesure de plusieurs biomarqueurs placentaires ont été recueillis au 1er trimestre. Les caractéristiques démographiques maternelles ont été enregistrées en même temps. Des courbes ROC et les valeurs prédictives ont été utilisés pour analyser la puissance prédictive des paramètres ci-dessus. Différentes combinaisons et leurs modèles de régression logistique ont été également analysés. Résultats: Parmi 598 femmes, on a observé 20 pré-éclampsies (3,3%), 7 pré-éclampsies précoces (1,2%), 52 cas d’hypertension gestationnelle (8,7%) , 10 cas d’hypertension gestationnelle avant 37 semaines (1,7%). L’index de pulsatilité des artères utérines au 2e trimestre est le meilleur prédicteur. En analyse de régression logistique multivariée, la meilleure valeur prédictive au 1er et au 2e trimestre a été obtenue pour la prévision de la pré-éclampsie précoce. Le dépistage combiné a montré des résultats nettement meilleurs comparés avec les paramètres maternels ou Doppler seuls. Conclusion: Comme seul marqueur, le Doppler utérin du deuxième trimestre a la meilleure prédictive pour l'hypertension, la naissance prématurée et la restriction de croissance. La combinaison des caractéristiques démographiques maternelles, des biomarqueurs sériques maternels et du Doppler utérin améliore l'efficacité du dépistage, en particulier pour la pré-éclampsie nécessitant un accouchement prématuré.

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La prééclampsie est responsable du quart des mortalités maternelles et est la deuxième cause de décès maternels associés à la grossesse au Canada et dans le monde. L’identification d’une stratégie efficace pour la prévention de la prééclampsie est une priorité et un défi primordial dans les milieux de recherche en obstétrique. Le rôle des éléments nutritifs dans le développement de la prééclampsie a récemment reçu davantage d’attention. Plusieurs études cliniques et épidémiologiques ont été menées pour déterminer les facteurs de risque alimentaires potentiels et examiner les effets d’une supplémentation nutritive dans le développement de troubles hypertensifs de la grossesse. Pour déterminer les effets de suppléments antioxydants pris pendant la grossesse sur le risque d’hypertension gestationnelle (HG) et de prééclampsie, un essai multicentrique contrôlé à double insu a été mené au Canada et au Mexique (An International Trial of Antioxidants in the Prevention of Preeclampsia – INTAPP). Les femmes, stratifiées par risque, étaient assignées au traitement expérimental quotidien (1 gramme de vitamine C et 400 UI de vitamine E) ou au placebo. En raison des effets secondaires potentiels, le recrutement pour l’essai a été arrêté avant que l’échantillon complet ait été constitué. Au total, 2640 femmes éligibles ont accepté d’être recrutées, dont 2363 (89.5%) furent incluses dans les analyses finales. Nous n’avons retrouvé aucune évidence qu’une supplémentation prénatale de vitamines C et E réduisait le risque d’HG et de ses effets secondaires (RR 0,99; IC 95% 0,78-1,26), HG (RR 1,04; IC 95% 0,89-1,22) et prééclampsie (RR 1,04; IC 95% 0,75-1,44). Toutefois, une analyse secondaire a révélé que les vitamines C et E augmentaient le risque de « perte fœtale ou de décès périnatal » (une mesure non spécifiée au préalable) ainsi qu’une rupture prématurée des membranes avant terme. Nous avons mené une étude de cohorte prospective chez les femmes enceintes recrutées dans l’INTAPP afin d’évaluer les relations entre le régime alimentaire maternel en début et fin de grossesse et le risque de prééclampsie et d’HG. Un questionnaire de fréquence alimentaire validé était administré deux fois pendant la grossesse (12-18 semaines, 32-34 semaines). Les analyses furent faites séparément pour les 1537 Canadiennes et les 799 Mexicaines en raison de l’hétérogénéité des régimes alimentaires des deux pays. Parmi les canadiennes, après ajustement pour l’indice de masse corporelle (IMC) précédant la grossesse, le groupe de traitement, le niveau de risque (élevé versus faible) et les autres facteurs de base, nous avons constaté une association significative entre un faible apport alimentaire (quartile inférieur) de potassium (OR 1,79; IC 95% 1,03-3,11) et de zinc (OR 1,90; IC 95% 1,07-3,39) et un risque augmenté de prééclampsie. Toujours chez les Canadiennes, le quartile inférieur de consommation d’acides gras polyinsaturés était associé à un risque augmenté d’HG (OR 1,49; IC 95% 1,09-2,02). Aucun des nutriments analysés n’affectait les risques d’HG ou de prééclampsie chez les Mexicaines. Nous avons entrepris une étude cas-témoins à l’intérieur de la cohorte de l’INTAPP pour établir le lien entre la concentration sérique de vitamines antioxydantes et le risque de prééclampsie. Un total de 115 cas de prééclampsie et 229 témoins ont été inclus. Les concentrations de vitamine E ont été mesurées de façon longitudinale à 12-18 semaines (avant la prise de suppléments), à 24-26 semaines et à 32-34 semaines de grossesse en utilisant la chromatographie liquide de haute performance. Lorsqu’examinée en tant que variable continue et après ajustement multivarié, une concentration de base élevée de gamma-tocophérol était associée à un risque augmenté de prééclampsie (quartile supérieur vs quartile inférieur à 24-26 semaines : OR 2,99, IC 95% 1,13-7,89; à 32-34 semaines : OR 4,37, IC 95% 1,35-14,15). Nous n’avons pas trouvé de lien entre les concentrations de alpha-tocophérol et le risque de prééclampsie. En résumé, nous n’avons pas trouvé d’effets de la supplémentation en vitamines C et E sur le risque de prééclampsie dans l’INTAPP. Nous avons toutefois trouvé, dans la cohorte canadienne, qu’une faible prise de potassium et de zinc, tel qu’estimée par les questionnaires de fréquence alimentaire, était associée à un risque augmenté de prééclampsie. Aussi, une plus grande concentration sérique de gamma-tocophérol pendant la grossesse était associée à un risque augmenté de prééclampsie.

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OBJECTIF: Évaluer le rôle de l’endostatine, un nouveau marqueur anti-angiogénique, pour prédire le risque de prééclampsie (PE). METHODES: Il s’agit d’une étude cas témoins nichée dans deux cohortes prospectives. Les échantillons sanguins étaient collectés entre 11 et 17 semaines puis entre 18 et 26 semaines d’aménorrhée. L’hypertension gestationnelle était définie par une tension artérielle supérieure ou égale à 140/90mmHg à 2 reprises. Les cas de prééclampsie étaient définis par une hypertension gestationnelle associée à une protéinurie supérieure ou égale à 0.3 g /24h après 20 semaines de grossesse. La concentration d’endostatine était mesurée par une technique d’ELISA. Les résultats étaient exprimés en multiples de la médiane (MoM) et ajustés pour l’âge maternel, l’âge gestationnel, l’ethnie, et la cohorte d’origine. Une régression logistique était utilisée pour calculer des odds ratios (OR) ajustés et prédire le risque de PE. RESULTATS: Au total nous avons étudié 77 PE et 150 témoins chez des grossesses uniques. Parmi les PE 21 étaient de survenue précoce, avec un diagnostic avant 34 semaines et 41 étaient des PE sévères. Les cas avaient un IMC plus élevé que les témoins et étaient plus souvent Africaines. Les taux médians d’endostatine étaient significativement plus élevés chez les PE que chez les témoins au 1er trimestre (94.2 versus 90.7 ng/ml, p=0.004) et 2ème trimestre (105.8 versus 99.3 ng/ml p=0.002). Le taux d’endostatine entre 18 et 26 semaines était même plus élevé chez les patientes qui développaient une PE précoce. Lorsque l’endostatine était supérieure au 75èmepercentile (exprimée en MoM), le OR ajusté était de 1.33 95IC [0.68-2.58] à 11-17 semaines et 1.77 [0.94-3.34] à 18-26 semaines. L’OR ajusté pour les PE précoces était 3.51 [1.18-10.43] entre 11-17 semaines et 2.17 [0.67-7.06] entre 18-26 semaines. CONCLUSIONS: Un taux élevé d’endostatine dès le 1er trimestre est associé à une augmentation du risque de PE et surtout d’un risque de prééclampsie précoce. Toutefois l’endostatine seule a une trop faible valeur prédictive pour avoir une utilité clinique.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Resistant hypertension (RH) is a multifactorial disease, frequently associated with obesity and characterized by blood pressure above goal (140/90 mm Hg) despite the concurrent use of ≥3 antihypertensive drugs of different classes. The mechanisms of obesity-related hypertension include, among others, aldosterone excess and inflammatory adipokines, which have demonstrated a significant role in the pathogenesis of metabolic syndrome and RH. This review aims to summarize recent studies on the role of the adipokines leptin, resistin, and adiponectin in the pathophysiology of RH and target-organ damage associated with this condition. The deregulation of adipokine levels has been associated with clinical characteristics frequently recognized in RH such as diabetes, hyperactivity of sympathetic and renin-angiotensin-aldosterone systems, and vascular and renal damage. Strategies to regulate adipokines may be promising for the management of RH and some clinical implications must be considered when managing controlled and uncontrolled patients with RH.

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Left ventricular hypertrophy and diastolic dysfunction (LVDD) remain highly frequent markers of cardiac damage and risk of progression to symptomatic heart failure, especially in resistant hypertension (RHTN). We have previously demonstrated that administration of sildenafil in hypertensive rats improves LVDD, restoring phosphodiesterase type 5 (PDE-5) inhibition in cardiac myocytes. We hypothesized that the long-acting PDE-5 inhibitor tadalafil may be clinically useful in improving LVDD in RHTN independently of blood pressure (BP) reduction. A single blinded, placebo-controlled, crossover study enrolled 19 patients with both RHTN and LVDD. Firstly, subjects received tadalafil (20 mg) for 14 days and after a 2-week washout period, they received placebo orally for 14 days. Patients were evaluated by office BP and ambulatory BP monitoring (ABPM), endothelial function (FMD), echocardiography, plasma brain natriuretic peptide (BNP-32), cyclic guanosine monophosphate (cGMP) and nitrite levels. No significant differences were detected in BP measurements. Remarkably, at least four echocardiographic parameters related with diastolic function improved accompanied by decrease in BNP-32 in tadalafil use. Although increasing cGMP, tadalafil did not change endothelial function or nitrites. There were no changes in those parameters after placebo. The current findings suggest that tadalafil improves LV relaxation through direct effects PDE-5-mediated in the cardiomyocytes with potential benefit as an adjunct to treat symptomatic subjects with LVDD such as RHTN patients.

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To evaluate factors associated with hypertension in Brazilian women of 50 years of age or more. A cross-sectional population based study using self-reports. A total of 622 women were included. The association between sociodemographic, clinical and behavioral factors and the woman's age at the onset of hypertension was evaluated. Data were analyzed according to cumulative continuation rates without hypertension, using the life-table method and considering annual intervals. Next, a Cox multiple regression analysis model was adjusted to analyze the occurrence rates of hypertension according to various predictor variables. Significance level was pre-established at 5% (95% confidence level) and the sampling plan (primary sampling unit) was taken into consideration. Median age at onset of hypertension was 64.3 years. Cumulative continuation rate without hypertension at 90 years was 20%. Higher body mass index (BMI) at 20-30 years of age was associated with a higher cumulative occurrence rate of hypertension over time (coefficient=0.078; p<0.001). Being white was associated with a lower cumulative occurrence rate of hypertension over time (coefficient= -0.439; p=0.003), while smoking >15 cigarettes/day was associated with a higher rate over time (coefficient=0.485; p=0.004). The results of the present study highlight the importance of weight control in young adulthood and of avoiding smoking in preventing hypertension in women aged ≥50 years.

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Resistant hypertension (RHTN) includes patients with controlled blood pressure (BP) (CRHTN) and uncontrolled BP (UCRHTN). In fact, RHTN patients are more likely to have target organ damage (TOD), and resistin, leptin and adiponectin may affect BP control in these subjects. We assessed the relationship between adipokines levels and arterial stiffness, left ventricular hypertrophy (LVH) and microalbuminuria (MA). This cross-sectional study included CRHTN (n=51) and UCRHTN (n=38) patients for evaluating body mass index, ambulatory blood pressure monitoring, plasma adiponectin, leptin and resistin concentrations, pulse wave velocity (PWV), MA and echocardiography. Leptin and resistin levels were higher in UCRHTN, whereas adiponectin levels were lower in this same subgroup. Similarly, arterial stiffness, LVH and MA were higher in UCRHTN subgroup. Adiponectin levels negatively correlated with PWV (r=-0.42, P<0.01), and MA (r=-0.48, P<0.01) only in UCRHTN. Leptin was positively correlated with PWV (r=0.37, P=0.02) in UCRHTN subgroup, whereas resistin was not correlated with TOD in both subgroups. Adiponectin is associated with arterial stiffness and renal injury in UCRHTN patients, whereas leptin is associated with arterial stiffness in the same subgroup. Taken together, our results showed that those adipokines may contribute to vascular and renal damage in UCRHTN patients.

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Hypertension is a leading cause of cardiovascular mortality, but only one third of patients achieve blood pressure goals despite antihypertensive therapy. Genetic polymorphisms may partially account for the interindividual variability and abnormal response to antihypertensive drugs. Candidate gene and genome-wide approaches have identified common genetic variants associated with response to antihypertensive drugs. However, there is no currently available pharmacogenetic test to guide hypertension treatment in clinical practice. In this review, we aimed to summarize the recent findings on pharmacogenetics of the most commonly used antihypertensive drugs in clinical practice, including diuretics, angiotensin-converting enzyme inhibitors and angiotensin II receptor blockers, beta-blockers and calcium channel blockers. Notably, only a small percentage of the genetic variability on response to antihypertensive drugs has been explained, and the vast majority of the genetic variants associated with antihypertensives efficacy and toxicity remains to be identified. Despite some genetic variants with evidence of association with the variable response related to these most commonly used antihypertensive drug classes, further replication is needed to confirm these associations in different populations. Further studies on epigenetics and regulatory pathways involved in the responsiveness to antihypertensive drugs might provide a deeper understanding of the physiology of hypertension, which may favor the identification of new targets for hypertension treatment and genetic predictors of antihypertensive response.Journal of Human Hypertension advance online publication, 28 August 2014; doi:10.1038/jhh.2014.76.

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Up to 20% of women with hypertensive pregnancy disorders might persist with chronic hypertension. This study compared clinical and echocardiographic features between women whose hypertension began as hypertensive pregnancy disorders (PH group) and women whose diagnosis of hypertension did not occur during pregnancy (NPH group). Fifty PH and 100 NPH women were cross-sectionally evaluated by clinical, laboratory, and echocardiography analysis, and the groups were matched by duration of hypertension. PH exhibited lower age (46.6 ± 1.4 vs. 65.3 ± 1.1 years; P < .001), but higher systolic (159.8 ± 3.9 vs. 148.0 ± 2.5 mm Hg; P = .009) and diastolic (97.1 ± 2.4 vs. 80.9 ± 1.3 mm Hg; P < .001) blood pressure than NPH, although used more antihypertensive classes (3.4 ± 0.2 vs. 2.6 ± 0.1; P < .001). Furthermore, PH showed higher left ventricular wall thickness and increased prevalence of concentric hypertrophy than NPH after adjusting for age and blood pressure. In conclusion, this study showed that PH may exhibit worse blood pressure control and adverse left ventricular remodeling compared with NPH.

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Adipokines are hormones produced by adipocytes and have been involved in multiple pathologic pathways, including inflammatory and cardiovascular complications in essential hypertension. Arterial stiffness is a frequent vascular complication that represents increased cardiovascular risk in hypertensive patients. Adipokines, such as adiponectin, leptin and resistin, might be implicated in hypertension, as well as in vascular alterations associated with this condition. Arterial stiffness has proven to be a predictor of cardiovascular events. Obesity and target-organ damage such as arterial stiffness are features associated with hypertension. This review aims to update the association between adipokines and arterial stiffness in essential and resistant hypertension (RHTN).

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Abstract Introduction: Hypertension (HTN) is a preventable cause of cardiovascular morbidity and mortality. To compare the prevalence, awareness, treatment, and control of HTN among urban and riverside populations in Porto Velho, Amazon region. We conducted a cross-sectional study between July and December 2013 based on a household survey of individuals aged 35-80 years. Interviews by using a standardized questionnaire, and blood pressure (BP), weight, height, and waist circumference measurements were performed. HTN was defined when individuals reported having the disease, received antihypertensive medications, or had a systolic BP ≥ 140 mm Hg or diastolic BP ≥ 90 mm Hg. Awareness was based on self-reports and the use of antihypertensive medications. Control was defined as a BP ≤ 140/90 mm Hg. Among the 1410 participants, 750 (53.19%) had HTN and 473 (63.06%) had diagnosis awareness, of whom 404 (85.41%) received pharmacological treatment but with low control rate. The prevalence and treatment rates were higher in the urban areas (55.48% vs. 48.87% [p = 0.02] and 61.25% vs. 52.30% [p < 0.01], respectively). HTN awareness was higher in the riverside area (61.05% vs. 67.36% ; p < 0.01), but the control rates showed no statistically significant difference (22.11% vs. 23.43% ; p = 0.69). HTN prevalence was higher in the urban population than in the riverside population. Of the hypertensive individuals in both areas, <25% had controlled HTN. Comprehensive public health measures are needed to improve the prevention and treatment of systemic arterial HTN and prevent other cardiovascular diseases.