62 resultados para Hayek
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The neoliberalism proclaims the crisis of the State in front of globalization , but, approaching two books taken as basic on this theoretical chain - The road to serfdom, of Friedrich Hayek, and Capitalism and Freedom, of Milton Friedman - to analyze this supposed dualism, the conclusion into which we arrive is another one. Remembering liberal tradition and quickly, later, analyzing critically the workmanships, can be perceived that others are the conflicts really gifts in the current capitalist reality - market versus State et capitalism versus democracy - and, from the understanding on the reading made and the theoretical trajectory of its authors, we may see as the neoliberalism locates itself in relation to these conflicts, which polar regions of these antagonisms privileges, what represents the State for itself, and what it intends as much more global philosophy than economic/politics thinking only
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Incluye Bibliografía
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Includes bibliography
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O artigo discute a origem e a evolução dos conceitos de equilíbrio e tempo que Hicks utilizou para interpretar a Teoria Geral de Keynes. O trabalho está organizado em duas partes. Na primeira, analisaram-se os trabalhos de Hayek. Examinaram-se sua concepção de equilíbrio intertemporal e projeto de desenvolver uma teoria dos ciclos. Por último, discutiram-se a implementação desse projeto e seus problemas. Na segunda parte, foi examinado como Hicks, ao refletir sobre os problemas da teoria de Hayek, desenvolveu seus próprios conceitos de equilíbrio e tempo.
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The affinity between the work of the Austrian economist Friedrich A. Hayek and the approach of Complexity Economics is widely recognized by the literature. In spite of this, there still is a lack of studies that seek to analyze in depth the relationship between Hayek and complexity. This dissertation is a contribution to the filling of this large gap in the literature. In the first part of the work, we analyze the various periods in the development of Hayek\'s vision of complexity, showing that this vision is strongly present in his works on knowledge, competition, methodology, evolution, and spontaneous order. In the second part, we explore how Hayek was influenced by two of the main precursors of modern complexity theory - cybernetics and general system theory - from the time he was working on his book on theoretical psychology, The Sensory Order (1952), until the end of his intellectual career.
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A hayeki szociokulturális evolúció elmélete a piaci rend elemzésének általánosítása. Hayek mind a piaci rend, mind a piaci rend alapzatául szolgáló társadalmi intézmények kialakulását és működését azonos logika alapján magyarázza. Ez a logika az egyéni cselekvések nem szándékolt következményeként értelmezi a spontán rend és a csoportszintű magatartásszabályok kialakulását és fennmaradását. A társadalmi normák magyarázatában a módszertani individualizmus elveinek érvényesítéséért az evolucionista perspektíva feladásával kellene fizetni. Hayek azonban a társadalmi normák magyarázatára is az evolucionista megközelítést alkalmazza, ezért egészíti ki a módszertani individualista megközelítést funkcionalista-evolucionista érvekkel. A szociokulturális evolúció hayeki elmélete példa arra, hogy a módszertani individualizmusra épülő magyarázat és a funkcionalista érvelés nem kiszorítja, hanem kiegészíti egymást. _____ Hayek's theory of socio-cultural evolution is a generalization of his theory of market order. He explains in the same way the development and operation of market order and those of the social institutions on which market order is based. This logic interprets the development and persistence of spontaneous order and group-level behaviour rules as an unintentional consequence of individual actions. In his explanation of social norms, enforcement of the principles of methodological individualism has to be paid for by abandoning the evolutionist perspective. But Hayek also employs an evolutionist approach in his explanation of social norms, and so he augments his methodological individualist approach with some functionalist-cum-evolutionist arguments. Hayek's theory of sociocultural evolution, for instance, exemplifies how an explanation resting on methodological individualism and a functionalist argument can complement, not preclude each other.
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Le néolibéralisme, un terme qui désigne couramment la raison d’état contemporaine, est largement associé à un désinvestissement de l’État pour la cause sociale ainsi qu’à un discours de légitimation des disparités socio-économiques. Il s’agit, pour plusieurs, d’une idéologie qui ne considère pas la justice comme un idéal collectif à poursuivre. Un retour sur certains penseurs à qui l’on attribue la formulation des idées néolibérales permet toutefois de constater que la justice fut, au sein de leurs travaux, l’un des thèmes majeurs. L’objectif général de ce mémoire est donc de présenter la conception de la justice chez deux penseurs du néolibéralisme : le journaliste américain Walter Lippmann et l’économiste autrichien Friedrich A. von Hayek. Cette perspective comparée me permettra d’identifier ce que je nomme la «conception néolibérale» de la justice, conception qui s’articule à partir d’une compréhension singulière du marché. Dans le premier chapitre, je présente le problème central de la conception néolibérale de la justice, en abordant la posture épistémologique privilégiée par Hayek et Lippmann. Dans le deuxième chapitre, je présente certaines modalités de cette conception et soulève ses principales apories. Je soutiens aussi qu’une rupture survient entre Hayek et Lippmann autour de la notion de «responsabilité». Finalement, je compare la conception néolibérale de la justice avec la conception libertarienne présentée par Nozick. C’est à partir des critères de justice respectifs de chaque théorie que j’avance la distinction, au troisième chapitre, entre les deux conceptions pourtant similaires. Contrairement à une analyse courante qui fait du néolibéralisme un projet amoral, je soutiens que la reconnaissance de la dimension morale du discours néolibéral ouvre une fenêtre à partir de laquelle il devient possible de critiquer le projet sur des bases éthiques. C’est en identifiant la notion de justice à l’oeuvre dans le discours néolibéral contemporain et en l’inscrivant dans la tradition morale présentée dans le cadre de ce mémoire que nous sommes mieux à même de comprendre l’idéologie du néolibéralisme.
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Le néolibéralisme, un terme qui désigne couramment la raison d’état contemporaine, est largement associé à un désinvestissement de l’État pour la cause sociale ainsi qu’à un discours de légitimation des disparités socio-économiques. Il s’agit, pour plusieurs, d’une idéologie qui ne considère pas la justice comme un idéal collectif à poursuivre. Un retour sur certains penseurs à qui l’on attribue la formulation des idées néolibérales permet toutefois de constater que la justice fut, au sein de leurs travaux, l’un des thèmes majeurs. L’objectif général de ce mémoire est donc de présenter la conception de la justice chez deux penseurs du néolibéralisme : le journaliste américain Walter Lippmann et l’économiste autrichien Friedrich A. von Hayek. Cette perspective comparée me permettra d’identifier ce que je nomme la «conception néolibérale» de la justice, conception qui s’articule à partir d’une compréhension singulière du marché. Dans le premier chapitre, je présente le problème central de la conception néolibérale de la justice, en abordant la posture épistémologique privilégiée par Hayek et Lippmann. Dans le deuxième chapitre, je présente certaines modalités de cette conception et soulève ses principales apories. Je soutiens aussi qu’une rupture survient entre Hayek et Lippmann autour de la notion de «responsabilité». Finalement, je compare la conception néolibérale de la justice avec la conception libertarienne présentée par Nozick. C’est à partir des critères de justice respectifs de chaque théorie que j’avance la distinction, au troisième chapitre, entre les deux conceptions pourtant similaires. Contrairement à une analyse courante qui fait du néolibéralisme un projet amoral, je soutiens que la reconnaissance de la dimension morale du discours néolibéral ouvre une fenêtre à partir de laquelle il devient possible de critiquer le projet sur des bases éthiques. C’est en identifiant la notion de justice à l’oeuvre dans le discours néolibéral contemporain et en l’inscrivant dans la tradition morale présentée dans le cadre de ce mémoire que nous sommes mieux à même de comprendre l’idéologie du néolibéralisme.
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Neo-liberalism has become one of the boom concepts of our time. From its original reference point as a descriptor of the economics of the “Chicago School” such as Milton Friedman, or authors such as Friedrich von Hayek, neo-liberalism has become an all-purpose descriptor and explanatory device for phenomena as diverse as Bollywood weddings, standardized testing in schools, violence in Australian cinema, and the digitization of content in public libraries. Moreover, it has become an entirely pejorative term: no-one refers to their own views as “neo-liberal”, but it rather refers to the erroneous views held by others, whether they acknowledge this or not. Neo-liberalism as it has come to be used, then, bears many of the hallmarks of a dominant ideology theory in the classical Marxist sense, even if it is often not explored in these terms. This presentation will take the opportunity provided by the English language publication of Michel Foucault’s 1978-79 lectures, under the title of The Birth of Biopolitics, to consider how he used the term neo-liberalism, and how this equates with its current uses in critical social and cultural theory. It will be argued that Foucault did not understand neo-liberalism as a dominant ideology in these lectures, but rather as marking a point of inflection in the historical evolution of liberal political philosophies of government. It will also be argued that his interpretation of neo-liberalism was more nuanced and more comparative than the more recent uses of Foucault in the literature on neo-liberalism. It will also look at how Foucault develops comparative historical models of liberal capitalism in The Birth of Biopolitics, arguing that this dimension of his work has been lost in more recent interpretations, which tend to retro-fit Foucault to contemporary critiques of either U.S. neo-conservatism or the “Third Way” of Tony Blair’s New Labour in the UK.
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Neo-liberalism has become one of the boom concepts of our time. From its original reference point as a descriptor of the economics of the ‘Chicago School’ or authors such as Friedrich von Hayek, neo-liberalism has become an all-purpose concept, explanatory device and basis for social critique. This presentation evaluates Michel Foucault’s 1978–79 lectures, published as The Birth of Biopolitics, to consider how he used the term neo-liberalism, and how this equates with its current uses in critical social and cultural theory. It will be argued that Foucault did not understand neo-liberalism as a dominant ideology in these lectures, but rather as marking a point of inflection in the historical evolution of liberal political philosophies of government. It will also be argued that his interpretation of neo-liberalism was more nuanced and more comparative than more recent contributions. The article points towards an attempt to theorize comparative historical models of liberal capitalism.