946 resultados para HIV community based organisms


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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-08

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Cette thèse s’intéresse à la vie empirique du droit à la santé, à l’échelle locale, dans le contexte de la lutte au VIH au Québec. Ce sujet soulève des questions particulières au Québec en raison de l’absence d’intégration de ce droit, en tant que droit de la personne, au plan interne. En raison de cette situation, cette thèse propose une réflexion qui s’inscrit d’abord dans une analyse plus vaste du droit à la santé en tant que droit international des DESC. Ainsi, après avoir situé la réflexion dans le contexte de l’émergence d’une nouvelle ère des droits économiques, sociaux et culturels à l’échelle globale, l’analyse met en lumière les développements marquants du droit à la santé en droit international et en droit comparé, lesquels tranchent par rapport à l’absence de ce droit, au plan formel, dans les ordres juridiques constitutionnel et quasi constitutionnel. Dans un tel contexte de décalage juridique et alors que de nombreux obstacles à la réalisation du droit à la santé des personnes marginalisées et vulnérables au VIH traduisent de réelles violations des obligations internationales qu’impose le droit à la santé aux autorités gouvernementales, cette thèse nous amène en dehors des cadres prédéterminés, pour penser le droit à la santé en action. Ainsi, la réflexion est orientée en direction du travail des acteurs qui luttent contre les obstacles au droit à la santé, en agissant localement, en entretenant un lien social avec les personnes vulnérables au VIH/sida et en portant, par le biais de réseaux multiples, leurs revendications à une plus grande échelle. Au Québec, en matière de lutte au VIH, ces acteurs sont les organismes communautaires. Leur travail de terrain s’inscrit dans le paradigme de la santé et des droits humains, dont le postulat fondamental est de considérer que le respect des droits des personnes vivant avec le VIH et vulnérables au VIH est intimement lié à la lutte au VIH. Ainsi, de nombreuses stratégies de défense, de promotion et de protection des droits de la personne colorent leur approche de travail, le tout valorisé par les contributions expertes d’organismes non gouvernementaux québécois et canadiens et parfois, par les instances internationales, telle ONUSIDA. Cette posture place les organismes communautaires dans un rapport théorique privilégié avec le droit à la santé. Que ce soit en tant qu’acteurs de proximité offrant des soins et services de santé ou en tant qu’entité de transformation sociale, les organismes communautaires semblent en effet particulièrement bien placés pour concrétiser, via leurs services ou à travers leur plaidoyer, l’accès à des soins, services et facteurs déterminants de la santé adaptés, en l’absence de toute discrimination et en accordant une attention prioritaire aux besoins des personnes vulnérables. Mais qu’en est-il concrètement dans les faits ? Est-ce que leurs pratiques sont véritablement en adéquation avec le contenu normatif du droit à la santé ? Est-ce que leur engagement en faveur des droits de la personne englobe le droit à la santé, dans un État où ce droit n’est pas incorporé formellement ? Et en l’absence de relais par le droit interne, est-ce que le droit international du droit à la santé peut entraîner des effets chez ces acteurs ? Comment ces derniers se perçoivent-ils à l’égard de ce droit, dans un contexte de gouvernance décentralisée en santé ? Ce sont ces questions qui ont structuré la présente thèse et qui nous ont poussé à proposer une nouvelle approche théorique, se voulant complémentaire à la théorie de l’effectivité du droit. Partant du constat d’une pluralité de normes, provenant des paliers normatifs international, national et local, en co-existence dans le champ social de la lutte communautaire de lutte au VIH, nous avons proposé une rencontre entre l’effectivité du droit et le pluralisme normatif, pour explorer l’effectivité internormative du droit à la santé. Selon notre approche, l’effectivité internormative se concrétise à travers l’existence de zones d’adéquation entre des pratiques et le contenu normatif d’un droit lesquelles sont attribuables à la force normative d’une norme instituante autre que celle actualisée en pratiques. Dans ce schéma, les pratiques d’actualisation du droit, qui concrétisent le rapport internormatif, se comprennent à travers l’analyse d’affinités électives qui relient de manière dynamique la norme instituante à l’esprit de la norme instituée. Sur cette base, nous avons avancé, à titre d’hypothèse de recherche, qu’il existe, entre les pratiques de revendications et de services des organismes communautaires et, le droit à la santé, un phénomène d’effectivité internormative. Plus concrètement, nous avons suggéré qu’il existe une adéquation entre les pratiques et le droit à la santé et que celle-ci s’explique par l’existence d’une norme communautaire qui influence et oriente les pratiques et qui entretient avec l’esprit du droit à la santé, des affinités électives. Pour vérifier cette hypothèse, une étude empirique auprès des organismes communautaires québécois de lutte au VIH a été réalisée. L’analyse des données nuance quelque peu l’hypothèse de départ et offre une réponse en trois volets. C’est le premier volet de l’analyse qui nous invite à revenir sur l’hypothèse puisqu’il révèle l’existence d’une adéquation partielle entre les pratiques communautaires de lutte au VIH et le droit à la santé. Plus précisément, l’analyse qualitative révèle des zones de recouvrement entre les pratiques des organismes communautaires et les dimensions matérielle et procédurale du droit, laissant, en dehors de l’adéquation, les dimensions formelles et opératoires. Concrètement, cela signifie que les pratiques communautaires de lutte au VIH, tant à travers leurs services que leurs revendications, contribuent à rendre disponibles et accessibles des soins, services et facteurs déterminants de la santé de qualité, qui sont acceptables pour les personnes vulnérables au VIH. Ils réussissent à inscrire leurs pratiques dans ce spectre d’adéquation en raison des espaces de non jugement, de dignité et de respect des personnes qu’ils créent dans leurs milieux. Leurs approches de travail, ancrées dans les concepts de réduction des méfaits, de sexualité à risques réduits, de santé globale et de participation, leur souci constant de l’anonymat et de la confidentialité, les cliniques mobiles qu’ils mettent sur pied, l’information adaptées aux réalités et aux besoins qu’ils diffusent, leur conception large et englobante de la non-discrimination et leur prise en compte des besoins et des réalités des personnes les plus vulnérables de la société, sont les facteurs qui entraînent le plus haut niveau d’adéquation entre les pratiques et le droit à la santé. Ce rapport d’adéquation est toutefois fragilisé par les exigences liées au financement des organismes qui mettent en péril la disponibilité de leurs activités et, de manière plus pernicieuse, leur autonomie, en dictant des objectifs déconnectés des besoins réels des personnes et des enjeux véritables du terrain. Dans la mesure où ces contraintes de financement proviennent des autorités gouvernementales provinciales et fédérales, ce constat vient formaliser l’idée qu’en restreignant l’autonomie des organismes communautaires, en limitant leur champ d’action, les gouvernements créent de nouveaux obstacles à la réalisation du droit à la santé des personnes vulnérables au VIH. Pour expliquer le phénomène d’adéquation des pratiques au droit à la santé, le deuxième volet de notre analyse met en lumière l’existence d’une norme, la norme du terrain, qui oriente les pratiques et ce, en l’absence de rapport (connaissance et usage) au droit à la santé, tel qu’il est posé en droit international des droits économiques, sociaux et culturels. Cela signifie qu’il existe, chez les organismes communautaires, une méconnaissance du droit à la santé au plan formel, plutôt en phase avec l’état du droit, au plan interne. Cette méconnaissance se présente en parallèle à une connaissance profane d’un droit moral à la santé qui surdétermine subtilement le travail des organismes et qui, par ailleurs, entretient certaines correspondances avec le contenu normatif du droit à la santé posé en droit international des droits économiques, sociaux et culturels. Cette situation de pluralisme normatif, inconsciente chez les acteurs eux-mêmes, suscite une certaine confusion, notamment quant aux modalités des obligations imposées par ce droit. En l’absence de rattachement du droit à une source formelle, et à un contenu normatif déterminé, le droit à la santé, en tant que valeur morale, apparaît comme un concept large qui semble davantage représenter, en soi, un objectif à atteindre plutôt qu’un outil juridique destiné à réaliser la dignité humaine. Ainsi, dans l’esprit des acteurs communautaires, leurs pratiques donnent effet au droit à la santé, en tant que concept moral dissocié de toute juridicité, mais ne peuvent être orientées en amont, par ses prescriptions juridiques puisqu’il ne s’agit pas, selon eux, d’une norme juridique. Cette situation démontre que la connaissance profane qu’ont les organismes du droit à la santé est influencée par l’état du droit interne québécois et est peu familière avec le droit international, et encore moins avec les spécificités du droit international des droits économiques sociaux et culturels. En demeurant innomé, cet état de fait contribue à entretenir un certain flou autour de l’idée du droit à la santé et n’est pas favorable au développement de stratégies ancrées dans la norme juridique. Cela n’altère en rien, chez les organismes communautaires, la force de la norme du terrain qui oriente de manière régulière les pratiques de lutte au VIH dans le sens de l’inclusion sociale. En tirant ses sources des besoins et réalités du terrain, cette norme, tributaire de la position d’acteurs de proximité des organismes, occupe une place prioritaire de l’univers normatif au moment de concevoir leurs pratiques. Bien qu’informelle, dans le sens où elle n’est pas exprimée de manière explicite, cette norme est intériorisée et partagée par l’ensemble des acteurs. Elle est structurée sur un axe bottom up et requiert un accès, une captation et un décodage des besoins et réalités du terrain pour catalyser les besoins des milieux. Elle s’avère également surdéterminée par des valeurs propres à la lutte au VIH, telles la justice sociale, la santé globale et l’autonomisation des personnes. Tout en ciblant les pratiques de services et de revendications des organismes, nous observons que cette norme du terrain est susceptible de transiter, du bas, vers le haut, en direction des institutions publiques ou des acteurs privés, le cas échéant. Dans de tels cas, les organismes communautaires revêtent les traits de véritables passeurs entre le monde du terrain et le monde institutionnel. Dans tous les cas, la norme prescrit l’élaboration de pratiques qui s’arriment véritablement aux enjeux et problématiques qui sont vécus sur le terrain, loin des pratiques standardisées. Le fait que cette norme du terrain oriente les pratiques des organismes dans la zone d’adéquation au droit à la santé témoigne d’un véritable phénomène d’effectivité internormative au sein du champ social de la lutte communautaire au VIH. Pour explorer plus profondément le rapport internormatif qui sous-tend les pratiques d’actualisation du droit à la santé, nous avons recours au concept d’affinités électives. Ce dernier est particulièrement pertinent, au plan heuristique, pour comprendre les relations dynamiques de convergence entre la norme instituante et la norme instituée. Dans le cadre de notre démarche, ces affinités électives sont repérables chez les organismes communautaires, entre la norme du terrain et la norme morale du droit à la santé. L’analyse des pratiques et des représentations des organismes nous amène en effet à constater qu’il existe, selon leur point de vue, des convergences réciproques entre la norme du terrain et l’esprit du droit à la santé. Ces affinités prennent forme à trois niveaux. D’abord, entre la structure bottom up de la norme du terrain et l’exigence de participation associé au droit moral à la santé. Ensuite, entre l’ancrage de la norme du terrain dans une conception globale de la santé et la place des facteurs déterminants dans la définition du droit moral à la santé. Et enfin, entre l’exigence de non-jugement de la norme du terrain et les composantes de la non-discrimination, de l’accès et de l’acceptabilité des soins, services et déterminants au cœur de l’esprit du droit à la santé. Tout en étant innomées et implicites, ces convergences naturelles entre la norme du terrain et l’esprit du droit à la santé se déploient de manière fluide et naturelle chez les organismes communautaires en traduisant à la fois, leur manière d’être et de faire. Ces attirances réciproques s’activent concrètement par le biais des pratiques qui prennent alors les traits de véritables pratiques d’actualisation du droit à la santé. En attirant l’attention sur ces dynamiques de parentés intimes, c’est à un réel travail de compréhension de la généalogie normative des pratiques d’actualisation du droit à la santé que nous convie le concept des affinités électives. Cet exercice nous invite alors à réintroduire, dans l’analyse, l’influence des structures et des systèmes dans la concrétisation de l’effectivité internormative. Sur cette base, notre analyse démontre que l’autonomie des organismes communautaires est la pierre angulaire du rapport de convergence mutuelle entre la norme du terrain et l’esprit du droit à la santé. Par conséquent, toute atteinte à cette autonomie, notamment par les exigences du financement, est susceptible de déséquilibrer les rapports dynamiques d’attirances réciproques et ainsi, de nuire à la concrétisation des pratiques d’actualisation du droit à la santé.

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BACKGROUND: In the face of the HIV/AIDS epidemic that has contributed to the dramatic increase in orphans and abandoned children (OAC) worldwide, caregiver attitudes about HIV, and HIV-related stigma, are two attributes that may affect caregiving. Little research has considered the relationship between caregiver attributes and caregiver-reported HIV-related stigma. In light of the paucity of this literature, this paper will describe HIV-related stigma among caregivers of OAC in five less wealthy nations. METHODS: Baseline data were collected between May 2006 through February 2008. The sample included 1,480 community-based and 192 institution-based caregivers. Characteristics of the community-based and institution-based caregivers are described using means and standard deviations for continuous variables or counts and percentages for categorical variables. We fit logistic regression models, both for the full sample and separately for community-based and institution-based caregivers, to explore predictors of acceptance of HIV. RESULTS: Approximately 80% of both community-based and institution-based caregivers were female; and 84% of institution-based caregivers, compared to 66% of community-based caregivers, said that they would be willing to care for a relative with HIV. Similar proportions were reported when caregivers were asked if they were willing to let their child play with an HIV-infected child. In a multivariable model predicting willingness to care for an HIV-infected relative, adjusted for site fixed effects, being an institution-based caregiver was associated with greater willingness (less stigma) than community-based caregivers. Decreased willingness was reported by older respondents, while willingness increased with greater formal education. In the adjusted models predicting willingness to allow one's child to play with an HIV-infected child, female gender and older age was associated with less willingness. However, willingness was positively associated with years of formal education. CONCLUSIONS: The caregiver-child relationship is central to a child's development. OAC already face stigma as a result of their orphaned or abandoned status; the addition of HIV-related stigma represents a double burden for these children. Further research on the prevalence of HIV-related acceptance and stigma among caregivers and implications of such stigma for child development will be critical as the policy community responds to the global HIV/AIDS orphan crisis.

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There is a growing need for advanced practice mental health and drug and alcohol nursing roles in the care of people living with HIV/AIDS; however, limited publications address these domains. This study evaluated a community-based mental health drug and alcohol nurse role caring for people living with HIV/AIDS (Mental Health D&A Nurse) in a large not-for-profit district nursing organization providing care to people living with HIV/AIDS in an Australian city. Outcomes from a client assessment and 6–8-week follow-up by the Mental Health D&A Nurse are presented as captured by the Depression Anxiety Stress Scales (DASS 21), Alcohol, Smoking and Substance Involvement Screening Test (ASSIST), Health of the Nation Outcome Scales (HONOS) and WHOQoL BREF. Mean scores and caseness were analysed, and significant differences were found on the 'impairment' and 'social problems' subscales of the HONOS. Results of semi-structured interviews with clients describe effective and supportive mental health care and health-promoting education following visits by the Mental Health D&A Nurse. These positive findings support continuing implementation of the role within this community setting and indicate that even greater benefits will ensue as the role develops further. Findings are of interest to clinicians and policy makers seeking to implement similar roles in community-based HIV/AIDS care.

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Background. Increased incidence of cancer is documented in immunosuppressed transplant patients. Likewise, as survival increases for persons infected with the Human Immunodeficiency Virus (HIV), we expect their incidence of cancer to increase. The objective of this study was to examine the current gender specific spectrum of cancer in an HIV infected cohort (especially malignancies not currently associated with Acquired Immunodeficiency Syndrome (AIDS)) in relation to the general population.^ Methods. Cancer incidence data was collected for residents of Harris County, Texas who were diagnosed with a malignancy between 1975 and 1994. This data was linked to HIV/AIDS registry data to identify malignancies in an HIV infected cohort of 14,986 persons. A standardized incidence ratio (SIR) analysis was used to compare incidence of cancer in this cohort to that in the general population. Risk factors such as mode of HIV infection, age, race and gender, were evaluated for contribution to the development of cancer within the HIV cohort, using Cox regression techniques.^ Findings. Of those in the HIV infected cohort, 2289 persons (15%) were identified as having one or more malignancies. The linkage identified 29.5% of these malignancies (males 28.7% females 60.9%). HIV infected men and women had incidences of cancer that were 16.7 (16.1, 17.3) and 2.9 (2.3, 3.7) times that expected for the general population of Harris County, Texas, adjusting for age. Significant SIR's were observed for the AIDS-defining malignancies of Kaposi's sarcoma, non-Hodgkin's lymphoma, primary lymphoma of the brain and cancer of the cervix. Additionally, significant SIR's for non-melanotic skin cancer in males, 6.9 (4.8, 9.5) and colon cancer in females, 4.0 (1.1, 10.2) were detected. Among the HIV infected cohort, race/ethnicity of White (relative risk 2.4 with 95% confidence intervals 2.0, 2.8) or Spanish Surname, 2.2 (1.9, 2.7) and an infection route of male to male sex, with, 3.0 (1.9, 4.9) or without, 3.4 (2.1, 5.5) intravenous drug use, increased the risk of having a diagnosis of an incident cancer.^ Interpretation. There appears to be an increased risk of developing cancer if infected with the HIV. In addition to the malignancies routinely associated with HIV infection, there appears to be an increased risk of being diagnosed with non-melanotic skin cancer in males and colon cancer in females. ^

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During the rainy season in extensive river floodplains and deltaic lowlands, floods render the land unavailable for crop production for several months each year. These waters are considerably underutilized in terms of managed aquatic productivity. This raises the opportunity to enclose parts of these floodwater areas to produce a crop of specifically stocked aquatic organisms aside from the naturally occurring ‘wild’ species that are traditionally fished and are not affected by the culture activity, resulting in more high-quality, nutrient-dense food production and enhanced farm income for all stakeholders, notably the poor. The WorldFish Center and its national partners recently tested the concurrent rice-fish culture in the shallower flooded areas and the alternating rice-fish culture in the deep-flooded areas of Bangladesh and Viet Nam through a community-based management system. Results indicate that community-based fish culture in rice fields can increase fish production by about 600 kg/ha/year in shallow flooded areas and up to 1.5 t/ha/year in deep-flooded areas, without a reduction in the rice yield or wild fish catch.

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Technology-supported citizen science has created huge volumes of data with increasing potential to facilitate scientific progress, however, verifying data quality is still a substantial hurdle due to the limitations of existing data quality mechanisms. In this study, we adopted a mixed methods approach to investigate community-based data validation practices and the characteristics of records of wildlife species observations that affected the outcomes of collaborative data quality management in an online community where people record what they see in the nature. The findings describe the processes that both relied upon and added to information provenance through information stewardship behaviors, which led to improved reliability and informativity. The likelihood of community-based validation interactions were predicted by several factors, including the types of organisms observed and whether the data were submitted from a mobile device. We conclude with implications for technology design, citizen science practices, and research.

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The importance of broadening community participation in environmental decision-making is widely recognized and lack of participation in this process appears to be a perennial problem. In this context, there have been calls from some academics for the more extensive use of geographic information systems (GIS) and distance learning technologies, accessible via the Internet, as a possible means to inform and empower communities. However, a number of problems exist. For instance, at present the scope for online interaction between policy-makers and citizens is currently limited. Contemporary web-based environmental information systems suffer from this lack of interactivity on the one hand and on the other hand from the apparent complexity for the lay user. This paper explores the issue of online community participation at the local level and attempts to construct a framework for a new (and potentially more effective) model of online participatory decision-making. The key components, system architecture and stages of such a model are introduced. This model, referred to as a ‘Community Based Interactive Environmental Decision Support System’, incorporates advanced information technologies, distance learning and community involvement tools which will be applied and evaluated in the field through a pilot project in Tokyo in the summer of 2002.

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In 2007, a comprehensive review of the extant research on nonpharmacological interventions for persons with early-stage dementia was conducted. More than 150 research reports, centered on six major domains, were included: early-stage support groups, cognitive training and enhancement programs, exercise programs, exemplar programs, health promotion programs, and “other” programs not fitting into previous categories. Theories of neural regeneration and plasticity were most often used to support the tested interventions. Recommendations for practice, research, and health policy are outlined, including evidence-based, nonpharmacological treatment protocols for persons with mild cognitive impairment and early-stage dementia. A tested, community-based, multimodal treatment program is also described. Overall, findings identify well-supported nonpharmacological treatments for persons with early-stage dementia and implications for a national health care agenda to optimize outcomes for this growing population of older adults.

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Background and Aim: To investigate participation in a second round of colorectal cancer screening using a fecal occult blood test (FOBT) in an Australian rural community, and to assess the demographic characteristics and individual perspectives associated with repeat screening. ---------- Methods: Potential participants from round 1 (50–74 years of age) were sent an intervention package and asked to return a completed FOBT (n = 3406). Doctors of participants testing positive referred to colonoscopy as appropriate. Following screening, 119 participants completed qualitative telephone interviews. Multivariable logistic regression models evaluated the association between round-2 participation and other variables.---------- Results: Round-2 participation was 34.7%; the strongest predictor was participation in round 1. Repeat participants were more likely to be female; inconsistent screeners were more likely to be younger (aged 50–59 years). The proportion of positive FOBT was 12.7%, that of colonoscopy compliance was 98.6%, and the positive predictive value for cancer or adenoma of advanced pathology was 23.9%. Reasons for participation included testing as a precautionary measure or having family history/friends with colorectal cancer; reasons for non-participation included apathy or doctors’ advice against screening.---------- Conclusion: Participation was relatively low and consistent across rounds. Unless suitable strategies are identified to overcome behavioral trends and/or to screen out ineligible participants, little change in overall participation rates can be expected across rounds.