48 resultados para Hémorragie intracrânienne


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Objectif : Étudier le risque d’hémorragies intracrâniennes et d’infarctus du myocarde chez les patients vivant avec le VIH. Méthode : J’ai réalisé deux études de cohorte au sein de la banque de données de la Régie de l’assurance maladie du Québec. J’ai défini la cohorte des patients VIH-positifs, y ai étudié l’incidence d’hémorragies intracrâniennes et d’infarctus du myocarde, et l’ai comparée à une cohorte VIH-négative de même âge et de même sexe. J’ai étudié l’association entre ces évènements et l’exposition aux antirétroviraux au moyen d’études cas-témoin nichées dans la cohorte des patients VIH-positifs. Résultats : Le VIH est associé à un risque plus élevé d’hémorragies intracrâniennes, particulièrement au stade SIDA. Les patients VIH-positif sont également plus à risque de subir un infarctus du myocarde, et certains antirétroviraux sont associés à un risque plus grand. Conclusion : Les banques de données médico-administratives représentent un moyen valable d’étudier les comorbidités non-infectieuses chez les patients atteints du VIH.

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Today, postpartum hemorrhage remains a leading cause of maternal morbidity and mortality. Medical treatment, various surgical procedures and/or uterine artery embolisation have considerably reduced the risk of hysterectomy. It is important to identify the different risk factors of hemorrhage after delivery and to take the precautions to avoid it. A clear strategy defined by the obstetrical team is essential to decrease the delay in the management of this complication in order to increase the chances of a successful treatment.

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Gastrointestinal bleeding is among the major clinical challenges for the gastroenterologists and the initial approach is very complex. For a big part of bleeding lesions, it is important to perform an endoscopic hemostatis after the introduction of an intravenous treatment (that has to be started as soon as there is a clinical suspicion of an upper gastrointestinal bleeding). The significant progresses made during the last years have allowed firstly to see the entire small bowel mucosa (video capsule) and secondly new treatments have successfully replaced surgical interventions.

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Introduction : L'HSA d'origine anévrismale est une pathologie au pronostic sombre, tout retard diagnostique exposant le patient à un risque élevé de récidives hémorragiques potentiellement fatales. La sensibilité du CT scanner étant jugée insuffisante dans cette indication, la majorité des recommandations actuelles préconisent la réalisation systématique d'une ponction lombaire après toute imagerie cérébrale négative. L'analyse spectrophotométrique du LCR permet en effet de différencier un saignement récent dans l'espace sous-arachnoïdien d'une ponction lombaire traumatique par détection de bilirubine. Or, le caractère invasif de cet examen et son manque de spécificité posent des difficultés en pratique. De plus, l'excellente sensibilité des CT de dernières générations, du moins dans les premières heures suivant la survenue de l'HSA, remet en question le dogme d'une PL systématique dans l'algorithme diagnostique d'une céphalée suspecte. Objectif : Evaluer le rendement diagnostique de la spectrophotométrie du LCR dans le cadre d'une suspicion d'HSA après une imagerie normale, afin d'en préciser les indications. Méthode : Étude monocentrique et rétrospective au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois de Lausanne du 1er janvier 2005 au 18 novembre 2010. Extraction de toutes les spectrophotométries positives et analyse approfondie des dossiers concernés. Dans un second temps, et durant la même période, revue de tous les séjours hospitaliers comportant le diagnostic d'HSA , afin d'extraire en particulier les HSA dont le diagnostic a été établi par spectrophotométrie en raison d'une imagerie initiale négative ou non conclusive. Résultats : 869 PL du 1er janvier 2005 au 18 novembre 2010. 36 (4.1%) examens positifs (concentration de bilirubine dans le LCR > 0.3 μmol/l), dont 14 (38.9%) dans un contexte d'HSA (valeur prédictive positive de 38.9%). Sur les 14 cas positifs, 3 ont été diagnostiqués exclusivement par la PL, mais aucune dans un cadre d'HSA anévrismale. Dans la même périodepériode, 235 HSA diagnostiquées, dont 7 (2.9%) avec une imagerie cérébrale initiale négative. Sur ces 7 cas, seuls 2 ont été diagnostiqués comme une HSA d'origine anévrismale. La sensibilité du CT dans notre recherche atteint donc 99.15%. Discussion : Sur les 36 spectrophotométries positives, 22 se sont révélées a posteriori faussement positives, confirmant dès lors la faible spécificité et la faible valeur prédictive positive de l'analyse spectrophotométrique du LCR . Ces faux positifs entraînent la réalisation d'examens invasifs (angiographie cérébrale conventionnelle), dont les complications sont bien décrites. Bien que les résultats ne nous permettent pas de chiffrer le nombre potentiel d'HSA manquées faute d'un examen du LCR, aucun cas d'HSA d'origine anévrismale n'a été diagnostiqué sur la base exclusive de la PL durant la période étudiée. Cette faible spécificité appuie l'idée de développer un score clinique prédictif afin de ne réserver la PL qu'aux patients jugés à haut risque d'HSA. La PL garde néanmoins un rôle dans la détection des HSA d'origine non anévrismales. Conclusions : Lors d'une suspicion clinique d'HSA, le rendement diagnostique de l'analyse du LCR après un angio- CT cérébral normal est faible, tout comme son impact sur la prise en charge, au prix d'un nombre important de faux positifs. La PL reste certainement indiquée face à des céphalées suspectes évoluant depuis plus de 24 heures. Toutefois, au vu de l'excellente valeur prédictive négative d'un CT cérébral réalisé précocement et interprété par un neuroradiologue, cet examen ne devrait être réservé qu'aux situations à haut risque d'HSA. A cet égard, le développement d'un score prédictif validé permettrait de mieux sélectionner les candidats à une PL.

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Introduction: Le glucose est le principal substrat énergétique cérébral. Sa concentration dans le cerveau est étroitement liée à la glycémie. Chez le patient neurolésé, du fait de l'augmentation des besoins énergétiques, les réserves cérébrales de glucose sont limitées. Une glycémie suffisamment élevée paraît nécessaire pour assurer un apport adéquat de glucose au cerveau. Objectifs : Le but de cette étude est de mieux comprendre la relation entre glucose cérébral et glycémie lors de lésion cérébrale en analysant la physiologie cérébrale chez des patients neurolésés. Plus précisément nous investiguerons: La relation entre le glucose cérébral et le glucose systémique et son association avec le pronostic vital, l'association entre la neuroglucopénie et différents paramètres cérébraux tel que l'hypertension intracrânienne (HTIC) ou la dysfonction énergétique et finalement l'effet d'une perfusion de glucose 10% sur le glucose cérébral lors d'état de neuroglucopénie. Méthodologie : Analyse d'une base de données prospective comportant des patients souffrant d'un traumatisme crânio-cérébral (TCC) ou une hémorragie sous- arachnoïdienne (HSA) sévères. Les patients comateux sont monitorés par un dispositif intra-parenchymateux avancé, comprenant un cathéter de microdialyse cérébrale et un capteur de PbO2. Résultats : 34 patients consécutifs (moyenne d'âge 42 ans, moyenne de temps jusqu'au début du monitoring : 1.5 jours ± 1 ; moyenne de la durée maximale du monitoring : 6 jours ± 3) ont été étudiés, 25 patients souffrant d'un TCC et 9 patients avec une HSA. Nous avons obtenu une corrélation individuelle entre le glucose cérébral et la glycémie chez 52.9 % des patients. Lorsque la glycémie est inférieure à 5 mmol/l, on observe plus fréquemment des épisodes de neuroglucopénie en comparaison aux valeurs intermédiaires de glycémie (5 - 9.9 mmol/l). Les épisodes d'HTIC (pression intracrânienne (PIC) > 20 mmHg) sont plus fréquemment associés à des épisodes de neuroglucopénie que lorsque la pression intracrânienne est normale 75 % vs. 35%. La dysfonction énergétique est plus souvent associés à des épisodes de neuroglucopénie que lorsque le LPR est normal: 55% contre 36%. Un coefficient de corrélation entre glucose cérébral et glycémie significativement plus élevé a été obtenu chez les survivants que chez les non-survivants (0.1 [interquartile range 0.02- 0.3] contre 0.32 [0.17-0.61]). Chez les patients neuroglucopéniques ayant une corrélation entre glucose cérébral et glycémie, la perfusion de glucose i.v. fait monter le glucose cérébral jusqu'à l'arrêt de la perfusion. Conclusion : Malgré une étroite relation entre glycémie et glucose cérébral en conditions stables, cette relation peut être altérée par des causes cérébrales chez les patients neurolésés montrant que la diminution de la disponibilité du glucose extracellulaire ne résulte pas uniquement d'une hypoglycémie relative mais également de causes cérébrales tel que l'hypoperfusion, l'HTIC ou la dysfonction énergétique.

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Intracranial hypertension is an emergency suspected from clinical symptoms, imaging data and ophthalomologic signs. Intracranial hypertension is confirmed by invasive intracranial monitoring, which is the gold standard technique to measure intracranial pressure (ICP). Because of complications, hemorrhage or infection, non-invasive methods have been developed such as neuroimaging, transcranial Doppler sonography and optic nerve sheath diameter (ONSD) ultrasonography. We have reviewed ONSD technique that detects intracranial hypertension related volume variations of subarachnoid space along the retro bulbar segment of the optic nerve. Technique, indications and prospects are discussed.

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Le propos de cette thèse est de discuter la question de la causalité psychique dans les phénomènes d'angoisse, en partant d'un cas de notre pratique clinique. Notre patient est un jeune homme, victime d'une hémorragie sous-corticale frontale droite, qui présente principalement un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche. De façon surprenante, un apaisement de son angoisse survient, alors qu'avant l'accident vasculaire ce symptôme était bien présent. A partir de ce cas et en prenant appui sur la littérature médicale et psychanalytique, nous tentons d'expliquer l'apaisement de l'angoisse. Finalement, nous proposons une manière d'appréhender et de soutenir les patients atteints d'un accident vasculaire cérébral, en particulier lorsqu'ils souffrent de symptômes de la lignée psychiatrique, une problématique qui s'observe fréquemment.

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Upper gastrointestinal bleeding is a potentially serious event, usually requiring urgent endoscopic treatment. Better stratification of the risk of complication or death could optimize management and improve patient outcomes, while ensuring adequate resource allocation. Several prognostic scores have been developed, in order to identify high risk patients, who require immediate treatment, and patients at low risk for whom endoscopy may be delayed. An ideal prognostic score should be accurate, simple, reproducible, and prospectively validated in different populations. Published scores meet these requirements only partially, and thus can only be used as part of an integrative diagnostic and therapeutic process.

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Diffuse alveolar hemorrhage (DAH) is defined by the presence of red blood cells originating from the lung capillaries or venules within the alveoli. The diagnosis is established on clinical features, radiological pattern, and especially bronchoalveolar lavage. Diffuse alveolar hemorrhage may have many immune or non-immune causes. Immune causes of DAH include vasculitides, connective tissue diseases, especially systemic lupus erythematosus, and antiglomerular basement membrane antibody disease (Goodpasture's syndrome). Treatment is both supportive and causal, often based on high dose corticosteroids and immunosuppressive therapy (especially intravenous cyclophosphamide). Plasma exchanges are performed in antiglomerular basement membrane antibody disease and systemic lupus erythematosus, and are considered in systemic vasculitis. Non-immune causes of DAH mainly include heart diseases, coagulation disorders, infections, drug toxicities and idiopathic DAH. Treatment of non-immune DAH is that of its cause. Whatever the cause, DAH is an emergency requiring prompt assessment and early treatment.

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Usefulness of a predictive score in subarachnoid hemorrhage diagnosis Nearly half of the patients with non-traumatic subarachnoid hemorrhage (SAH) present with no neurological signs, inducing clinical underestimation of the gravity of their affection. As the outcome of aneurismal SAH is highly dependant on the initial neurological status and the recurrence of untreated hemorrhagic events, these neurologically intact patients stand to suffer the most from delayed diagnosis. Although there is currently no validated predictive score that reliably identifies SAH-induced headache, a combination of clinical criteria derived from a cohort of sudden-onset headache patients should allow risk stratification and identification of those patients requiring further investigation.

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The case of a 41-year-old alcoholic patient who presented with massive upper gastrointestinal bleeding is reported. The diagnosis was established rapidly by endoscopy which revealed bleeding through the papilla of Vater. Selective angiography of the superior mesenteric artery opacified the pancreatic duct as well as the duodenum. CT scan showed signs of chronic pancreatitis. Because of the recurrence of bleeding and shock, an urgent operation was necessary and a Whipple procedure was performed. Recovery was complete. The clinical presentation, the etiology, the diagnostic modalities and the treatment of this particular condition are discussed. Usually, hemorrhage through the pancreatic duct presents as repeated episodes of upper gastrointestinal bleeding with no source found at endoscopy. The presence of chronic pancreatitis or of epigastric pain during bleeding should suggest the diagnosis. Upper gastrointestinal endoscopy and angiography are the principal diagnostic tools. Definitive treatment requires surgery, and resection in most of the cases.