892 resultados para Great powers
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Introduction.--Germany and Austria-Hungary.--Russia and Austria-Hungary.--Italy and Austria-Hungary.--Austria-Hungary and her southern neighbours.--Austria versus Hungary.--Books consulted, p. 71-74.--Index.
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Wydział Nauk Politycznych i Dziennikarstwa
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The thesis assesses the impact of international factors on relations between Greek and Turkish Cypriots during and after the Cold War. Through an analysis of the Cyprus problem it explores both why external actors intervene in communal conflicts and how they influence relations between ethnic groups in plural societies. The analytical framework employed throughout the study draws on contributions of International Relations theorists and students of ethnic conflict. The thesis argues that, as in the global political system, relations between ethnic groups in unranked communal systems are anarchic; that is, actors within the system do not recognize a sovereign political authority. In bipolar communal systems dominated by two relatively equal groups, the struggle for security and power often leads to appeals for assistance from external actors. The framework notes that neighboring states and Great Powers may heed calls for assistance, or intervene without a prior request, if it is in their interest to do so. The convergence of regional and global interests in communal affairs exacerbates ethnic conflicts and precludes the development of effective political institutions. The impact of external intervention in ethnic conflicts has the potential to alter the basis of communal relations. The Cyprus problem is examined both during and after the Cold War in order to gauge how global and regional actors and the structure of their respective systems have affected relations between ethnic groups in Cyprus. The thesis argues that Cyprus's descent into civil war in 1963 was due in part to the entrenchment of external interests in the Republic's constitution. The study also notes that power politics involving the United States, Soviet Union, Greece and Turkey continued to affect the development of communal relations throughout the 1960s, 70s, and, 80s. External intervention culminated in July and August 1974, after a Greek sponsored coup was answered by Turkey's invasion and partition of Cyprus. The forced expulsion of Greek Cypriots from the island's northern territories led to the establishment of ethnically homogeneous zones, thus altering the context of communal relations dramatically. The study also examines the role of the United Nations in Cyprus, noting that its failure to settle the dispute was due in large part to a lack of cooperation from Turkey, and the United States' and Soviet Union's acceptance of the status quo following the 1974 invasion and partition of the island. The thesis argues that the deterioration of Greek-Turkish relations in the post-Cold War era has made a solution to the dispute unlikely for the time being. Barring any dramatic changes in relations between communal and regional antagonists, relations between Greek and Turkish Cypriots will continue to develop along the lines established in July/August 1974. The thesis concludes by affirming the validity of its core hypotheses through a brief survey of recent works touching on international politics and ethnic conflict. Questions requiring further research are noted as are elements of the study that require further refinement.
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L’idée d’une égalité souveraine apparaît en même temps que le système international multilatéral. Bien que l’égalité souveraine soit consacrée explicitement dans la Charte des Nations Unies, le principe reste indéfini. Cette étude propose une définition de l’égalité souveraine en trois facettes : l’égalité formelle, l’égalité législative et l’égalité existentielle. Suite à l’examen des trois dimensions de l’égalité souveraine, une conception stricte de l’égalité souveraine ne peut être soutenue puisque toutes les facettes sont atteintes d’une relativité soit par la légalisation de l’hégémonie, par la bifurcation de l’ordre juridique international, la représentation inégale au sein des institutions multilatérales ou par l’anti-pluralisme. Bref, l’examen de chacune des facettes du principe de l’égalité souveraine démontre que l’égalité souveraine est une fiction juridique. Le principe de l’égalité souveraine peut difficilement être justifié par rapport à la réalité de la société internationale. Il demeure néanmoins utile, ne serait-ce que pour freiner le pouvoir des Grandes Puissances et se poser comme un idéal à atteindre.
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Turbulences et changements institutionnels au sein de la Société internationale : une perspective historique Cette recherche puise ses origines du constat que la présente société internationale apparaît plus que jamais mal outillée et en perte de légitimité pour gérer les nouveaux déséquilibres qui ébranlent sa sécurité. Nous voulons vérifier si les présentes difficultés à gérer l’ordre interétatique sont des signes précurseurs d’une période de turbulences systémiques qui ébranleraient ses fondations. Nous avançons comme principale hypothèse de recherche qu’une perte de légitimité dans les mécanismes d’ordre d’une société westphalienne engendre une période plus ou moins longue de turbulences systémiques, provoquant un retour à l’antihégémonie caractérisée par l’établissement d’un nouvel ordre sociétal. Pour vérifier cette hypothèse, nous nous associons au cadre théorique de l’École anglaise qui analyse les relations interétatiques en qualifiant le caractère de l’ordre qui les gouverne. Ses adeptes y parviennent en étudiant les forces qui engendrent le maintien d’un environnement international antihégémonique, ainsi que la nature des réciprocités interétatiques qui s’en dégage. Ainsi, en observant les diverses institutions créées pour gérer l’ordre, ils sont en mesure de mieux comprendre l’évolution, la diffusion et la pérennisation de l’établissement d’une société des États. Cette approche nous a permis de construire un modèle explicatif pour notre dynamique sociétale. Par la suite, afin de répondre à notre questionnement initial, nous proposons d’analyser le statut de diverses sociétés internationales lors d’époques caractérisées par une période systémique de grands chaos, suivie du retour d’un régime sociétal. Nous cherchons à établir si des analogies peuvent être faites sur leur processus de transformation pour, par la suite, vérifier si elles peuvent s’appliquer à la nature du changement qui s’opère dans la présente société internationale. L’analyse historique comparative s’avère un instrument tout désigné pour ce type de recherche. Les époques sélectionnées pour notre recherche couvrent la Guerre de Trente Ans, les Guerres napoléoniennes et la Première Guerre mondiale. La nature antihégémonique d’une société des États, en plus de maintenir un environnement anarchique, crée un climat de rivalités qui entraîne un processus de transformations dans la dynamique de l’ordre. Ce facteur de changement fut introduit sous le concept de progrès sociétal, lequel engendre une désuétude institutionnelle dans les mécanismes de l’ordre sociétal, pouvant entraîner une période de turbulences systémiques. Ainsi, pour mieux observer ce phénomène, nous avons adopté les institutions comme outils d’analyse. Elles nous permettent d’être plus critiques des phénomènes observés, tout en nous autorisant à les comparer entre elles, en raison de leur longévité. Nos recherches révèlent la pérennité d’une dynamique de transformation au sein des sociétés westphaliennes, dont la nature entraîne des déséquilibres sociétaux qui varient selon son intensité. Nous observons aussi que, malgré l’égalité légale que confère la souveraineté aux États, les Grandes puissances sont les principaux artisans d’un système international. Leur aptitude à l’unilatéralisme fut souvent associée à l’émergence de turbulences systémiques. Nos recherches montrent que l’interdépendance et la coopération interétatique sont aussi alimentées par la diffusion et le partage d’une économie libérale. C’est aussi cette même interdépendance qui, progressivement, rend la guerre entre Grandes puissances désuète. Plus l’interdépendance et le multilatéralisme s’intensifient dans un environnement sociétal, plus le progrès sociétal a tendance à se manifester sous les aspects d’une transformation systémique progressive (non violente) plutôt que révolutionnaire (période de turbulences systémiques). La présente société internationale est sous l’influence du progrès sociétal depuis son avènement. Sa stabilité est directement liée à la capacité de ses mécanismes d’ordre à contrer les déséquilibres que le progrès engendre, ainsi qu’à l’aptitude de ses Grandes puissances à limiter leur propension à l’unilatéralisme. Donc, ces mécanismes doivent pouvoir intégrer le progrès pour maintenir leur légitimité et éviter d’engendrer une période de turbulences systémiques.
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L’adoption de la Charte des Nations unies à San Francisco le 26 juin 1945 et son entrée en vigueur le 24 octobre de la même année a matérialisé la volonté des Vainqueurs d'éviter une troisième catastrophe à l'humanité. Cet accord a eu la bénédiction des super puissances et scellé la naissance d'une Organisation à vocation universelle qu'est l'ONU, susceptible de faire asseoir des instruments nécessaires pour pallier aux manquements de la défunte SDN. Aussi, cette naissance est perçue comme le parachèvement de l'évolution du droit international, ayant édifié, non seulement une structure plus solide, mais aussi capable d'encadrer l'usage de la force par les États. Par ailleurs, cet encadrement est confié au Conseil de sécurité, son organe le plus puissant dans la mesure où il est le seul compétent pour constater la violation par un État de ses obligations en matière de respect de la paix et de la sécurité internationales. Cependant, les critiques sont de plus en plus nombreuses à son égard. En effet, dans son ossature actuelle, il paraît obsolète, car n'est pas en phase avec les réalités géopolitiques et économiques du moment. Depuis plusieurs décennies, des propositions de réforme ont été suggérées sans pourtant parvenir à un consensus au niveau des États membres, plus spécifiquement des membres permanents du Conseil. Ce mémoire vise premièrement à effectuer une analyse des différentes propositions puis deuxièmement à présenter une formule de « sortie de crise ». Des deux types de propositions que nous avons identifiés (Groupes de travail vs Groupes d'États), à l'exception de l'équipe « Unis pour le consensus », préconisent à l'unanimité la modification de la catégorie des membres permanents. Notre analyse révèle que les principaux privilèges, à savoir le droit de véto et la permanence au Conseil de sécurité constituent les points d'achoppement de la réforme dans la mesure où leur modification reviendrait à amoindrir les prérogatives du club des cinq. À cet effet, nous courons le risque de nous engager dans une solution utopique. Pour notre part, nous avons souhaité la solution de la « régionalisation de la sécurité », c'est-à-dire, confier les opérations de maintien de la paix et de la sécurité de chacune des régions du monde à son organisation correspondante. Pour y parvenir, il est primordial de renforcer les pouvoirs desdites organisations, afin d'avoir toute l'autonomie nécessaire dans les prises de décisions dans la prévention et la gestion de ces différents conflits régionaux.
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Las tensiones geopolíticas entre Kirguistán y Uzbekistán por el Valle de Fergana durante el periodo 2001-2010 a partir de un análisis histórico de la formación de la población y la influencia de los diferentes imperios en la región. Adicionalmente, los aspectos relativos a la importancia de los recursos energéticos en el Valle de Fergana como la configuración de las tensiones generadas entre estos dos países, haciendo énfasis en el conflicto étnico latente que se ha generado en la zona. De se utilizarán la teoría constructivista de Alexander Wendt y la teoría de la geopolítica de Yves Lacoste.
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Desde la caída de la URSS el continente Euroasiático ha sufrido cambios importantes como una nueva configuración del Sistema Internacional que generó procesos políticos a través de la lucha de los Estados por alcanzar sus objetivos. La ubicación geográfica y los recursos resaltan la importancia de la zona y es por esto empiezan los conflictos entre los Estados por obtener un control y poder sobre estos territorios. Rusia afianzo su fuerza con la influencia que logró sobre los territorios que quedaron después de la disolución de la URSS en 1991 creando así una zona de protección y apoyo para sus intereses. Por su lado Georgia que había logrado finalmente su independencia total buscaba consolidar una estabilidad política, económica, social y cultural, elementos que se habían perdido un poco después de las invasiones y ocupaciones por otros poderes. En este contexto cae como una bomba la intención independentista de Abjasia y Osetia del Sur, territorios que siempre habían estado bajo mando de otros poderes y ahora querían libertad a través de la conformación de un Estado propio y una autonomía que les permitiera tener un gobierno y un aparato estatal que velara por sus intereses. Este trabajo se centrará en contestar a la siguiente pregunta ¿De qué manera la situación geopolítica de Osetia del Sur y Abjasia y las relaciones entre Rusia y Georgia influyeron en el conflicto generado a partir de la intención de independencia de los territorios de Abjasia y Osetia del Sur?
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A partir del Neorrealismo de Waltz y el concepto de securitización se analiza cómo el discurso de la seguridad humana es instrumentalizado por las grandes potencias para justificar la intervención en terceros países para la consecución de sus intereses. Se ilustra con los casos de Kosovo y Libia.