871 resultados para Fronteir conflict and violence
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Racial and ethnic violence takes many forms. Genocides, ethnic cleansing, pogroms, civil wars, and violent separatist movements are the most obvious and extreme expressions, but less organized violence such as rioting, and hate crimes by individuals or small groups are products of racial and ethnic conflict as well. Also, the distribution of criminal violence within societies, which may or may not be aimed at members of another group, is in some places a by-product of ongoing conflicts between superior and subordinated racial or ethnic groups. Although estimates of the number of deaths attributable to ethnic violence vary widely, range of eleven to twenty million given for the period between 1945 and the early 1990s show the gravity of this type of conflict (Williams 1994, 50). So it comes as no surprise that scholars have paid increasing attention to such conflicts over the last decades.
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The results of a questionnaire survey of 3,578 young protesters aged 15 to 24 were used to create a typology of the motive structures of the young globalization critics who participated in protests against the G8 summit in Heiligendamm in June 2007. Eight groups with different motive structures identified using cluster analysis reveal the spectrum of motives of the young demonstrators, ranging from social and political idealism to hedonistic fun-seeking and nationalist motives. Despite the diversity of motives, two cross-cluster motives can be identified: the results clearly show that the majority of respondents were motivated by political idealism and rejected violence. Two overlapping minorities were found: one where political idealism was largely lacking, and another where violence was a prominent motive.
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This paper provides empirical evidence of the persistent effect of exposure to political violence on humancapital accumulation. I exploit the variation in conflict location and birth cohorts to identify the longandshort-term effects of the civil war on educational attainment. Conditional on being exposed toviolence, the average person accumulates 0.31 less years of education as an adult. In the short-term,the effects are stronger than in the long-run; these results hold when comparing children within thesame household. Further, exposure to violence during early childhood leads to permanent losses. I alsoexplore the potential causal mechanisms.
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This paper asks: is it a fact that there is more violence in districts affected by Naxalite (Maoist) activity compared to those which are free of Naxalite activity? And can the existence of Naxalite activity in some districts of India, but not in others, be explained by differences in economic and social conditions? This study identifies districts in India in which there was significant Naxalite activity and correlating the findings with district-level economic, social, and crime indicators. The econometric results show that, after controlling for other variables, Naxalite activity in a district had, if anything, a dampening effect on its level of violent crime and crimes against women. Furthermore, even after controlling for other variables, the probability of a district being Naxalite-affected rose with an increase in its poverty rate and fell with a rise in its literacy rate. So, one prong in an anti-Naxalite strategy would be to address the twin issues of poverty and illiteracy in India.
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Children living in a conflict-affected society can be exposed to daily violence in their communities and, as such, may be at risk of a range of harmful effects. Psychosocial interventions in conflict-affected areas aim to improve outcomes for children and can be treatment or prevention focused. The literature mainly focuses on psychological effects e.g. PTSD or anxiety disorders. Until recently, rather less attention was paid to the influence of mediating variables (cultural context or personal capacity) and their importance in reducing harmful effects.
This systematic review will assess the effectiveness of interventions in reducing the harmful effects of war and conflict-related violence on young children. It will also determine whether the interventions have differential effects depending on age and gender.
Children living in conflict-affected societies have unique needs for support and services. As such, any intervention delivered should be designed and implemented using the best available evidence. Professionals, policy makers and service provider will benefit from this review as to ‘what works’ for this vulnerable population and further exploration (via a Ph.D.) is planned to further extend the impact of this review.
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RESUME L'objectif de cette thèse est d'approfondir la compréhension de la transformation des conflits liés à l'utilisation et la répartition des ressources foncières, de l'eau ainsi que des ressources politiques en région aride ou semi-aride. Cette thèse se concentre en particulier sur la façon dont les acteurs et les institutions résolvent les conflits dans un espace dominé par un mode de vie pastoral au sein des pays de la Corne de l'Afrique. Celle-ci réunit des zones périphériques mal contrôlée et caractérisée par une faible administration publique qui coexiste avec des instances coutumières et d'autres autorités. Le cas de la région Somali d'Ethiopie (ou Ogaden) nous démontre que les disputes et les pratiques de gestion des conflits existantes sont encastrées dans les normes, les politiques et les relations de pouvoir locales. Par conséquent, ce travail réfute le déterminisme causal de la littérature des conflits dits environnementaux en soulignant l'existence d'une vaste palette de stratégies de résolution des conflits. Il démontre empiriquement la capacité des éleveurs, des paysans et d'autres utilisateurs de ressources en propriété commune («common- pool resources », CPRs) à coopérer plutôt qu'à se disputer. De la même façon, la préférence idéologique de la plupart des études sur les CPRS pour des groupes d'utilisateurs homogènes et des systèmes de ressources d'utilisation simple est remise en question. En effet, l'existence de multiples ressources naturelles et politiques dans la région Somali d'Ethiopie justifie cette remise en cause. En soulignant l'économie politique dans laquelle se situent les conflits pastoraux et leur gestion cette thèse critique l'approche dépolitisée sur l'utilisation des ressources en propriété commune ainsi que les perspectives technocratiques sur les processus de construction des institutions. Les résultats de recherche marquent le rôle central et souvent inattendu de l'état dans la formation des conflits et la gestion des ressources dans sa périphérie pastorale. Avec |'introduction du fédéralisme ethnique éthiopien et la décentralisation administrative, la construction de l'état à pris une tournure nouvelle dans la région Somali depuis |991 - la période analysée dans cette étude. Ce processus fut accompagné de trois dynamiques parallèles (1) L'expansion des ressources étatiques dans les zones rurales les plus reculées, (2) la politisation des liens de parenté et (3) la redéfinition de la relation entre l'homme et son environnement naturel. En ce qui concerne l'atténuation des conflits, la thèse révèle que le rôle de l'état est spatialement différentié, que l'incorporation des autorités coutumières dans les gouvernements locaux est politiquement ambiguë, et que l'appui sur les lois coutumières ne « gèle » pas forcement les traditions. Les institutions mixtes qui allient règles coutumières et bureaucratiques sont souvent efficaces dans la gestion et la résolution des conflits liés aux ressources en milieu rural, mais pas dans la prévention et la transformation de ces conflits sur le long terme. En ce qui concerne la gestion des ressources, l'étude souligne le fait que les politiques publiques institutionnelles qui ignorent les variations saisonnières de l'utilisation des ressources, la multiplicité des revendications par les utilisateurs des ressources et les droits de propriété non exclusif ne font qu'aggraver des tensions entre divers groupes plutôt que de les atténuer. C'est précisèrent le cas de la décentralisation selon la logique « ethnique » de l'Ethiopie et d'autres politiques publiques sectorielles dont le but est de promouvoir la sédentarisation en incitant les groupes pastoraux à réclamer et occuper les territoires de manière permanente. En conclusion, cette thèse insiste sur (1) l'importance du renforcement du système de régulation au sein du régime institutionnel de ressources pastorales, (2) l'élaboration de nouvelles normes qui produisent des arrangements fonciers reconnus à la fois par les communautés et l'état, (3) la conception de politique publiques qui prennent en compte le périmètre des écosystèmes en place plutôt que des entités ethniques ou politiques et (4) le besoin d'un processus de démocratisation des projets de développement et de la représentation politique en périphéries semi-aride. L'étude est composée des chapitres suivants. Le chapitre 1 introduit les éléments clés des systèmes d'élevage dans la Corne de l'Afrique et les transitions économiques, écologiques et politiques dans lesquelles se situe le pastoralisme nomade. Quelques thèmes récurrents sont ici résumés dont le déclin des économies de cheptel, l'érosion de la gestion des terres arides et l'expansion de l'insécurité physique. Le chapitre 2 dissèque de manière critique le concept de conflit environnemental et les théories de la propriété commune en tant qu'explications théoriques des conflits dits pastoraux. Tandis que le premier décrit la violence comme une réaction à la raréfaction des ressources naturelles due aux pressions démographiques et au changement climatique, les secondes considèrent les confits comme l'expression d'un échec institutionnel de droits de propriété insuffisamment définis. Ce chapitre expose les défauts de ces deux explications et propose une approche alternative qui tient compte des relations de pouvoir, des institutions de gestion des conflits et des ressources naturelles, et de l'écologie non-équilibrée des régions arides. Le chapitre 3 élabore un cadre conceptuel qui rassemble des perspectives empruntées à la littérature portant sur la gestion des ressources naturelles, les techniques de médiation des conflits, les nouvelles théories « new range ecology » et les régimes institutionnels de ressources naturelles. Trois hypothèses décrivent les conditions requises pour prévenir, résoudre ou transformer les conflits liés à l'utilisation multiple des ressources dans les zones pastorales. Elles concernent (1) l'inclusion de partis tiers dans les processus de gestion de confits, (2) l'intégration de règles bureaucratiques et coutumières dans la gestion des ressources et des conflits et (3) le régime institutionnel de ressources naturelles qui concilie des revendications multiples aux ressources CPRs de manière flexible et inclusive. Le chapitre 4 présente les méthodes et la philosophie de recherche qui sous-tendent l'argumentation et l'analyse de la thèse. Il détaille l'opérationnalisation du cadre conceptuel et la sélection des études de cas, le processus de collecte des données et se penche sur les expériences de recherches de terrain de l'auteur. Le chapitre 5 décrit les conflits fonciers dans le district de Harshin où une expansion incontrôlée de clôtures des pâturages a encouragé la prolifération de conflits violents parmi les éleveurs Isaaq depuis la fin des années 1980. L'hétérogénéisation de l'utilisation des ressources, la multiplication des règles de gestion et l'incapacité des anciens à imposer un retour à la propriété commune des pâturages sont les points centraux de cette étude de cas. Le chapitre 6 passe en revue la compétition féroce autour de l'eau le long de la berge très peuplée et fertile du Wabi Shabelle dans le district de K'elafo. L'étude de cas reflète les interactions généalogiques complexes entre les groupes "nobles" et les « communs », la dépendance des cultivateurs Rer Barre du capital et de la technologie, pour les pompes à eaux par exemple, et l'importance continue des pratiques coutumières de gestion de l'agriculture. Le chapitre 7 démontre les rivalités autour du gâteau fiscal dans la capitale de la région Somali, Jijiga, où les partis politiques, les anciens claniques et les technocrates manoeuvrent pour le partage du pouvoir et des positions au sein de l'administration régionale. L'étude de cas rend compte de l'usage politisé du budget public, de l'expansion des ressources étatiques dans les zones rurales à travers la décentralisation, et de l'importance des agents intermédiaires entre les niveaux fédéral, régional et local dans l'allocation des ressources. Le chapitre 8 analyse les rôles et contributions respectifs des anciens et des acteurs étatiques dans la gestion de conflits violents entre les différents groupes dans la région Somali. En révélant les points forts et faibles des processus de paix basés sur les compensations de sang, ce chapitre propose une appréciation nuancée de la proposition (1) concernant l'inclusion de partis tiers dans la gestion de conflit. Le chapitre conclut en soulignant les contradictions et les effets associés à la délégation aux autorités coutumières par l'état Ethiopien de la résolution des conflits et de la maintenance de la sécurité. Le chapitre 9 se concentre sur l'impact des projets de développement financés par l'état et des politiques publiques qui régulent la propriété des terres communes dans les régions pastorales de l'Ethiopie. Ni les politiques publiques sectorielles existantes ni les principes institutionnels du fédéralisme ethnique ne reconnaissent les revendications et utilisations multiples qui se font des ressources dans la région aride et semi- aride, ce qui valide la proposition (3) sur le besoin d'un régime institutionnel de ressources différencié et flexible. Le chapitre attire l'attention sur les aspects contre-productifs d'une administration et d'une représentation politique basées sur un concept territorial, ce qui encourage une occupation permanente des ressources pour des bénéfices politiques. Le chapitre 10 conclut en évaluant la proposition (2) qui concerne l'efficacité de la gestion et de la transformation des conflits basés sur l'intégration des règles et lois coutumières et bureaucratiques. Ce chapitre souligne le rôle controversé mais décisif de la construction et de l'expansion graduelle de l'état dans les périphéries pastorales. Finalement, quelques recommandations sont proposées en vue de l'amélioration de la gestion des conflits et des ressources en milieu pastoral clans la région Somali et des espaces comparables dans la Corne de l'Afrique.
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Les conflits civils sont des événements dramatiques qui poussent les individus hors de leurs pays d'origine. Mais si l'émigration était elle-même une force pacificatrice? Dans les deux premiers chapitres, je me suis intéressée à l'impact de l'émigration sur l'incidence des conflits civils dans les pays d'origine. Tout d'abord, je construis un modèle théorique d'équilibre général, dans lequel le niveau de conflit d'équilibre est déterminé par la ratio de combattants dans l'économie. Dans ce modèle, l'émigration décourage les conflits en réduisant les gains d'une rébellion, tout en augmentant le coût d'opportunité des combats. La principale prédiction du modèle est que le conflit diminue avec le niveau du salaire étranger net des coûts de migration. Dans le deuxième chapitre, je teste cette prédiction empiriquement. En utilisant une variable instrumentale, je démontre que l'émigration vers les pays développés diminue l'incidence de guerres civiles dans les pays d'origine. Ces résultats prouvent qu'en ouvrant leurs frontières, les pays d'accueil pourraient contribuer à sauver des vies, aussi bien celles des migrants que celles des habitants restés dans leur pays. De plus, les conflits civils tendent à détruire des sociétés en traumatisant les personnes touchées, augmentant ainsi le risque des conflits futurs. Afin de mieux comprendre ce cercle vicieux et de pouvoir y remédier, le troisième chapitre détermine si les enfants ayant vécu la guerre ont une tendance à être plus violent que des co-nationaux nés après la guerre. L'analyse se concentre sur les demandeurs d'asile en Suisse : Cette population est intéressante puisque l'allocation des demandeurs d'asile entre cantons est aléatoire, ce qui prévient le choix d'un canton avec un taux de criminalité plus élevé. Les résultats démontrent un effet de traumatisme causé par la guerre augmentant ainsi le risque de criminalité dans la vie adulte. Cependant, l'analyse de politiques publiques montre que la mise en place de politiques judicieuses permet d'éviter les conséquences de l'exposition à la guerre. En particulier, en offrant aux nouveaux arrivants l'accès au marché de travail ainsi que des perspectives à long-terme, la Suisse peut éliminer complètement l'effet du traumatisme sur la criminalité.
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The armed conflict in Chiapas began in 1994 after the armed uprising of the Zapatista Army of National Liberation (EZLN). Until now the Mexican government do not recognize the existence of an armed conflict there, for what they call inter-ethnic violence that happens in different municipalities in Chiapas. This study aims at demonstrating that, first, the Mexican state of Chiapas has an armed conflict since the mid-nineties, which has intensified and transformed over sixteen years. It is in this transformation that have emerged paramilitary groups seeking to destabilize the state, generating dynamics of appropriation and control of territory through different practices such as forced displacements, selective assassinations and terror spread within populations who are the targets of their attacks (mainly community support of the Zapatista Army of National Liberation). This work studied the "Peace and Justice" paramilitary group operating in different parts of the state of Chiapas, mainly in the Northern Zone. This case-study will look at the changes it has undergone Mexican democracy, which will be analyzed at two points: first, the failure of federal and Chiapas state to allow or endorse the creation of paramilitary groups and not to punish their actions; on the other, the consequences of the actions of such actors in democratic institutions, and democracy itself. Will seek to demonstrate that indeed both the permissiveness of the Mexican state and its complicity has weakened democracy in Mexico, since they are not able to manage conflict so that they do not degenerate into violence.
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Colombia suffers from one of the longest civil conflicts in the world, which is believed to have had several consequences on the country’s economic and development performance. This study uses measures of central government deterrence effort as instruments of conflict to estimate the impact of conflict on children’s time allocation to two different types of work: housework and work performed outside the household for poor families living in small municipalities in Colombia. I find that conflict significantly increases the amount of time children allocate to work. Both housework, for girls, and work outside the household, for boys, increase with Guerrilla attacks. However, the later effect is the opposite for Paramilitary attacks.
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This paper studies the effect of strengthening democracy, as captured by an increase in voting rights, on the incidence of violent civil conflict in nineteenth-century Colombia. Empirically studying the relationship between democracy and conflict is challenging, not only because of conceptual problems in defining and measuring democracy, but also because political institutions and violence are jointly determined. We take advantage of an experiment of history to examine the impact of one simple, measurable dimension of democracy (the size of the franchise) on con- flict, while at the same time attempting to overcome the identification problem. In 1853, Colombia established universal male suffrage. Using a simple difference-indifferences specification at the municipal level, we find that municipalities where more voters were enfranchised relative to their population experienced fewer violent political battles while the reform was in effect. The results are robust to including a number of additional controls. Moreover, we investigate the potential mechanisms driving the results. In particular, we look at which components of the proportion of new voters in 1853 explain the results, and we examine if results are stronger in places with more political competition and state capacity. We interpret our findings as suggesting that violence in nineteenth-century Colombia was a technology for political elites to compete for the rents from power, and that democracy constituted an alternative way to compete which substituted violence.
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This paper investigates the social consequences of neighborhood violence. Using ego-centered friendship network data from the National Longitudinal Study of Adolescent Health, a survey of adolescents in the United States in the mid-1990s, it examines the relationship between neighborhood violence and the quantity, closeness, and composition of adolescent same sex friendships. Though neighborhood violence is unrelated to quantity and closeness net of individual and family characteristics, it predicts boys’ friendships with individuals who no longer attend school (who are presumably older or have dropped out of school) and predicts boys’ and girls’ friendships with individuals who attend other schools. These results are consistent with the theory that violence and fear of victimization focus adolescents’ social attention on their neighborhoods and lead them to develop friendships with individuals who can help them to stay safe. By structuring who adolescents interact with, neighborhood violence may play a role in determining the cultural messages and ideals to which they are exposed.
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The present article describes and analyses youth criminality in the city of Rosario, Argentina between the years 2003-2006. Key actors’ understandings of and responses to the conflict were investigated by means of semi-structured interviews, observations, discourse analysis of policy documents, analysis of secondary data, and draw heavily on the experience of the author, a citizen and youth worker of Rosario. The actors examined were the police, the local government, young delinquents and youth organisations. Youth criminality is analysed from a conflict transformation approach using conflict analysis tools. Whereas, the provincial police understand the issue as a delinquency problem, other actors perceive it as an expression of a wider urban social conflict between those that are “included” and those that are “excluded” and as one of the negative effects of globalisation processes. The results suggest that police responses addressing only direct violence are ineffective, even contributing to increased tensions and polarisation, whereas strategies addressing cultural and structural violence are more suitable for this type of social urban conflict. Finally, recommendations for local youth policy are proposed to facilitate participation and inclusion of youth and as a tool for peaceful conflict transformation.
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Post-conflict societies which have achieved a cessation of violence and embarked on a political conflict transformation process cannot in the long-term avoid a process of dealing with the past. Case studies of South Africa and Northern Ireland confirm this normative claim, showing that within the post-war society as a whole a social consensus on how to “understand” and “recognize” the use of violence that occurred during the conflict is necessary: understanding the other’s “understanding” of violence. A mutual understanding must be reached that both sides fought a campaign that was just and legitimate from their own perspective. The morality of the “other’s violence” has to be recognized.