7 resultados para Fourrures
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Mode of access: Internet.
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Es la traduciión francesa de la obra "Voyages and travels of an Indian interpreter and trader", cuya primera edición es de : London, 1791.
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Donateur : Touring-Club de France
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Contient : Compte de « Jehan Pelletain » pour réparations au « chastel de Royan sur Gironde, » et au « chastel de Thalemon. » (1342) ; « Compotus magistri Johannis de Cumba, notarii regii Calciate,... diocesis Petragoricensis... » (1343) ; « Compte Jehan le Mesureur, commis particulier à Honnecourt,... diocese de Cambrai... » (1376-[1377]) ; « Compte Guillaume Ansel, collecteur de monsr le duc d'Orliens en sa chastellerie d'Esparnay... » (1405-1406) ; « Compte de l'ofiee des vicaires de l'eglise Saint-Amé en Douay... » (1439-1440) ; « Compte particulier Robert de la Mare, viconte et receveur du Neufchastel de Lineourt..., de la recepte des revenues de plusieurs gens d'eglises, collieges et universitez, estans hors de l'obbeissance du roy... » (1442-1443) ; Compte de réparations faites au château de « Lezignen ». (1463-1464) ; Compte de réparations faites aux châteaux de « Poictiers, Lezignen », et « Nyort. » (1476) ; « Compotus particularis cujusdam peccunie restantis de summa IIc M seutorum domino nostro Regi moderno, tunc Dalphino Viennensi, in contracta matrimonii sui cum domina Karola Sabaudie, per dominum ducem ejus genitorem concessorum. » (1473) ; « Compte de feu Loys Rabâche, en son vivant commis par le Roy nostre sire à la garde des robes, manteaulx, fourrures, tableaulx, et autres choses faictes pour l'Ordre du Roy... » (1491) ; « Compotus nobilis viri Renati de Pinibus, scutiferi, domini de Pinibus, consiliarii domini nostri régis ejusque vicarii Tholose regii, de emolumentis et explectis dicte vicarie... » (1517-1518) ; Compte d' oeuvres faictes au chastel de Gysors..., par Pierre Le Fevre. » (1487)
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Ce mémoire présente les résultats d'une recherche zooarchéologique portant sur deux occupations d'un site du début de la colonisation à Baie-Saint-Paul (XVIIe-XVIIIe siècle). L'analyse de leurs assemblages fauniques, totalisant 1175 restes osseux, a démontré le caractère diamétralement opposé des deux occupations. Le site d'habitation des goudronniers a révélé une exploitation des ressources sauvages visant à suppléer un élevage déficient et fournir un revenu d'appoint par le commerce des fourrures. Pour sa part, le site de la ferme établie par le Séminaire de Québec a révélé une alimentation basée sur les produits de l'élevage, mais supplée par la chasse de gibier disponible dans les environs immédiats du site. La différence d'exploitation faunique soulignée par l'étude zooarchéologique du site de la ferme du Bas-de-la-Baie a également permis de confirmer le rôle central de l'élevage pour les sites ruraux de la vallée laurentienne tout en soulignant leur variabilité, visible au sein de l'élevage et dans l'apport supplémentaire fourni par la chasse et la pêche.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les commerces de contrebande fascinent, que ce soit par leurs structures occultes ou les acteurs impliqués dans les activités économiques illégales. C’est évidemment un thème très peu exploité dans l’historiographie de la Nouvelle-France étant donné la difficulté d’obtenir des informations : les acteurs n’ont pas intérêt à laisser des traces de leur implication dans des activités illégales que les autorités coloniales tentent de faire cesser ou du moins de réduire. Force est de constater que les femmes ne sont pas en reste. Elles sont parties intégrantes des différentes étapes que doivent suivre les marchandises illégales dont font commerce les contrebandiers de Montréal. Les différents documents d’archives consultés permettent toutefois d’avoir assez d’informations pour saisir les structures du commerce illégal en place à Montréal ainsi que les façons de faire de la contrebande prisées par les marchands illégaux. Après avoir fait un tour d’horizon de l’histoire économique du XVIIIe siècle en Nouvelle-France, nous nous sommes penché sur un document d’archive particulier, le journal de Catherine Dagneau; elle informe les autorités de ce qu’elle voit et de ce qui lui est rapporté par des tierces personnes, grâce à son statut singulier de veuve d’un ancien interprète des Amérindiens. Finalement, il nous semblait impossible de faire une étude sur les commerces de contrebande sans parler du cas unique et reconnu des sœurs Trottier-Desauniers, dont il sera question en dernier lieu. Quoiqu’il en soit, étudier la contrebande en Nouvelle-France, c’est réaliser une enquête sur un pan important de la vie économique de la colonie. C’est s’attaquer à ce que les acteurs de ces activités souhaitaient garder caché. C’est comprendre la nature et le fonctionnement de la société coloniale par la mise en place de structures économiques précises.