350 resultados para Fixateur externe
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From August 91 to December 94, 20 external fixators were used for severely injured patients (avg. ISS 25.2). The fractures were essentially open book with or without lateral compression and vertical lesions. The indication for fixation was treatment of shock and stabilization in 8 cases, stabilization alone in 9 cases, and in 3 cases as complementary fixation after internal fixation of posterior lesions. The fixation of the pelvis was effective on the amount of blood loss. One acetabulum fracture required surgery, two patients had internal fixation for loss of reduction and two others for late pubic and posterior pain. The clinical results are good; they are more related to the severity of the initial lesion than to the mode of fixation or the quality of the reduction. No superficial sepsis or osteitis was observed in relation to the pins.
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RÉSUMÉ La prise en charge des fractures de l'enfant a beaucoup évolué au cours des quinze dernières années. Les spécificités pédiatriques des mécanismes de réparation osseuse rendaient nécessaires des modalités de traitement se différenciant de l'ostéosynthèse adulte classique qui suivait les principes de réduction anatomique et de stabilité. Chez l'enfant le traitement conservateur des fractures reste le moyen le plus fréquemment employé. Cependant, ce traitement s'avérait imparfait dans le cas de la fracture fémorale car il impliquait une hospitalisation prolongée. Ceci a mené à réaliser des ostéosynthèses classiques et trop invasives chez des patients pédiatriques, entraînant des hyperallongements parfois importants. C'est ainsi que de nouvelles techniques adaptées à l'enfant sont apparues, tels que l'enclouage centro-médullaire élastique stable (ECMES) et le fixateur externe dynamisable (FED). Nous rapportons ici l'expérience du Service de Chirurgie Pédiatrique du CHUV à Lausanne. Entre 1988 et 1996, nous avons recensé 265 cas de fractures fémorales chez des enfants âgés entre 0 et 15 ans : 227 sont diaphysaires, 23 épiphysaires, 8 cervicales, 7 per- ou sous-trochantériennes. Parmi celles-ci, 94 fractures diaphysaires, 11 épiphysaires, 4 trochantériennes et toutes les cervicales ont bénéficié d'un traitement chirurgical. Nous avons étudié rétrospectivement 96 fractures traitées par ECMES, ce qui représente le traitement chirurgical standard de la fracture diaphysaire fémorale dans notre service. La majorité de ces fractures est liée aux accidents de la route (41%) ou au ski (27%). Le collectif comprend 7 enfants polytraumatisés, 3 fractures du membre inférieur controlatéral, 1 fracture du tibia homolatéral et une fracture instable du bassin. Après ECMES, la mobilisation débute généralement entre le troisième et le douzième jour postopératoire selon l'âge de l'enfant, le type de fracture et surtout les lésions associées. La durée moyenne d'hospitalisation est de 12 jours. Le suivi moyen est de 16 à 21 mois selon la catégorie d'âge, le type de fracture et la compliance du patient et des parents. Dans les suites, nous avons pu observer que l'hyperallongement du membre concerné affecte plus souvent les patients les plus jeunes (3-5 ans) tandis que les raccourcissements du membre fracturé concernent les enfants plus âgés (12-15 ans). La complication la plus fréquemment rencontrée est la migration des broches dont la fréquence varie entre 8% et 25% selon l'âge. Un total de 11% tout âge confondu nécessite un traitement ou une reprise. Chez les enfants de moins de 8 ans, avec migration de broches, la moitié des cas nécessite d'une reprise, tandis que le montage est repris dans tous les cas de plus de 8 ans. L'ECMES offre l'avantage d'une technique simple, peu invasive, peu coûteuse, qui utilise les capacités de guérison spécifique de l'enfant. Il permet des séjours hospitaliers courts et favorise une bonne consolidation respectant la biologie de guérison et autorisant une reprise précoce de l'activité physique. Les complications sont peu nombreuses et les résultats orthopédiques, comparables à ceux du traitement conservateur.
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Le desserrage des tiges est une complication fréquente des plâtres avec tiges transcorticales (TP) chez les grands animaux, nécessitant souvent leur retrait prématuré avant la guérison des fractures. Les charges excessives centrées sur le cortex à l’interface os-tige proximo-externe et disto-interne causent de l'ostéolyse. En utilisant un modèle de veau nouveau-né, ce projet a évalué un nouveau système de tige-manchon et anneau integré dans un plâtre (PS) optimisé pour réduire la contrainte péri-implant et le stress à l'interface os-implant. On a émis l'hypothèse que les PS se traduiraient par une ostéolyse péri-implant moindre par rapport aux TP. Dix veaux en bonne santé, de 3 semaines d'âge, ont été implantés avec les TP ou PS dans le métacarpe droit, à raison de 2 implants par veau. Les veaux ont été observés quotidiennement pour le confort et la boiterie et ont été euthanasiés à 28 jours. Les données recueillies comprenaient les radiographies à la chirurgie et à l'euthanasie et les mesures histomorphométriques de contact os-implant sur des échantillons non-décalcifiés avec les implants in situ. Les données ont été analysées en utilisant le test de Cochran-Mantel-Haenszel, une valeur de P <0,05 a été considérée comme significative. L'épaisseur corticale était plus importante pour les implants distaux que proximaux pour les deux groupes lors de la chirurgie (P = 0,03), mais était similaire entre les groupes (P > 0,3). Les veaux avec TP ont développé une boiterie plus tôt (au jour 21) que les veaux avec PS (P = 0,04). Histologiquement, il y avait plus de contact direct os-implant cortical pour les implants PS distaux que les implants TP (P = 0,04). La jonction métaphyso-diaphysaire osseuse où les implants proximaux étaient situés est impropre aux deux systèmes; chacun a un minimum de contact os-implant et de l'ostéolyse extensive. Le système PS n'ayant pas causé une ostéolyse importante lorsque implantés dans l'os diaphysaire et peut-être une alternative convenable aux TP pour des fractures comminutives des membres distaux.
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OBJECTIVE Precise adaptable fixation of a supracondylar humerus osteotomy with a radial/lateral external fixator to correct posttraumatic cubitus varus. INDICATIONS Acquired, posttraumatic cubitus varus as a result of a malhealed and unsatisfactorily treated supracondylar humerus fracture. Idiopathic, congenital cubitus varus (very seldom) if the child (independent of age and after complete healing) is cosmetically impaired; stability of the elbow is reduced due to malalignment (hyperextension); secondary problems and pain (e. g., irritation of the ulnar nerve) are expected or already exist; or there is an explicit wish of the child/parents (relative indication). CONTRAINDICATIONS In principle there are no contraindications provided that the indication criteria are filled. The common argument of age does not represent a contraindication in our opinion, since angular remodeling at the distal end of the humerus is practically nonexistent. SURGICAL TECHNIQUE Basically, the surgical technique of the radial external fixator is used as previously described for stabilization of complex supracondylar humeral fractures. With the patient in supine position, the arm is placed freely on an arm table. Using a 4-5 cm long skin incision along the radial, supracondylar, the extracapsular part of the distal humerus is prepared, whereby great caution regarding the radial nerve is advised. In contrast to the procedure used in radial external fixation for supracondylar humeral fracture treatment, two Schanz screws are always fixed in each fragment at a distance of 1.5-2 cm. The osteotomy must allow the fragment to freely move in all directions. The proximal and distal two Schanz screws are then connected with short 4 mm carbon or stainless steel rods. These two rods are connected with each other over another rod using the tub-to-tub technique. Now the preliminary correction according the clinical situation can be performed and the clamps are tightened. Anatomical axis and function are checked. If these are radiologically and clinically perfect, all clamps are definitively tightened; if the alignment or the function is not perfect, then further adjustments can be made. POSTOPERATIVE MANAGEMENT Due to the excellent stability, further immobilization not necessary. Immediate functional follow-up treatment performed according to pain. RESULTS Adequate healing is usually expected within 6 weeks. At this time the external fixator can be removed in the fracture clinic. Because the whole operation is performed in an extraarticular manner and the mobility of the elbow is not affected, deterioration of function has never been observed. Also regarding the cosmetic/anatomical situation, good results are expected because they were already achieved intraoperatively.
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Magdeburg, Univ., Medizin. Fakultät, Diss., 2010
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Magdeburg, Univ., Med. Fak., Diss., 2008
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PURPOSE: To assess the feasibility and efficacy of accelerated postoperative radiation therapy (RT) in patients with squamous-cell carcinoma of the head and neck (SCCHN). PATIENTS AND METHODS: Between December 1997 and July 2001, 68 patients (male to female ratio: 52/16; median age: 60-years (range: 43-81) with pT1-pT4 and/or pN0-pN3 SCCHN (24 oropharynx, 19 oral cavity, 13 hypopharynx, 5 larynx, 3 unknown primary, 2 maxillary sinus, and 2 salivary gland) were included in this prospective study. Postoperative RT was indicated because extracapsular infiltration (ECI) was observed in 20 (29%), positive surgical margins (PSM) in 20 (29%) or both in 23 patients (34%). Treatment consisted of external beam RT 66 Gy in 5 weeks and 3 days. Median follow-up was 15 months. RESULTS: According to CTC 2.0, acute morbidity was acceptable: grade 3 mucositis was observed in 15 (22%) patients, grade 3 dysphagia in 19 (28%) patients, grade 3 skin erythema in 21 (31%) patients with a median weight loss of 3.1 kg (range: 0-16). No grade 4 toxicity was observed. Median time to relapse was 13 months; we observed only three (4%) local and four (6%) regional relapses, whereas eight (12%) patients developed distant metastases without any evidence of locoregional recurrence. The 2 years overall-, disease-free survival, and actuarial locoregional control rates were 85, 73 and 83% respectively. CONCLUSION: The reduction of the overall treatment time using postoperative accelerated RT with weekly concomitant boost (six fractions per week) is feasible with local control rates comparable to that of published data. Acute RT-related morbidity is acceptable.