936 resultados para Fiscal policy – long run growth
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This paper examines the effects of unfunded social security with bequests, fertility and human capital by considering a mix of earnings-dependent and universal social security benefits. We show that social security is more likely to promote growth by reducing fertility and increasing human capital investment if its benefits are more dependent on individuals' own earnings. Through simulations, we find that the differences in the effects of social security resulting from variations in the benefit formula can be too substantial to be ignored. We also investigate the welfare effect in calibrated economies. (C) 2003 Elsevier B.V. All rights reserved.
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In previous studies, taxing income or consumption hinders long-run growth. Incorporating saving and leisure into the non-scale Schumpeterian model of [Journal of Political Economy 107 (1999) 715-730], we show that the usual growth effects of taxing consumption and labor income do not exist. (C) 2002 Elsevier Science B.V. All rights reserved.
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Os recentes desenvolvimentos da teoria do crescimento económico sugerem que a política fiscal pode ter efeitos importantes no crescimento económico de longo prazo. O objectivo deste artigo é investigar o impacto da política fiscal no crescimento económico de longo prazo, utilizando dados em painel para os Estados-membros da UE15 (com excepção de Luxemburgo), no período 1965-2000. Partindo do enquadramento teórico de Barro (1990), formula-se um modelo onde a taxa de crescimento real é determinada por variáveis das finanças públicas, esperando que a redução de impostos distorcionários e o aumento de despesas públicas produtivas fomentem o crescimento económico. No caso da UE15, os resultados sugerem que o aumento da dimensão do sector público (despesas ou impostos) retarda o crescimento e, em particular, uma redução dos impostos sobre o trabalho e o capital podem acelerar o crescimento económico de longo prazo.
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In this paper we re-analyze the question of the U.S. public debt sustainability by using a quantile autoregression model. This modeling allows for testing whether the behavior of U.S. public debt is asymmetric or not. Our results provide evidence of a band of sustainability. Outside this band, the U.S. public debt is unsustainable. We also find fiscal policy to be adequate in the sense that occasional episodes in which the public debt moves out of the band do not pose a threat to long run sustainability.
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This chapter analyses the effects of Natural Resources on the Chilean economy in the long run -1850-1950-. Specifically, the authors focus their attention on the mining cycles -nitrates and copper- and their impact on the mining activity. We also compare it with the evolution of the industry and whole economy, and how this has affected the economic growth of the country. In that sense, the industrial performance in Chile at the end of the 19th century until the Great Depression is still under debate. The optimistic view of Kirsch -1977- forehead the pessimistic view of Lagos -1966- and Palma -1979-. The new data and its analyses shows a neutral effect of the Natural Resources in the industrial development.
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This paper takes a new look at the long-run dynamics of inflation and unemployment in response to permanent changes in the growth rate of the money supply. We examine the Phillips curve from the perspective of what we call "frictional growth", i.e. the interaction between money growth and nominal frictions. After presenting theoretical models of this phenomenon, we construct an empirical model of the Spanish economy and, in this context, we evaluate the long-run inflation-unemployment trade for Spain and examine how recent policy changes have afected it.
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This paper studies the aggregate and distributional implications of Markov-perfect tax-spending policy in a neoclassical growth model with capitalists and workers. Focusing on the long run, our main fi ndings are: (i) it is optimal for a benevolent government, which cares equally about its citizens, to tax capital heavily and to subsidise labour; (ii) a Pareto improving means to reduce ine¢ ciently high capital taxation under discretion is for the government to place greater weight on the welfare of capitalists; (iii) capitalists and workers preferences, regarding the optimal amount of "capitalist bias", are not aligned implying a conflict of interests.
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Dans le sillage de la récession mondiale de 2008-09, plusieurs questions ont été soulevées dans la littérature économique sur les effets à court et à long terme de la politique budgétaire sur l’activité économique par rapport à son signe, sa taille et sa durée. Ceux-ci ont des implications importantes pour mieux comprendre les canaux de transmission et l’efficacité des politiques budgétaires, avec la politique monétaire étant poursuivi, ainsi que pour leurs retombées économiques. Cette thèse fait partie de ce regain d’intérêt de la littérature d’examiner comment les changements dans la politique budgétaire affectent l’activité économique. Elle repose alors sur trois essais: les effets macroéconomiques des chocs de dépenses publiques et des recettes fiscales, les résultats macroéconomiques de l’interaction entre les politiques budgétaire et monétaire et le lien entre la politique budgétaire et la répartition des revenus. Le premier chapitre examine les effets des chocs de politique budgétaire (chocs de dépenses publiques et chocs de recettes fiscales) sur l’économie canadienne au cours de la période 1970-2010, en s’appuyant sur la méthode d’identification des restrictions de signe développée par Mountford et Uhlig [2009]. En réponse à la récession mondiale, les autorités fiscales dans les économies avancées, dont le Canada ont généralement mis en oeuvre une approche en deux phases pour la politique budgétaire. Tout d’abord, ils ont introduit des plans de relance sans précédent pour relancer leurs économies. Par exemple, les mesures de relance au Canada, introduites à travers le Plan d’action économique du Canada, ont été projetées à 3.2 pour cent du PIB dans le budget fédéral de 2009 tandis que l’ "American Recovery and Reinvestment Act"(ARRA) a été estimé à 7 pour cent du PIB. Par la suite, ils ont mis en place des plans d’ajustement en vue de réduire la dette publique et en assurer la soutenabilité à long terme. Dans ce contexte, évaluer les effets multiplicateurs de la politique budgétaire est important en vue d’informer sur l'efficacité de telles mesures dans la relance ou non de l'activité économique. Les résultats montrent que les multiplicateurs d'impôt varient entre 0.2 et 0.5, tandis que les multiplicateurs de dépenses varient entre 0.2 et 1.1. Les multiplicateurs des dépenses ont tendance à être plus grand que les multiplicateurs des recettes fiscales au cours des deux dernières décennies. Comme implications de politique économique, ces résultats tendent à suggérer que les ajustements budgétaires par le biais de grandes réductions de dépenses publiques pourraient être plus dommageable pour l'économie que des ajustements budgétaires par la hausse des impôts. Le deuxième chapitre, co-écrit avec Constant Lonkeng Ngouana, estime les effets multiplicateurs des dépenses publiques aux Etats-Unis en fonction du cycle de la politique monétaire. Les chocs de dépenses publiques sont identifiés comme étant des erreurs de prévision du taux de croissance des dépenses publiques à partir des données d'Enquêtes des prévisionnistes professionnels et des informations contenues dans le "Greenbook". L'état de la politique monétaire est déduite à partir de la déviation du taux des fonds fédéraux du taux cible de la Réserve Fédérale, en faisant recours à une fonction lisse de transition. L'application de la méthode des «projections locales» aux données trimestrielles américaines au cours de la période 1965-2012 suggère que les effets multiplicateurs des dépenses fédérales sont sensiblement plus élevées quand la politique monétaire est accommodante que lorsqu'elle ne l'est pas. Les résultats suggèrent aussi que les dépenses fédérales peuvent stimuler ou non la consommation privée, dépendamment du degré d’accommodation de la politique monétaire. Ce dernier résultat réconcilie ainsi, sur la base d’un cadre unifié des résultats autrement contradictoires à première vue dans la littérature. Ces résultats ont d'importantes implications de politique économique. Ils suggèrent globalement que la politique budgétaire est plus efficace lorsqu'on en a le plus besoin (par exemple, lorsque le taux de chômage est élevé), si elle est soutenue par la politique monétaire. Ils ont également des implications pour la normalisation des conditions monétaires dans les pays avancés: la sortie des politiques monétaires non-conventionnelles conduirait à des multiplicateurs de dépenses fédérales beaucoup plus faibles qu'autrement, même si le niveau de chômage restait élevé. Ceci renforce la nécessité d'une calibration prudente du calendrier de sortie des politiques monétaires non-conventionnelles. Le troisième chapitre examine l'impact des mesures d'expansion et de contraction budgétaire sur la distribution des revenus dans un panel de 18 pays d'Amérique latine au cours de la période 1990-2010, avec un accent sur les deniers 40 pour cent. Il explore alors comment ces mesures fiscales ainsi que leur composition affectent la croissance des revenus des dernier 40 pour cent, la croissance de leur part de revenu ainsi que la croissance économique. Les mesures d'expansion et de contraction budgétaire sont identifiées par des périodes au cours desquels il existe une variation significative du déficit primaire corrigé des variations conjoncturelles en pourcentage du PIB. Les résultats montrent qu'en moyenne l'expansion budgétaire par la hausse des dépenses publiques est plus favorable à la croissance des revenus des moins bien-nantis que celle par la baisse des impôts. Ce résultat est principalement soutenu par la hausse des dépenses gouvernementales de consommation courante, les transferts et subventions. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. Cependant, l'expansion budgétaire pourrait soit n'avoir aucun effet sur la croissance économique ou entraver cette dernière à travers la hausse des dépenses en capital. Les résultats relatifs à la contraction budgétaire sont quelque peu mitigés. Parfois, les mesures de contraction budgétaire sont associées à une baisse de la croissance des revenus des moins bien nantis et à une hausse des inégalités, parfois l'impact de ces mesures est non significatif. Par ailleurs, aucune des mesures n’affecte de manière significative la croissance du PIB. Comme implications de politique économique, les pays avec une certaine marge de manœuvre budgétaire pourraient entamer ou continuer à mettre en œuvre des programmes de "filets de sauvetage"--par exemple les programmes de transfert monétaire conditionnel--permettant aux segments vulnérables de la population de faire face à des chocs négatifs et aussi d'améliorer leur conditions de vie. Avec un potentiel de stimuler l'emploi peu qualifié, une relance budgétaire sage par les dépenses publique courantes pourrait également jouer un rôle important pour la réduction des inégalités. Aussi, pour éviter que les dépenses en capital freinent la croissance économique, les projets d'investissements publics efficients devraient être prioritaires dans le processus d'élaboration des politiques. Ce qui passe par la mise en œuvre des projets d'investissement avec une productivité plus élevée capable de générer la croissance économique nécessaire pour réduire les inégalités.
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This paper proposes a simple OLG model which is consistent with the essential facts about consumer behavior, capital accumulation and wealth distribution, and yields some new and surprising conclusions about fiscal policy. By considering a society in which individuais are distinguished according to two characteristics, altruism and wealth preference, we show that those who in the long run hold the bulk of private capital are not so rnuch motivated by dynastic altruism as by preference for wealth. Two types of social segmentation can result with different wcalth distribution. To a large extcnt our results seem to fit reality better than those obtained with standard optimal growth models in which dynastic altruism ( or r ate o f impatience) is the only source of heterogeneity: overaccumulation can appear, public debt and unfunded pensions are not neutra!, estate taxation can improve the welfare of the top wealthy.
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A small, but growing, body of literature searches for evidence of non-Keynesian effects of fiscal contractions. That is, some evidence exists that large fiscal contractions stimulate short-run economic activity. Our paper continues this research effort by systematically examining the effects, if any, of unusual fiscal events - either non-Keynesian results within a Keynesian model or Keynesian results within a neoclassical model -- on short-run economic activity. We examine this issue within three separate models -- a St. Louis equation, a Hall-type consumption equation, and a growth accounting equation. Our empirical findings are mixed, and do not provide strong systematic support for the view that unusually large fiscal contractions/expansions reverse the effects of normal fiscal events. Moreover, we find only limited evidence that trigger points are empirically important.
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We develop a growth model with unemployment due to imperfections in the labor market. In this model, wage inertia and balanced budget rules cause a complementarity between capital and employment capable of explaining the existence of multiple equilibrium paths. Hysteresis is viewed as the result of a selection between these diferent equilibrium paths. We use this model to argue that, in contrast to the US, those fiscal policies followed by most of the European countries after the shocks of the 1970s may have played a central role in generating hysteresis.