222 resultados para Fente labio-palatine unilatérale


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

The CL/P are the most common and easily recognizable craniofacial malformations with a complex etiology that requires the involvement of genetic and environmental components. The analysis of the genetic component shows more than 14 loci and genes involved in the onset of the disease. I’ve selected and investigated some of the possible candidate genes for CL/P. MYH14 gene, that maps on chromosome 19, on the OFC3 locus, and shows a strong homology with MYH9 gene. I’ve also investigated TP63 and MID1 genes, that are responsible respectively for EEC syndrome and Opitz syndrome, both of them presenting cleft. I’ve also decided to investigate JAG2 because TP63 product regulates the this gene, and both of them are component of the Notch signalling pathway. I’ve, also, studied the MKX and LMO4 genes. MKX is an important development regulator that is highly expressed in palatal mesenchyme, and map in the region responsible for Twirler mutation that cause cleft in mouse. LMO4 is necessary for neural tube development and cooperating with Grhl3, promotes cellular migration during morphogenetic events like “in utero” cleft healing. Low folate levels and high levels of homocysteine increase the risk of cleft, genes involved in their metabolism may be of interest in cleft occurrence. I’ve decided to investigate BHMT and CBS genes coding for enzymes involved in homocysteine metabolism. I’ve also investigated BHMT2 gene that maps close to BHMT and presents with him a 73% of homology. I’ve performed a linkage analysis using SNPs mapping in the genes and their boundaries, for each gene, for MKX and LMO4 I’ve also performed a sequencing analysis. My results for MID1 and CBS genes support the hypothesis of a possible role of these genes in cleft. I’ve found borderline association values for JAG2, MKX and LMO4 genes.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Maestría en Ciencias Odontológicas con Especialidad en Ortodoncia) U.A.N.L.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis ( Maestría en Ciencias Odontológicas con Especialidad en Ortodoncia) U.A.N.L.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Maestría en Ciencias Odontológicas con Especialidad en Periodoncia) UANL, 2012.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Maestría en Ciencias en Salud Pública) UANL, 2013.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : L’expansion palatine rapide assistée chirurgicalement (EPRAC) est une option de traitement privilégiée chez les patients ayant atteint la maturité squelettique et présentant une déficience transverse du maxillaire. L’effet bénéfique de l’EPRAC sur la fonction respiratoire est régulièrement mentionné, toutefois, encore peu d’études ont évalué son impact sur les voies aériennes supérieures. L’objectif de cette étude clinique prospective comparative consistait à évaluer les effets tridimensionnels de l’EPRAC sur la cavité nasale, le nasopharynx et l’oropharynx à l’aide de la tomodensitométrie. Méthodologie : L’échantillon était constitué de 14 patients (5 hommes, 9 femmes) dont l’âge moyen était de 23,0 ± 1,9 ans (16 ans 4 mois à 39 ans 7 mois). Tous ont été traités avec un appareil d’expansion de type Hyrax collé et l’expansion moyenne a été de 9,82 mm (7,5 - 12,0 mm). Tous ont eu une période de contention d’une année avant le début de tout autre traitement orthodontique. Une évaluation par tomodensitométrie volumique à faisceau conique a été réalisée aux temps T0 (initial), T1 (6 mois post-expansion) et T2 (1an post-expansion) et le volume des fosses nasales, du nasopharynx et de l’oropharynx ainsi que les dimensions de la zone de constriction maximale de l’oropharynx ont été mesurés sur les volumes tridimensionnels obtenus. Résultats : Les résultats radiologiques ont démontré une augmentation significative du volume des fosses nasales et du nasopharynx ainsi qu’une augmentation de la zone de constriction maximale de l’oropharynx à 6 mois post-expansion. Par la suite, une portion du gain enregistré pour ces trois paramètres était perdue à un an post-EPRAC sans toutefois retourner aux valeurs initiales. Aucun effet significatif sur le volume de l’oropharynx n’a été observé. De plus, aucune corrélation significative entre la quantité d’expansion réalisée et l’ensemble des données radiologiques n’a été observée. L’analyse de la corrélation intra-classe a démontré une excellente fiabilité intra-examinateur. Conclusions : L’EPRAC entraîne un changement significatif du volume de la cavité nasale et du nasopharynx. L’EPRAC ne modifie pas le volume de l’oropharynx, par contre, un effet significatif sur la zone de constriction maximale de l’oropharynx est noté. Les effets observés n’ont pas de corrélation avec le montant d’activation de la vis d’expansion.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal