890 resultados para Fatigue de compassion


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Child protection social work is acknowledged as a very stressful occupation, with high turnover and poor retention of staff being a major concern. This paper highlights themes that emerged from findings of sixty-five articles that were included as part of a systematic literature review. The review focused on the evaluation of research findings, which considered individual and organisational factors associated with resilience or burnout in child protection social work staff. The results identified a range of individual and organisational themes for staff in child protection social work. Nine themes were identified in total. These are categorised under ‘Individual’ and ‘Organisational’ themes. Themes categorised as individual included personal history of maltreatment, training and preparation for child welfare, coping, secondary traumatic stress, compassion fatigue and compassion satisfaction. Those classified as organisational included workload, social support and supervision, organisational culture and climate, organisational and professional commitment, and job satisfaction or dissatisfaction. The range of factors is discussed with recommendations and areas for future research are highlighted.

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Objectif. L’objectif est de comprendre comment les intervenants en relation d’aide et les agents des forces de l’ordre composent avec la violence au travail et le stress lié à l’imputabilité. Un cadre théorique basé sur l’identité professionnelle est proposé afin de comprendre la modulation de la santé psychologique au travail et testé via le Professional Quality of Life des intervenants en protection de la jeunesse. Les facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail et des impacts psychologiques de cette banalisation sont également étudiés. Méthodologie. Un sondage mené auprès d’un échantillon représentatif constitué de 301 intervenants en protection de la jeunesse a permis d’examiner le Professional Quality of Life. Les effets de l’exposition à la violence en milieu de travail, à l’exposition au matériel traumatique et du stress lié à l’imputabilité sur la fatigue de compassion ont été analysés à l’aide d’équation structurelle. Les effets indirects attribuables au genre, au soutien organisationnel perçu, à l’adhésion à l’identité professionnelle, aux stratégies d’adaptation et à la confiance en ses moyens pour gérer un client agressif ont été mesurés. Pour l’examen des facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les résultats d’un sondage mené auprès de 1141 intervenants en relation d’aide et des forces de l’ordre ont été analysés à l’aide de régression linéaire. L’analyse des réponses des 376 intervenants de cet échantillon ayant rapporté avoir été perturbé par un acte de violence au travail a permis de mesurer l’impact de la banalisation sur les conséquences psychologiques suite à une victimisation au travail. Les effets indirects attribuables à la banalisation de la violence ont été mesurés. Des analyses différenciées en fonction du sexe ont également été menées. Résultats. L’exposition à la violence, le sentiment d’imputabilité et l’évitement amplifiaient la fatigue de compassion chez les intervenants en protection de la jeunesse sondés. Les attitudes masculines, l’adhésion à l’identité professionnelle, la confiance en ses moyens pour gérer les clients agressifs l’atténuaient. Quant aux facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les participants masculins étaient plus enclins que les femmes à la normaliser. Les agents des forces de l’ordre percevaient davantage la violence comme tabou que les intervenants en relation d’aide. Les facteurs organisationnels avaient tous un effet négatif sur le tabou entourant la violence au travail. Finalement, l’âge, les victimisations antérieures, les blessures graves et percevoir la violence au travail comme un tabou augmentaient le nombre de conséquences psychologiques suite à une victimisation. Les analyses différenciées en fonction du sexe ont identifié des facteurs de prédiction spécifiques aux hommes et aux femmes. Implications. Lors de déploiement de stratégies organisationnelles afin d’aider les employés à gérer avec les stress liés au travail, les organisations doivent considérer l’identité professionnelle de leur travailleur ainsi que des différences en fonction du sexe et du genre.

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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.

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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.

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Compassion fatigue is a term used to describe behaviour and emotions experienced by those who help people who have experienced trauma. It is viewed as a potential consequence of stress related to such exposure and is understood to be influenced by the practitioner’s empathic response. The aims of this study were to obtain greater understanding of social workers experience of working with distressed clients; examine what develops personal, professional and organisational resilience; and explore ways in which workers can be better protected from compassion fatigue. The research design was qualitative using semi-structured interviews involving six social workers presently working with distressed clients or clients known to have experienced distress. Four major themes were identified using thematic analysis: (i) the complexities of social work, (ii) supportive and unsupportive contexts, (iii) promoting personal well-being/selfprotection and (iv) resilience as a changing systemic and complex process. The findings provide important insights into the participants’ experiences of working with distressed clients and, more specifically, their experience of compassion fatigue and stories of resilience. The research provides clear direction for future research at organisational, educational and interpersonal levels.

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Recent studies have shown that social workers and other professional helpers who work with traumatized individuals run a risk of developing compassion fatigue or secondary traumatic stress. Some researchers have hypothesized that helpers do this as a result of feeling too much empathy or too much compassion for their clients, thereby implying that empathy and compassion may be bad for the professional social worker. This paper investigates these hypotheses. Based on a review of current research about empathy and compassion it is argued that these states are not the causes of compassion fatigue. Hence, it is argued that empathy and compassion are not bad for the professional social worker in the sense that too much of one or the other will lead to compassion fatigue.

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Empathic communication, (i.e. emotionally engaging with a patient), is an important part of the therapeutic relationship. It has been shown to improve the health and therapeutic outcomes for patients by improving diagnosis and compliance. In the West, front-line medical professionals, including herbal medicine practitioners, put themselves at risk of burnout and compassion fatigue by giving emotionally intensive care. While treatments for compassion fatigue and burnout are available, another way forward is needed to ensure healthcare professionals do not become ill; one that will enable both patients and healthcare professionals to receive the care needed. In this paper it is argued that compassion, which is defined in this paper, involves different neural circuitry to empathy and can protect healthcare professionals from the effects of stress that can, if not addressed, lead to burnout. Traditional Buddhist meditation techniques such as loving-kindness meditation have been shown to increase compassion in non-meditative states. Short daily sessions of such mediation practices have been shown to improve compassion in a way that protects healthcare professionals from burnout.

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Au cours des trois dernières décennies, un nombre grandissant de chercheurs et de cliniciens se sont intéressés à la méditation comme stratégie de régulation attentionnelle et émotionnelle. Plusieurs études ont mis en évidence un lien entre la pratique de la méditation en pleine conscience, l’alliance thérapeutique et l’empathie. Plus récemment, des pratiques méditatives portant sur l’amour bienveillant et la compassion ont également suscité l’intérêt de la communauté scientifique. Les pratiques de méditation de compassion pourraient s’avérer tout aussi utiles que la pleine conscience dans le développement de l’empathie et offriraient de surcroit une certaine protection contre la fatigue empathique. L’objectif principal de cette thèse consiste à mieux comprendre l’impact de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes. À cette fin, la thèse est composée de deux articles explorant le lien entre la méditation de compassion et l’empathie des psychothérapeutes sous des angles complémentaires. Le premier article présente une revue des écrits portant sur le lien entre la pratique de la méditation de compassion et l’empathie des psychothérapeutes. L’objectif de cette revue des écrits est de répondre à la question suivante : la méditation de compassion peut-elle contribuer au développement de l’empathie des psychothérapeutes? Étant donné les nombreux liens et les chevauchements entre les pratiques de méditation en pleine conscience et les pratiques de méditation de compassion, les études portant sur le lien entre pleine conscience et empathie sont également considérées dans cette revue des écrits. Il apparaît, au terme de cette revue de littérature, que les pratiques de méditation de compassion peuvent augmenter l’activation de circuits neuronaux importants pour l’empathie. Ces pratiques de méditation semblent également améliorer l’empathie affective et la justesse de la perception empathique lorsque ces variables sont mesurées à l’aide d’échelles d’auto-évaluation. La méditation de compassion diminuerait également l’intensité des affects négatifs accompagnant l’empathie pour la douleur d’autrui. Tout en permettant de constater que la méditation de compassion semble avoir des impacts positifs sur divers aspects de l’empathie, la revue des écrits présentée dans le premier chapitre a permis de relever certaines limites des études citées et de suggérer quelques pistes de recherches futures. Ainsi, on note que la méditation en pleine conscience et la méditation de compassion sont souvent présentées conjointement et ce, à des participants n’ayant aucune expérience préalable de méditation. Cela fait en sorte qu’il est difficile de déterminer avec certitude si les bienfaits rapportés par les participants sont attribuables à la méditation de compassion, ou s’ils sont simplement dûs au fait que les participants ont entamé une pratique de méditation. Cela soulève donc la question suivante : quel est l’impact spécifique de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes, au dedes bienfaits qu’ils retirent déjà de la méditation en pleine conscience? C’est à cette question que tente de répondre l’étude conduite dans le cadre de la présente thèse et qui constitue l’objet du deuxième article. Dans le cadre de cette étude, un entraînement à la méditation de compassion a été offert à trois psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique régulière de la méditation en pleine conscience. L’entraînement proposé consistait en une pratique guidée de la méditation de compassion, offerte sur un enregistrement audio-numérique, à raison de vingt minutes par jour, à tous les deux jours, pendant quatre semaines. Des entrevues semi-structurées ont eu lieu avant l’entraînement, puis au terme des quatre semaines d’entraînement, de même que lors d’un suivi effectué quatre semaines plus tard. Une analyse compréhensive du récit phénoménologique des participants a mis en lumière des changements touchant quatre aspects principaux de l’expérience empathique : 1) la relation à soi; 2) l’expérience empathique elle-même; 3) l’expérience d’une relation thérapeutique; et 4) l’intégration du changement. À travers ces quatre aspects, des changements touchant diverses dimensions de l’expérience empathique sont abordés comme : la compassion pour soi, la pression de performance, la qualité de la présence à l’autre, l’acceptation de l’autre, la tolérance à la souffrance, et l’amour altruiste. Cette étude a donc permis de constater que même des psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique régulière de méditation en pleine conscience peuvent retirer des bienfaits de la méditation de compassion, tant au niveau de leur expérience empathique qu’au niveau de la prévention de la fatigue empathique et de l’épuisement professionnel. Cette thèse apporte donc une contribution originale à la compréhension de l’impact spécifique de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes en permettant de mieux saisir, à partir d’une perspective phénoménologique, l’influence de cette pratique de méditation sur divers aspects et dimensions de l’expérience empathique. En donnant la parole à des psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique de méditation en pleine conscience, l’étude met en lumière les bienfaits propres à la méditation de compassion au niveau de l’expérience empathique et au niveau de la prévention de la fatigue empathique. À ce titre, elle offre des pistes permettant d’améliorer tant la formation de base que la formation continue des psychothérapeutes en s’appuyant sur des données scientifiques probantes.

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Introduction. This is a pilot study of quantitative electro-encephalographic (QEEG) comodulation analysis, which is used to assist in identifying regional brain differences in those people suffering from chronic fatigue syndrome (CFS) compared to a normative database. The QEEG comodulation analysis examines spatial-temporal cross-correlation of spectral estimates in the resting dominant frequency band. A pattern shown by Sterman and Kaiser (2001) and referred to as the anterior posterior dissociation (APD) discloses a significant reduction in shared functional modulation between frontal and centro-parietal areas of the cortex. This research attempts to examine whether this pattern is evident in CFS. Method. Eleven adult participants, diagnosed by a physician as having CFS, were involved in QEEG data collection. Nineteen-channel cap recordings were made in five conditions: eyes-closed baseline, eyes-open, reading task one, math computations task two, and a second eyes-closed baseline. Results. Four of the 11 participants showed an anterior posterior dissociation pattern for the eyes-closed resting dominant frequency. However, seven of the 11 participants did not show this pattern. Examination of the mean 8-12 Hz amplitudes across three cortical regions (frontal, central and parietal) indicated a trend of higher overall alpha levels in the parietal region in CFS patients who showed the APD pattern compared to those who did not have this pattern. All patients showing the pattern were free of medication, while 71% of those absent of the pattern were using antidepressant medications. Conclusions. Although the sample is small, it is suggested that this method of evaluating the disorder holds promise. The fact that this pattern was not consistently represented in the CFS sample could be explained by the possibility of subtypes of CFS, or perhaps co-morbid conditions. Further, the use of antidepressant medications may mask the pattern by altering the temporal characteristics of the EEG. The results of this pilot study indicate that further research is warranted to verify that the pattern holds across the wider population of CFS sufferers.

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There is consensus among community and road safety agencies that driver fatigue is a major road safety issue and it is well known that excessive fatigue is linked with an increased risk of a motor vehicle crash. Previous research has implicated a wide variety of factors involved in fatigue-related crashes and the effects of these various factors in regard to crash risk can be interpreted as causal (i.e. alcohol and/or drugs may induce fatigue states) or additive (e.g. where a lack of sleep is combined with alcohol). As such, the purpose of this investigation was to examine self-report data to determine whether there are any differences in the prevalence, crash characteristics, and travel patterns of males and females involved in a fatigue-related crash or close call event. Such research is important to understand how fatigue related incidents occur within the typical driving patterns of men and women and it provides a starting point in order to explore if males and females experience and understand the risk of diving when tired in the same way. A representative sample of (N = 1,600) residents living in the Australian Capital Territory (ACT) and New South Wales (NSW), Australia, were surveyed regarding their experience of fatigue and their involvement in fatigue-related crashes and close call incidents. Results revealed that over 35% of participants reported having had a close call or crash due to driving when tired in the five years prior to the study being conducted. In addition, the results obtained revealed a number of interesting characteristics that provide preliminary evidence that gender differences do exist when examining the prevalence, crash characteristics, and travel patterns of males and females involved in a fatigue-related crash or close call event. It is argued that the results obtained can provide particularly useful information for the refinement and further development of appropriate countermeasures that better target this complex issue.