561 resultados para Espaces Sémantiques
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Dans cette dissertation, nous présentons plusieurs techniques d’apprentissage d’espaces sémantiques pour plusieurs domaines, par exemple des mots et des images, mais aussi à l’intersection de différents domaines. Un espace de représentation est appelé sémantique si des entités jugées similaires par un être humain, ont leur similarité préservée dans cet espace. La première publication présente un enchaînement de méthodes d’apprentissage incluant plusieurs techniques d’apprentissage non supervisé qui nous a permis de remporter la compétition “Unsupervised and Transfer Learning Challenge” en 2011. Le deuxième article présente une manière d’extraire de l’information à partir d’un contexte structuré (177 détecteurs d’objets à différentes positions et échelles). On montrera que l’utilisation de la structure des données combinée à un apprentissage non supervisé permet de réduire la dimensionnalité de 97% tout en améliorant les performances de reconnaissance de scènes de +5% à +11% selon l’ensemble de données. Dans le troisième travail, on s’intéresse à la structure apprise par les réseaux de neurones profonds utilisés dans les deux précédentes publications. Plusieurs hypothèses sont présentées et testées expérimentalement montrant que l’espace appris a de meilleures propriétés de mixage (facilitant l’exploration de différentes classes durant le processus d’échantillonnage). Pour la quatrième publication, on s’intéresse à résoudre un problème d’analyse syntaxique et sémantique avec des réseaux de neurones récurrents appris sur des fenêtres de contexte de mots. Dans notre cinquième travail, nous proposons une façon d’effectuer de la recherche d’image ”augmentée” en apprenant un espace sémantique joint où une recherche d’image contenant un objet retournerait aussi des images des parties de l’objet, par exemple une recherche retournant des images de ”voiture” retournerait aussi des images de ”pare-brises”, ”coffres”, ”roues” en plus des images initiales.
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La sociologie et les nouveaux défis de la modernisation, Porto, pp. 315-326
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La carte postale est un kaléidoscope de vues, d’ornements et de couleurs, qui consacre un tout petit espace au message. C’est à la photographie et aux procédés de reproduction photomécaniques que revient le mérite d’avoir industrialisé la production de la carte postale. Et ce sont les clichés de villes, avec leurs monuments et leurs paysages, qui confèrent à la carte postale son statut de moyen de communication de masse et qui lui concèdent une affinité avec l’industrie du tourisme. La carte postale s’est ainsi emparée de l’ambition photographique de reproduire le monde, s’alliant aux « besoins de l’exploration, des expéditions et des relevés topographiques » du médium photographique à ses débuts. Ayant comme point de départ la carte postale, notre objectif est de montrer les conséquences culturelles de la révolution optique, commencée au milieu du XIXe siècle, avec l’invention de l’appareil photo, et consumée dans la seconde moitié du XXe siècle, avec l’apparition de l’ordinateur. En effet, depuis l’apparition de l’appareil photographique et des cartes postales jusqu’au flux de pixels de Google Images et aux images satellite de Google Earth, un entrelacement de territoire, puissance et technique a été mis en oeuvre, la terre devenant, en conséquence, de plus en plus auscultée par les appareils de vision, ce qui impacte sur la perception de l’espace. Nous espérons pouvoir montrer avec cette étude que la lettre traditionnelle est à l’email ce que la carte postale est au post que l’on publie dans un blog ou dans des réseaux comme Facebook et Twitter. À notre sens, les cartes postales correspondent à l’ouverture maximale du système postal moderne, qui d’universel devient dépendant et partie intégrante des réseaux télématiques d’envoi. Par elles sont annoncés, en effet, la vitesse de transmission de l’information, la brièveté de la parole et l’hégémonie de la dimension imagétique du message, et pour finir, l’embarras provoqué par la fusion de l’espace public avec l’espace privé.
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In the semantic analysis of tenses, the term event is frequently used. For example, following REICHENBACH (1947, 288), many studies mention three "points", within which (E) represents the "point of the event". Besides, like MARTIN (1985, 25), it is commonly considered -often implicitly- that "the duration of the utterance can [...] ideally be reduced to an instant t 0 [i.e. a point], [...] since within the utterance, truth conditions remain unaltered". However, events as well as utterances take time (cf. the use of "intervals " by GOSSELIN 1996). Here, I will analyze Present tense utterances such as "le ballon franchit la ligne" (the ball crosses/is crossing the line), for which the described event ("achievement" for VENDLER 1957; "réalisation instantanée" for VETTERS 1996) is shorter than the utterance that mentions it. I will show why the telic character (GAREY 1957) of achievements -unlike the other types of processes- makes it difficult to express an event contemporary to speech time since, against MARTIN's (1985, 25) idealization, truth conditions vary throughout the utterance. Taking encoding as the basis (somewhat following LEVELT 1989), I will argue that truth-condition variation can naturally lead to the over-represented use of past tenses (Passé composé in French) in child language for the expression of telic events during early acquisition (cf. e.g. WAGNER 2009).
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La notion d'hybride est souvent utilisée dans les analyses consacrées au rôle croissant des acteurs non étatiques et des mécanismes informels de transformation du pouvoir dans le contexte de la mondialisation. Mais elle n'est jamais conceptualisée en tant que telle. Dans le prolongement des approches hétérodoxes en économie politique internationale, cet article pose une réflexion théorique sur le concept d'hybrides de la mondialisation. Le cadre d'analyse intègre les acteurs impliqués, les objets concernés et l'espace de compétence. Il pose l'hypothèse que les hybrides de la mondialisation investissent d'autorité des acteurs privés auparavant dépourvus d'un tel statut, portent sur un objet qui souligne les implications politiques croissantes de la science et de la technologie, se déploient dans un espace où s'emboîtent les logiques endogènes de l'État nation et celles exogènes découlant de la dynamique transnationale du capitalisme.
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Mécénat texte imprimé : Cet ouvrage a été numérisé grâce à Clara Fougerol