18 resultados para Enlightment
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Resumen: A finales de la década del treinta, especialmente luego de la visita de Maritain en 1936 a la Argentina, surgieron con mucha fuerza una serie de debates dentro de los círculos intelectuales católicos argentinos. Uno de los temas tratados, entre otros, fue el valor de la democracia y, especialmente, su posible justificación como sistema político y su concordancia con las enseñanzas de la Iglesia. Sin embargo, aun aquellos que defendían la democracia no representaban un grupo homogéneo: tanto las fuentes intelectuales a las que recurrían como los fundamentos antropológicos de sus argumentaciones eran diversas. El presente artículo se propone desarrollar la defensa de la democracia que hicieron R. Pividal y A. Duhau, dos de estos intelectuales católicos. Como intentaré demostrar, aun cuando coinciden en resaltar el valor de la democracia y su plena concordancia con el catolicismo, la recurrencia a autores diversos (Maritain y a través de él la oposición a Maurras y Rousseau en un caso y Adam Smith y el Liberalismo escocés en el otro) generan que las argumentaciones de uno y otro difícilmente coincidan en mucho más que en esa positiva valoración que hacen del sistema democrático.
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Ce mémoire porte sur la relation de l'œuvre de Sade à la modernité. De Sade qui, en ce qu'il ne s'est pas laissé aveugler, qu’il a su voir l'obscurité immanente aux Lumières, doit être considéré comme un voyant. Ce que d'aucuns appellent sa folie, c'est-à-dire la raison naturelle, bourgeoise par lui chantée et exacerbée, c'est un miroir tourné dans notre direction, un miroir dans lequel nos sociétés refusent de voir leur propre raison instrumentalisée, leur propre raison mise au service de l'égoïsme, de l'autoconservation. Face à ce refus, l'œuvre de Sade apparaît comme le refoulé de notre modernité. Dans un premier temps, ce mémoire examine la filiation esthétique de Sade à Baudelaire et s'attache, par l'entremise d'une étude comparative des figures du libertin et du dandy, à démontrer comment l'esthétique négative de Baudelaire présuppose la conception sadienne du mal comme intimement lié à la nature et à la raison, comment elle la transfigure de sorte que c'est seulement à partir de cette conscience dans le mal que Baudelaire en arrive à penser le bien, qu'elle constitue pour lui la seule possibilité de se réformer, de devenir à la fois humain et lucide. Il faut toujours en revenir à de Sade pour expliquer le mal, écrit Baudelaire, qui fait ainsi de Sade ou du moins de son fantôme, puisque celui-ci n'est que rarement nommé, une figure clé de la conscience dans le Mal, condition sine qua non de la modernité baudelairienne. Dans un second temps, c'est à la notion de petite souveraineté que s'intéresse ce mémoire. Souveraineté par procuration qui interdit la réelle souveraineté, elle est le produit de l'assujettissement du libertin à la nature, à la Raison, cette Raison naturelle et bourgeoise. Et l'éducation naturelle par laquelle le libertin cherche à assujettir l'Autre, lui qui ne peut posséder qu'en soumettant autrui au système auquel lui-même s'est consciemment soumis, lui le possédé-possédant, le fantôme d'homme faiseur de fantômes lui-même, est reproduction à son compte de son propre assujettissement. Cette notion de petite souveraineté s'oppose à une tradition de critiques idéalistes, qui, se méprenant sur la parenté du dandy et du libertin, héroïsant ce dernier, voient en lui un sujet libre, souverain, sans se rendre compte que sa Raison est historiquement lourde de conséquences.
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Centrée sur une réflexion des droits de l’homme à partir de l’expérience historique de la Shoah, la thèse porte sur l’enjeu fondamental du statut du religieux en modernité. Trois parties la composent, correspondant au génocide, à la modernité politique et à l’histoire du Salut : la première propose une interprétation de l’Holocauste en ayant recours aux catégories empruntées à l’historiographie, à la réflexion philosophique et à la tradition théologique. Elle rend compte de deux lectures concurrentes des Lumières, du renversement de la théologie chrétienne du judaïsme au XXe siècle, de la généalogie idéologique du nazisme ainsi que du contexte explosif de l’entre-deux-guerres. La seconde partie de la thèse avance une théorie des trois modernités, selon laquelle les États-Unis, la France et Vatican II représenteraient des interprétations divergentes et rivales des droits. Enfin, la troisième partie reprend les deux précédentes thématiques de la Shoah et de la modernité, mais à la lumière de la Révélation, notamment de l’Incarnation et de la Croix. La Révélation est présentée comme un double dévoilement simultané de l’identité de Dieu et de la dignité humaine – comme un jeu de miroir où la définition de l’homme est indissociable de celle de la divinité. En provoquant l’effondrement de la Chrétienté, la sécularisation aurait créé un vide existentiel dans lequel se serait engouffré le nazisme comme religion politique et idéologie néo-païenne de substitution. Négation de l'élection d'Israël, du Décalogue et de l’anthropologie biblique, l’entreprise nazie d’anéantissement est comprise comme la volonté d’éradication de la Transcendance et du patrimoine spirituel judéo-chrétien, la liquidation du Dieu juif par l’élimination du peuple juif. Le judéocide pourrait dès lors être qualifié de «moment dans l’histoire du Salut» en ce sens qu’il serait porteur d’un message moral en lien avec le contenu de la Révélation qui interpellerait avec force et urgence la conscience moderne. L’Holocauste constituerait ainsi un kairos, une occasion à saisir pour une critique lucide des apories de la modernité issue des Lumières et pour un renouvellement de la pensée théologico-politique, une invitation à une refondation transcendante des droits fondamentaux, dont la liberté religieuse ferait figure de matrice fondationnelle. La Shoah apporterait alors une réponse au rôle que la Transcendance pourrait jouer dans les sociétés modernes. Mémorial de Sang refondateur des droits de la personne, l'Holocauste rendrait témoignage, il lancerait une mise en garde et poserait les conditions nécessaires d'un enracinement biblique à la préservation de la dignité de l’être humain. Aux Six Millions de Défigurés correspondrait la Création de l'Homme du Sixième Jour. En conclusion, un triangle synergique nourricier est soutenu par l’extermination hitlérienne (1941-1945), la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) et le Concile Vatican II (1962-1965) comme les trois piliers d’une nouvelle modernité, située au-delà des paradigmes américain (1776) et français (1789). La Shoah inaugurerait et poserait ainsi les fondements d'un nouvel horizon civilisationnel; elle pointerait vers un nouveau départ possible pour le projet de la modernité. L'expérience génocidaire n'invaliderait pas la modernité, elle ne la discréditerait pas, mais la relancerait sur des bases spirituelles nouvelles. Cette refondation des droits fondamentaux offrirait alors une voie de sortie et de conciliation à la crise historique qui opposait depuis près de deux siècles en Europe les droits de l'homme et la Transcendance, Dieu et la liberté – modèle susceptible d’inspirer des civilisations non occidentales en quête d’une modernité respectueuse de leur altérité culturelle et compatible avec la foi religieuse.
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Im Dezember 1997 veröffentlichte die Frankfurter Allgemeine Zeitung den als Rechtsgutachten abgefassten Beitrag des Heidelberger Juristen Friedrich-Christian Schoeder (Schroeder 1997). Die Frage, die Autor und Zeitung eher spielerisch als aus konkretem Anlass umtrieb, galt dem rechtlichen Status eines Menschen, dessen Kopf auf den Körper eines anderen Menschen transplantiert wurde. Medizinisch waren und sind solche Eingriffe noch nicht durchführbar, aber immerhin schienen sie für den Autor und die Zeitung eine Aktualität zu besitzen. Auch bei folgenden Auseinandersetzungen, die in den Medien um die Konsequenzen der medizinisch-technischen Entwicklung geführt wurden, geraten Bewusstsein, Subjektivität und Körper zum statischem Abbild des Gegenwärtigen, sie werden nicht als Substrat historischer Prozesse begriffen. Ohne den Begriff der Vergangenheit plaudern sich eine Vielzahl Autoren durch die Zukunft. In dieser muss auch der auf einen fremden Körper übertragene Kopf als Rechtssubjekt verwaltet werden. Aber wie verändert sich der Mensch, durch eine medizinische Maßnahme vervollständigt, die dauerhaft seine Körpergrenze verschiebt? Die Transplantationsmedizin ist bei der Auseinandersetzung um Subjektivität nicht nur dann von besonderem Interesse, wenn ein Kopf auf, sondern auch, wenn ein gespendetes Organ in einen fremden Körper verpflanzt wird. Die Trennung von Fremd und Eigen, Außen und Innen ist eng mit dem Zivilisationsprozess und der Subjektwerdung verbunden. Was körperlich durch medizinische Maßnahmen verschoben wird, die Grenze zwischen Außen und Innen, ist die Bedingung der Möglichkeit von Subjektivität. Der Titel dieser Arbeit, Der Prothesengott, verweist auf die individuellen und zivilisatorischen Leistungen, die vollbracht werden mussten, um mit Fug und Recht „Ich“ sagen zu können. Der Begriff Prothesengott ist der Freudschen Schrift Das Unbehagen in der Kultur entnommen. Freud schreibt dort vom Ideal des Prothesengottes und das erste Kapitel der hier vorgelegten Arbeit ist der Entfaltung dieses Ideals gewidmet. Dieses Begriffspaar hat mehr Bedeutungsnuancen, als Freud an Ort und Stelle entwickelte. Es umfasst die Bedeutung von Mythos und Gott als Prothesen, als Ideale, die den Menschen vervollständigten. Aber auch die Bedeutung von Theorien, Ideen, schlicht Idealen als Prothesen Gottes ist angesprochen, und damit der Versuch, den Verlust Gottes auszugleichen. Und zu guter Letzt benennt es das Ideal eines Gottes durch Prothesen, die Apotheose, wie Freud sie meinte: Als Vergötzung der Prothesen, mit denen der Mensch sich vervollständigt, um sich nach dem Tod Gottes selber ein Versprechen auf Erlösung sein zu können. Mit dieser Entfaltung soll die Zivilisation wie die individuelle Entwicklung als ein Prozess rekonstruiert werden, in dem Subjektivität gleichzeitig hervorgebracht und beschädigt wird. Diese Dialektik von Zivilisation und Barbarisierung findet ihren vorläufigen Höhepunkt im Fortschreiten der technischen Mittel unserer Zeit. Zur empirischen Fassung der historisch vorfindlichen Subjektivität wurden Patienten der Transplantationseinheit der Universität Leipzig gebeten, in den ersten drei Monaten nach der Operation Tagebücher auszufüllen. Diese Tagebücher wurden mit statistischen und hermeneutischen Methoden ausgewertet. Die Transplantationserfahrung offenbart sich in den Tagebüchern zwar als besondere, aber in eine Vielzahl von Techniken der Körpergestaltung eingebettete Maßnahme. Neben einer kritischen Würdigung des methodischen Vorgehens wird im fünften Kapitel die Transplantationserfahrung in den Kontext anderer Forschungsergebnisse zur Gestaltung des Körpers gestellt. Deren kritische Diskussion und die Transplantationserfahrungen bieten einen Ausblick darauf, was Eingedenken der Natur im Subjekt heute bedeuten kann.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Cette thèse se propose d’analyser les images de la nuit et ses significations dans les romans du XVIII siècle, à partir des années 1730-1740, dans le cadre de trois littératures: la littérature anglaise, française et italienne. Deux conceptions opposées sont mises en comparaison: la première, d’exorcisation de la nuit, est typique de la première partie du siècle; elle est représentée principalement par le genre des romans libertins. La deuxième conception montre une valorisation de la nuit qu’on trouve en particulier dans les romans gothiques, qui se sont développés à partir de la seconde partie du siècle. Le but final de la présente recherche est de trouver une explication au refus de la nuit de la part de certains auteurs et ensuite de repérer les causes du bouleversement de cette vision. Puisque la nuit empêche le sens de la vue, elle a été considérée une forme de négation de l’espace physique; selon le profil psychologique et anthropologique la nuit constituerait alors la cause principale de la perte d’orientation. Selon une interprétation intellectuelle et philosophique, elle serait un symbole d’ignorance et d’irrationalité. La situation change vers la moitié du siècle des Lumières, car la nuit commence à assumer un rôle actif et nécessaire dans le processus d’apprentissage. Au niveau social, les rencontres les plus importantes adviennent pendant la nuit. Dans le revival des cathédrales gothiques et des châteaux médiévaux, on voit que la nuit s’empare désormais de l’espace, qui s’enrichit de lumières et d’ombres.
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Una cierta lectura de la posmodernidad ha diagnosticado (en realidad, ofertado) el final de la historia y, por consiguiente, el de la novela histórica, aunque algunos optamos por no enterrarla sino por renovarla. En el contexto de este debate vale la pena detenerse en el Laberinto mágico de Max Aub, magno mural de la guerra civil española, una de las últimas manifestaciones del modelo puro de episodio nacional, máximo legado de Galdós y Valle Inclán. A pesar de los elementos aparentemente heterogéneos que contiene, el gesto histórico e ideológico que traza Campo cerrado (escrita en 1939), la primera novela del Laberinto mágico, es el de la novela histórica moderna. En los Campos posteriores, la fórmula de la novela histórica aubiana alcanzará su sazón, siendo quizá Campo del moro (1963) el más brillante y equilibrado ejemplo de esta modalidad entre las de la serie. En ella, el sentido de la historia que se anunciaba en Campo del moro se disipa, víctima de la traición y asaltado por la locura que se desata en las calles de Madrid. Campo del moro puede considerarse novela histórica pura, ya que se cumplen en ella las condiciones de felicidad necesarias para que esta modalidad genérica se realice plenamente: historicidad de los acontecimientos; respeto al orden cronológico en que se suceden; ficcionalidad limitada por el referente histórico; iniciativa de lo histórico sobre lo ficcional y primacía de la lógica de lo público sobre la de lo privado; por último, narratibilidad de los acontecimientos que se manifiesta en la selección del golpe de estado de Casado y Besteiro y su potenciación como clave del relato histórico. Tres grandes temas se despliegan en la lógica argumental de la novela: la traición, la confusión del laberinto y la degradación de una causa heroica. En el discurso de Max Aub que alimenta la novela, la ficción, la verdad y la historia se entrelazan hasta formar el hilo de Ariadna en el Laberinto.
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El principal objetivo de este artículo es mostrar las coincidencias, a la vez que las discrepancias, de la lectura hecha por Schopenhauer del programa ilustrado propuesto por Kant. En concreto, se considerarán cuatro grandes temas: sus respectivas afirmaciones respecto a la figura de Federico el Grande y a las principales características de la Ilustración; la idea de esperanza, progreso e historia en el panorama ilustrado; la cosa-en-sí kantiana interpretada como voluntad; y la particular lectura schopenhaueriana del famoso lema kantiano sapere aude!.
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Una cierta lectura de la posmodernidad ha diagnosticado (en realidad, ofertado) el final de la historia y, por consiguiente, el de la novela histórica, aunque algunos optamos por no enterrarla sino por renovarla. En el contexto de este debate vale la pena detenerse en el Laberinto mágico de Max Aub, magno mural de la guerra civil española, una de las últimas manifestaciones del modelo puro de episodio nacional, máximo legado de Galdós y Valle Inclán. A pesar de los elementos aparentemente heterogéneos que contiene, el gesto histórico e ideológico que traza Campo cerrado (escrita en 1939), la primera novela del Laberinto mágico, es el de la novela histórica moderna. En los Campos posteriores, la fórmula de la novela histórica aubiana alcanzará su sazón, siendo quizá Campo del moro (1963) el más brillante y equilibrado ejemplo de esta modalidad entre las de la serie. En ella, el sentido de la historia que se anunciaba en Campo del moro se disipa, víctima de la traición y asaltado por la locura que se desata en las calles de Madrid. Campo del moro puede considerarse novela histórica pura, ya que se cumplen en ella las condiciones de felicidad necesarias para que esta modalidad genérica se realice plenamente: historicidad de los acontecimientos; respeto al orden cronológico en que se suceden; ficcionalidad limitada por el referente histórico; iniciativa de lo histórico sobre lo ficcional y primacía de la lógica de lo público sobre la de lo privado; por último, narratibilidad de los acontecimientos que se manifiesta en la selección del golpe de estado de Casado y Besteiro y su potenciación como clave del relato histórico. Tres grandes temas se despliegan en la lógica argumental de la novela: la traición, la confusión del laberinto y la degradación de una causa heroica. En el discurso de Max Aub que alimenta la novela, la ficción, la verdad y la historia se entrelazan hasta formar el hilo de Ariadna en el Laberinto.
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El principal objetivo de este artículo es mostrar las coincidencias, a la vez que las discrepancias, de la lectura hecha por Schopenhauer del programa ilustrado propuesto por Kant. En concreto, se considerarán cuatro grandes temas: sus respectivas afirmaciones respecto a la figura de Federico el Grande y a las principales características de la Ilustración; la idea de esperanza, progreso e historia en el panorama ilustrado; la cosa-en-sí kantiana interpretada como voluntad; y la particular lectura schopenhaueriana del famoso lema kantiano sapere aude!.
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Una cierta lectura de la posmodernidad ha diagnosticado (en realidad, ofertado) el final de la historia y, por consiguiente, el de la novela histórica, aunque algunos optamos por no enterrarla sino por renovarla. En el contexto de este debate vale la pena detenerse en el Laberinto mágico de Max Aub, magno mural de la guerra civil española, una de las últimas manifestaciones del modelo puro de episodio nacional, máximo legado de Galdós y Valle Inclán. A pesar de los elementos aparentemente heterogéneos que contiene, el gesto histórico e ideológico que traza Campo cerrado (escrita en 1939), la primera novela del Laberinto mágico, es el de la novela histórica moderna. En los Campos posteriores, la fórmula de la novela histórica aubiana alcanzará su sazón, siendo quizá Campo del moro (1963) el más brillante y equilibrado ejemplo de esta modalidad entre las de la serie. En ella, el sentido de la historia que se anunciaba en Campo del moro se disipa, víctima de la traición y asaltado por la locura que se desata en las calles de Madrid. Campo del moro puede considerarse novela histórica pura, ya que se cumplen en ella las condiciones de felicidad necesarias para que esta modalidad genérica se realice plenamente: historicidad de los acontecimientos; respeto al orden cronológico en que se suceden; ficcionalidad limitada por el referente histórico; iniciativa de lo histórico sobre lo ficcional y primacía de la lógica de lo público sobre la de lo privado; por último, narratibilidad de los acontecimientos que se manifiesta en la selección del golpe de estado de Casado y Besteiro y su potenciación como clave del relato histórico. Tres grandes temas se despliegan en la lógica argumental de la novela: la traición, la confusión del laberinto y la degradación de una causa heroica. En el discurso de Max Aub que alimenta la novela, la ficción, la verdad y la historia se entrelazan hasta formar el hilo de Ariadna en el Laberinto.
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El principal objetivo de este artículo es mostrar las coincidencias, a la vez que las discrepancias, de la lectura hecha por Schopenhauer del programa ilustrado propuesto por Kant. En concreto, se considerarán cuatro grandes temas: sus respectivas afirmaciones respecto a la figura de Federico el Grande y a las principales características de la Ilustración; la idea de esperanza, progreso e historia en el panorama ilustrado; la cosa-en-sí kantiana interpretada como voluntad; y la particular lectura schopenhaueriana del famoso lema kantiano sapere aude!.
Resumo:
Contiene: t. 1, 2 y 3.
Resumo:
Contiene: t. 1 y 2.