The free encyclopaedia that anyone can edit: the shifting values of Wikipedia editors

Wikipedia is often held up as an example of the potential of the internet to foster open, free and non-commercial collaboration. However such discourses often conflate these values without recognising how they play out in reality in a peer-production community. As Wikipedia is evolving, it is an ideal time to examine these discourses and the tensions that exist between its initial ideals and the reality of commercial activity in the encyclopaedia. Through an analysis of three failed proposals to ban paid advocacy editing in the English language Wikipedia, this paper highlights the shift in values from the early editorial community that forked encyclopaedic content over the threat of commercialisation, to one that today values the freedom that allows anyone to edit the encyclopaedia.

Le livre sous la loupe : Nouvelles formes d’écriture électronique

Les fichiers qui accompagnent le document incluent une archive .jar du zoom-éditeur (qui peut être lancé via un browser) et des exemples de z-textes réalisés avec ce logiciel.

Wikipedia model for collective intelligence : a review of information quality

Online information seekers increasingly utilise the online encyclopaedia Wikipedia as a key reference source. Wikipedia's special feature is that it is based on the collective intelligence (CI) of lay citizens. Its consensus-building participatory knowledge-building processes replace traditional encyclopaedia processes founded on the knowledge of experts and gatekeeping practices. However there have been reports of concerns with the level of information quality provided by Wikipedia articles. This paper explores information quality for Wikipedia theoretically. First, it conceptualises the Wikipedia model of knowledge production and second, it analyses information quality for the model. Finally, the paper recommends some improvements for the model and discusses other implications for knowledge management theory and practice.

A Word. Palaver and Its Transferal Residues

The word 'palaver' is colloquially associated with useless verbiage and the nuisance of a tediously long, aimless and superfluous debate. At the same time, it insinuates an uncivilized culture of discourse beyond reason. Thus it appears to be of vaguely exotic origin but still firmly set in the European lexicon. Yet behind this contemporary meaning there lies a long history of linguistic and cultural transfers which is encased in a context of different usages of language and their intersections. By tracing the usage and semantics of 'palaver' in various encyclopaedias, glossaries and dictionaries of English, French, German, Portuguese and Spanish, the following article explores the rich history of this word. Moreover, it also regards the travelling semantics of the term 'palaver' as a process of cultural transfer that can be likened to the microcellular workings of a (retro)virus. Viral reproduction and evolution work through processes of transfer that enable the alteration of the host to adjust it to the replication and reproduction of the virus. In some cases, these processes also allow for the mutation or modification of the virus, making it suitable for transfer from one host to another. The virus is thus offered here as a vital model for cultural transfer: It not only encompasses the necessary adoption and adaption of contents or objects of cultural transfer in different contexts. It contributes to a conceptual understanding of the transferal residue that the transferred content is endowed with by its diversifying contexts. This model thereby surpasses an understanding of cultural transfer as literal translation or transmission: it conceptualizes cultural transfer as an agent of evolutionary processes, allowing for mutational effects of transfer as endowment.

La historia de la química: Pequeña guía para navegantes. Parte II: Libros, revistas, sociedades, centros de investigación y enseñanza

Este trabajo pretende ser una guía de las investigaciones en historia de la química. Consta de dos partes muy relacionadas entre sí. En la primera parte se ha descrito el desarrollo de la historia de la química como área de investigación, desde sus orígenes hasta el siglo XX. En esta segunda parte se ofrece una lista ordenada de fuentes de información indispensables para trabajar en historia de la química. También se describen las características de las principales instituciones europeas dedicadas a la historia de la química, a partir de una encuesta recientemente realizada por la sociedad europea de sociedades químicas. Información bibliográfica adicional se ofrece en .

The imaging of Samoa in illustrated magazines and serial encyclopedias in the early 20th-century

Drawing on English language sources and material relating to the colonial administrations of Western Samoa (now Samoa) and American Samoa, this examination of photographically illustrated serial encyclopaedias and magazines proposes an alternative historical analysis of the colonial imaging of Samoa, the most extensively covered field in Oceanic photographic studies. Though photographs published between 1890s and World War II were often 'recycled', without acknowledging the fact that they were taken much earlier, and despite claims in the text of illustrated publications of an unchanged, enduring, archaic tradition in Samoa, the amazing variety of photographic content often offered contradictory evidence, depicting a modern, adaptive and progressive Samoa. Contrary to orthodox historical analysis, the images of Samoa in illustrated magazines and encyclopaedias were not limited to a small repetitive gallery of partially clothed women and costumed chiefs; and the ways in which readers understood Samoa from photographs and text raises questions still to be explored.

Les armes de jet d’Argilos : catalogue typologique

Quelques sites archéologiques comme Olympie, Stymphalos et Olynthe possèdent respectivement un répertoire faisant l’étude des armes de jet retrouvées durant une série de campagnes de fouilles archéologiques. Parmi ces indexes, figurent fréquemment des pointes de flèche, des balles de fronde et des saurotères (contrepoids de lance ou de javelot) provenant de différentes périodes historiques gréco-romaines. À travers les 20e et 21e siècle de notre ère, des spécialistes comme D. Robinson (1931), A. Snodgrass (1964), H. Baitinger (2001), C. Hagerman (2014) dédièrent une partie de leur expertise pour produire des synthèses sur ces objets jadis négligés. Ainsi, ils parvinrent à créer de grandes encyclopédies commentées composées de projectiles retrouvés en sol grec. À l’aide de ces bases de données, les archéologues militaires sont en mesure d’établir des datations et l’origine prétendue de certains types de projectiles. Jusqu’en 2015, les artéfacts militaires trouvés sur le site archéologique d’Argilos n’avaient jamais fait l’objet d’une étude de synthèse. D’abord, inspiré par de publications semblables, ces projectiles furent soumis à un inventaire sous forme de catalogue. Au total, deux types de balles de fronde en plomb, onze types de pointes de flèche et un type de saurotère furent identifiés. Finalement, ce nouveau contenu fut assujetti à des analyses comparatives avec d’autres sites archéologiques possédant des données similaires. Les conclusions découlant de ces analogies donnèrent naissance à la première typologie des armes de jet argilienne. Certes, les analyses se heurtèrent à certains obstacles, notamment à une compréhension de la quasi-inexistence d'une pointe de flèche typiquement "grecque" et à la confusion systématique quant à la distinction entre un saurotère et une pointe de javelot, voire possiblement un carreau de gastraphétès (une sorte d’arbalète imposante utilisée lors de sièges durant le 4e siècle av. J.-C.). En partie, ceci découle de l'historique d'échanges entre la Grèce et les autres peuples méditerranéens, balkaniques et orientaux. En outre, de nombreuses réformes militaires des périodes archaïque et classique provoquèrent une évolution constante sur les aspects stratégiques et les tactiques militaires. Considérant ces facteurs parmi tant d'autres et le fait qu'Argilos ait été une fondation grecque en territoire thraco-macédonien, la possibilité d'influence "étrangère" devient alors prépondérante sur la typologie des projectiles argiliens publiée dans le présent mémoire. Avec beaucoup d’espoir, nous croyons sans équivoque que ce travail de recherche contribuera grandement non seulement à l’histoire d’Argilos, mais aussi à l’étude des projectiles en Grèce du nord.

Les armes de jet d’Argilos : catalogue typologique

Quelques sites archéologiques comme Olympie, Stymphalos et Olynthe possèdent respectivement un répertoire faisant l’étude des armes de jet retrouvées durant une série de campagnes de fouilles archéologiques. Parmi ces indexes, figurent fréquemment des pointes de flèche, des balles de fronde et des saurotères (contrepoids de lance ou de javelot) provenant de différentes périodes historiques gréco-romaines. À travers les 20e et 21e siècle de notre ère, des spécialistes comme D. Robinson (1931), A. Snodgrass (1964), H. Baitinger (2001), C. Hagerman (2014) dédièrent une partie de leur expertise pour produire des synthèses sur ces objets jadis négligés. Ainsi, ils parvinrent à créer de grandes encyclopédies commentées composées de projectiles retrouvés en sol grec. À l’aide de ces bases de données, les archéologues militaires sont en mesure d’établir des datations et l’origine prétendue de certains types de projectiles. Jusqu’en 2015, les artéfacts militaires trouvés sur le site archéologique d’Argilos n’avaient jamais fait l’objet d’une étude de synthèse. D’abord, inspiré par de publications semblables, ces projectiles furent soumis à un inventaire sous forme de catalogue. Au total, deux types de balles de fronde en plomb, onze types de pointes de flèche et un type de saurotère furent identifiés. Finalement, ce nouveau contenu fut assujetti à des analyses comparatives avec d’autres sites archéologiques possédant des données similaires. Les conclusions découlant de ces analogies donnèrent naissance à la première typologie des armes de jet argilienne. Certes, les analyses se heurtèrent à certains obstacles, notamment à une compréhension de la quasi-inexistence d'une pointe de flèche typiquement "grecque" et à la confusion systématique quant à la distinction entre un saurotère et une pointe de javelot, voire possiblement un carreau de gastraphétès (une sorte d’arbalète imposante utilisée lors de sièges durant le 4e siècle av. J.-C.). En partie, ceci découle de l'historique d'échanges entre la Grèce et les autres peuples méditerranéens, balkaniques et orientaux. En outre, de nombreuses réformes militaires des périodes archaïque et classique provoquèrent une évolution constante sur les aspects stratégiques et les tactiques militaires. Considérant ces facteurs parmi tant d'autres et le fait qu'Argilos ait été une fondation grecque en territoire thraco-macédonien, la possibilité d'influence "étrangère" devient alors prépondérante sur la typologie des projectiles argiliens publiée dans le présent mémoire. Avec beaucoup d’espoir, nous croyons sans équivoque que ce travail de recherche contribuera grandement non seulement à l’histoire d’Argilos, mais aussi à l’étude des projectiles en Grèce du nord.