759 resultados para Employee participation in management
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Background. Providing an worksite fitness center for employees is an effective setting to increase an adult’s levels of physical activity, demonstrably reducing health care costs and elevating employee productivity. Increasing compliance and adherence among employees to consistently utilize an onsite facility remains a challenge.^ Purpose. To illustrate if two electronic behavioral journalism newsletters can increase employee participation in a free worksite wellness center.^ Design. A randomized control trial was implemented. ^ Setting. A large petroleum-producing corporation located in Houston, Texas Subjects.70 full or part time employees that had checked into visited the wellness center during September, October, and November 2009. ^ Intervention. Two behavioral journalism newsletters were created based on authentic community member role model interviews. Newsletters were distributed to intervention group participants via company email. Intervention and control group participant’s visits to the wellness center were monitored via a key card check in system at the facility for two weeks following the newsletter intervention.^ Analysis. Count variable statistics were used to identify rate differences between the intervention and control group wellness center visits. A binomial test for equality of proportions was used to identify differences between participants that had at least one visit to the wellness center compared with those with none.^ Results. Both intervention and control groups had a baseline of zero wellness center visits. The control group had a mean visit rate 0.441 and the intervention group had 0.857. A 0.416, almost one half more visits were found among the intervention group.^ Conclusion. This study indicates that behavioral journalism newsletters featuring a role model from within the worksite population can be a cost effective communication method to improve participation in an onsite wellness center. ^
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Les tendances de la participation à la formation des adultes au Canada n’ont pas évolué depuis des décennies, malgré les nouvelles influences économiques qui ont stimulé l’augmentation et la diversification permanente de la formation des employés et malgré les initiatives plus nombreuses en faveur de l’apprentissage des employés en milieu de travail. Il est donc nécessaire de ne plus se contenter d’étudier les prédicteurs de la formation déjà connus dans les profils des employés et des employeurs. Il est, en revanche, indispensable d’étudier les antécédents de la participation des employés à la formation, y compris les aspects et les étapes du processus qui la précède. Cette étude porte sur les antécédents de la participation des employés aux formations dans un important collège communautaire urbain en Ontario. Afin de préparer le recueil des données, un cadre théorique a été élaboré à partir du concept d’expression de la demande. Ce cadre implique l’existence d’un processus qui comporte plusieurs étapes, au cours desquelles plusieurs intervenants interagissent et dont la formation est susceptible d’être le résultat. Les résultats de l’enquête sur le profil d’apprentissage ont permis de conclure que le comportement des employés et de l’employeur est conforme aux modèles de prédicteurs existants et que les taux et les types de participation étaient similaires aux tendances nationales et internationales. L’analyse des entrevues d’un groupe d’employés atypiques, de leurs superviseurs, ainsi que de représentants du collège et du syndicat, a révélé d’importants thèmes clés : l’expression de la demande n’est pas structurée et elle est communiquée par plusieurs canaux, en excluant parfois les superviseurs. De plus, la place de l’auto évaluation est importante, ainsi que la phase de prise de décision. Ces thèmes ont souligné l’interaction de plusieurs intervenants dans le processus d’expression de la demande d’apprentissage et pendant la prise de décision. L’examen des attentes de chacun de ces intervenants au cours de ce processus nous a permis de découvrir un désir tacite chez les superviseurs et les employés, à savoir que la conversation soit à l’initiative de « l’autre ». Ces thèmes clés ont été ensuite abordés dans une discussion qui a révélé une discordance entre le profil de l’employeur et les profils des employés. Celle-ci se prête à la correction par l’employeur de son profil institutionnel pour l’harmoniser avec le profil dispositionnel des employés et optimiser ainsi vraisemblablement son offre de formation. Ils doivent, pour cela, appliquer un processus plus systématique et plus structuré, doté de meilleurs outils. La discussion a porté finalement sur les effets des motivations économiques sur la participation des employés et a permis de conclure que, bien que les employés ne semblent pas se méfier de l’offre de formation de l’employeur et que celle ci ne semble pas non plus les décourager, des questions de pouvoir sont bel et bien en jeu. Elles se sont principalement manifestées pendant le processus de prise de décision et, à cet égard, les superviseurs comme les employés reconnaissent qu’un processus plus structuré serait bénéfique, puisqu’il atténuerait les problèmes d’asymétrie et d’ambiguïté. Les constatations de cette étude sont pertinentes pour le secteur de la formation des adultes et de la formation en milieu de travail et, plus particulièrement, pour la méthodologie de recherche. Nous avons constaté l’avantage d’une méthodologie à deux volets, à l’écoute de l’employeur et des employés, afin de mieux comprendre la relation entre l’offre de formation et la participation à la formation. La définition des antécédents de la participation sous la forme d’un processus dans lequel plusieurs intervenants remplissent plusieurs rôles a permis de créer un modèle plus détaillé qui servira à la recherche future. Ce dernier a démontré qu’il est indispensable de reconnaître que la prise de décision constitue une étape à part entière, située entre l’expression de la demande et la participation à la formation. Ces constatations ont également révélé qu’il est véritablement indispensable que le secteur de la formation des adultes continue à traiter les questions reliées à la reconnaissance de la formation informelle. Ces conclusions et la discussion sur les constatations clés nous ont inspiré des recommandations à appliquer pour modifier les retombées du processus précédant la participation des employés à la formation. La majorité de ces recommandations ont trait à l’infrastructure de ce processus et ciblent donc principalement l’employeur. Certaines recommandations sont cependant destinées aux syndicats, aux superviseurs et aux employés qui peuvent aider l’employeur à remplir son rôle et favoriser la participation efficace de tous à ce processus. Les recommandations qui précédent impliquent que ce sont les antécédents de la formation qui gagneraient à être plus structurés et non la formation elle même. La structuration de l’infrastructure de l’apprentissage présente cependant des risques à elle seule. En liaison avec ce phénomène, une étude spécifique des effets de la nature, de la qualité et de l’asymétrie de la relation superviseur employé sur la participation des employés à la formation serait bénéfique. Mots clés : formation en entreprise, formation professionnelle continue, antécédents à la participation, employés de soutien
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La participación de los trabajadores en las organizaciones y empresas donde trabajan constituye un objetivo largamente perseguido desde que, prácticamente, se implantara la Revolución Industrial. Desde entonces, los impulsos para democratizar el trabajo no han cesado de producirse, de forma que hoy, la participación está presente -en sus diversas formas, intensidades y ámbitos- en la mayor parte de las empresas de los países occidentales. No obstante, ese proceso se ha visto condicionado y, a veces, obstaculizado por la presencia de ciertos idearios, así como por un conjunto amplio de factores, de cuya conjunción se ha derivado que la participación se haya estabilizado como un fenómeno social positivo y aceptado por los diversos interlocutores o, por el contrario, no se haya estabilizado como tal o, si lo ha hecho, haya sido en términos de conflictividad.
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La participación de los trabajadores en la gestión de la tecnología es un fenómeno sociolaboral escasamente desarrollado. El análisis empírico de quince empresas del sector «auxiliar» del automóvil de Cataluña, mediante estudios de caso, ha permitido constatar que los niveles de participación de los trabajadores o de sus representantes en el proceso de innovación tecnológica son muy limitados, pues sólo en una de las empresas, el grado y la extensión de ese tipo de participación alcanzó su máxima expresión. Es decir, sólo en una de las quince empresas estudiadas, la toma de las decisiones relacionadas con las cuatro fases de que consta el proceso de innovación tecnológica (planificación, diseño, implantación y evaluación), se realizó con el grado de codecisión entre la parte social y la dirección, por lo que el control de los trabajadores o de sus representantes sindicales sobre ese proceso alcanzó el nivel más elevado de todos los previstos por esta investigación. En las catorce empresas restantes, la distribución de los niveles de participación y, por tanto, de los tipos de control que se derivaron para los trabajadores fue la iguiente: en dos empresas, la participación en la gestión de la tecnología alcanzó un grado de tipo bidireccional (negociación con propuestas de ambas partes, aunque la dirección de la empresa se reservaba la última e irrevocable palabra), con una extensión de la participación hasta la fase de diseño de las tecnologías y, por tanto, incluyendo las fases de implantación y evaluación, con lo que los trabajadores accedieron a un control de tipo medio. En otras seis empresas, el grado de participación alcanzado fue de tipo unidireccional (consulta optativa de la dirección a los trabajadores sin compromiso de aceptar sus propuestas), con una extensión que se limitaba a la fase de implantación de la tecnología -pues sólo en una de esas seis empresas los trabajadores pudieron participar en la fase de evaluación, dando lugar a un tipo de control mínimo para los trabajadores. Finalmente, en las restantes seis empresas no se pudo detectar participación alguna, ni en grado ni en extensión.
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A partir de la existencia de unos determinados niveles de participación en la tecnología, alcanzados por los trabajadores y representantes sindicales de quince empresas del sector «auxiliar» del automóvil de Cataluña, un análisis de la «cultura global» de cada una de esas empresas ¿esta última, deducida de la «agregación» de la cultura directiva y sindical existentes en esas empresas¿ permitió comprobar que tales niveles de participación estaban altamente relacionados con el tipo de concepciones ideológico-culturales ¿ideas, valores y representaciones simbólicas¿ presentes en la cultura de cada uno de esos dos actores sociales. En particular, en la de los directivos, que fue la que demostró poseer la mayor hegemonía para determinar la «cultura global» de cada empresa y, con ello, el grado de ajuste existente entre dicha «cultura global» y los niveles de participación alcanzados por los trabajadores en la innovación tecnológica. El resultado final fue que la «cultura global» fue capaz de explicar los niveles de participación detectados en trece de las quince empresas estudiadas.
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En los estudios de las organizaciones domina la investigación relacionada con la gestión. Sin embargo,poco a poco, el análisis de la participación y la implicación activa de los socios en los órganos de gobierno de las organizaciones democráticas va creando su propio espacio de interés. Los directivos empiezan a descubrir que la implicación del socio en la sostenibilidad económica proporciona ventaja competitiva. En el caso del cooperativismo de consumo en España, es este artículo se presentan los resultados de un estudio encargado por Hispacoop al Centro de Investigación de Economía y Sociedad (cies, 2010) de la Universidad de Barcelona, siendo esta una primera aproximación al estudio de la participación del socio en el gobierno de diez cooperativas de consumo que operan en el mercado español. Palabras clave: consumo, cooperativas, gestión, gobierno organizacional, procesos de participación.
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This research is an Anglo-Indian comparative case study. It studies managerial action in the participation arena of two British multi-nationals i.e. Cadbury Limited and ICI plc. The research was carried out in matched pairs of factories of the above named companies, located in the Midlands of the UK and in Bombay in India. The data for this research was collected through semi-structured interviews with managers and non-management actors, study of company documents and non-participant observation of some participation forums. The research conceptualises the idea of a `participation arena' consisting of the structures, processes, purposes and dynamics of participation. This arena is visualised as broadly reflecting the organisation structure and can be divided into corporate, unit and shopfloor level. Managerial action in this arena is examined in terms of interaction between three sets of factors i.e. company business objectives, strategies and policies; managerial values of power and control; and the responses of unions. Similarities and differences between management action in the home and host plants of the two multi-national companies are also examined. The major findings of the research are as follows. There is significant difference between the participation arena of the parent and the subsidiary company. The latter is marked by absence of higher level participation forums and lack of opportunity for employees to discuss, let alone influence, key decisions. This results from parent company control over key activities of the subsidiary. The similarities in management action in the participation arenas of the two companies in both countries can be attributed to the operation of the three sets of factors mentioned above. Nevertheless, the particular circumstances of each company are a greater influence on managerial action than the national context. Finally, future areas of research in this field are explored.
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This study investigates the direct and indirect effects of financial participation (FP) and participation in decision-making (PDM) on employee job attitudes. The central premise is that both financial participation and participation in decision-making have effects on job attitudes, such as integration, involvement and commitment, perceived pay equity, performance-reward contingencies, satisfaction and motivation. After reviewing the theoretical and empirical literature and testing two theoretical frameworks, developed by Long (1978a) and Florkowski ( 1989), a new model was constructed to consider a combined effects of both FP and PDM, herein referred to as employee participation (EP). The underpinning of the model is based on the assumption that both ( a) the combination of financial participation and participation in decision-making ('employee participation'), and (b) participation in decision-making produce favourable effects on employee job attitudes. The test of the new model showed that employee participation does not produce more favourable effects on employee job attitudes, than does participation in decision-making on its own. The data were gathered from a questionnaire study administered in a large British retail organization that operates two types of ownership schemes - profit-sharing and SAYE schemes.
Laying Down the Ladder: A typology of public participation in Australian natural resource management
Consumption Management of Air Conditioning Devices for the Participation in Demand Response Programs
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Demand Response has been taking over the years an extreme importance. There’s a lot of demand response programs, one of them proposed in this paper, using air conditioners that could increase the power quality and decrease the spent money in many ways like: infrastructures and customers energy bill reduction. This paper proposes a method and a study on how air conditioners could integrate demand response programs. The proposed method has been modelled as an energy resources management optimization problem. This paper presents two case studies, the first one with all costumers participating and second one with some of costumers. The results obtained for both case studies have been analyzed.
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By the end of the 1970s, contaminated sites had emerged as one of the most complex and urgent environmental issues affecting industrialized countries. The authors show that small and prosperous Switzerland is no exception to the pervasive problem of sites contamination, the legacy of past practices in waste management having left some 38,000 contaminated sites throughout the country. This book outlines the problem, offering evidence that open and polycentric environmental decision-making that includes civil society actors is valuable. They propose an understanding of environmental management of contaminated sites as a political process in which institutions frame interactions between strategic actors pursuing sometimes conflicting interests. In the opening chapter, the authors describe the influences of politics and the power relationships between actors involved in decision-making in contaminated sites management, which they term a "wicked problem." Chapter Two offers a theoretical framework for understanding institutions and the environmental management of contaminated sites. The next five chapters present a detailed case study on environmental management and contaminated sites in Switzerland, focused on the Bonfol Chemical Landfill. The study and analysis covers the establishment of the landfill under the first generation of environmental regulations, its closure and early remediation efforts, and the gambling on the remediation objectives, methods and funding in the first decade of the 21st Century. The concluding chapter discusses the question of whether the strength of environmental regulations, and the type of interactions between public, private, and civil society actors can explain the environmental choices in contaminated sites management. Drawing lessons from research, the authors debate the value of institutional flexibility for dealing with environmental issues such as contaminated sites.