47 resultados para Electroretinography


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BACKGROUND: Digoxin intoxication results in predominantly digestive, cardiac and neurological symptoms. This case is outstanding in that the intoxication occurred in a nonagenarian and induced severe, extensively documented visual symptoms as well as dysphagia and proprioceptive illusions. Moreover, it went undiagnosed for a whole month despite close medical follow-up, illustrating the difficulty in recognizing drug-induced effects in a polymorbid patient. CASE PRESENTATION: Digoxin 0.25 mg qd for atrial fibrillation was prescribed to a 91-year-old woman with an estimated creatinine clearance of 18 ml/min. Over the following 2-3 weeks she developed nausea, vomiting and dysphagia, snowy and blurry vision, photopsia, dyschromatopsia, aggravated pre-existing formed visual hallucinations and proprioceptive illusions. She saw her family doctor twice and visited the eye clinic once until, 1 month after starting digoxin, she was admitted to the emergency room. Intoxication was confirmed by a serum digoxin level of 5.7 ng/ml (reference range 0.8-2 ng/ml). After stopping digoxin, general symptoms resolved in a few days, but visual complaints persisted. Examination by the ophthalmologist revealed decreased visual acuity in both eyes, 4/10 in the right eye (OD) and 5/10 in the left eye (OS), decreased color vision as demonstrated by a score of 1/13 in both eyes (OU) on Ishihara pseudoisochromatic plates, OS cataract, and dry age-related macular degeneration (ARMD). Computerized static perimetry showed non-specific diffuse alterations suggestive of either bilateral retinopathy or optic neuropathy. Full-field electroretinography (ERG) disclosed moderate diffuse rod and cone dysfunction and multifocal ERG revealed central loss of function OU. Visual symptoms progressively improved over the next 2 months, but multifocal ERG did not. The patient was finally discharged home after a 5 week hospital stay. CONCLUSION: This case is a reminder of a complication of digoxin treatment to be considered by any treating physician. If digoxin is prescribed in a vulnerable patient, close monitoring is mandatory. In general, when facing a new health problem in a polymorbid patient, it is crucial to elicit a complete history, with all recent drug changes and detailed complaints, and to include a drug adverse reaction in the differential diagnosis.

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L’objectif de ce projet de recherche était de vérifier la présence de changements de sensibilité de la rétine et du système circadien suite à deux semaines d'exposition à un milieu faiblement ou fortement éclairé, dans des conditions contrôlées en laboratoire. De plus, comme un changement de sensibilité peut modifier l'ajustement du système circadien au cycle jour-nuit extérieur, nous voulions également vérifier si la phase circadienne serait modifiée par le traitement et si la vigilance et l’humeur seraient affectées. Dix sujets ont été exposés à de la lumière tamisée (70 lux [LT]) et 10 ont été exposés à de la lumière vive (3000 lux [LV]) pendant 12 jours consécutifs en laboratoire de 8h45 à 19h00 tous les jours. L’exposition à la lumière a été mesurée 5 jours avant l’entrée au laboratoire dans l’habitat naturel du sujet et pendant la période en laboratoire à l’aide de l’Actiwatch-L®. La sensibilité rétinienne a été mesurée avant et après le traitement lumineux, par un électrorétinogramme (ERG) et la sensibilité circadienne, par le test de suppression de mélatonine salivaire. Tout au long du protocole, la vigilance, la somnolence et l'humeur ont été évaluées à plusieurs moments de la journée à intervalles prédéterminés. Après 12 jours d’exposition en lumière contrôlée, l’amplitude de l’onde-a au Vmax à l’ERG photopique a diminué en LV alors qu’elle a augmenté en LT. À l’ERG scotopique, une différence de sensibilité rétinienne (log K) entre les groupes avant le traitement expérimental s’est amenuisée à la fin du traitement (p=.053). La suppression de mélatonine après 90 minutes d’exposition au test de suppression a diminué en LV alors qu’il n’y a pas eu de modification en LT, cependant cette interaction n’était pas significative (p=.16). La phase circadienne des sujets exposés à LV a été devancée de 58 minutes (p=.04) alors qu’elle a été retardée de 26 minutes en LT (p=.32). Les mesures de vigilance subjective (EVA) ont indiqué que les sujets LV se considéraient plus éveillés que les sujets LT après le traitement (p=.02). Par contre, aucune différence n’est apparue quant aux mesures de performance psychomotrice ni de l’humeur. L’histoire lumineuse n’a pas modifié la sensibilité rétinienne dans le sens prévu par les hypothèses alors qu’il y a eu une tendance vers une augmentation de la sensibilité circadienne en condition de lumière tamisée. L’amélioration de la vigilance subjective après l’exposition en LV n’a pas été soutenue par les résultats de la performance psychomotrice. L’histoire lumineuse n’a eu aucun effet sur l’humeur des sujets. Cette étude souligne l’importance d’utiliser des mesures permettant de départager les effets immédiats d’un traitement lumineux des effets à long terme autant sur le plan rétinien que circadien. Il reste également complexe d’étudier en laboratoire des changements adaptatifs qui se produisent dans le milieu naturel en raison du confinement et des modifications physiologiques et psychologiques pouvant y être associées.

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Au cours des dernières années, un intérêt grandissant concernant les rôles physiologiques des endocannabinoïdes (eCBs) a été observé. Le système eCB est une cible attrayante pour la modulation du système immunitaire et de la douleur périphérique. Bien que le récepteur CB1 soit distribué dans le système nerveux, le récepteur CB2 est traditionnellement associé au système immunitaire. Ce dogme fait maintenant l’objet d’un débat depuis la découverte de l’expression du récepteur CB2 dans certains neurones. La rétine est un modèle important pour l’étude de processus neuronaux. La présence du récepteur CB1 y a été démontrée. Des études fonctionnelles rapportent que l’activation des récepteurs cannabinoïdes affecte le fonctionnement de plusieurs cellules rétiniennes. À ce jour, aucune étude ne s’est intéressée au rôle global des récepteurs CB1 et CB2 dans la rétine. Nous avons investigué les conséquences de l’élimination du récepteur CB1 (cnr1-/-) ou du récepteur CB2 (cnr2-/-) sur la fonction rétinienne mesurée par électrorétinographie. Nous avons également caractérisé la distribution du récepteur CB2 dans la rétine. Pour ce faire, nous avons comparé la spécificité de plusieurs anticorps dirigés contre le récepteur CB2. Seulement l’un des anticorps testés a montré une spécificité satisfaisante. Il a permis de détecter la présence du récepteur CB2 dans les cônes, les bâtonnets, les cellules horizontales, amacrines, bipolaires et ganglionnaires. Nos résultats d’électrorétinographie indiquent que seules les souris cnr2-/- présentent une amplitude accrue de l’onde a des ERG, en conditions scotopiques. En conditions photopiques, l’amplitude de l’onde b des souris cnr2-/- montre un schéma d’adaptation à la lumière différent des autres groupes. Aucun effet significatif n’a été observé chez les animaux cnr1-/-. Ces résultats permettent de conclure que les récepteurs CB1 et CB2 jouent des rôles différents dans le traitement visuel et que le récepteur CB2 semble être impliqué dans l’établissement des réponses rétiniennes.

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Le système endocannabinoïde (eCB) est présent dans le système nerveux central (SNC) de mammifères, incluant la rétine, et est responsable de la régulation de nombreux processus physiologiques. Bien que la présence du récepteur cannabinoïde de type 1 (CB1R) a bien été documenté dans la rétine de rongeurs et primates, il y a encore une controverse quant à la présence du récepteur cannabinoïde de type 2 (CB2R) au niveau du SNC. En utilisant la microscopie confocale, nous sommes les premiers à signaler les patrons d’expression du CB2R dans la rétine de singe. Nos résultats démontrent que le CB2R est exprimé exclusivement dans les cellules de Müller de la rétine du singe. En outre, nous avons comparé les différents patrons d’expression du système eCB dans la rétine de la souris, du toupaye, ainsi que du singe vervet et macaque. Nous rapportons que les distributions de CB1R, FAAH (fatty acid amid hydrolase), MAGL (monoacylglycerol lipase) et DAGLα (diacylglycerol lipase alpha) sont hautement conservées parmi ces espèces alors que CB2R et NAPE-PLD (N-acyl phosphatidylethanolamine phospholipase D) présentent différents profils d'expression. CB2R n'a pas été détecté dans les cellules neuronales de la rétine des primates. L’immunoréactivité de NAPE-PLD est présente dans les couches de la rétine de souris et toupayes, mais a été limitée à la couche des photorécepteurs des singes vervet et macaque. Pour étudier les corrélats neuronaux et le rôle de la signalisation du système eCB dans la rétine, nous avons établi un protocole standard pour l'électrorétinographie (ERG), puis enregistré la réponse ERG de la rétine après le blocage des récepteurs avec des antagonistes spécifiques pour CB1R (AM251) et CB2R (AM630). Comparé au témoin, dans des conditions photopiques, et à certaines intensités faibles du stimulus, le blocage de CB1R diminue l'amplitude de l'onde-b, alors qu’à des intensités plus élevées, le blocage de CB2R augmente l'amplitude des deux-ondes a et b. De plus, le blocage des récepteurs cannabinoïdes provoque une augmentation de la latence des deux ondes a et b. Dans des conditions d’adaptation à l'obscurité, le blocage de CB1R et CB2R réduit l’amplitudes de l'onde a seulement à des intensités plus élevées et réduit l’onde b à intensités plus faibles. Des augmentations significatives de latence ont été observées dans les deux cas. Ces résultats indiquent que les récepteurs CB1 et CB2 chez les primates non humains sont impliqués dans la fonction rétinienne conditions photopiques. En outre, nous avons évalué le profil d'expression du CB1R, de FAAH et de NAPE-PLD au-delà de la rétine dans le corps géniculé latéral des singes et nous rapportons pour la première fois que CB1R et FAAH sont exprimés davantage dans les couches magnocellulaires. La NAPE-PLD a été localisée à travers les couches magno- et parvocellulaires. Aucune de ces composantes n’est exprimée dans les couches koniocellulaires. Ces résultats nous aident à mieux comprendre les effets des cannabinoïdes sur le système visuel qui pourraient nous mener à trouver éventuellement de nouvelles cibles thérapeutiques.

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Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.

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Primary open angle glaucoma affects more than 67 million people. Elevated intraocular pressure (IOP) is a risk factor for glaucoma and may reduce nutrient availability by decreasing ocular perfusion pressure (OPP). An interaction between arterial blood pressure and IOP determines OPP; but the exact contribution that these factors have for retinal function is not fully understood. Here we sought to determine how acute modifications of arterial pressure will affect the susceptibility of neuronal function and blood flow to IOP challenge. Anaesthetized (ketamine:xylazine) Long-Evan rats with low (~60 mmHg, sodium nitroprusside infusion), moderate (~100 mmHg, saline), or high levels (~160 mmHg, angiotensin II) of mean arterial pressure (MAP, n = 5–10 per group) were subjected to IOP challenge (10–120 mmHg, 5 mmHg steps every 3 minutes). Electroretinograms were measured at each IOP step to assess bipolar cell (b-wave) and inner retinal function (scotopic threshold response or STR). Ocular blood flow was measured using laser-Doppler flowmetry in groups with similar MAP level and the same IOP challenge protocol. Both b-wave and STR amplitudes decreased with IOP elevation. Retinal function was less susceptible to IOP challenge when MAP was high, whereas the converse was true for low MAP. Consistent with the effects on retinal function, higher IOP was needed to attenuated ocular blood flow in animals with higher MAP. The susceptibility of retinal function to IOP challenge can be ameliorated by acute high BP, and exacerbated by low BP. This is partially mediated by modifications in ocular blood flow.

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Purpose: To assess ocular blood flow responses to acute IOP stress following 4 weeks of chronic IOP elevation in streptozotocin (STZ)-induced diabetic and control rats. We hypothesise that chronic IOP elevation for 4 weeks will further impair blood flow regulation in STZ-induced diabetic rats eyes. Methods: Two weeks following citrate buffer or STZ-injections chronic IOP elevation was induced in Long Evans rats via fortnightly intracameral injections of microspheres (15 μm) suspended in 5% polyethylene glycol. IOP was monitored daily. Electroretinography (ERG, -6.79-2.07 log cd s m-2) was undertaken at Week 4 to compare photoreceptor (RmPIII), ON-bipolar cell (Vmax) and ganglion cell dominant ERG [scotopic threshold response (STR)] components. 4 weeks post-chronic IOP induction, ocular blood flow (laser Doppler flowmetry) was measured in response to acute IOP challenge (10-100 mmHg, in 5 mmHg steps, each 3 min). Results: Four weeks of chronic IOP (mean ± S.E.M., citrate: 24.0 ± 0.3 to 30.7 ± 1.3 and STZ-diabetes: 24.2 ± 0.2 to 31.1 ± 1.2 mmHg) was associated with reduced photoreceptor amplitude in both groups (-25.3 ± 2.2% and -17.2 ± 3.0%, respectively). STZ-diabetic eyes showed reduced photoreceptor sensitivity (citrate: 0.5 ± 1.8%, STZ-diabetic: -8.1 ± 2.4%). Paradoxically ON-bipolar cell sensitivity was increased, particularly in citrate control eyes (citrate: 166.8 ± 25.9%, STZ-diabetic: 64.8 ± 18.7%). The ganglion cell dominant STR was not significantly reduced in STZ-diabetic rats. Using acute IOP elevation to probe autoregulation, we show that STZ-diabetes impaired autoregulation compared with citrate control animals. The combination of STZ-diabetes and chronic IOP elevation further impaired autoregulation. Conclusions: STZ-diabetes and chronic IOP elevation appear to be additive risk factors for impairment of ocular blood flow autoregulation.

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To describe retinal nerve fiber layer changes in late-stage diffuse unilateral subacute neuroretinitis eyes and compare these results with healthy eyes observed through nerve fiber analyzer (GDx®). Methods: This is a retrospective case-control study in which 49 eyes in late-stage diffuse unilateral subacute neuroretinitis were examined from May/97 to December/ 01. First, eyes with diffuse unilateral subacute neuroretinitis and healthy contralateral eyes (Control Group I) were statistically matched. Subsequently, eyes with diffuse unilateral subacute neuroretinitis were compared with eyes of healthy patients (Control Group II). Results: Eyes from Control Groups I and II had higher relative frequency of “within normal limits” status. Eyes from the diffuse unilateral subacute neuroretinitis (DUSN) Group had higher frequency of “outside normal limits” and “borderline” status. Control Groups I and II had absolute values different from the DUSN Group regarding all parameters (p<0.05), except for Symmetry in Control Groups I and II, Average thickness and Superior Integral in control group II. Conclusion: Patients with late-stage diffuse unilateral subacute neuroretinitis presented presumed decrease in nerve fiber layer thickness shown by GDx®. Retinal zones with larger vascular support and larger amount of nerve fibers presented higher decrease in the delay of the reflected light measured by the nerve fiber analyzer

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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O metilmercúrio (MeHg) é a forma mais tóxica do mercúrio. A exposição ao MeHg gera estresse oxidativo, podendo afetar a retina, pois esta possui alta vulnerabilidade em função do seu elevado conteúdo de ácidos graxos poliinsaturados e consumo de oxigênio. Nesse contexto, a administração de antioxidantes exógenos obtidos pela dieta, como os presentes na Euterpe oleracea (açaí), poderia ser uma forma de prevenir esse desequilíbrio e suas consequências. Portanto, o objetivo deste trabalho foi avaliar o possível efeito protetor da Euterpe oleracea nas alterações eletrofisiológicas causadas pelo MeHg na retina. Para tal, foi realizada gavagem com MeHgCl (5 mg/Kg) ou solução salina (NaCl 0,9%) durante 7 dias e pré-tratamento com ração enriquecida com polpa de açaí (10%) por 28 dias. Foram utilizados ratos Wistar divididos em 4 grupos: Grupo MeHg (recebeu ração padrão e MeHgCl); MeHg+Açaí (ração enriquecida com açaí e MeHgCl); Açaí (ração enriquecida com açaí e NaCl); Veículo (ração padrão e NaCl). Um dia após a última gavagem os animais foram submetidos ao eletrorretinograma de campo total (ffERG) para obtenção da resposta escotópica (de bastonetes, mista 1 e mista 2) e fotópica (de cones e de flicker em 12; 18; 24 e 30Hz). No dia seguinte ao ffERG foi aplicado o teste campo aberto para avaliar a atividade locomotora dos animais. Posteriormente, foi feita medição de peroxidação lipídica no tecido retiniano pelo método TBARS. A análise estatística foi feita pelo teste ANOVA de uma via com pós-teste de Tukey, considerando significativo p<0,05. Os resultados do campo aberto e da massa corporal não apresentaram diferença entre os grupos. O MeHg reduziu a amplitude das seguintes respostas: onda-b da resposta de bastonetes (Veículo: 114,6±23,6 μV e MeHg: 41,2±9,6 μV); onda-a (Veículo: 8,4±1,4 μV e MeHg: 3,4±0,3 μV) e onda-b (Veículo: 176,7±17,8 μV e MeHg: 69,5±12,0 μV) na resposta mista 1; onda-a (Veículo: 103,1 ±23,3 μV e MeHg: 40,2±9,6 μV) e onda-b (Veículo: 281±,38,3 μV e MeHg: 138,6±14 μV) da resposta mista 2; onda-a (Veículo: 27,2 ±3,6 μV e MeHg: 7,5±1,8 μV) e onda-b (Veículo: 139,3±16,1 μV e MeHg: 54,4±10 μV) da resposta de cones; onda-b nas frequências 12 Hz (Veículo: 67,7±10μV e MeHg: 28,6±6,9 μV), 18 Hz (Veículo: 31,3±3,4 μV e MeHg: 14,2± 2,3 μV) e 24 Hz (Veículo: 21,0±1,8μV e MeHg: 11,0± 1,1μV) e 30 Hz (Veículo: 10,9±0,6μV e MeHg: 6,0± 1,1μV). O tempo implícito das ondas não foi alterado em nem uma das respostas. O pré-tratamento com Euterpe oleracea evitou a redução de amplitude de ambas as ondas nas respostas mista 1 (onda-a: 8,3±0,6 μV; onda b: 144,1±7,1 μV) e mista 2 (onda-a: 106,4±13,6μV; onda b: 275,2±27,6 μV), assim como da onda-b da resposta de cones (104,5±5,9 μV) e fotópica de flicker em 12 Hz (67,2±9,1 μV), 18 Hz (29,5±4,8 μV) e 24 Hz (21,9±2,4 μV). A peroxidação lipídica no tecido retiniano do grupo MeHg (294,9±205,8%) foi maior que a do Veículo (100±25,1%) e o açaí protegeu contra esse dano oxidativo (MeHg+Açaí: 111,2±26,1%). Nossos resultados demonstraram alteração difusa na resposta eletrofisiológica e aumento na peroxidação lipídica da retina induzidos pelo MeHg e proteção exercida pelo açaí nesses dois parâmetros. Assim, a Euterpe oleracea poderia ser utilizada como importante alternativa para amenizar as alterações causadas pelo MeHg na retina.

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A malária cerebral (MC) é uma das complicações mais graves resultante da infecção por P. falciparum e a principal causa de morte em crianças. O quadro de MC apresenta uma patogênese complexa, associado a complicações neurológicas provenientes de uma resposta imunológica exacerbada, bem como eventos hemorrágicos. Estudos descrevem uma retinopatia associada ao quadro, juntamente com um intenso processo de astrogliose nas proximidades de vasos que nutrem o tecido retiniano. O presente trabalho buscou caracterizar o processo inflamatório e as possíveis alterações neuroquímicas e eletrofisiológicas no tecido retiniano de camundongos albino suíço, quando inoculados com a cepa ANKA de Plasmodium berghei (PbA). Camundongos albino suíço foram infectados com cepa PbA. Para caracterização do quadro de malária cerebral experimental (MCE) foram avaliados diversos parâmetros, como surgimento dos sinais clínicos, curva de sobrevivência, parasitemia (%), ganho de massa corpórea, permeabilidade vascular e quantificação de citocinas (TNF-α, IL-6 e IL-10) no tecido cortical. Para avaliarmos alterações na funcionalidade do tecido retiniano, utilizamos eletrorretinograma de campo total. Para a avaliação dos sistemas de neurotransmissão foi realizado ensaio de liberação e captação de glutamato e GABA que, posteriormente foi quantificado por Cromatografia Líquida de Alta Eficiência. Para análise da resposta inflamatória foi realizada a quantificação de citocinas (TNF-α, IL-6 e IL-10) no tecido retiniano. Após a caracterização do quadro de MCE nós observamos a diminuição da amplitude de onda-b de cones e bastonetes, bem como aumento do tempo implícito de bastonetes, respostas mistas em diferentes intensidades e potencial oscilatório. Observamos aumento na liberação e captação de glutamato e, ainda, a ativação de uma via antiinflamatória no tecido retiniano. Este trabalho nos permitiu validar o modelo murino de MCE e caracterizar, pela primeira vez, alterações na funcionalidade do tecido retiniano, acompanhada de alterações no sistema glutamatérgico, bem como ativação de uma via antiinflamatória no tecido retiniano.

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Pós-graduação em Cirurgia Veterinária - FCAV

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Pós-graduação em Cirurgia Veterinária - FCAV

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The aim of the study was to investigate whether there is an ocular interaction in the flicker ERG responses reflecting luminance and cone opponency in normal human subjects. Flicker ERGs were recorded from one dilated eye of 10 healthy volunteers. Each subject was tested twice: once with and once without occluding the opposite eye. Red and green LEDs were modulated in counterphase in a Ganzfeld stimulator. ERG responses were recorded for different ratios of the modulation in the red and green LEDs and at 12 and 36 Hz. The amplitudes and phases of the fundamental components were compared between the conditions with and without occlusion. The 12-Hz flicker ERGs reflected activity of the cone opponent channel, whereas the 36-Hz data reflected luminance activity. There were no significant differences between the conditions with and without occluding the opposite eye for any of the stimulus protocols. Ocular interaction is absent in flicker ERGs reflecting cone opponent and luminance activity.

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Purpose: To compare the intravitreal pharmacokinetic profile of a triamcinolone acetonide formulation containing the preservative benzyl alcohol (TA-BA) versus a preservative-free triamcinolone acetonide formulation (TA-PF), and evaluate potential signs of toxicity to the retina. Methods: A total of 60 New Zealand male white rabbits, divided into two groups, were studied. In the TA-BA group, 30 rabbits received an intravitreal injection of TA-BA (4 mg/0.1ml) into the right eye. In the TA-PF group, 30 rabbits received an intravitreal injection of TA-PF (4 mg/0.1ml) into the right eye. The intravitreal drug levels were determined in 25 animals from each group by high-performance liquid chromatography (HPLC). The potential for toxicity associated with the intravitreal triamcinolone injections was evaluated in five randomly selected animals from each group by electroretinography (ERG) and by light microscopy. Results: Median intravitreal concentrations of TA-BA (mu g/ml) were 1903.1, 1213.0, 857.8, 442.0, 248.6 at 3, 7, 14, 21 and 28 days after injection. Intravitreal concentrations of TA-PF (mu g/ml) were 1032.9, 570.1, 516.6, 347.9, 102.8 at 3, 7, 14, 21 and 28 days after injection. The median intravitreal triamcinolone concentration was significantly higher in the TA-BA compared to the TA-PF group at 7 days post-injection (p < 0.05). There was no significant difference between the two groups in median triamcinolone concentration at the other time points evaluated. There was no evidence of toxic effects on the retina in either group based on ERG or histological analyses. Conclusions: Following a single intravitreal injection, the median concentration of triamcinolone acetonide is significantly higher in the TA-BA compared to the TA-PF group at 7 days post-injection. No toxic reactions in the retina were observed in either group.