889 resultados para Economics, General|Economics, Finance|Economics, Theory
Resumo:
This note presents the special issue on Experimental and Behavioral Economics. The volume includes some recent contributions from these correlated disciplines –empirical the former and theoretical the latter– and their potential contribution to the intersection of Economics with Psychology and Sociology. The project “El papel de la comparación social en las decisiones económicas bajo incertidumbre” (Junta de Andalucía, P07-SEJ-03155)” provided us with inspiration and financial support to publish this volume.
Resumo:
We develop a transaction cost economics theory of the family firm, building upon the concepts of family-based asset specificity, bounded rationality, and bounded reliability. We argue that the prosperity and survival of family firms depend on the absence of a dysfunctional bifurcation bias. The bifurcation bias is an expression of bounded reliability, reflected in the de facto asymmetric treatment of family vs. nonfamily assets (especially human assets). We propose that absence of bifurcation bias is critical to fostering reliability in family business functioning. Our study ends the unproductive divide between the agency and stewardship perspectives of the family firm, which offer conflicting accounts of this firm type's functioning. We show that the predictions of the agency and stewardship perspectives can be usefully reconciled when focusing on how family firms address the bifurcation bias or fail to do so.
Resumo:
IARD 8th Biennial Conference on Classical and Quantum Relativistic Dynamics of Particles and Fields - Galileo Galilei Inst Theoret Phys (GGI), Florence, ITALY - MAY 29-JUN 01, 2012. Edited by:Horowitz, LP
Resumo:
This study investigates the citation patterns of theoretical and empirical papers published in a top economics journal, namely American Economic Review, over a period of almost 30 years, while also exploring the determinants of citation success. The results indicate that empirical papers attract more citation success than theoretical studies. However, the pattern over time is very similar. Moreover, among empirical papers it appears that the cross-country studies are more successful than single country studies focusing on North America data or other regions.
Resumo:
There is a substantial literature on the relationship between gender and access to finance. However, most studies have been concerned with access to debt finance. More recently, the focus of this research has broadened to examine women and venture capital. This article extends the focus further by examining the role of women in the business angel market, which is more important than the formal venture capital market in terms of both the number of ventures supported and total capital flows. Based on a detailed analysis of business angels in the U.K., the study concludes that women investors who are active in the market differ from their male counterparts in only limited respects. Future research into women business angels, and the possible existence of gender differences, needs to be based on more fully elaborated standpoint epistemologies that focus on the experience of the woman angel investor per se, and center on the examination of the role of homophily, social capital, networking, and competition in investment behavior.
Resumo:
Cette thèse examine les effets des imperfections des marchés financiers sur la macroéconomie. Plus particulièrement, elle se penche sur les conséquences de la faillite dans les contrats financiers dans une perspective d'équilibre général dynamique. Le premier papier construit un modèle qui utilise l'avantage comparatif des banques dans la gestion des situations de détresse financière pour expliquer le choix des firmes entre les prêts bancaires et les prêts du marché financier. Le modèle réussit à expliquer pourquoi les firmes plus petites préfèrent le financement bancaire et pourquoi les prêts bancaires sont plus répandus en Europe. Le premier fait est expliqué par le lien négatif entre la valeur nette de l'entreprise et la probabilité de faire faillite. Le deuxième fait s'explique par le coût fixe d'émission de bons plus élevé en Europe. Le deuxième papier examine l'interaction entre les contraintes de financement affectant les ménages et les firmes. Une interaction positive pourrait amplifier et augmenter la persistance de l'effet d'un choc agrégé sur l'économie. Je construis un nouveau modèle qui contient des primes de financement externes pour les firmes et les ménages. Dans le modèle de base avec prix et salaires flexibles, j'obtiens une faible interaction négative entre les coûts de financement des firmes et des ménages. Le facteur clé qui explique ce résultat est l'effet du changement contre cyclique du coût de financement des ménages sur leur offre de travail et leur demande de prêts. Dans une période d'expansion, cet effet augmente les taux d'intérêt, réduit l'investissement et augmente le coût de financement des entreprises. Le troisième papier ajoute les contraintes de financement des banques dans un modèle macroéconomiques avec des prêts hypothécaires et des fluctuations dans les prix de l'immobilier. Les banques dans le modèle ne peuvent pas complètement diversifier leurs prêts, ce qui génère un lien entre les risques de faillite des ménages et des banques. Il y a deux effets contraires des cycles économiques qui affectent la prime de financement externe de la banque. Premièrement, il y a un lien positif entre le risque de faillite des banques et des emprunteurs qui contribue à rendre le coût de financement externe des banques contre cyclique. Deuxiément, le lissage de la consommation par les ménages rend la proportion de financement externe des banques pro cyclique, ce qui tend à rendre le coût de financement bancaire pro cyclique. En combinant ces deux effets, le modèle peut reproduire des profits bancaires et des ratios d'endettement bancaires pro cycliques comme dans les données, mais pour des chocs non-financiers les frictions de financement bancaire dans le modèle n'ont pas un effet quantitativement significatif sur les principales variables agrégées comme la consommation ou l'investissement.
Resumo:
Esta disertación busca estudiar los mecanismos de transmisión que vinculan el comportamiento de agentes y firmas con las asimetrías presentes en los ciclos económicos. Para lograr esto, se construyeron tres modelos DSGE. El en primer capítulo, el supuesto de función cuadrática simétrica de ajuste de la inversión fue removido, y el modelo canónico RBC fue reformulado suponiendo que des-invertir es más costoso que invertir una unidad de capital físico. En el segundo capítulo, la contribución más importante de esta disertación es presentada: la construcción de una función de utilidad general que anida aversión a la pérdida, aversión al riesgo y formación de hábitos, por medio de una función de transición suave. La razón para hacerlo así es el hecho de que los individuos son aversos a la pérdidad en recesiones, y son aversos al riesgo en auges. En el tercer capítulo, las asimetrías en los ciclos económicos son analizadas junto con ajuste asimétrico en precios y salarios en un contexto neokeynesiano, con el fin de encontrar una explicación teórica de la bien documentada asimetría presente en la Curva de Phillips.
Resumo:
Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
Resumo:
Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
Resumo:
Even though many studies have confirmed the Feldstein-Horioka (1980) finding that savings and investment rates are highly correlated, there is no consensus on the major reason for this correlation. The purpose of this dissertation is to develop theoretical models and calibrate and simulate these to compare their implications to explain the observed time-series comovement between savings and investment in an attempt to show that this high correlation may stem from technological shocks.^ The dissertation is comprised of three studies. The first two studies construct overlapping-generations, two-economy models of saving and investment under conditions of perfect international capital mobility. The second study differs from the first by endogenizing the labor supply. Employing simulations, the models are used to generate time-series for savings and investment. These are then compared with the actual data for specific economies. The models show that productivity shocks produce a high correlation between savings and investment. Further, while the model with exogenous labor supply displays monotonic adjustment, the economy with endogenous labor supply adjusts cyclically.^ The third model, on the other hand, constructs a general equilibrium model for a small open economy. The study is based on two important elements: adjustment costs in investment and endogenous, recursive time preferences. Again, the simulation results show that the model generates, at least in a significant part of the adjustment path, a positive correlation between domestic savings and investment in response to a supply shock. ^
Resumo:
This dissertation presents an analysis of the impacts of trade policy reforms in Sri Lanka. A Computable General Equilibrium (CGE) model is constructed with detailed description of the domestic production structure and foreign trade. The model is then used to investigate the effects of trade policy reforms on resource allocation and welfare.^ Prior to 1977, Sri Lanka maintained stringent control over its imports through rigid quantitative restrictions. A new economic policy reform package was introduced in 1977, and it shifted Sri Lanka's development strategy toward an export oriented policy regime. The shift of policy focus from a restrictive trade regime toward a more open trade regime is expected to have a significant impact on the volume of external trade, domestic production structure, allocation of resources, and social welfare.^ Simulations are carried out to assess the effects of three major policy reforms: (1) a devaluation of the Sri Lanka rupee, (2) a partial or a complete elimination of export duties, and (3) a devaluation-cum-removal of export duties.^ Simulation results indicate that the macroeconomic impact of a devaluation-cum-removal of export duties can be substantial. They also suggest that the resource-pull effects of a devaluation and a devaluation-cum-export duty removal policy are significant. However, the model shows that a devaluation combined with an export duty reduction is likely to be a superior strategy. ^
Resumo:
This dissertation examines one category of international capital flows, private portfolio investments (private refers to the source of capital). There is an overall lack of a coherent and consistent definition of foreign portfolio investment. We clarify these definitional issues.^ Two main questions that pertain to private foreign portfolio investments (FPI) are explored. The first problem is the phenomenon of home preference, often referred to as home bias. Related to this are the observed cross-investment flows between countries that seem to contradict the textbook rendition of private FPI. A description of the theories purporting to resolve the home preference puzzle (and the cross-investment one) are summarized and evaluated. Most of this literature considers investors from major developed countries. I consider--as well--whether investors in less developed countries have home preference.^ The dissertation shows that home preference is indeed pervasive and profound across countries, in both developed and emerging markets. For the U.S., I examine home bias in both equity and bond holdings as well. I find that home bias is greater when we look at equity and bond holdings than equity holdings solely.^ In this dissertation a model is developed to explain home bias. This model is original and fills a gap in the literature as there have been no satisfactory models that handle at the same time both home preference and cross-border holdings in the context of information asymmetries. This model reflects what we see in the data and permits us to reach certain results by the use of comparative statics methods. The model suggests, counter-intuitively, that as the rate of return in a country relative to the world rate of return increases, home preference decreases. In the context of our relatively simple model we ascribe this result to the higher variance of the now higher return for home assets. We also find, this time as intended, that as risk aversion increases, investors diversify further so that home preference decreases.^ The second question that the dissertation deals with is the volatility of private foreign portfolio investment. Countries that are recipients of these flows have been wary of such flows because of their perceived volatility. Often the contrast is made with the perceived absence of volatility in foreign direct investment flows. I analyze the validity of these concerns using first net flow data and then gross flow data. The results show that FPI is not, in relative terms, more volatile than other flows in our sample of eight countries (half were developed countries and the rest were emerging markets).^ The implication therefore is that restricting FPI flows may be harmful in the sense that private capital may not be allocated efficiently worldwide to the detriment of capital poor economies. More to the point, any such restrictions would in fact be misguided. ^
Resumo:
In this dissertation, I examine both theoretically and empirically the relationship between stock prices and income distribution using an endogenous growth model with social status impatience.^ The theoretical part looks into how status impatience and current economic status jointly determine time preference, savings, future economic status, stock prices, growth and wealth distribution in the steady state. This work builds on Burgstaller and Karayalcin (1996).^ More specifically, I look at (i) the effects of the distribution of status impatience levels on the distribution of steady state assets, incomes and consumption and (ii) the effects of changes in relative levels of status impatience on stock prices. Therefore, from (i) and (ii), I derive the correlation between stock prices, incomes and asset distribution. Also, the analysis of the stack market is undertaken in the presence of adjustment costs to investments.^ The empirical chapter looks at (i) the correlation between income inequality and long run economic growth on the one hand and (ii) the correlation between stock market prices and income inequality on the other. The role of stock prices and social status is examined to better understand the forces that enable a country to grow overtime and to determine why output per capita varies across countries. The data are from Summers and Heston (1988), Barro and Wolf (1989), Alesina and Rodrik (1994), Global financial Database (1997) and the World Bank. Data for social status are collected through a primary sample survey on the internet. Twenty-five developed and developing countries are included in the sample.^ The model developed in this study was specified as a system of simultaneous equations, in which per capita growth rate and income inequality were endogenous variables. Additionally, stock price index and social status measures were also incorporated. The results indicate that income inequality is inversely related to economic growth. In addition, increase in income inequality arising from higher stock prices constrains growth. Moreover, where social status is determined by income levels, it influences long run growth. Therefore, these results support findings of Persson and Tabellini (1994) and Alesina and Rodrik (1994). ^
Resumo:
From H. G. Johnson's work (Review of Economic Studies, 1953–54) on tariff retaliation, the questions of whether a country can win a “tariff war” and how or even the broader question of what will affect a country's strategic position in setting bilateral tariff have been tackled in various situations. Although it is widely accepted that a country will have strategic advantages in winning the tariff war if its relative monopoly power is sufficiently large, it is unclear what are the forces behind such power formation. The goal of this research is to provide a unified framework and discuss various forces such as relative country size, absolute advantages and relative advantages simultaneously. In a two-country continuum-of-commodity neoclassical trade model, it is shown that sufficiently large relative country size is a sufficient condition for a country to choose a non-cooperative tariff Nash equilibrium over free trade. It is also shown that technology disparities such as absolute advantage, rate of technology disparity and the distribution of the technology disparity all contribute to a country's strategic position and interact with country size. ^ Leverage effect is usually used to explain the phenomenon of asymmetric volatility in equity returns. However, leverage itself can only account for parts of the asymmetry. In this research, it is shown that stock return volatility is related to firms’ financial status. Financially constrained firms tend to be more sensitive to the return changes. Financial constraint factor explains why some firms tend to be more volatile than others. I found that the financial constraint factor explains the stock return volatility independent of other factors such as firm size, industry affiliation and leverage. Firms’ industry affiliations are shown to be very weak in differentiating volatility. Firm size is proven to be a good factor in distinguishing the different levels of volatility and volatility-return sensitivity. Leverage hypothesis is also partly corroborated and the situation where leverage effect is not applicable is discussed. Finally, I examined the macroeconomic policy's effects on overall market volatility. ^
Resumo:
This paper presents a new theory of random consumer demand. The primitive is a collection of probability distributions, rather than a binary preference. Various assumptions constrain these distributions, including analogues of common assumptions about preferences such as transitivity, monotonicity and convexity. Two results establish a complete representation of theoretically consistent random demand. The purpose of this theory of random consumer demand is application to empirical consumer demand problems. To this end, the theory has several desirable properties. It is intrinsically stochastic, so the econometrician can apply it directly without adding extrinsic randomness in the form of residuals. Random demand is parsimoniously represented by a single function on the consumption set. Finally, we have a practical method for statistical inference based on the theory, described in McCausland (2004), a companion paper.