866 resultados para Dose Adjustment
Resumo:
To assess drug-related problems in patients with liver cirrhosis by investigating the prevalence of inadequately dosed drugs and their association with adverse drug reactions (ADRs) and hospitalizations.
Resumo:
A decision support system based on a neural network approach is proposed to advise on insulin regime and dose adjustment for type 1 diabetes patients.
Resumo:
Objective: To develop a standard weight descriptor that can be used for estimation of patient size for obese patients. Patients and methods: Data were available from 3849 patients: 2839 from oncology patients (index data set) and 1010 from general medical patients (validation data set). The patients had a wide range of age (16-100 years), weight (25-165kg) and body mass index (BMI) [12-52 kg/m(2)] in both data sets. From the normal-weight patients in the oncology data set, an equation for male and female patients was developed to predict their normal weight as the sum of the lean body mass and normal fat body mass. The equations were evaluated by predicting the weight of patients in the general medical data set who had a normal BMI (30 kg/m(2)).
Resumo:
The aim of this work was to design a set of rules for levodopa infusion dose adjustment in Parkinson’s disease based on a simulation experiments. Using this simulator, optimal infusions dose in different conditions were calculated. There are seven conditions (-3 to +3)appearing in a rating scale for Parkinson’s disease patients. By finding mean of the differences between conditions and optimal dose, two sets of rules were designed. The set of rules was optimized by several testing. Usefulness for optimizing the titration procedure of new infusion patients based on rule-based reasoning was investigated. Results show that both of the number of the steps and the errors for finding optimal dose was shorten by new rules. At last, the dose predicted with new rules well on each single occasion of majority of patients in simulation experiments.
Resumo:
Introduction: Despite adherence to current guidelines regarding dose adjustment and drug-level monitoring, beta-lactam-induced encephalopathy can still occur in the setting of chronic renal impairment. Case Report: We report what we believe is the first case of piperacillin- and tazobactam-induced encephalopathy in a patient with pre-existing cefepime-induced encephalopathy in the context of end-stage kidney disease despite adequate dose adjustment for renal impairment.
Resumo:
BACKGROUND: Pediatric intensive care patients represent a population at high risk for drug-related problems. There are few studies that compare the activity of clinical pharmacists between countries. OBJECTIVE: To describe the drug-related problems identified and interventions by four pharmacists in a pediatric cardiac and intensive care unit. SETTING: Four pediatric centers in France, Quebec, Switzerland and Belgium. METHOD: This was a six-month multicenter, descriptive and prospective study conducted from August 1, 2009 to January 31, 2010. Drug-related problems and clinical interventions were compiled from four pediatric centers in France, Quebec, Switzerland and Belgium. Data on patients, drugs, intervention, documentation, approval and estimated impact were compiled. MAIN OUTCOME MEASURE: Number and type of drug-related problems encountered in a large pediatric inpatient population. RESULTS: A total of 996 interventions were recorded: 238 (24 %) in France, 278 (28 %) in Quebec, 351 (35 %) in Switzerland and 129 (13 %) in Belgium. These interventions targeted 270 patients (median 21 months old, 53 % male): 88 (33 %) in France, 56 (21 %) in Quebec, 57 (21 %) in Switzerland and 69 (26 %) in Belgium. The main drug-related problems were inappropriate administration technique (29 %), untreated indication (25 %) and supra-therapeutic dose (11 %). The pharmacists' interventions were mostly optimizing the mode of administration (22 %), dose adjustment (20 %) and therapeutic monitoring (16 %). The two major drug classes that led to interventions were anti-infectives for systemic use (23 %) and digestive system and metabolism drugs (22 %). Interventions mainly involved residents and all clinical staff (21 %). Among the 878 (88 %) proposed interventions requiring physician approval, 860 (98 %) were accepted. CONCLUSION: This descriptive study illustrates drug-related problems and the ability of clinical pharmacists to identify and resolve them in pediatric intensive care units in four French-speaking countries.
Resumo:
L’insuffisance rénale chronique (IRC) affecte 13 % de la population américaine et son incidence ne cesse d’augmenter. Malgré un ajustement des doses de médicaments administrés en fonction du taux de filtration glomérulaire du patient urémique, près de 40 % des patients reçoivent une dose trop élevée en raison de modifications de l’élimination extrarénale des médicaments chez ces patients. Il est connu que l’IRC affecte l’élimination métabolique des médicaments par les cytochromes P450 et les enzymes de biotransformation de phase II. Nous avons aussi démontré, chez le rat, que l’IRC affecte l’expression et l’activité de transporteurs de médicaments intestinaux entraînant une augmentation de la biodisponibilité de certains médicaments. On retrouve des transporteurs de médicaments dans de nombreux organes comme le foie, les reins et la barrière hématoencéphalique (BHE) où ils jouent des rôles importants dans les éliminations biliaire et rénale et la pénétration des médicaments au cerveau. Le but de ce travail était de mesurer, chez des rats néphrectomisés, les impacts de l’IRC sur l’expression protéique et génique et l’activité des transporteurs de médicaments hépatiques, rénaux et cérébraux. Les transporteurs étudiés sont de la famille des transporteurs ABC (P-glycoprotéine, multidrug-resistance related protein, breast cancer resistance protein) ou des solute carriers (organic anion transporter, organic anion transporting protein). Aussi, une étude réalisée chez l’humain visait à évaluer la pharmacocinétique de deux médicaments : la fexofénadine, un médicament majoritairement transporté, et le midazolam, un substrat du cytochrome P450 3A4, chez des sujets dialysés. Nos résultats montrent que, chez le rat, l’IRC entraîne des modulations de l’expression des transporteurs d’influx et d’efflux hépatiques pouvant entraîner des diminutions du métabolisme hépatique et de l’excrétion biliaire des médicaments. Dans le rein, nous avons démontré des modulations de l’expression des transporteurs de médicaments. Nous avons aussi démontré que l’IRC diminue l’élimination urinaire de la rhodamine 123 et favorise l’accumulation intrarénale de médicaments transportés comme la benzylpénicilline et la digoxine. À la BHE, nous avons démontré des diminutions de l’expression des transporteurs de médicaments. Toutefois, nous n’avons pas observé d’accumulation intracérébrale de trois substrats utilisés (digoxine, doxorubicine et vérapamil) et même une diminution de l’accumulation intracérébrale de la benzylpénicilline. Il semble donc que, malgré les modulations de l’expression des différents transporteurs de médicaments, l’intégrité et la fonction de la BHE soient conservées en IRC. Chez l’humain, nous avons démontré une augmentation de la surface sous la courbe de la fexofénadine chez les sujets dialysés, comparativement aux témoins, suggérant une altération des mécanismes de transport des médicaments chez ces patients. Nous n’avons, toutefois, pas observé de modification de la pharmacocinétique du midazolam chez les patients dialysés, suggérant une activité métabolique normale chez ces patients. Un ou des facteurs s’accumulant dans le sérum des sujets urémiques semblent responsables des modulations de l’expression et de l’activité des transporteurs de médicaments observées chez le rat et l’humain. Ces travaux mettent en évidence une nouvelle problématique chez les sujets urémiques. Nous devons maintenant identifier les mécanismes impliqués afin d’éventuellement développer des stratégies pour prévenir la toxicité et la morbidité chez ces patients.
Resumo:
Le suivi thérapeutique est recommandé pour l’ajustement de la dose des agents immunosuppresseurs. La pertinence de l’utilisation de la surface sous la courbe (SSC) comme biomarqueur dans l’exercice du suivi thérapeutique de la cyclosporine (CsA) dans la transplantation des cellules souches hématopoïétiques est soutenue par un nombre croissant d’études. Cependant, pour des raisons intrinsèques à la méthode de calcul de la SSC, son utilisation en milieu clinique n’est pas pratique. Les stratégies d’échantillonnage limitées, basées sur des approches de régression (R-LSS) ou des approches Bayésiennes (B-LSS), représentent des alternatives pratiques pour une estimation satisfaisante de la SSC. Cependant, pour une application efficace de ces méthodologies, leur conception doit accommoder la réalité clinique, notamment en requérant un nombre minimal de concentrations échelonnées sur une courte durée d’échantillonnage. De plus, une attention particulière devrait être accordée à assurer leur développement et validation adéquates. Il est aussi important de mentionner que l’irrégularité dans le temps de la collecte des échantillons sanguins peut avoir un impact non-négligeable sur la performance prédictive des R-LSS. Or, à ce jour, cet impact n’a fait l’objet d’aucune étude. Cette thèse de doctorat se penche sur ces problématiques afin de permettre une estimation précise et pratique de la SSC. Ces études ont été effectuées dans le cadre de l’utilisation de la CsA chez des patients pédiatriques ayant subi une greffe de cellules souches hématopoïétiques. D’abord, des approches de régression multiple ainsi que d’analyse pharmacocinétique de population (Pop-PK) ont été utilisées de façon constructive afin de développer et de valider adéquatement des LSS. Ensuite, plusieurs modèles Pop-PK ont été évalués, tout en gardant à l’esprit leur utilisation prévue dans le contexte de l’estimation de la SSC. Aussi, la performance des B-LSS ciblant différentes versions de SSC a également été étudiée. Enfin, l’impact des écarts entre les temps d’échantillonnage sanguins réels et les temps nominaux planifiés, sur la performance de prédiction des R-LSS a été quantifié en utilisant une approche de simulation qui considère des scénarios diversifiés et réalistes représentant des erreurs potentielles dans la cédule des échantillons sanguins. Ainsi, cette étude a d’abord conduit au développement de R-LSS et B-LSS ayant une performance clinique satisfaisante, et qui sont pratiques puisqu’elles impliquent 4 points d’échantillonnage ou moins obtenus dans les 4 heures post-dose. Une fois l’analyse Pop-PK effectuée, un modèle structural à deux compartiments avec un temps de délai a été retenu. Cependant, le modèle final - notamment avec covariables - n’a pas amélioré la performance des B-LSS comparativement aux modèles structuraux (sans covariables). En outre, nous avons démontré que les B-LSS exhibent une meilleure performance pour la SSC dérivée des concentrations simulées qui excluent les erreurs résiduelles, que nous avons nommée « underlying AUC », comparée à la SSC observée qui est directement calculée à partir des concentrations mesurées. Enfin, nos résultats ont prouvé que l’irrégularité des temps de la collecte des échantillons sanguins a un impact important sur la performance prédictive des R-LSS; cet impact est en fonction du nombre des échantillons requis, mais encore davantage en fonction de la durée du processus d’échantillonnage impliqué. Nous avons aussi mis en évidence que les erreurs d’échantillonnage commises aux moments où la concentration change rapidement sont celles qui affectent le plus le pouvoir prédictif des R-LSS. Plus intéressant, nous avons mis en exergue que même si différentes R-LSS peuvent avoir des performances similaires lorsque basées sur des temps nominaux, leurs tolérances aux erreurs des temps d’échantillonnage peuvent largement différer. En fait, une considération adéquate de l'impact de ces erreurs peut conduire à une sélection et une utilisation plus fiables des R-LSS. Par une investigation approfondie de différents aspects sous-jacents aux stratégies d’échantillonnages limités, cette thèse a pu fournir des améliorations méthodologiques notables, et proposer de nouvelles voies pour assurer leur utilisation de façon fiable et informée, tout en favorisant leur adéquation à la pratique clinique.
Resumo:
A vancomicina é um antibiótico glicopeptídico activo contra bactérias Gram-positivos. É usada ao nível hospitalar, prinicipalmente para combater infecções por Staphylococcus aureus resistentes à meticilina (SARM). QUando se administra vancomicina, são várias as situações que requerem a monitorização dos seus seus níveis séricos e o ajuste posológico das dores administradas. O presente artigo tem como objectivo rever os principais conceitos farmacodiâmicos e farmacocinéticos relacionados com este fármaco, realçando-se a importância da sua monitorização na prática clínica.
Resumo:
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
Resumo:
Therapeutisches Drug Monitoring (TDM) wird zur individuellen Dosiseinstellung genutzt, um die Effizienz der Medikamentenwirkung zu steigern und das Auftreten von Nebenwirkungen zu senken. Für das TDM von Antipsychotika und Antidepressiva besteht allerdings das Problem, dass es mehr als 50 Medikamente gibt. Ein TDM-Labor muss dementsprechend über 50 verschiedene Wirkstoffe und zusätzlich aktive Metaboliten messen. Mit der Flüssigchromatographie (LC oder HPLC) ist die Analyse vieler unterschiedlicher Medikamente möglich. LC mit Säulenschaltung erlaubt eine Automatisierung. Dabei wird Blutserum oder -plasma mit oder ohne vorherige Proteinfällung auf eine Vorsäule aufgetragen. Nach Auswaschen von störenden Matrixbestandteilen werden die Medikamente auf einer nachgeschalteten analytischen Säule getrennt und über Ultraviolettspektroskopie (UV) oder Massenspektrometrie (MS) detektiert. Ziel dieser Arbeit war es, LC-Methoden zu entwickeln, die die Messung möglichst vieler Antipsychotika und Antidepressiva erlaubt und die für die TDM-Routine geeignet ist. Eine mit C8-modifiziertem Kieselgel gefüllte Säule (20 µm 10x4.0 mm I.D.) erwies sich in Vorexperimenten als optimal geeignet bezüglich Extraktionsverhalten, Regenerierbarkeit und Stabilität. Mit einer ersten HPLC-UV-Methode mit Säulenschaltung konnten 20 verschiedene Psychopharmaka einschließlich ihrer Metabolite, also insgesamt 30 verschiedene Substanzen quantitativ erfasst werden. Die Analysenzeit betrug 30 Minuten. Die Vorsäule erlaubte 150 Injektionen, die analytische Säule konnte mit mehr als 300 Plasmainjektionen belastet werden. Abhängig vom Analyten, musste allerdings das Injektionsvolumen, die Flussrate oder die Detektionswellenlänge verändert werden. Die Methode war daher für eine Routineanwendung nur eingeschränkt geeignet. Mit einer zweiten HPLC-UV-Methode konnten 43 verschiedene Antipsychotika und Antidepressiva inklusive Metaboliten nachgewiesen werden. Nach Vorreinigung über C8-Material (10 µm, 10x4 mm I.D.) erfolgte die Trennung auf Hypersil ODS (5 µm Partikelgröße) in der analytischen Säule (250x4.6 mm I.D.) mit 37.5% Acetonitril im analytischen Eluenten. Die optimale Flussrate war 1.5 ml/min und die Detektionswellenlänge 254 nm. In einer Einzelprobe, konnten mit dieser Methode 7 bis 8 unterschiedliche Substanzen gemessen werden. Für die Antipsychotika Clozapin, Olanzapin, Perazin, Quetiapin und Ziprasidon wurde die Methode validiert. Der Variationskoeffizient (VK%) für die Impräzision lag zwischen 0.2 und 6.1%. Im erforderlichen Messbereich war die Methode linear (Korrelationskoeffizienten, R2 zwischen 0.9765 und 0.9816). Die absolute und analytische Wiederfindung lagen zwischen 98 und 118 %. Die für das TDM erforderlichen unteren Nachweisgrenzen wurden erreicht. Für Olanzapin betrug sie 5 ng/ml. Die Methode wurde an Patienten für das TDM getestet. Sie erwies sich für das TDM als sehr gut geeignet. Nach retrospektiver Auswertung von Patientendaten konnte erstmalig ein möglicher therapeutischer Bereich für Quetiapin (40-170 ng/ml) und Ziprasidon (40-130 ng/ml) formuliert werden. Mit einem Massenspektrometer als Detektor war die Messung von acht Neuroleptika und ihren Metaboliten möglich. 12 Substanzen konnten in einem Lauf bestimmt werden: Amisulprid, Clozapin, N-Desmethylclozapin, Clozapin-N-oxid, Haloperidol, Risperidon, 9-Hydroxyrisperidon, Olanzapin, Perazin, N-Desmethylperazin, Quetiapin und Ziprasidon. Nach Vorreinigung mit C8-Material (20 µm 10x4.0 mm I.D.) erfolgte die Trennung auf Synergi MAX-RP C12 (4 µm 150 x 4.6 mm). Die Validierung der HPLC-MS-Methode belegten einen linearen Zusammenhang zwischen Konzentration und Detektorsignal (R2= 0,9974 bis 0.9999). Die Impräzision lag zwischen 0.84 bis 9.78%. Die für das TDM erforderlichen unteren Nachweisgrenzen wurden erreicht. Es gab keine Hinweise auf das Auftreten von Ion Suppression durch Matrixbestandteile. Die absolute und analytische Wiederfindung lag zwischen 89 und 107 %. Es zeigte sich, dass die HPLC-MS-Methode ohne Modifikation erweitert werden kann und anscheinend mehr als 30 verschiedene Psychopharmaka erfasst werden können. Mit den entwickelten flüssigchromatographischen Methoden stehen neue Verfahren für das TDM von Antipsychotika und Antidepressiva zur Verfügung, die es erlauben, mit einer Methode verschiedene Psychopharmaka und ihre aktiven Metabolite zu messen. Damit kann die Behandlung psychiatrischer Patienten insbesondere mit Antipsychotika verbessert werden.
Resumo:
Response to analgesics, anticancer pharmacotherapy and pharmacotherapy of other cancer related symptoms vary broadly between individuals. Age, disease, comorbidities, concomitant medication, organ function and patients' compliance may partly explain the differences. However, the focus of ongoing research has shifted towards genomic variants of phase I and II drug metabolizing enzymes with one important goal being an individual dose adjustment according to a patient's genotype. Polymorphisms of the cytochrome P 450 2D6 influence the metabolism of many drugs including the analgesics codeine, tramadol, hydrocodone and oxycodone, as well as the metabolism of tricyclic antidepressants and the anticancer drug tamoxifen. Other candidate genes such as (opioid)-receptors, transporters and other molecules important for pharmacotherapy in pain management are discussed. Although pharmacogenetics as a diagnostic tool has the potential to improve patient therapy, study results are often equivocal and limited by small sample sizes and often by their retrospective design. Well designed studies are needed to demonstrate superiority of pharmoacogenetics to conventional dosing regimes.
Resumo:
STUDY DESIGN: Open label study to determine drug dose for a randomized double-blind placebo-controlled parallel study. OBJECTIVES: To assess the efficacy and side effects of oral Delta(9)-tetrahydrocannabinol (THC) and rectal THC-hemisuccinate (THC-HS) in SCI patients. SETTING: REHAB Basel, Switzerland. METHOD: Twenty-five patients with SCI were included in this three-phase study with individual dose adjustment, each consisting of 6 weeks. Twenty-two participants received oral THC open label starting with a single dose of 10 mg (Phase 1, completed by 15 patients). Eight subjects received rectal THC-HS (Phase 2, completed by seven patients). In Phase 3, six patients were treated with oral THC and seven with placebo. Major outcome parameters were the spasticity sum score (SSS) using the Modified Ashworth Scale (MAS) and self-ratings of spasticity. RESULTS: Mean daily doses were 31 mg with THC and 43 mg with THC-HS. Mean SSS for THC decreased significantly from 16.72 (+/-7.60) at baseline to 8.92 (+/-7.14) on day 43. Similar improvement was seen with THC-HS. We observed a significant improvement of SSS with active drug (P=0.001) in the seven subjects who received oral THC in Phase 1 and placebo in Phase 3. Major reasons for drop out were increase of pain and psychological side effects. CONCLUSION: THC is an effective and safe drug in the treatment of spasticity. At least 15-20 mg per day were needed to achieve a therapeutic effect.
Resumo:
The availability of recombinant human growth hormone (GH) has resulted in investigation of the role of GH in adulthood and the effects of GH replacement in the GH-deficient adult. These studies have led to the recognition of a specific syndrome of GH-deficiency, characterized by symptoms, signs and investigative findings. Adults with long-standing growth hormone deficiency are often overweight, have altered body composition, with reduced lean body mass (LBM), increased fat mass (FM), reduced total body water and reduced bone mass. In addition, there is reduced physical and cardiac performance, altered substrate metabolism and an abnormal lipid profile predisposing to the development of cardiovascular disease. Adults with GH deficiency report reduced psychological well-being and quality of life. These changes may contribute to the morbidity and premature mortality observed in hypopituitary adults on conventional replacement therapy. GH treatment restores LBM, reduces FM, increases total body water and increases bone mass. Following GH therapy, increases are recorded in exercise capacity and protein synthesis, and "favourable" alterations occur in plasma lipids. In addition, psychological well-being and quality of life improve with replacement therapy. GH is well tolerated; adverse effects are largely related to fluid retention and respond to dose adjustment. It is likely that GH replacement will become standard therapy for the hypopituitary adult in the near future. The benefits of GH replacement in the GH-deficient adult have been unequivocally demonstrated in studies lasting up to 3 years. The results of longer term studies are awaited to determine whether these benefits are sustained over a lifetime.