20 resultados para Decorum
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Além de discutir as grandes questões da humanidade, como as cisões políticas e as injustiças sociais, os escritores oitocentistas imiscuíram-se nas temáticas do cotidiano, que se ajustaram aos contos à perfeição. A vida doméstica, antes restrita às quatro paredes, passou a ser problematizada nas narrativas curtas de ficção, talhadas para jogar luzes sobre o microcosmo das relações familiares. Objetiva-se, com o presente trabalho, analisar por meio de onze contos pinçados dentre a produção literária de cinco autores de relevância no período conhecido como Regeneração, os conflitos com os quais a família portuguesa se deparou, assim como as saídas possíveis diante das rígidas regras de decoro e civilidade que imperavam naquela sociedade. Por meio do enlace entre história e literatura pretende-se ampliar a compreensão das crenças e valores e a evolução das mentalidades. Ao contribuírem com a formação do público-leitor, atraído pelos dilemas entre a tradição e a inovação, os escritores do século XIX elevaram o romance à sua expressão máxima. E aprofundaram as fissuras de um mundo em transição
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杜鹃花属(Rhododendron L.)植物分布广泛,研究发现所有的杜鹃花科植物都能形成一种特殊的菌根——杜鹃花类菌根(Ericoid Mycorrhiza)。杜鹃花类菌根对杜鹃花科植物在营养胁迫的环境下生长起到重要的作用。近几年,对杜鹃花类菌根的生物学和生态功能的研究越来越重视。我国是杜鹃花属植物资源最为丰富的国家,因此研究杜鹃花属植物菌根真菌多样性,充分利用杜鹃花特有的菌根资源,促进杜鹃花迁地保护成功具有重大的意义。 本研究以分布较广并且是中国特有的杜鹃花属植物——大白花杜鹃(Rhododendron decorum Franch.)的野生植株为研究对象,应用直接扩增根中真菌ITS区的分子鉴定方法和T-RFLP(末端限制性片段长度多态性)的分析方法,来研究其菌根真菌的多样性;并结合生态化学计量学特征分析、宿主遗传相似性及其群落组成分析等内容,探讨大白花杜鹃的菌根真菌-宿主植物-根际土壤三者之间的关系。主要结果如下: (1)通过用直接扩增真菌ITS区序列,揭示了大白花杜鹃根部真菌的多样性,本研究发现,野生大白杜鹃根部的真菌种类比较丰富,至少有26个ITS-taxa,包括子囊菌和担子菌共5个真菌目:Helotiales、Lecanorales(≡Agyriales)、Onygenales、Sebacinales和Thelephorales,其中包括典型的ERM真菌——树粉孢属Oidiodendron sp.(Myxotrichaceae)真菌。另外还发现了黑色有隔内生菌(Dark septate endophyte,DSE)以及一些未命名的子囊菌。担子菌在本研究中占有较大比例,尤其是蜡壳耳菌目真菌;此外还有较典型的外生菌根真菌——革菌目真菌。 (2)大白花杜鹃野生植株与栽培植株在菌根真菌种类组成上,有一定的相似性;在忽略种源差异等条件下相较而言,前者的物种丰富度远高于后者。 (3)大白花杜鹃菌根真菌多样性和丰富度同它的根际土壤与叶片的C、N、P含量以及C/N、N/P、土壤pH值、宿主的海拔高度等都没有显著的相关关系。 (4)在大白花杜鹃的菌根真菌群落组成方面,整体上保持了相当程度的相似性,同时还保持了一定水平的差异;大白杜鹃菌根真菌的种类是丰富的,优势度指数表明其多样性水平很高。 (5)大白花杜鹃的遗传距离与其菌根真菌群落组成结构有极显著的相关关系,宿主的种内遗传差异可能对菌根真菌群落物种组成产生选择偏好。 (6)大白花杜鹃的群落组成与其菌根真菌群落组成有极为显著的关联性,伴生种的菌根类型可能会影响宿主植物菌根真菌的物种组成结构。
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The article shows how the recognition infuences on the way that female characters are presented in palliata. This motif is very common in Plautus’ and Terence’s comedies. It can be said that anagnorismos enables the introduction of women on the stage and is not at variance with antique customs and decorum.
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The Interloping Beguiler is an nineteen-minute concerto in four movements for bass clarinet solo and orchestra. The title refers to the role of the solo instrument, which continually thrusts itself into the affairs of the orchestra, deceiving and diverting the members of the orchestra away from their task of performing a "serious" orchestral composition. The bass clarinet portrays a comical, cartoon-like character whose awkward, and sometimes goofy, interjections cause chaos. Attempts are made by various members of the orchestra, especially the horns, to regain control of the work, but the bass clarinet always succeeds in its distracting antics. By the final movement of the composition, the bass clarinet has propelled the work into a cartoon-like landscape of quickly changing textures, dissonant intervals, and overlapping themes. The first movement, Introduction, sets the serious tone of the music to follow, or so it would seem. The entrance of the bass clarinet immediately changes this texture with its out-of-rhythm alternations between high and low pitches. This gesture provides a glimpse into the personality of the bass clarinet, an instrument here to mislead the members of the orchestra. Deception truly begins in the second movement, The Interloping Initiates. The bass clarinet starts the movement with a driving theme and is immediately supported by the orchestra. As the movement progresses, the bass clarinet quickly begins altering the theme, making it more playful and cartoonish. A struggle ensues between the horns and the bass clarinet, with the bass clarinet catapulting the piece into a latin-inspired section. The struggle continues through to the end of the movement. The third movement, Calm, is exactly what the title suggests. A sectional form distinguishes this movement from the second movement. Throughout Calm, the bass clarinet behaves with decorum, except for very large melodic leaps. The seed of anarchy planted by the bass clarinet in the second movement comes to fruition in the final movement, The Beguiling Builds. Here, the bass clarinet sends the work into chaos with sections recalling Looney Tunes cartoons, Hollywood western music, and children's folk songs.
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RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne.
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In 1999, Elizabeth Hills pointed up the challenges that physically active women on film still posed, in cultural terms, and in relation to certain branches of feminist theory . Since then, a remarkable number of emphatically active female heroes have appeared on screen, from 'Charlie’s Angels' to 'Resident Evil', 'Aeon Flux', and the 'Matrix' and 'X-Men' trilogies. Nevertheless, in a contemporary Western culture frequently characterised as postfeminist, these seem to be the ‘acceptable face’ – and body – of female empowerment: predominantly white, heterosexual, often scantily clad, with the traditional hero’s toughness and resolve re-imagined in terms of gender-biased notions of decorum: grace and dignity alongside perfect hair and make-up, and a body that does not display unsightly markers of physical exertion. The homogeneity of these representations is worth investigating in relation to critical claims that valorise such air-brushed, high-kicking 'action babes' for their combination of sexiness and strength, and the feminist and postfeminist discourses that are refracted through such readings. Indeed, this arguably ‘safe’ set of depictions, dovetailing so neatly with certain postfeminist notions of ‘having it all’, suppresses particular kinds of spectacles in relation to the active female body: images of physical stress and extension, biological consequences of violence and dangerous motivations are all absent. I argue that the untidy female exertions refused in popular “action babe” representations are now erupting into view in a number of other contemporaneous movies – 'Kill Bill' Vols 1 & 2, 'Monster', and 'Hard Candy' – that mark the return of that which is repressed in the mainstream vision of female power – that is, a more viscerally realistic physicality, rage and aggression. As such, these films engage directly with the issue of how to represent violent female agency. This chapter explores what is at stake at a representational level and in terms of spectatorial processes of identification in the return of this particularly visceral rendering of the female avenger.
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Joseph Blanco White fue uno de los primeros en traducir a Shakespeare al castellano y fue el primero en defender el valor de traducirlo. En España, la obra de Shakespeare era juzgada defectuosa por no cumplir con los requisitos neoclásicos de unidad y decoro; era vista, además, como emblema del poderío británico. Blanco White, por el contrario, defiende a Shakespeare como poeta-genio universal. Propone que todas sus obras, incluidas las dramáticas, deben ser traducidas y leídas como poesía lírica, lo cual para él implica que, a diferencia de una representación teatral, éstas poseen un alto grado de abstracción que las libera de toda atadura contextual. El presente artículo analiza estas ideas a la luz de las ataduras biográficas y culturales, no de Shakespeare, sino del mismo Blanco White. Su partida a Inglaterra en 1810 y el contexto multilingüe en el que trabajó lo han situado en los márgenes de la historia literaria española. Sin embargo, este artículo propone rescatar, desde un punto de vista comparatista, sus traducciones y algunos de sus aportes críticos, entre ellos, su visión de Shakespeare más allá de las rivalidades entre España e Inglaterra y su incorporación de un público hispanoamericano como interlocutor.
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Las reglas monásticas visigodas constituyen un corpus documental de importancia fundamental para el estudio del monacato primitivo en Hispania. Ellas reflejan, entre otros aspectos, la preocupación por los ideales de vida de su época, heredados en parte de diversos tratados clásicos, que expresaban, desde aspectos más profundos vinculados a la moral, hasta reglas más precisas relacionadas con el modo de comportamiento en sociedad. En la temprana Edad Media, esta preocupación fue retomada por las comunidades monásticas, rescatando elementos propios de las costumbres latinas tradicionales. En dicho contexto, este estudio se propone analizar la presencia de vestigios de latinidad clásica en las reglas monacales visigodas, las cuales sirvieron como receptáculo de aquellas tradiciones destinadas a regular los distintos aspectos de la vida del monje.
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José Hierro es recordado en la historia de la literatura española por la poetización en sus obras de posguerra de un claro yo autoral, que cobra sentido casi siempre en cuanto englobado en el nosotros de una generación concreta y real: los textos hierrianos dan la impresión de estar hablando siempre en clave personal, si bien las confesiones se quedan muchas veces en el ámbito de lo público, raras veces sumergiéndose en la introspección de lo íntimo, esfera que, como es sabido, el poeta solía respetar con abundante prudencia en todos los aspectos de su vida. Todo ello se construye con las oportunas marcas de realismo o realemas, que conducen al lector en la pista de una lectura más o menos realista, tendente a eliminar todo efecto de ficción, como era canónico en la época. La evolución de José Hierro le lleva a ir dejando de lado esta poética de razón histórica para adentrarse en otros caminos, que serían tan exitosos y productivos en los años subsiguientes. No es sorprendente, por tanto, que encontremos líneas evolutivas en un autor de cuya obra se extiende en tan largo período de tiempo -pensemos que se trata de más de cincuenta años-. Sin embargo, sí llama la atención que en sus últimos libros de poesía encontremos una peculiar manera de resolver el problema del pudor y de la identidad. Encontramos en ellos la imbricación de una creciente confesión íntima y un decreciente correlato autorial. No somos las primeras en advertir esta aparente paradoja, pero lo que queremos demostrar es que las frecuentes máscaras culturalistas ejercen una función múltiple en la obra hierriana; permitiéndole conectar con las jóvenes poéticas, el autor consigue dar cabida a las inquietudes íntimas sin sentirse violentado
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José Hierro es recordado en la historia de la literatura española por la poetización en sus obras de posguerra de un claro yo autoral, que cobra sentido casi siempre en cuanto englobado en el nosotros de una generación concreta y real: los textos hierrianos dan la impresión de estar hablando siempre en clave personal, si bien las confesiones se quedan muchas veces en el ámbito de lo público, raras veces sumergiéndose en la introspección de lo íntimo, esfera que, como es sabido, el poeta solía respetar con abundante prudencia en todos los aspectos de su vida. Todo ello se construye con las oportunas marcas de realismo o realemas, que conducen al lector en la pista de una lectura más o menos realista, tendente a eliminar todo efecto de ficción, como era canónico en la época. La evolución de José Hierro le lleva a ir dejando de lado esta poética de razón histórica para adentrarse en otros caminos, que serían tan exitosos y productivos en los años subsiguientes. No es sorprendente, por tanto, que encontremos líneas evolutivas en un autor de cuya obra se extiende en tan largo período de tiempo -pensemos que se trata de más de cincuenta años-. Sin embargo, sí llama la atención que en sus últimos libros de poesía encontremos una peculiar manera de resolver el problema del pudor y de la identidad. Encontramos en ellos la imbricación de una creciente confesión íntima y un decreciente correlato autorial. No somos las primeras en advertir esta aparente paradoja, pero lo que queremos demostrar es que las frecuentes máscaras culturalistas ejercen una función múltiple en la obra hierriana; permitiéndole conectar con las jóvenes poéticas, el autor consigue dar cabida a las inquietudes íntimas sin sentirse violentado
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José Hierro es recordado en la historia de la literatura española por la poetización en sus obras de posguerra de un claro yo autoral, que cobra sentido casi siempre en cuanto englobado en el nosotros de una generación concreta y real: los textos hierrianos dan la impresión de estar hablando siempre en clave personal, si bien las confesiones se quedan muchas veces en el ámbito de lo público, raras veces sumergiéndose en la introspección de lo íntimo, esfera que, como es sabido, el poeta solía respetar con abundante prudencia en todos los aspectos de su vida. Todo ello se construye con las oportunas marcas de realismo o realemas, que conducen al lector en la pista de una lectura más o menos realista, tendente a eliminar todo efecto de ficción, como era canónico en la época. La evolución de José Hierro le lleva a ir dejando de lado esta poética de razón histórica para adentrarse en otros caminos, que serían tan exitosos y productivos en los años subsiguientes. No es sorprendente, por tanto, que encontremos líneas evolutivas en un autor de cuya obra se extiende en tan largo período de tiempo -pensemos que se trata de más de cincuenta años-. Sin embargo, sí llama la atención que en sus últimos libros de poesía encontremos una peculiar manera de resolver el problema del pudor y de la identidad. Encontramos en ellos la imbricación de una creciente confesión íntima y un decreciente correlato autorial. No somos las primeras en advertir esta aparente paradoja, pero lo que queremos demostrar es que las frecuentes máscaras culturalistas ejercen una función múltiple en la obra hierriana; permitiéndole conectar con las jóvenes poéticas, el autor consigue dar cabida a las inquietudes íntimas sin sentirse violentado