902 resultados para Cycle menstruel


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Il est connu qu’on retrouve chez les femmes en post-ménopause un risque plus important de développer des maladies oculaires comparativement aux hommes du même groupe d’âge. Il semble que les changements hormonaux, et en particulier la baisse importante des niveaux d’estradiol, secondaires à la sénescence folliculaire constituent un facteur étiologique à long terme. Cela étant, il est légitime de se demander si les variations des niveaux d’hormones sexuelles endogènes peuvent également occasionner des effets à court terme sur les tissus de l’œil. Cette interrogation constitue d’ailleurs le motif principal de l’élaboration de la présente étude. Sachant qu’il se produit chez les femmes non ménopausées des variations continuelles des niveaux d’hormones sexuelles stéroïdiennes au cours de leur cycle menstruel, des femmes en âge de procréer ont été recrutées comme sujets d’étude. Dans un deuxième temps, afin de trouver le paramètre d’intérêt, on a effectué une revue de la documentation scientifique qui révèle un fait bien établi : les estrogènes favorisent la vasodilatation des vaisseaux sanguins par l’intermédiaire du monoxyde d’azote, et permettent, par le fait même, l’accroissement du débit sanguin tissulaire. Or, comment mesurer des variations de débit sanguin dans des tissus oculaires? Comme il est expliqué dans la discussion du présent mémoire, les variations d’oxygénation dans un organe dont le métabolisme est relativement stable sont le reflet de variations de débit sanguin. Grâce à une technique de mesure basée sur la spectroréflectométrie, il est possible de mesurer le taux d’oxyhémoglobine (HbO2) des lits capillaires du disque optique. En observant les variations du taux d’oxyhémoglobine au cours du cycle menstruel chez les sujets, on peut ainsi mesurer l’effet des variations hormonales cycliques sur l’irrigation des tissus oculaires. En somme, l’objectif de cette recherche est de mieux comprendre, en suivant le cycle menstruel des femmes, l’effet des hormones sexuelles endogènes sur l’oxygénation des lits capillaires du disque optique. Étant à la base du métabolisme de l’œil, l’apport en oxygène et en divers substrat véhiculés par la circulation sanguine est important au maintien de la santé oculaire. L’éclaircissement du lien entre les hormones et l’oxygénation de la rétine constituerait un avancement important, puisqu’il permettrait de comprendre pourquoi certaines atteintes oculaires, comme la cécité, touchent davantage les femmes. Les résultats de cette étude ont démontré que le taux d’oxyhémoglobine mesuré dans les lits capillaires du disque optique de l’œil ne subit pratiquement pas de variations significatives durant le cycle menstruel lorsqu’on considère les incertitudes des valeurs mesurées. Également, on observe une variabilité similaire des taux d’oxyhémoglobine mesurés chez les femmes en âge de procréation et chez les hommes du même groupe d’âge. Cela suggère que les changements hormonaux cycliques, qui ne se produisent que chez les femmes, n’occasionnent probablement pas de variation significative mesurable du taux d’oxyhémoglobine. Bref, malgré les effets possibles des estrogènes sur le diamètre artériolaire, il semble que les mécanismes locaux de régulation du débit sanguin tissulaire maintiennent un état d’équilibre propre au tissu irrigué et adapté aux besoins métaboliques locaux.

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Rapport de synthèse : Objectif de l'étude : étudier si l'administration orale ou vaginale d'hormones contraceptives influence les concentrations sériques d'hormone antimüllérienne (AMH). Design : essai prospectif chez des femmes recrutées par annonce. Les femmes désireuses d'avoir une contraception ont été randomisées entre une contraception orale et une contraception vaginale. Celles qui ne souhaitaient pas de contraception ont été incluses dans le groupe témoin. Cadre de l'étude : unité de médecine de la reproduction d'un hôpital universitaire. Patientes : vingt-quatre jeunes femmes en bonne santé avec des cycles menstruels réguliers qui n'avaient pas utilisé de contraception hormonale pendant les trois mois précédant l'étude. Intervention : contraception orale ou vaginale du 5ème au 25ème jour du cycle menstruel dans les groupes contraception versus pas de contraception dans le groupe témoin. Mesure d'issue : variations inter et intra-cycle des concentrations sériques d'AMH dans les trois groupes: groupe témoin en cycle spontané et groupes sous contraception oestroprogestative orale ou vaginale. Résultats : les fluctuations d'AMH observées pendant le cycle menstruel (variations intra-cycle) restent dans les valeurs des variations entre deux cycles (variations inter-cycles) tant chez les femmes en cycle spontané que chez les femmes sous contraception orale ou vaginale. Conclusions : nos résultats confirment que les concentrations sériques d'AMH restent stables pendant le cycle menstruel et indiquent qu'elles ne sont pas influencées par l'administration exogène de stéroïdes sexuels contraceptifs, que ce soit par voie orale ou vaginale.

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But de l'étude Un enregistrement spécifique EMG du sphincter strié urétral avec décharges répétitives et complexes ainsi que salves de décélération a été décrit comme pathognomonique du syndrome de Fowler, un trouble de la relaxation du sphincter strié urétral chez la femme jeune responsable d'une retention urinaire. Nous avons souhaité étudier la présence de cet enregistrement EMG spécifique chez la femme asymptomatique, ceci à différents moments du cycle menstruel. Matériel et Méthode Nous avons recruté des femmes volontaires saines âgées entre 20 et 40 ans, ayant un cycle hormonal régulier, et ne présentant aucun symptôme urinaire. Les critères d'exclusion étaient la presence d'une dysfonction mictionnelle, d'une infection urinaire, la grossesse, la prise d'une thérapie hormonale ou d'hormone contraceptive, une obésité et des antécédants d'intervention pelvienne. Nous avons procédé à deux enregistrements EMG du sphincter strié urétral des participantes éligibles, utilisant une aiguille concentrique, ceci dans la première phase du cycle (phase folliculaire) et dans la dernière phase du cycle (phase lutéale). Les taux sériques de progestérone et d'oestrogène étaient mesurés à chaque enregistrement. Résultats 15 participantes ont complété l'étude. L' enregistrement EMG du sphincter a été positif avec présence de décharges répétitives et de salves de décélération lors d'une ou des deux phases du cycle menstruel chez 8 participantes (53%). Trois participantes présentaient cet enregistrement spécifique lors des deux phases du cycle et cinq participantes présentaient cet enregistrement spécifique lors de la phase lutéale uniquement. Aucune femme ne présentait cet enregistrement spécifique en début de cycle uniquement. Il n'y avait pas de relation avec l'âge, la parité ou les taux hormonaux. Conclusions L'enregistrement EMG spécifique du sphincter strié urétral, avec décharges répétitives et salves de décélération, se retrouve chez une proportion élevée de femmes asymptomatiques. Il a été montré que ce tracé change lors du cycle menstruel, en étant retrouvé plus fréquemment dans la dernière phase du cycle. L'importance de cet enregistrement EMG dans l'étiologie de la retention urinaire de la femme jeune reste à éclaircir. Nous devons considérer que sa présence ne pose pas automatiquement un diagnostic de syndrome de Fowler chez la femme en rétention urinaire.

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Rapport de synthèse : OBJECTIF : étudier si les fluctuations sériques du taux d'hormone anti-müllérienne (AMH) sont liées à des différences méthodologiques entre les deux tests ELISA commercialement disponibles le kit de Beckman Coulter Immunotech (Fullerton, CA) et le kit de Diagnostic Systems Laboratories (Webster, TX). DESIGN : étude prospective au sein de deux services universitaires de médecine de la reproduction. POPULATION ETUDIEE : cent soixante-huit échantillons sanguins provenant de trois populations différentes ainsi que des dosages itératifs au cours du même cycle menstruel dans une population de dix volontaires. INTERVENTIONS : doubles mesures en aveugle des taux sériques d'AMH dans les 168 sera avec les deux kits commercialement disponibles. Sept dosages itératifs au cours du même cycle menstruel chez 10 volontaires normo-ovulantes. ANALYSE STATISTIQUE : régression linéaire pour l'étude de la corrélation entre les deux méthodes de dosage. Analyse des variances pour les dosages sériés en cours de cycle menstruel. RÉSULTATS : nous avons démontré une relation linéaire entre les deux méthodes, avec un coefficient de corrélation de 0,88 ainsi qu'une diminution faible mais statistiquement significative et concomitante avec l'ovulation du taux d'AMH sérique. CONCLUSION : les variations en cours de cycle menstruel rapportées par certains auteurs ne sont pas liées à des problèmes méthodologiques. La chute du taux d'AMH lors de l'ovulation est faible mais statistiquement significative. Les variations observées en cours de cycle restent toutefois inférieures aux variations intercycles et ne représentent de ce fait pas un obstacle au dosage de l'AMH à n'importe quel jour du cycle menstruel.

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Plusieurs études antérieures ont proposé que la ménarche pouvait représenter une vulnérabilité accrue au développement de la dépression en augmentant la réactivité au stress chez les filles ayant atteint leur cycle menstruel. Dans la présente étude, les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol salivaire ont été mesurés chez 198 garçons et 142 filles (11 - 13 ans), et ce, à quatre reprises au cours de leur première année de transition vers l’école secondaire, une période de stress chez les adolescents. Les résultats ont montré que les filles qui avaient atteint la ménarche au moment de la transition vers le secondaire avait des niveaux significativement plus élevés de symptômes dépressifs et de cortisol salivaire entre l’automne et le printemps, comparativement aux filles qui n'avaient pas encore atteint la ménarche. Ces dernières présentaient des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs que les filles sans et les garçons. Les filles sans ménarche présentaient d’avantages des niveaux de symptômes dépressives plus élevés que les garçons. En utilisant l’âge de ménarche comme variable catégorique, les résultats démontrent que les filles ayant eu leur ménarche plus jeunes présentent des symptômes dépressifs plus élevés tout au long de l'année scolaire, alors que les filles qui ont commencé leur cycle menstruel à l’âge dit ‘normal’ présentent des symptômes dépressifs transitoires. Globalement, ces résultats suggèrent que la ménarche est un indice significatif d’une vulnérabilité accrue pour les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol plus élevés chez les adolescentes qui font leur entrée au secondaire. Également, ces résultats suggèrent qu’un âge précoce de ménarche peut exposer à long-terme le cerveau en développement à des niveaux élévés de cortisol, rendant ainsi ce groupe d’adolescentes plus vulnérables à la dépression.

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Il apparaît, suite aux résultats de plusieurs études comportementales et d’imagerie cérébrale, que les hormones gonadiques peuvent moduler le fonctionnement cérébral chez la femme. Les asymétries cérébrales fonctionnelles (ACFs), en particulier, changeraient en fonction du niveau de progestérone et d’œstrogène. On a également observé que lorsque le taux d’œstrogène est bas, les performances aux tâches impliquant l’hémisphère droit sont améliorées. Par contre, les preuves de l’action physiologique de ces deux hormones sur le cerveau ne sont pas très nombreuses. Le peu d’études d’électrophysiologie cognitive qui ont porté sur les effets du cycle menstruel ont rapporté que la composante P300 y serait sensible. Aucune n’a cependant utilisé une tâche d’habileté spatiale ou de rotation mentale qui sont connues pour impliquer davantage l’hémisphère droit. Le but de la présente étude est de documenter les changements électrocorticaux reliés aux variations hormonales lors d’une tâche de rotation mentale. Notre hypothèse de départ est que le taux d’œstrogène influencera l’activité électrocorticale et la latéralisation. Les potentiels évoqués cognitifs ont été comparés chez les mêmes femmes (n=12) lors d’une tâche de rotation mentale, répétée à deux périodes du cycle menstruel. Nos résultats démontrent que la condition de rotation induit une latéralisation de l’activité pariétale, vers l’hémisphère gauche, quand le niveau d’œstrogène est bas. Par contre, lorsque le niveau d’œstrogène est élevé, il n’y a aucune latéralisation. Par ailleurs, nous avons observé une augmentation de l’amplitude de la P300 lors du niveau oestrogénique élevé. En conclusion, les fluctuations oestrogéniques du cycle menstruel ont un impact sur la latéralisation de l’activité électrocorticale, lors d’un effort de rotation mentale.

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La période de réceptivité endométriale chez l’humain coïncide avec la différentiation des cellules stromales de l’endomètre en cellules hautement spécifiques, les cellules déciduales, durant le processus dit de décidualisation. Or, on sait qu’une transformation anormale des cellules endométriales peut être à l’origine de pertes récurrentes de grossesses. LRH-1 est un récepteur nucléaire orphelin et un facteur de transcription régulant de nombreux évènements relatif à la reproduction et comme tout récepteur, son activation promouvoit l’activité transcriptionnelle de ses gènes cibles. Nous avons déjà montré que LRH-1 et son activité sont essentiels pour la décidualisation au niveau de l’utérus chez la souris et nous savons qu’il est présent dans l’utérus chez l’humain au moment de la phase de prolifération mais aussi de sécrétion du cycle menstruel, et que son expression augmente dans des conditions de décidualisation in vitro. Notre hypothèse est alors la suivante : LRH-1 est indispensable à la décidualisation du stroma endométrial, agissant par le biais de la régulation transcriptionnelle de gènes requis pour la transformation de cellules stromales en cellules déciduales. Afin d’explorer le mécanisme moléculaire impliqué dans la régulation transcriptionnelle effectuée par l’intermédiaire de ce récepteur, nous avons mis en place un modèle de décidualisation in vitro utilisant une lignée de cellules stromales de l’endomètre, cellules humaines et immortelles (hESC). Notre modèle de surexpression développé en transfectant les dites cellules avec un plasmide exprimant LRH-1, résulte en l’augmentation, d’un facteur 5, de l’abondance du transcriptome de gènes marqueurs de la décidualisation que sont la prolactine (PRL) et l’insulin-like growth factor binding protein-1 (IGFBP-1). En outre, la sous-régulation de ce récepteur par l’intermédiaire de petits ARN interférents (shRNA) abolit la réaction déciduale, d’un point de vue morphologique mais aussi en terme d’expression des deux gènes marqueurs cités ci-dessus. Une analyse par Chromatin ImmunoPrécipitation (ou ChIP) a démontré que LRH-1 se lie à des régions génomiques se trouvant en aval de certains gènes importants pour la décidualisation comme PRL, WNT 4, WNT 5, CDKN1A ou encore IL-24, et dans chacun de ces cas cités, cette capacité de liaison augmente dans le cadre de la décidualisation in vitro. Par ailleurs, des études structurelles ont identifié les phospholipides comme des ligands potentiels pour LRH-1. Nous avons donc choisi d’orienter notre travail de façon à explorer les effets sur les ligands liés à LRH-1 de traitements impliquant des agonistes et antagonistes à notre récepteur nucléaire. Les analyses par q-PCR et Western blot ont montré que la modulation de l’activité de LRH-1 par ses ligands influait aussi sur la réaction déciduale. Enfin, des études récentes de Salker et al (Salker, Teklenburg et al. 2010) ont mis en évidence que les cellules stromales humaines décidualisées sont de véritables biocapteurs de la qualité embryonnaire et qu’elles ont la capacité de migrer en direction de l’embryon. La série d’expériences que nous avons réalisée à l’aide de cellules hESC placées en co-culture avec des embryons de souris confirme que la migration cellulaire est bien dirigée vers les embryons. Cette propriété quant à l’orientation de la migration cellulaire est notoirement diminuée dans le cas où l’expression de LRH-1 est déplétée par shRNA dans les hESC. Nos données prouvent donc que LRH-1 régule non seulement la transcription d’un ensemble de gènes impliqués dans le processus de décidualisation mais agit aussi sur la motilité directionnelle de ces cellules hESC décidualisées in vitro.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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The growth of organs and whole plants depends on both cell growth and cell-cycle progression, but the interaction between both processes is poorly understood. In plants, the balance between growth and cell-cycle progression requires coordinated regulation of four different processes: macromolecular synthesis (cytoplasmic growth), turgor-driven cell-wall extension, mitotic cycle, and endocycle. Potential feedbacks between these processes include a cell-size checkpoint operating before DNA synthesis and a link between DNA contents and maximum cell size. In addition, key intercellular signals and growth regulatory genes appear to target at the same time cell-cycle and cell-growth functions. For example, auxin, gibberellin, and brassinosteroid all have parallel links to cell-cycle progression (through S-phase Cyclin D-CDK and the anaphase-promoting complex) and cell-wall functions (through cell-wall extensibility or microtubule dynamics). Another intercellular signal mediated by microtubule dynamics is the mechanical stress caused by growth of interconnected cells. Superimposed on developmental controls, sugar signalling through the TOR pathway has recently emerged as a central control point linking cytoplasmic growth, cell-cycle and cell-wall functions. Recent progress in quantitative imaging and computational modelling will facilitate analysis of the multiple interconnections between plant cell growth and cell cycle and ultimately will be required for the predictive manipulation of plant growth.

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Schistosomiasis is a common tropical disease caused by Schistosoma species Schistosomiasis' pathogenesis is known to vary according to the worms' strain. Moreover, high parasitical virulence is directly related to eggs release and granulomatous inflammation in the host's organs. This virulence might be influenced by different classes of molecules, such as lipids. Therefore, better understanding of the metabolic profile of these organisms is necessary, especially for an increased potential of unraveling strain virulence mechanisms and resistance to existing treatments. In this report, direct-infusion electrospray high-resolution mass spectrometry (ESI(+)-HRMS) along with the lipidomic platform were employed to rapidly characterize and differentiate two Brazilian S. mansoni strains (BH and SE) in three stages of their life cycle: eggs, miracidia and cercariae, with samples from experimental animals (Swiss/SPF mice). Furthermore, urine samples of the infected and uninfected mice were analyzed to assess the possibility of direct diagnosis. All samples were differentiated using multivariate data analysis, PCA, which helped electing markers from distinct lipid classes; phospholipids, diacylglycerols and triacylglycerols, for example, clearly presented different intensities in some stages and strains, as well as in urine samples. This indicates that biochemical characterization of S. mansoni may help narrowing-down the investigation of new therapeutic targets according to strain composition and aggressiveness of disease. Interestingly, lipid profile of infected mice urine varies when compared to control samples, indicating that direct diagnosis of schistosomiasis from urine may be feasible.

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The role of key cell cycle regulation genes such as, CDKN1B, CDKN2A, CDKN2B, and CDKN2C in sporadic medullary thyroid carcinoma (s-MTC) is still largely unknown. In order to evaluate the influence of inherited polymorphisms of these genes on the pathogenesis of s-MTC, we used TaqMan SNP genotyping to examine 45 s-MTC patients carefully matched with 98 controls. A multivariate logistic regression analysis demonstrated that CDKN1B and CDKN2A genes were related to s-MTC susceptibility. The rs2066827*GT+GG CDKN1B genotype was more frequent in s-MTC patients (62.22%) than in controls (40.21%), increasing the susceptibility to s-MTC (OR=2.47; 95% CI=1.048-5.833; P=0.038). By contrast, the rs11515*CG+GG of CDKN2A gene was more frequent in the controls (32.65%) than in patients (15.56%), reducing the risk for s-MTC (OR=0.174; 95% CI=0.048-0.627; P=0.0075). A stepwise regression analysis indicated that two genotypes together could explain 11% of the total s-MTC risk. In addition, a relationship was found between disease progression and the presence of alterations in the CDKN1A (rs1801270), CDKN2C (rs12885), and CDKN2B (rs1063192) genes. WT rs1801270 CDKN1A patients presented extrathyroidal tumor extension more frequently (92%) than polymorphic CDKN1A rs1801270 patients (50%; P=0.0376). Patients with the WT CDKN2C gene (rs12885) presented larger tumors (2.9±1.8 cm) than polymorphic patients (1.5±0.7 cm; P=0.0324). On the other hand, patients with the polymorphic CDKN2B gene (rs1063192) presented distant metastases (36.3%; P=0.0261). In summary, we demonstrated that CDKN1B and CDKN2A genes are associated with susceptibility, whereas the inherited genetic profile of CDKN1A, CDKN2B, and CDKN2C is associated with aggressive features of tumors. This study suggests that profiling cell cycle genes may help define the risk and characterize s-MTC aggressiveness.