829 resultados para Criminal victimization
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One hundred and fifty-six homeless adolescents and 319 homeless adults interviewed directly on the streets and in shelters were compared for backgrounds of abuse, adaptations to life on the streets, and rates of criminal victimization when on the streets. Homeless adolescents were more likely to be from abusive family backgrounds, more likely to rely on deviant survival strategies, and more likely to be criminally victimized. A social learning model of adaptation and victimization on the streets was hypothesized. Although the model was supported for both homeless adults and adolescents, it was more strongly supported for adolescents than adults, and for males than females regardless of age.
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Cette étude propose d’explorer, parmi un ensemble de variables propres à la vulnérabilité des personnes, celles qui expliquent le mieux les inquiétudes face à la victimisation criminelle chez les aînés. L’utilisation d’un instrument de mesure validé en français et adapté à une population âgée québécoise, le WAV (Worry About Victimization), nous aura permis d’étudier la peur du crime en précisant ses dimensions émotionnelles, cognitives et béhaviorale. L’échantillon est constitué de 387 répondants âgés entre 60 et 98 ans résidant dans les centres urbains de Montréal, Sherbrooke et Trois-Rivières. Les résultats suggèrent, qu’en somme, la préoccupation envers le crime en général, les préoccupations envers certains crimes plus spécifiquement définis, de même que les précautions prises contre le crime sont expliquées par des caractéristiques se rapportant à la vulnérabilité des personnes. Pour ces trois dimensions, le sexe représente le meilleur facteur explicatif. Les autres dimensions : perception générale du risque de victimisation, inquiétude diffuse face à l’éventualité d’être victime d’un crime, et recours à des mesures de protection s’expliquent à la fois par des caractéristiques de vulnérabilité et la recherche de protection. Il est à noter que pour ces autres dimensions, le sexe n’est pas au rang de facteurs explicatifs. Des analyses selon le sexe montrent par ailleurs que les inquiétudes des hommes sont moins fonction des caractéristiques de vulnérabilité que pour les femmes. À l’inverse, les expériences de victimisation criminelle de même que les caractéristiques définissant le réseau social, sa disponibilité, l’utilisation qui en est faite et la satisfaction qu’on en tire expliquent davantage l’inquiétude des hommes que celle des femmes. Cette étude conclut que la considération d’autres théories, en complémentarité avec celle de la vulnérabilité, pourrait être bénéfique selon la dimension des inquiétudes étudiée et le sexe des répondants. Cela dit, l’utilisation du WAV apparaît être le premier pas vers l’obtention de connaissances plus nuancées et ainsi plus cohérentes en regard des différentes dimensions de l’inquiétude liée à la victimisation exprimée notamment par les personnes âgées.
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Criminal victimization often provokes strong feelings of revenge. Two studies were conducted to investigate whether legal punishment of the perpetrator reduces victims’ feelings of revenge. A cross-sectional study of 174 crime victims revealed that punishment severity does not predict feelings of revenge at a time several years after the trial. A longitudinal study of 31 crime victims revealed that, for the time interval from a few weeks before the trial to a few weeks after the trial, punishment severity significantly predicts a decrease in feelings of revenge; nevertheless intraindividual and interindividual stability of these feelings was high. Taken together, results of the two studies suggest that perpetrator punishment only partially, and moreover only transitorily, satisfies victims’ feelings of revenge. Therefore, satisfaction of victims’ feelings of revenge cannot be taken as empirical justification for tightening of sentencing norms.
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Background While much attention has been given to the prediction of violent offending behaviour amongst people with psychotic disorders, less attention has been given to the fact that these same individuals are often the victims of violence. In this paper, we examine victimisation amongst participants in a prevalence study of psychosis, and describe demographic and clinical correlates of victimisation. Method The study was based on the Australian National Survey of Mental Health and Wellbeing - Low Prevalence (Psychotic) Disorders. The participants were asked if they had been a victim of violence in the previous year. The association between selected demographic and clinical variables and being a victim of violence was examined using logistic regression. Results Of the 962 individuals with psychosis, 172 reported being a victim of violence in the past 12 months (17.9 %). The odds of being a victim were increased in those who: (a) were female, (b) were homeless, (c) had a lifetime history of substance abuse, (d) had been arrested in the previous 12 months, (e) had poorer social and occupational function, and (f) had higher scores on the disorganisation summary score. Conclusions Clinicians should remain mindful that one out of every six individuals with a psychotic disorder reports being a victim of violence in the previous year. Models of care that address issues related to symptom relief, accommodation, and exposure to high-crime areas may reduce the rates of victimisation amongst those with psychotic disorders.
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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
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It is conceivable that criminal proceedings cause psychological harm to the crime victims involved, that is, cause secondary victimization. To investigate this hypothesis, negative and positive effects of criminal proceedings were investigated, as perceived by 137 victims of violent crimes who were involved in trials several years previously. Trial outcome and procedure variables were measured as potential causes of secondary victimization. Results show a high proportion of victims reporting overall negative effects. Powerful predictors were outcome satisfaction and procedural justice, but not subjective punishment severity, interactional justice, and psychological stress by criminal proceedings. The practical implications of the results pertain to whether victims should be advised to report the crime to the police or not, and to appropriate prevention and intervention measures of secondary victimization by criminal proceedings.
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Romantic Terrorism offers an innovative methodology in exploring the ways in which domestic violence offenders terrorise their victims. Hayes and Jeffries employ a collaborative auto-ethnographic approach to analyse their own lived experiences of domestic violence, particularly how romantic love is employed and distorted by abusers. Its focus on the insidious use of tactics of coercive control by abusers opens up much-needed discussion on the damage caused by emotional and psychological abuse, which are often overlooked or downplayed in both the literature and the criminal justice system. To this end, it offers strategic advice for policy-makers, practitioners, and criminal justice professionals involved in domestic violence service provision.
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The purpose of this dissertation was to survey men in the Harris County Jail (HCJ) to establish a more valid estimate of childhood sexual abuse (CSA) prevalence in a jailed-based population; to assess whether inmates with a history of CSA were at greater risk for use of drugs and alcohol and engaging in high-risk sexual behaviors than those without histories of childhood sexual abuse. ^ The first study determined the prevalence of childhood sexual abuse among incarcerated males in a county jail. In this study, sixty-three percent of the subjects reported having been sexually abused. Sixty-one percent reported abuse pre-puberty and 10% reported abuse post puberty. In pre-puberty abuse the initiation of first abuse occurred at a mean age of 5.6 years (SD 5.096, range: 2–13 years). ^ The second study explored the association between inmates with histories of CSA as a risk factor for sexual risk behaviors. A history of sexual abuse did not appear to be associated with an elevated risk of sexual risk behaviors. ^ The third study explored a history of drug use and a history of CSA among the inmates. A chi-square test showed that the inmates who reported a history of CSA, was significantly greater for the following drugs: Marijuana (02), Crack (03), Heroin/Morphine (.03), Amphetamines/Speed (01), Downers/Barbiturates (.001), Methamphetamine/Crystal Meth (.001), Valium .02), LSD/Acid (.001), and Inhalants (.001), p < .05). Significance was not found in alcohol, tobacco, cocaine, Quaaludes and methadone. ^ The research from this study provides empirical data supporting previous research. The current data shows that incarcerated inmates have a high prevalence of childhood sexual abuse and drug use. Sexual victimization as a child does not appear to be associated with an elevated risk of unsafe sexual behaviors. However, men who used drugs were twice as likely to have engaged in unprotected sex with casual and regular partners, and rarely used condoms with paid sex. Although our study methods do not permit a causal explanation for this association, we believe it is of concern. Finally, data in this study shows that sexually abused children are likely candidates for adult criminal behavior. ^
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Heteronormative discourses provide the most common lens through which sexuality is understood within university curricula. This means that sexuality is discussed in terms of categories of identity, with heterosexuality accorded primacy while all 'others' are indeed 'othered'. This article draws on research carried out by the authors in a core first year university ethics class, in which a fictional text was introduced with the intention of unpacking these discourses. An ethnographic study was undertaken where both students and teachers engaged in discussions over, and personal written reflections on, the textual content. In reporting the results of that study this article uses a post-structural framework to identify how classroom and textual discourses might be used to break down socially constructed categories of sexuality and students' conceptualisations of non-heterosexual behaviour. It was found that engaging in discussion in the context of the fictional text allowed some students to begin to recognise their own heteronormative views and engage in an informed critique of them.
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The recent Supreme Court decision of Queensland v B [2008] 2 Qd R 562 has significant implications for the law that governs consent and abortions. The judgment purports to extend the ratio of Secretary, Department of Health and Community Services (NT) v JWB and SMB (1991) 175 CLR 218 (Marion’s Case) and impose a requirement of court approval for terminations of pregnancy for minors who are not Gillick-competent. This article argues against the imposition of this requirement on the ground that such an approach is an unjustifiable extension of the reasoning in Marion’s Case. The decision, which is the first judicial consideration in Queensland of the position of medical terminations, also reveals systemic problems with the criminal law in that State. In concluding that the traditional legal excuse for abortions will not apply to those which are performed medically, Queensland v B provides further support for calls to reform this area of law.
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This edition has been substantially revised to increase overall clarity and to ensure a balanced examination of the criminal law in the 'Code' states, Queensland and Western Australia. The work has been brought up-to-date in all areas and provides valuable comment on the recent wide-reaching reforms to the law of homicide in Western Australia. Significant developments in both states discussed in this edition include: The abolition of wilful murder and infanticide, and the new definition of murder (WA); The introduction of the new offence of unlawful assault causing death (WA); The abolition of provocation to murder (WA), and whether this excuse still has a part to play (Qld); The reformulation of the excuse of self-defence, and the introduction of excessive self-defence (WA); The creation of offences for drink spiking (Qld and WA); and Current and proposed sentencing considerations (Qld and WA). Fundamental principles of the criminal law are illustrated throughout the book by selected extracts from the Codes and case law, while additional materials foster critical reflection on the law and the need for reform.
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Criminal Law in Queensland and Western Australia is a new title in the Butterworths Questions and Answers (BQA) series, focusing on the criminal law in the main code states – Queensland and WA.