Hurt feelings in couple relationships: Towards integrative models of the negative effects of hurtful events

Previous research suggests that hurt feelings can have powerful effects on individual and relational outcomes. This study examined a typology of hurtful events in couple relationships, together with integrative models predicting ongoing effects on victims and relationships. Participants were 224 students from introductory and third-year psychology classes, who completed open-ended and structured measures concerning an event in which a partner had hurt their feelings. By tailoring Leary et al.'s (1998) typology to the context of romantic relationships, five categories of hurtful events were proposed: active disassociation, passive disassociation, criticism, infidelity, and deception. Analyses assessing similarities and differences among the categories confirmed the utility of the typology. Structural equation modeling showed that longer-term effects on the victim were predicted by relationship anxiety and by the victim's immediate reactions to the event (negative emotions and self-perceptions; feelings of rejection and powerlessness). In contrast, ongoing effects on the relationship were predicted by avoidance, the victim's attributions and perceptions of offender remorse, and the victim's own behavior. The results highlight the utility of an integrated approach to hurt, incorporating emotional, cognitive, and behavioral responses, and dimensions of attachment security.

Hurt feelings in couple relationships: Exploring the role of attachment and perceptions of personal injury

This research program focused on perceptions of the appraisals and emotions involved in hurtful events in couple relationships. Study I tested the broad proposition that hurt feelings are elicited by relational transgressions that generally imply relational devaluation and that evoke a sense of personal injury by threatening positive mental models of self and/or others. Participants (N = 224) provided retrospective accounts of an experience of being hurt by a romantic partner. These accounts, together with expert judges' ratings, showed that most hurtful events involved relational transgressions that signal both relational devaluation and threat to positive mental models; however, relational devaluation was relatively unimportant in explaining the hurt associated with partners' distrust. A sense of injury emerged as the dominant theme in open-ended accounts of emotional reactions; however, other negative emotions also featured and were related to the type of event reported. The emotion terms generated in Study I were used as stimuli in a word-sorting task (Study 2). This study confirmed that many of the terms were perceived specifically as injury related, and shed further light on the link between appraisals and emotions. Theoretical and practical implications of the findings are discussed.

Les perceptions de la sexualité et les relations de couple de femmes haïtiennes immigrantes au Québec : pour une exploration des rapports hommes femmes en Haïti

Ce mémoire a étudié les perceptions de femmes haïtiennes vivant au Québec depuis moins de cinq ans de leurs relations sexuelles avec les hommes et de leurs rapports de couple. Après avoir opté pour une méthodologie de recherche qualitative, la théorie féministe intersectionnelle a été retenue comme cadre d’analyse. Des entretiens individuels semi-dirigés ont été menés auprès de 9 femmes haïtiennes, âgées de 18 à 60 ans et ayant immigré au Québec depuis moins de cinq ans. Les perceptions des femmes de la sexualité ont été appréhendées comme étant un ensemble de discours et de pratiques inter reliés, qui se construit dès l’enfance, et qui reproduit les types de rapports inégalitaires entre hommes et femmes qui existent dans la société haïtienne et dans leur couple. Ces rapports inégalitaires sont véhiculés entre les générations à travers la plupart des institutions sociales comme la famille, l’école, la culture, la législation. Ce processus de construction des perceptions de la sexualité est également influencé par des enjeux socio-économiques et de pouvoir. Les résultats de cette recherche permettent de disposer de données scientifiques sur la sexualité des femmes et les rapports de couple en Haïti et l’influence du processus migratoire. Ces résultats soulignent également la nécessité pour le travail social haïtien d’encourager le développement de l’empowerment économique des femmes et leur participation aux débats actuels de la société sur l’évolution de la condition féminine.

Positive pathways for couples and families : meeting existing and emerging challenges of relationships

There is a growing need to develop an understanding of the positive pathways that strengthen the relationships of Australian couples and families. The couples and families in contemporary society are faced with many challenges and pressures that can mitigate against maintaining satisfying and enduring couple and family relationships. For example, increasing need for dual income families, longer working hours and demographic shifts that see older people living longer and children staying at home longer mean that couples are often required to provide familial care across two generations – frail ageing parents and children. These highlight just some of the pressures faced which can lead to couples not taking the time to cultivate their relationships. The aim of the workshop was to deal with many of these issues by linking research, policy and practice in ways that would help families meet such challenges. The two-day workshop, held 1-2 November 2008 in Melbourne, brought together leading and emerging Australian and international relationship researchers with practitioners, educators, policy makers and service-delivery organisations. Alongside the Academy, the event was sponsored by Deakin University, the University of Queensland, the Department of Families, Housing and Community Services and Indigenous Affairs (FaCHSIA), the Attorney General's Department (AG Department), the Australian Institute of Family Studies (AIFS) and Lifeworks. The workshop comprised seven sessions and two break-out discussions. A total of 28 participants attended the workshop. Of these participants, there were 19 speakers and 7 delegates from the various sponsor organisations that took part in group discussions.

Helena de Eurípides y los roles de género

Le Rane : Collana di Studi e Testi. Studi ; 55 - El teatro clásico en el marco de la cultura griega y su pervivencia en la cultura occidental ; 13

Effets d’un programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux pour prévenir la dépression postnatale des femmes de classes moyenne et défavorisée habitant en Catalogne Nord et en France Sud

La dépression postnatale (DP) est un problème de santé publique très fréquent dans différentes cultures (Affonso et al, 2000). En effet, entre 10% à 15% des mères souffrent d’une symptomatogie dépressive ainsi que l’indiquent Gorman et al. (2004). La prévention de la DP est l’objectif de différents programmes prénatals et postnatals (Dennis, 2005; Lumley et al, 2004). Certains auteurs notent qu’il est difficile d’avoir accès aux femmes à risque après la naissance (Evins et al, 2000; Georgiopoulos et al, 2001). Mais, les femmes fréquentent les centres de santé pendant la grossesse et il est possible d’identifier les cas à risque à partir des symptômes prénataux dépressifs ou somatiques (Riguetti-Veltema et al, 2006); d’autant plus qu’un grand nombre de facteurs de risque de la DP sont présents pendant la grossesse (O’Hara et Gorman, 2004). C’est pourquoi cette étude fut initiée pendant le premier trimestre de la grossesse à partir d’une détection précoce du risque de DP chez n= 529 femmes de classes moyenne et défavorisée, et, cela, au moyen d’un questionnaire validé utilisé à l’aide d’une entrevue. L’étude s’est effectuée dans trois villes : Barcelone, Figueres, et Béziers au cours des années 2003 à 2005. Objectif général : La présente étude vise à évaluer les effets d’un programme prénatal de groupes de rencontre appliqué dans la présente étude chez des couples de classe socioéconomique non favorisée dont les femmes sont considérées comme à risque de dépression postnatale. L’objectif spécifique est de comparer deux groupes de femmes (un groupe expérimental et un groupe témoin) par rapport aux effets du programme prénatal sur les symptômes de dépression postnatale mesurés à partir de la 4ème semaine après l’accouchement avec l’échelle EPDS. Hypothèse: Les femmes participant au programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux, composé de 10 séances hebdomadaires et inspiré d’une orientation psychosomatique présenteront, au moins, un taux de 6% inférieur de cas à risque de dépression postnatale que les femmes qui ne participent pas, et cela, une fois évaluées avec l’échelle EPDS (≥12) 4 semaines après leur accouchement. Matériel et méthode: La présente étude évaluative est basée sur un essai clinique randomisé et longitudinal; il s’étend de la première ou deuxième visite d’échographie pendant la grossesse à un moment situé entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale. Les participants à l’étude sont des femmes de classes moyenne et défavorisée identifiées à risque de DP et leur conjoint. Toutes les femmes répondant aux critères d’inclusion à la période du recrutement ont effectué une entrevue de sélection le jour de leur échographie prénatale à l’hôpital (n=529). Seules les femmes indiquant un risque de DP furent sélectionnées (n= 184). Par la suite, elles furent distribuées de manière aléatoire dans deux groupes: expérimental (n=92) et témoin (n=92), au moyen d’un programme informatique appliqué par un statisticien considérant le risque de DP selon le questionnaire validé par Riguetti-Veltema et al. (2006) appliqué à l’aide d’une entrevue. Le programme expérimental consistait en dix séances hebdomadaires de groupe, de deux heures et vingt minutes de durée ; un appel téléphonique entre séances a permis d’assurer la continuité de la participation des sujets. Le groupe témoin a eu accès aux soins habituels. Le programme expérimental commençait à la fin du deuxième trimestre de grossesse et fut appliqué par un médecin et des sages-femmes spécialement préparées au préalable; elles ont dirigé les séances prénatales avec une approche psychosomatique. Les variables associées à la DP (non psychotique) comme la symptomatologie dépressive, le soutien social, le stress et la relation de couple ont été évaluées avant et après la naissance (pré-test/post-test) chez toutes les femmes participantes des deux groupes (GE et GC) utilisant : l’échelle EPDS (Cox et al,1987), le Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), l’évaluation du stress de Holmes et Rahe (1967) et, l’échelle d’ajustement dyadique de Spanier (1976). La collecte des données prénatales a eu lieu à l’hôpital, les femmes recevaient les questionnaires à la fin de l’entrevue, les complétaient à la maison et les retournaient au rendez-vous suivant. Les données postnatales ont été envoyées par les femmes utilisant la poste locale. Résultats: Une fois évalués les symptômes dépressifs postnatals avec l’échelle EPDS entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale et considérant le risque de DP au point de césure ≥ 12 de l’échelle, le pourcentage de femmes à risque de DP est de 39,34%; globalement, les femmes étudiées présentent un taux élevé de symptomatologie dépressive. Les groupes étant comparables sur toutes les variables prénatales, notons une différence dans l’évaluation postnatale de l’EPDS (≥12) de 11,2% entre le groupe C et le groupe E (45,5% et 34,3%). Et la différence finale entre les moyennes de l’EPDS postnatal est de 1,76 ( =11,10 ±6,05 dans le groupe C et =9,34 ±5,17 dans le groupe E) ; cette différence s’aproche de la limite de la signification (p=0,08). Ceci est dû à un certain nombre de facteurs dont le faible nombre de questionnaires bien complétés à la fin de l’étude. Les femmes du groupe expérimental présentent une diminution significative des symptômes dépressifs (t=2,50 / P= 0,01) comparativement au pré-test et indiquant une amélioration au contraire du groupe témoin sans changement. Les analyses de régression et de covariance montrent que le soutien social postnatal, les symptômes dépressifs prénatals et le stress postnatal ont une relation significative avec les symptômes dépressifs postnatals (P<0,0001 ; P=0.003; P=0.004). La relation du couple n’a pas eu d’impact sur le risque de DP dans la présente étude. Par contre, on constate d’autres résultats secondaires significatifs: moins de naissances prématurées, plus d’accouchements physiologiques et un plus faible taux de somatisations non spécifiques chez les mères du groupe expérimental. Recommandations: Les résultats obtenus nous suggèrent la considération des aspects suivants: 1) il faudrait appliquer les mesures pour détecter le risque de DP à la période prénatale au moment des visites d’échographie dont presque toutes les femmes sont atteignables; il est possible d’utiliser à ce moment un questionnaire de détection validé car, son efficacité semble démontrée; 2) il faudrait intervenir auprès des femmes identifiées à risque à la période prénatale à condition de prolonger le programme préventif après la naissance, tel qu’indiqué par d’autres études et par la demande fréquente des femmes évaluées. L’intervention prénatale de groupe n’est pas suffisante pour éviter le risque de DP chez la totalité des femmes. C’est pourquoi une troisième recommandation consisterait à : 3) ajouter des interventions individuelles pour les cas les plus graves et 4) il paraît nécessaire d’augmenter le soutien social chez des femmes défavorisées vulnérables car cette variable s’est révélée très liée au risque de dépression postnatale.

Entrevista a Francisco Proaño Arandi: se trataba de crear en el lector una sensación de angustia frente a la realidad (Homenaje)

En este diálogo entre el escritor Francisco Proaño Arandi (Premio latinoamericano José María Arguedas, La Habana, 2010) y el lúcido crítico y ensayista Alejandro Moreano, se pasa revista a los años de formación del narrador, la década de los 60, los tzántzicos, la creación de la revista La bufanda del sol, el Frente Cultural en Quito. Proaño, hurgando en la memoria, reconstruye los diversos momentos de lo que fue el debate político y literario de esos años, el peso de la Revolución cubana, las ideas y las propuestas del compromiso del filósofo Jean-Paul Sartre, las luchas anticolonialistas en África, Mayo del 68 y su repercusión en la juventud del mundo, los escritores del boom de la narrativa latinoamericana, su experiencia como diplomático de carrera durante procesos y gobiernos que se sucedieron en el Ecuador en los años 80 y 90. El escritor también da cuenta de lo que es su universo narrativo, las obsesiones, la presencia de una ciudad como Quito en sus diversas novelas y cuentarios, así como la reflexión que a través de sus personajes realiza de las complejas relaciones de la pareja. Diálogo que no solo significó el encuentro de escritores de una misma generación, sino de dos amigos que han sabido compartir la pasión por la escritura de manera vital.

Shaping gender inequalities: critical moments and critical places

Purpose – There is much scientific interest in the connection between the emergence of gender-based inequalities and key biographical transition points of couples in long-term relationships. Little empirical research is available comparing the evolution of a couple’s respective professional careers over space and time. The purpose of this paper is to contribute to filling this gap by addressing the following questions: what are the critical biographical moments when gender (in)equalities within a relationship begin to arise and consolidate? Which biographical decisions precede and follow such critical moments? How does decision making at critical moments impact the opportunities of both relationship partners in gaining equal access to paid employment? Design/methodology/approach – These questions are addressed from the perspectives of intersectionality and economic citizenship. Biographical interviewing is used to collect the personal and professional narratives of Swiss-, bi-national and migrant couples. The case study of a Swiss-Norwegian couple illustrates typical processes by which many skilled migrant women end up absently or precariously employed. Findings – Analysis reveals that the Scandinavian woman’s migration to Switzerland is a primary and critical moment for emerging inequality, which is then reinforced by relocation (to a small town characterized by conservative gender values) and the subsequent births of their children. It is concluded that factors of traditional gender roles, ethnicity and age intersect to create a hierarchical situation which affords the male Swiss partner more weight in terms of decision making and career advancement. Practical implications – The paper’s findings are highly relevant to the formulation of policies regarding gender inequalities and the implementation of preventive programmes within this context. Originality/value – Little empirical research is available comparing the evolution of a couple’s respective professional careers over space and time. The originality of this paper is to fill this research gap; to include migration as a critical moment for gender inequalities; to use an intersectional and geographical perspective that have been given scant attention in the literature; to use the original concept of economic citizenship; and to examine the case of a bi-national couple, which has so far not been examined by the literature on couple relationships.

Comparison of Couples' Normal Life Cycle Development and Intimacy Distance Regulation

When conceptualizing healthy couple relationships, it is tempting to use a simple framework as a panacea. Unfortunately, this desire for simplicity can lead to a narrow and naive perspective. Individuals interact and are influenced by a variety of factors (i.e., various social systems, multiple context memberships, complex interconnecting exchanges, etc.); consequently, it is necessary to guard against an overly narrow interpretation when examining healthy couple interactions. It is the purpose of this paper to develop one aspect of a complex perspective for healthy couple relationships by comparing couple life cycle development with couple intimacy-distance regulation.

Immigration experience of Latin American working women in Alicante, Spain: an ethnographic study

Objective: to describe the experience of Latin American working women regarding immigration, taking into account the expectations and conditions in which this process takes place. Method: ethnographic qualitative study. Data collection was performed by means of semi-structured interviews with 24 Latin American immigrant women in Spain. The information collected was triangulated through two focal groups. Results: the expectations of migrant women focus on improving family living conditions. Social support is essential for their settling and to perform daily life activities. They declare they have adapted to the settlement country, although they live with stress. They perceive they have greater sexual freedom and power with their partners but keep greater responsibility in childcare, combining that with the role of working woman. Conclusions: migrant women play a key role in the survival of households, they build and create new meanings about being a woman, their understanding of life, their social and couple relationships. Such importance is shaped by their expectations and the conditions in which the migration process takes place, as well as their work integration.

Acculturation stress in South Sudanese refugees : impact on marital relationships

A qualitative approach was used to explore the impact of acculturation stress on the marital relationships of South Sudanese refugees settled in Brisbane, Australia. Thirteen refugees, who were currently or previously married, participated in three gender specific focus groups. The perceived causes and possible solutions of conflict were thoroughly explored. Hypothetical scenarios were used to facilitate group discussion. Major issues causing conflict between couples were identified as: the management of finances and lack of family and social support. Several other areas of acculturation stress also emerged as factors associated with marital stress. There was a dissonance regarding the adherence to cultural gender roles. Freedom provided to women in Australia caused tension between the couples. Law enforcement officers were perceived as lacking cultural understanding and misinterpreting the couple distress. Finally, limited information provided to refugees pre and post migration was considered to hinder adjustment. The participants suggested a number of practical solutions to these issues which are potentially useful in guiding future refugee settlement programs.

An enactive and dynamical systems theory account of dyadic relationships

Many social relationships are a locus of struggle and suffering, either at the individual or interactional level. In this paper we explore why this is the case and suggest a modeling approach for dyadic interactions and the well-being of the participants. To this end we bring together an enactive approach to self with dynamical systems theory. Our basic assumption is that the quality of any social interaction or relationship fundamentally depends on the nature and constitution of the individuals engaged in these interactions. From an enactive perspective the self is conceived as an embodied and socially enacted autonomous system striving to maintain an identity. This striving involves a basic two-fold goal: the ability to exist as an individual in one's own right, while also being open to and affected by others. In terms of dynamical systems theory one can thus consider the individual self as a self-other organized system represented by a phase space spanned by the dimensions of distinction and participation, where attractors can be defined. Based on two everyday examples of dyadic relationship we propose a simple model of relationship dynamics, in which struggle or well-being in the dyad is analyzed in terms of movements of dyadic states that are in tension or in harmony with individually developed attractors. Our model predicts that relationships can be sustained when the dyad develops a new joint attractor toward which dyadic states tend to move, and well-being when this attractor is in balance with the individuals' attractors. We outline how this can inspire research on psychotherapy. The psychotherapy process itself provides a setting that supports clients to become aware how they fare with regards to the two-fold norm of distinction and participation and develop, through active engagement between client (or couple) and therapist, strategies to co-negotiate their self-organization.

Five gonadotrophin-releasing hormone receptors in a teleost fish: isolation, tissue distribution and phylogenetic relationships

Gonadotrophin-releasing hormone (GnRH) is the main neurohormone controlling gonadotrophin release in all vertebrates, and in teleost fish also of growth hormone and possibly of other adenohypophyseal hormones. Over 20 GnRHs have been identified in vertebrates and protochoordates and shown to bind cognate G-protein couple receptors (GnRHR). We have searched the puffer fish, Fugu rubripes, genome sequencing database, identified five GnRHR genes and proceeded to isolate the corresponding complementary DNAs in European sea bass, Dicentrachus labrax. Phylogenetic analysis clusters the European sea bass, puffer fish and all other vertebrate receptors into two main lineages corresponding to the mammalian type I and II receptors. The fish receptors could be subdivided in two GnRHR1 (A and B) and three GnRHR2 (A, B and C) subtypes. Amino acid sequence identity within receptor subtypes varies between 70 and 90% but only 50–55% among the two main lineages in fish. All European sea bass receptor mRNAs are expressed in the anterior and mid brain, and all but one are expressed in the pituitary gland. There is differential expression of the receptors in peripheral tissues related to reproduction (gonads), chemical senses (eye and olfactory epithelium) and osmoregulation (kidney and gill). This is the first report showing five GnRH receptors in a vertebrate species and the gene expression patterns support the concept that GnRH and GnRHRs play highly diverse functional roles in the regulation of cellular functions, besides the ‘‘classical’’ role of pituitary function regulation.