989 resultados para Contrebandiers. 1729
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Les commerces de contrebande fascinent, que ce soit par leurs structures occultes ou les acteurs impliqués dans les activités économiques illégales. C’est évidemment un thème très peu exploité dans l’historiographie de la Nouvelle-France étant donné la difficulté d’obtenir des informations : les acteurs n’ont pas intérêt à laisser des traces de leur implication dans des activités illégales que les autorités coloniales tentent de faire cesser ou du moins de réduire. Force est de constater que les femmes ne sont pas en reste. Elles sont parties intégrantes des différentes étapes que doivent suivre les marchandises illégales dont font commerce les contrebandiers de Montréal. Les différents documents d’archives consultés permettent toutefois d’avoir assez d’informations pour saisir les structures du commerce illégal en place à Montréal ainsi que les façons de faire de la contrebande prisées par les marchands illégaux. Après avoir fait un tour d’horizon de l’histoire économique du XVIIIe siècle en Nouvelle-France, nous nous sommes penché sur un document d’archive particulier, le journal de Catherine Dagneau; elle informe les autorités de ce qu’elle voit et de ce qui lui est rapporté par des tierces personnes, grâce à son statut singulier de veuve d’un ancien interprète des Amérindiens. Finalement, il nous semblait impossible de faire une étude sur les commerces de contrebande sans parler du cas unique et reconnu des sœurs Trottier-Desauniers, dont il sera question en dernier lieu. Quoiqu’il en soit, étudier la contrebande en Nouvelle-France, c’est réaliser une enquête sur un pan important de la vie économique de la colonie. C’est s’attaquer à ce que les acteurs de ces activités souhaitaient garder caché. C’est comprendre la nature et le fonctionnement de la société coloniale par la mise en place de structures économiques précises.
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This metalexicographic study examines the relationship between the proverbial material in The English-Irish Dictionary (1732) of Begley and McCurtin, Abel Boyer’s The Royal Dictionary (First edition 1699, second edition 1729), and Nathaniel Bailey’s An Universal Etymological English Dictionary (1721). It will show, for the first time, that both the English macrostructure and microstructure of the proverbial entries in Begley and McCurtin (1732) were reproduced directly from Boyer’s dictionary and, in spite of claims to the contrary, the impact of Bailey’s (1721) dictionary was negligible. Furthermore, empirical data gleaned from a comparative linguistic analysis of the various editions of The Royal Dictionary prior to 1732, will prove that it was the second official edition (1729) that was used as the framework for The English-Irish Dictionary. A quantitative and qualitative analysis of the nature of the proverbial entries will also outline the various translation strategies that were used to compose the Irish material— particularly literal translation—and show that there are extremely high-levels of borrowings from Boyer (1729), both in terms of the English entries under the lemma, and the French entries in the comment.
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[Acte. 1729]
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[Acte. 1729]
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[Acte. 1729]
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[Acte. 1729]