10 resultados para Confessors


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Le Corrector sive Medicus est un pénitentiel rédigé par Burchard, évêque de Worms (1000-1025). Il s’agit d’un manuel destiné à guider les confesseurs lors de l’administration du sacrement de pénitence. Intégré dans le Decretum, l’œuvre majeure de Burchard, il compte parmis les pénitentiels les plus illustres. Il contient notamment un questionnaire très élaboré sur les péchés commis par les fidèles. Les 194 questions du Corrector sive Medicus constituent l’objet d’étude de ce mémoire. Entre le VIIe et le XIIe siècle, les pénitentiels forment une longue tradition littéraire où les textes se répètent constamment. Le questionnaire du Corrector sive Medicus se distingue du fait qu’il est rédigé en grande partie par Burchard lui-même. Les détails précis sur les survivances païennes et la religion populaire que l’évêque introduit dans son pénitentiel permettent, comme aucune autre source de la période, une analyse ethno-historique de la culture germanique. La première partie du mémoire est consacrée à la présentation du Corrector sive Medicus : j’y décris d’abord le contexte historique et biographique de l’œuvre, puis discute d’une herméneutique littéraire, pour enfin proposer une synthèse diachronique des traditions germaniques. La deuxième partie offre, pour la première fois en français, la traduction intégrale du questionnaire de Burchard, accompagnée de commentaires sur différents sujets ou problèmes soulevés par le texte, notamment ceux qui concernent la culture germanique. Finalement sont placés en annexe quelques documents qui témoignent, tout comme le Corrector sive Medicus, d’un syncrétisme religieux profondément enraciné dans les mœurs des Germains.

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À la fin de l’année 1989, la Roumanie entamait son chemin vers la démocratie. Depuis, le pays a connu de nombreux changements dont une « revitalisation religieuse ». L’attrait pour la religion en Roumanie a suscité l’intérêt des chercheurs qui ont tenté de rendre compte de comportements qu’ils jugeaient contraires aux thèses des théories de la sécularisation et de la modernisation. Ma thèse part d’une critique de ces études qui, concentrées sur ces théories, omettent trop souvent l’action des individus dans la vie de tous les jours. Dans la présente recherche, j’utilise l’approche de la religion vécue pour me pencher sur des individus et leur manière de comprendre, d’exprimer, de pratiquer et d’expérimenter la religion au jour le jour. D’une manière réflexive, ma thèse examine la religion vécue dans la Roumanie postcommuniste à partir de pèlerinages réalisés durant le printemps et l’automne 2012 dans des monastères réputés pour leurs miracles, leurs confesseurs charismatiques ou leurs reliques. En raison de leur présence nombreuse dans les pèlerinages, les femmes se sont imposées comme les artisanes de la religion vécue en Roumanie. Elles sont au centre de ma thèse. En observant leurs croyances et leurs pratiques — et sans omettre la religion vécue des « porteurs de la religion officielle » —, j’explore des thèmes qui constituent autant de facettes de la religion vécue : le sort, le charisme, la matérialité et les reliques. Ma thèse propose deux contributions à la recherche. 1) L’étude de la pratique de la religion des pèlerines nous renseigne sur la manière dont la religion est comprise et pratiquée dans un contexte orthodoxe. Elle laisse également entrevoir les conséquences de cette pratique dans la Roumanie postcommuniste : en effet, la religion vécue s’avère un véhicule de valeurs qui s’opposent au discours démocratique officiel. 2) L’étude propose une contribution théorique et méthodologique à l’approche de la religion vécue. Le matériau empirique sur lequel elle repose indique que la religion vécue prend racine dans l’Église pour ensuite circuler entre les femmes et les représentants de l’institution. Dans ce mouvement de va-et-vient, la religion vécue appartient aux pèlerines, mais aussi aux « porteurs de la religion officielle ».

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Pós-graduação em História - FCHS

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The knowledge about the figure of royal confessor has been, until recent times, very limited for the period of medieval Castile. A lot of studies have been done for Modern Age, when the institution of the kinǵs confessor played an important role in the Court of the Hispanic Crown. It is evident that this figure didńt appear ex nihilo in the Sixteenth Century and there existed some origins. Many historians mentioned some medieval confessors in their studies about any other subjects. Actually, it was not clear if those clerics could be properly considered as confessors. Our first aim has been to find all the references which exist in the sources and bibliography about kinǵs confessors in the Middle Ages and verify their nature as confessors. We fixed the beginning of the period of study with the reign of Enrique II, and its end with the death of Isabel I in 1504. The main reason is the fact that both sovereigns are the first and last monarchs of Trastamara dinasty, a very significant period in the origin of Modern State in Castile. The Church was an essential element in this process, on account of the service which many clerics enlisted to the Crown in different tasks (diplomacy, bureaucracy, Counsel and Counselling, etc.) and their ideological support to this endeavour. In this context, the royal confessor could perform an important work as personal advisor and a loyal subject to the person of the king in so many activities. This is well-known for Modern Age and also fort the reign of transition between this period and the precedent: the period of Catholic Kings. But it isńt for the times backwards...

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Includes bibliographical references.

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Este artículo analiza uno de los personajes secundarios más relevantes de las Res Gestae (RG) de Amiano Marcelino, el magister peditum Barbación. El historiador presenta a Barbación como un ser infame: colaborador en la muerte de Galo, cobarde, arrogante y desleal con Juliano durante la campaña militar del 357, delator de falsedades ante Constancio, merecedor de una muerte indigna. Sin embargo, un estudio de conjunto de los pasajes de Res Gestae, tomando como apoyo metodológico las técnicas de argumentación aplicadas al retrato y el concepto de ‘argumentación implícita’ de Sabbah 1978 y los métodos de caracterización de personajes de Pauw 1977, corrige esta visión comúnmente aceptada y demuestra la parcialidad del historiador. Así mismo se pone de manifiesto que el personaje, como otros actantes secundarios en las RG, es una réplica del carácter de Constancio II.