960 resultados para Collective Security
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Jackson, Peter, 'France and the Problems of Security and Disarmament after the First World War', Journal of Strategic Studies (2006) 29(2) pp.247-280 Special Issue: Enforcing arms limits: Germany post 1919; Iraq post 1991 RAE2008
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L’argument central de notre thèse est qu’une structure internationale unipolaire non hégémonique favorise la sécurité collective. Après avoir montré que telle est la structure actuelle et avoir justifié notre positionnement théorique néolibéral, nous avons eu recours au modèle d’interaction du « leader-suiveur de Stackelberg », pour démontrer qu’une coopération conflictuelle entre États rationnels est possible, ce qui leur permet de surmonter leur dilemme de l’action collective. Une coopération possible en raison de l’existence d’un intérêt mutuel et d’un leader favorisant la coopération entre ces États, ainsi que de conditions leur permettant de mettre en place une ‘stratégie de la réciprocité’. Ils forment alors ce qu’on appelle le « groupe de Stackelberg ». Le suiveur de la périphérie, ou ‘défecteur’ doit, pour sa part, non seulement s’ajuster à l’intérêt mutuel ainsi défini, mais aussi coopérer et négocier avec le groupe, et ce, sous la pression de sanctions, voire d’un usage ultime de la force si besoin est. Après l’éventuel succès de ces négociations, un équilibre de Stackelberg favorisé par le leader, soit la puissance unipolaire et non hégémonique, est alors atteint et la coopération permet, alors, à chacun de retirer un bénéfice de cet intérêt mutuel. Dans notre cas, le groupe de Stackelberg est constitué des membres du G5 + 1, soit les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Allemagne, agissant sous le leadership américain; l’Iran est un suiveur de la périphérie, soupçonné de défection, et l’intérêt mutuel est celui de la lutte contre la prolifération des ADM. Notre évaluation empirique montre que les conditions de la réciprocité des membres de ce groupe sont réunies et que celles de l’Iran sont en cours de négociation.
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Ce mémoire se veut être un alliage de connaissances historiques théoriques et de leur mise en application dans un contexte académique de niveau collégial. L’objet principal est de comparer l’historiographie savante, écrite par des historiens chercheurs, au contenu de quatre manuels de Cégep, rédigés par des pédagogues de formation historienne, à propos des relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective.
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This book examines the influence of emerging economies on international legal rules, institutions and processes. It describes recent and predicted changes in economic, political and cultural powers, flowing from the growth of emerging economies such as China, India, Brazil, South Africa and Russia, and analyses the influence of these changes on various legal frameworks and norms. Its contributors come from a variety of fields of expertise, including international law, politics, environmental law, human rights, economics and finance. The book begins by providing a broad analysis of the nature of the shifting global dynamic in its historical and contemporary contexts, including analysis of the rise of China as a major economic and political power and the end of the period of United States domination in international affairs. It illustrates the impact of these changes on states’ domestic policies and priorities, as they adapt to a new international dynamic. The authors then offer a range of perspectives on the impact of these changes as they relate to specific regimes and issues, including climate change regulation, collective security, indigenous rights, the rights of women and girls, environmental protection and foreign aid and development. The book provides a fresh and comprehensive analysis of an issue with extensive implications for international law and politics.
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This book explores the impacts of global economic, political and cultural shifts on various international legal frameworks and legal norms. The economic growth of states throughout Asia, South and Central America and Africa is having a profound effect on the dynamics of international relations, with a resulting impact on the operation and development of international law. This book examines the influence of emerging economies on international legal rules, institutions and processes. It describes recent and predicted changes in economic, political and cultural powers, flowing from the growth of emerging economies such as China, India, Brazil, South Africa and Russia, and analyses the influence of these changes on various legal frameworks and norms. Expert contributors drawn from a variety of fields, including international law, politics, environmental law, human rights, economics and finance, provide a broad analysis of the nature of the shifting global dynamic in its historical and contemporary contexts, and a range of perspectives on the impact of these changes as they relate to specific regimes and issues, including climate change regulation, collective security, indigenous rights, the rights of women and girls, environmental protection and foreign aid and development. The book provides a fresh and comprehensive analysis of an issue with extensive implications for international law and politics.
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O combate efetivo ao flagelo secular do terrorismo, ainda que possa se revestir de muitas formas, não prescinde da repressão penal de seus autores. Em vista da maciça internacionalização do terrorismo, a partir do Século XX, a cooperação jurídica internacional em matéria penal (aí incluída a extradição) consolida-se como instrumento de essencial importância para a repressão do terrorismo pela comunidade internacional, com a vantagem de resguardar o domínio do direito e, por conseguinte, de assegurar a paz e a segurança internacionais. A evolução do tratamento do crime de terrorismo pelo direito penal transnacional influenciada pelo direito da segurança coletiva, especialmente a partir dos atentados de 11 de setembro de 2001 exerceu expressivo impacto no direito extradicional. O entendimento desse efeito é fundamental para extrair-se do instituto da extradição todo o seu potencial para a repressão penal do terrorismo. Desde que presentes determinados requisitos, uma conduta de caráter terrorista à luz de parâmetros internacionais gera a obrigação estatal de extraditar ou processar seu autor, mesmo na ausência de tratado. Além disso, a extradição exercida ou não em decorrência de obrigação convencional tem seus princípios afetados pela obrigação internacional de repressão do terrorismo, particularmente no que se refere a questões como extraditabilidade, extradição por crimes políticos e extradição de refugiados. O direito brasileiro apresenta algumas vulnerabilidades para o cumprimento da obrigação aut dedere aut iudicare e a prática judicial brasileira relativa à extradição de acusados de atos de terrorismo poderia reportar-se mais ao direito internacional, com vistas a evitar o risco de violação de obrigações internacionais pelo Brasil.
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L’autorisation de recourir à la force est une pratique par laquelle le Conseil de sécurité permet à des États membres des Nations Unies ou à des accords ou organismes régionaux, voire au Secrétaire général des Nations Unies de recourir à la coercition militaire. Elle est l’une des circonstances excluant l’illicéité face à l’interdiction de recourir à la force dans les relations internationales dont la règle est posée à l’article 2,§ 4 de la Charte des Nations Unies. Il est évident que cette pratique ne correspond pas clairement à la lettre de la Charte mais elle tire sa légitimité du fait qu’elle permet au Conseil de sécurité de s’acquitter de sa mission principale de maintien de la paix et de la sécurité internationales, étant donné que le système de coercition militaire prévu par la Charte s’avère inapplicable dans la pratique. Il reste que cette pratique est empreinte d’ambiguïté : elle apparaît tantôt comme une intervention des Nations Unies, tantôt comme une action unilatérale au profit de certaines puissances capables de mener des opérations de grande envergure. Cette ambiguïté est encore exacerbée par le problème de l’autorisation présumée que certainsÉtats pourraient déduire des actes du Conseil de sécurité, pour intervenir dans divers conflits. Dans les faits, la pratique de l’autorisation de recourir à la force semble actualiser une tendance belliciste qui caractérisait les époques antérieures. Elle peut, si l’on n’y prend garde, refondre, par pans entiers, les legs du droit contre la guerre (jus contra bellum) issu du XXème siècle, droit qui a été le fruit de longues tribulations dans l’histoire des relations internationales. Le danger le plus grave est que des acquis chèrement négociés risquent d’être jetés par-dessus bord avec trop de facilité et sans délai, pour servir des visées à court terme.
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La France est souvent perçue comme la principale garante du traité de Versailles. Le révisionnisme français envers l’ordre établi par le traité, contrairement au même courant chez les responsables allemands, est un sujet peu étudié. Il a été abordé par quelques auteurs, tels George-Henri Soutou et Stanislas Jeannesson, mais la question mérite davantage d’élaboration. Grâce à l’analyse de la presse française, ce mémoire vérifie l’existence d’une volonté de rendre le traité de paix plus favorable à la France. Une Machtpolitik ainsi qu’un révisionnisme français sont apparents de 1919 à 1923 avec, comme zénith, l’occupation de la Ruhr. Les années suivantes virent la situation de la France se détériorer sur les plans politique, économique et diplomatique. La dégradation de sa posture inclina la France à se tourner vers une conciliation qui émanait de l’esprit du traité de Versailles. La couverture de l’actualité internationale de trois journaux français (Le Temps, L’Action française et L’Humanité) avant et après l’invasion de la Ruhr est analysée. On constate l’existence d’un révisionnisme français qui mène, après son échec en 1924, à un recentrage de la politique allemande de la France. En liant la perception des différents journaux à leur idéologie, nous avons aussi expliqué les variations dans leurs analyses des mêmes événements. L’étude de la presse, conjuguée aux sources secondaires, révèle un discours teinté d’une volonté révisionniste. Elle porte à croire, aussi, que le traité de Versailles ne fut réellement défendu en France qu’après l’échec de la politique de puissance et du révisionnisme français.
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La période de l’après-guerre posa d’importants défis commerciaux à l’économie canadienne. Les années entre 1945 et 1950 furent effectivement marquées par la rupture de son système commercial traditionnel et la recherche d’une stratégie alternative. Le pays dut composer avec un déficit commercial croissant à l’égard des États-Unis, ainsi qu’une chute de ses exportations à destination du Royaume-Uni, ruiné par les années de guerre. Ce déséquilibre commercial qui menaçait d’épuiser les réserves canadiennes de dollars américains reflétait l’écart entre les capacités productives des deux rives de l’Atlantique. Le programme de reconstruction des économies européennes, ou plan Marshall, fut accueilli avec enthousiasme à Ottawa puisqu’il devait non seulement rétablir les marchés du Vieux Continent, mais également faciliter la mise en place d’un réseau multilatéral d’échanges et la libéralisation du commerce international. Les tensions de la guerre froide limitèrent toutefois l’ouverture de ces marchés aux marchandises canadiennes, puisque l’endiguement du communisme commanda une consolidation européenne qui privilégia le démantèlement des entraves aux échanges intra-européens, aux dépens du commerce transatlantique. Les préoccupations de Washington en matière de sécurité collective devaient néanmoins laisser place à une stratégie alternative pour le Canada, en poussant la coopération économique des deux pays, dans le but d’optimiser une production de défense destinée aux pays membres de l’OTAN, dont la demande était soutenue par l’aide Marshall. L’incorporation du Canada dans ce dispositif de défense élargie à la communauté atlantique permit ainsi d’assurer un accès privilégié à ses marchandises sur le marché américain, et par conséquent de progresser vers l’équilibre commercial.
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Esta investigación busca analizar el proceso de internacionalización del conflicto armado en Colombia, teniendo en cuenta que durante casi cincuenta años pasó desapercibido e incluso indiferente, tanto a nivel doméstico como por el sistema internacional. De igual manera, el objetivo general de este análisis es evaluar las consecuencias del conflicto armado en Colombia en las relaciones de seguridad fronteriza durante el periodo del 2002-2006; a partir de esto, se plantean cuatro propósitos principales. Primero, describir el proceso de internacionalización del conflicto, entendiendo que su incidencia en la zona se ha desarrollado desde el concepto del efecto derrame. Segundo, establecer si existe alguna diferencia sobre la incidencia del conflicto en los diferentes puntos de frontera y determinar por qué es diferente la situación en los puntos de frontera para Venezuela y Ecuador. Para ello, se analizarán las manifestaciones del conflicto que han incidido en las relaciones con Venezuela, y a partir de esto establecer sus repercusiones; de la misma forma, se examinaran las manifestaciones que han incidido del lado ecuatoriano. Tercero, se buscará establecer de qué manera es similar o diferente la incidencia del conflicto armado colombiano con respecto a cada frontera de estudio y determinar sus repercusiones en las relaciones sobre la seguridad fronteriza. Cuarto, se pretende evaluar la posibilidad de un acercamiento por parte de los tres países en aras de buscar un beneficio común, adoptando un régimen de seguridad colectiva o de intereses compartidos que permitan combatir en conjunto la seguridad en los puntos de frontera, que finalmente es la causa que distorsiona las relaciones.
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La intervención militar de la OTAN frente a la piratería somalí surge como resultado de la exteriorización del conflicto usando como base teórica el Realismo Subalterno desarrollado por el autor Mohammed Ayoob, adicionalmente se usa la teoría de la Seguridad Colectiva de Charles Kupchan y Clifford Kupchan para entender dicha intervención, ambos a la luz del paradigma realista. Para su desarrollo se tuvieron en cuenta una serie de factores propios de Somalia y como resultado se determinaron las motivaciones de la OTAN para intervenir, es decir, se brindaron las bases para analizar y entender tanto el conflicto somalí, como su exteriorización y posterior intervención por parte de un segundo actor internacional la OTAN.
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Esta monografía ayuda a responder la pregunta del porque los Estados actuan a través de organizaciones internacionales a partir de los postulados del neoliberalismo institucional de Robert Keohane y del constructivismo Social de Alexander Wendt.
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Estudio de caso que busca evaluar el uso del gas natural dentro de la política exterior rusa como recurso estratégico en las relaciones con Ucrania. Se describe y analiza cómo la importancia geoestratégica de Ucrania genera una percepción de seguridad y relevancia económica en Rusia, por esta razón la Federación utiliza el gas natural como mecanismo de presión frente al Estado ucraniano para satisfacer sus intereses nacionales en función de los elementos mencionados anteriormente.Todo lo anterior a través de la Teoría del Heartland desarrollada por Halford Mackinder y El Concepto de Área Pivote de Zbigniew Brzezinski para determinar cómo se genera la importancia del Estado ucraniano frente a Rusia
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El objetivo de esta monografía es examinar la transformación de la doctrina de seguridad de la OTAN en la Post-Guerra Fría y sus efectos en la intervención en la República de Macedonia. La desintegración del bloque soviético implicó la variación en la definición de las amenazas que atentan contra la supervivencia de los países miembro de la Alianza Atlántica. A partir de la década de los noventa, los conflictos de naturaleza interétnica pasaron a formar parte de los riesgos que transgreden la seguridad de los Aliados y la estabilidad del área Euro-Atlántica. Por lo anterior, la OTAN intervino en aquellos Estados en los que prevalecían las confrontaciones armadas interétnicas, como por ejemplo: en Macedonia. Allí, la Alianza Atlántica ejecutó operaciones de gestión de crisis para contrarrestar la amenaza. El fenómeno a estudiar en esta investigación será analizado a partir del Realismo Subalterno y de la Teoría de la Seguridad Colectiva.