913 resultados para Cinema da crueldade
Resumo:
Antonin Artaud (1896-1948) est un poète, acteur, dramaturge et écrivain français né à Marseille, mais dont la vie artistique se développe principalement à Paris. Artaud est l'auteur de la notion bien connue de Théâtre de cruauté, qui inspire encore aujourd'hui de nombreux groupes de théâtre dans différents coins du monde. Il a écrit sur le théâtre, la poésie, l'art, la philosophie, entre autres. De 1924-1935 est également dédié au cinéma, à la fois dans son théorique et pratique. Une étape un peu inconnu et peu exploré dans sa vie. Elle a joué dans 22 films avec certains des réalisateurs les plus importants dans le monde, et a laissé huit scénarios, dont un seul a été realizé, et huit écrits théoriques sur le cinéma. Cette thèse cherche à examiner précisément cette période insuffisamment étudié dans sa carrière, à partir de trois questions initiales: Artaud développé un sens de la cruauté au-delà du théâtre? Nous pouvons penser à la culture de la cruauté envers les films, en d‘autres termes, un cinéma de la cruauté ? Nous pouvons penser sur le sujet contemporain de cette culture? La réponse à ces trois questions est oui. L'idée de la pensée de la cruauté au cinéma est intervenue concomitamment à leurs expériences et élaborations de ce qu'il a appelé Théâtre de la cruauté. Les deux réflexions sont donnés concomitamment et de manière récursive. Plus que cela, toutes ses productions artistiques, dont la poésie et la peinture, ont été traversés par la notion de cruauté. Nous concluons que leurs élaborations sur un cinéma de la cruauté a eté interrompu au moment même que le développement technique a souligné la possibilité de sa réalisation. De plus, à l'enquête de son travail, nous pouvons voir que presque toute sa pensée a été préparé sous les images, de sorte que nous pouvons même parler d'une pensée cinématographique d‘Antonin Artaud. En conséquence, nous ne concevons pas sa théorie au septième art comme secondaire à leurs intérêts, comme le rapporte la plupart de ses commentateurs, mais absolument essentiel dans le développement de ses écrits, qui jusqu'à maintenant accumulé plus de deux mille pages. En outre, Artaud ne pense pas l'art pour l'art, mais seulement comme un dialogue fructueux et intensif avec l'homme et la culture. L‘art était l'instrument privilégié de proposer un diagnostic et une nouvelle façon de voir la société contemporaine. À travers le film il a imaginé la possibilité d'une reprise de forces éthico-esthétique-politiques perdus sous les décombres de la civilisation occidentale. L'établissement d'une nouvelle relation avec l'image, le sujet de la (post-) modernité pourrait sauver une puissance esthétique du corps et de la pensée que, réinterprété, agiraient envers eux-mêmes et le monde à réinventer.
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Antonin Artaud (1896-1948) est un poète, acteur, dramaturge et écrivain français né à Marseille, mais dont la vie artistique se développe principalement à Paris. Artaud est l'auteur de la notion bien connue de Théâtre de cruauté, qui inspire encore aujourd'hui de nombreux groupes de théâtre dans différents coins du monde. Il a écrit sur le théâtre, la poésie, l'art, la philosophie, entre autres. De 1924-1935 est également dédié au cinéma, à la fois dans son théorique et pratique. Une étape un peu inconnu et peu exploré dans sa vie. Elle a joué dans 22 films avec certains des réalisateurs les plus importants dans le monde, et a laissé huit scénarios, dont un seul a été realizé, et huit écrits théoriques sur le cinéma. Cette thèse cherche à examiner précisément cette période insuffisamment étudié dans sa carrière, à partir de trois questions initiales: Artaud développé un sens de la cruauté au-delà du théâtre? Nous pouvons penser à la culture de la cruauté envers les films, en d‘autres termes, un cinéma de la cruauté ? Nous pouvons penser sur le sujet contemporain de cette culture? La réponse à ces trois questions est oui. L'idée de la pensée de la cruauté au cinéma est intervenue concomitamment à leurs expériences et élaborations de ce qu'il a appelé Théâtre de la cruauté. Les deux réflexions sont donnés concomitamment et de manière récursive. Plus que cela, toutes ses productions artistiques, dont la poésie et la peinture, ont été traversés par la notion de cruauté. Nous concluons que leurs élaborations sur un cinéma de la cruauté a eté interrompu au moment même que le développement technique a souligné la possibilité de sa réalisation. De plus, à l'enquête de son travail, nous pouvons voir que presque toute sa pensée a été préparé sous les images, de sorte que nous pouvons même parler d'une pensée cinématographique d‘Antonin Artaud. En conséquence, nous ne concevons pas sa théorie au septième art comme secondaire à leurs intérêts, comme le rapporte la plupart de ses commentateurs, mais absolument essentiel dans le développement de ses écrits, qui jusqu'à maintenant accumulé plus de deux mille pages. En outre, Artaud ne pense pas l'art pour l'art, mais seulement comme un dialogue fructueux et intensif avec l'homme et la culture. L‘art était l'instrument privilégié de proposer un diagnostic et une nouvelle façon de voir la société contemporaine. À travers le film il a imaginé la possibilité d'une reprise de forces éthico-esthétique-politiques perdus sous les décombres de la civilisation occidentale. L'établissement d'une nouvelle relation avec l'image, le sujet de la (post-) modernité pourrait sauver une puissance esthétique du corps et de la pensée que, réinterprété, agiraient envers eux-mêmes et le monde à réinventer.
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The objective of this article is to examine the presence of cinema in World Fairs between the 1893 World`s Columbian Exposition in Chicago and 1939 (the New York World`s Fair). As an integral part of a visual culture constructed by these spaces to celebrate capitalism, the trajectory of cinema is identified with these world fairs due to its ability to entertain and, at the same time, to educate. Cinema was established as a means of mass communication during the First World War and afterwards would participate more actively in the symbolic disputes of a world about to enter the second global conflict. It would reach a broader public, becoming the main `showcase` in which nations projected virtues to be celebrated. The new striking visual spectacle assumed, within this context, greater emphasis through films idealized as true cinematographic monuments.
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O artigo pretende mostrar as dificuldades de sustentabilidade da atividade cinematogr??fica brasileira. Com base na an??lise da cadeia produtiva, na estrutura tribut??ria e nas falhas da legisla????o de incentivo fiscal, prop??e-se a exist??ncia de um ciclo vicioso de depend??ncia aos incentivos fiscais. Tendo em vista as dificuldades de acesso a salas de cinema, devido, entre outros fatores, ao baixo poder aquisitivo da popula????o e ?? concentra????o geogr??fica de cinemas nas grandes cidades, prop??e-se uma parceria efetiva entre cinema e televis??o, facilitada pela tecnologia digital. Isso implicar?? altera????es na legisla????o atual, bem como a cria????o de regras regulat??rias, como forma de ampliar o acesso de filmes nacionais ?? grade de programa????o televisiva e tamb??m de viabilizar, em termos industriais, essa atividade econ??mica.
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Esta dissertação apresenta o resultado de uma pesquisa, de cunho teórico, cujo escopo é apreender, na obra fílmica de Wim Wenders, o percurso estético narrativo que esse cineasta faz, tendo como eixo central de discussão o conceito de memória e experiência. As perguntas que norteiam a pesquisa são: de que forma a estética fílmica dos filmes de Wenders elabora a memória e como esta está vinculada à ideia de experiência? De que forma o fazer fílmico desse cineasta pode ser uma referência e estímulo para o âmbito da educação, em especial para a formação dos sentidos? A pesquisa propõe uma tríade dialógica entre cinema, filosofia e educação. Para tanto, traça um panorama sobre a estética de alguns filmes de Wenders em diálogo com a filosofia ensaística de Walter Benjamin. O principal objeto de análise é o filme Alice nas cidades (WENDERS, 1973). Com isso, pretende-se estabelecer um diálogo e traçar um paralelo (relação) entre os conceitos de experiência e memória, presentes na estética fílmica de Wenders, e o conceito de memória e experiência tal como apresentada em alguns ensaios benjaminianos. A hipótese principal considera que a memória coletiva e a experiência fazem par e caminham com a história da educação, e são elementos fundamentais para a formação dos sentidos. A compreensão desses dois conceitos, a partir de uma perspectiva crítica, pode ensejar uma experiência e formação estética que produzem as condições de possibilidade para a contraposição à barbárie que conduz à pobreza da experiência, também entendida como regressão dos sentidos. A segunda hipótese é de que o conceito de memória e experiência no cinema de Wim Wenders expressa uma estética comprometida na construção de uma expressão artística que dirige a atenção à ressurgência do passado no presente, isto é, evidências da experiência e da memória na linguagem cinematográfica. O esforço da pesquisa pode ser resumido na tentativa de um exercício de análise e discussão teórica em torno da relação entre educação e cinema. Para tanto, apontam-se, por meio da obra cinematográfica de Wenders, evidências de aproximação com o pensamento de Benjamin, em especial com relação aos conceitos de memória e experiência, tal como se apresenta no percurso criativo do cineasta. Tais conceitos contribuem, por meio da obra de Wenders, em diálogo com a filosofia de Benjamin, para produzirem um contraponto à educação estética na formação do professor.
Resumo:
A presente pesquisa aborda o estudo dos movimentos do pensamento nas redes formação com professores no Ensino Fundamental. Procura problematizar a constituição de processos formativos não dogmáticos nos cotidianos escolares, pela articulação de imagens cinema e imagens escola, exibidas, compartilhadas e criadas nas redes de conversações em uma escola municipal de Vitória/ES, entre os anos de 2013 a 2014. Apresenta um campo problemático que se dedica a compreender que movimentos do pensamento são produzidos a partir do uso de imagens cinema nas redes de conversações com professores em formação continuada, a partir de uma cartografia de pesquisa que articula o mapeamento de virtualidades presentes no banco de teses da CAPES e as cinecartografias do cotidiano escolar em duas dobras do tempo. Tece um debate teórico que se compõe pelas linhas de pensamento, principalmente, de Bergson (2006a; 2006b), Carvalho (2008; 2009; 2010; 2012) Deleuze (1988; 1991; 1992; 1995; 1996; 2003; 2006; 2007; 2010; 2011), Foucault (1979; 1999. 2006a; 2006b; 2008), Guéron (2010; 2011), Pelbart (2011), Sauvagnargues (2009), dentre outros. As opções teórico-metodológicas estabelecem uma pesquisa de campo na intercessão entre os estudos com o cotidiano escolar e os da pesquisa cartográfica, tomando o plano de imanência como mundo material para a ocorrência de acontecimentos. Utiliza, para a produção de dados a observação participante, os registros em diário de campo, considerados como uma descrição cristalina, assim como, as narrativas cristalinas que emergiam nas redes de conversações com as personagens-escolas (docentes), que se configuram como imagensnarrativas de pesquisa. Organiza o debate dos dados produzidos em sete capítulos. Apresenta como considerações três principais agrupamentos do movimento do pensamento nas redes de conversações com professores provocados pelas imagens cinema: cinescola-clichês, imagensformação docente e cristaisescolas. Destaca que não há uma realidade que comporte uma só verdade sobre a formação com professores, mas o que existe são cortes, percepções, afecções e produções de verdades que entrelaçam os diferentes modos de existir e reexistir na educação brasileira. As telasescolas, assim como as telas do cinema, apresentam e nos cercam com um mundo que articula um cinescola-clichê, imagensformação docente e cristaisescolas, que para além do pensamento reto e dogmático, exibem entre imagens cinema e imagens escolas, outros movimentos do pensamento com a formação de professores, sendo capazes de potencializar as pesquisas educacionais a não ir em ‘busca de um tempo perdido, mas de um tempo a ser redescoberto’, fazendo crer ainda mais nesse mundo e na educação.
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A par de uma curta-metragem de animação intitulada Tele-sofia, o prosente trabalho enfatizará a importância do desenho como base das artes plásticas. Partindo deste pressuposto, a identificação, compreensão e inclusão das componentes estruturais do desenho poderão ser fortes adjuvantes na reconversão de práticas tendencialmente mais tecnologizadas em poéticas dos materiais e do atelier, distintivas das artes plásticas. Assim, na direta medida em que a rotoscopia se fundamente no desenho responsivo - como uma extensão das possibilidades do desenho de modelo - ir-se-á integrando no campo artístico, tornando a obra resultante numa animação de experiências plásticas. Afinal, o desenho não se confina à perfeição reprodução mecânica da realidade - a mimesis - ele requer interpretações idiossincráticas e uma profunda empatia com o referente, dados apenas registados por um instrumento sensível: o artista.
Resumo:
Objetiva-se discutir e analisar as trajetórias de produção, comercialização e exibição no mercado interno dos filmes Cidade de Deus e Janela da alma, mapeando convergências e diferenças. Trata-se de estudo de caso múltiplo, de natureza exploratória, com base em triangulação de fontes. Os resultados mostram as seguintes convergências: o estreitamento de parcerias entre produtoras e distribuidoras; a utilização de recursos de leis brasileiras de incentivo ao desenvolvimento da atividade audiovisual; a importância e eficácia das estratégias de marketing e de lançamento formatadas; a natureza do trabalho de equipe dos projetos; e a necessidade de perceber e de superar sinais negativos inicialmente emitidos pelo mercado. Dentre as principais divergências, destacam-se: o grau de engajamento dos diretores em todas as etapas dos projetos dos filmes; a focalização das estratégias de marketing em festivais como forma de desenvolvimento de mercado; e o foco em resultados comerciais.
Resumo:
Este artigo analisa as políticas públicas de regulação, fiscalização e incentivo à indústria audiovisual no Brasil, a partir da criação da Agência Nacional do Cinema (Ancine). Pela perspectiva das transformações recentes no aparato institucional do Estado brasileiro, o artigo estuda a especificidade de uma agência reguladora criada para atuar nesse setor de política pública. Analisa o panorama histórico da relação entre Estado e cinema no Brasil, bem como os resultados concretos e o significado estratégico da atuação da agência, e compara os modelos institucionais de regulação do setor em outros países selecionados: Argentina, México, França e Reino Unido. Além disso, avalia o debate sobre a mudança no perfil e escopo da agência, com sua possível substituição pela Agência Nacional do Cinema e do Audiovisual (Ancinav) e a forma polêmica pela qual esta proposta foi recebida pela comunidade cultural e cinematográfica. Finalmente, o artigo interpreta o que constitui, nessa experiência brasileira, um aparato institucional a que dá o nome de "agência articuladora de política pública setorial".
Resumo:
Este artigo discute os resultados de um estudo de larga escala realizado em 2006 sobre as formas de percepção e estratégias de recepção das audiências portuguesas ao Cinema localmente produzido. A recepção das audiências nacionais da produção local é marcada por fenómenos de rejeição que relevam de um preconceito mais geral contra artefactos culturais localmente produzidos. O preconceito que enforma esta relação entre os públicos e os objectos culturais locais, não só apela ao desenvolvimento de novas políticas culturais e económicas, como também levanta um vasto número de questões sobre a indústria portuguesa e europeia de produção de conteúdos culturais e as políticas e estratégias que têm norteado o desenvolvimento desta área nas últimas décadas. Finalmente, considerações mais vastas são apresentadas sobre as diferentes formas como os media estão a modelar as audiências contemporâneas e se deixam simultaneamente transformar por via dos processos de uso e consumo que estes públicos conduzem.
Resumo:
Neste trabalho pretendemos comparar os pontos de vista projectados num videojogo e no cinema. A questão que se põe é se a escala de planos cinematográfica, que procura envolver o espectador na narrativa transmitida ou fotografar as personagens no ecrã, tem alguma relação ou migração com os pontos de vista na primeira pessoa, na terceira ou numa vista superior de um videojogo.