868 resultados para Chronic non-cancer pain


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This program of research examines the experience of chronic pain in a community sample. While, it is clear that like patient samples, chronic pain in non-patient samples is also associated with psychological distress and physical disability, the experience of pain across the total spectrum of pain conditions (including acute and episodic pain conditions) and during the early course of chronic pain is less clear. Information about these aspects of the pain experience is important because effective early intervention for chronic pain relies on identification of people who are likely to progress to chronicity post-injury. A conceptual model of the transition from acute to chronic pain was proposed by Gatchel (1991a). In brief, Gatchel’s model describes three stages that individuals who have a serious pain experience move through, each with worsening psychological dysfunction and physical disability. The aims of this program of research were to describe the experience of pain in a community sample in order to obtain pain-specific data on the problem of pain in Queensland, and to explore the usefulness of Gatchel’s Model in a non-clinical sample. Additionally, five risk factors and six protective factors were proposed as possible extensions to Gatchel’s Model. To address these aims, a prospective longitudinal mixed-method research design was used. Quantitative data was collected in Phase 1 via a comprehensive postal questionnaire. Phase 2 consisted of a follow-up questionnaire 3 months post-baseline. Phase 3 consisted of semi-structured interviews with a subset of the original sample 12 months post follow-up, which used qualitative data to provide a further in-depth examination of the experience and process of chronic pain from respondents’ point of view. The results indicate chronic pain is associated with high levels of anxiety and depressive symptoms. However, the levels of disability reported by this Queensland sample were generally lower than those reported by clinical samples and consistent with disability data reported in a New South Wales population-based study. With regard to the second aim of this program of research, while some elements of the pain experience of this sample were consistent with that described by Gatchel’s Model, overall the model was not a good fit with the experience of this non-clinical sample. The findings indicate that passive coping strategies (minimising activity), catastrophising, self efficacy, optimism, social support, active strategies (use of distraction) and the belief that emotions affect pain may be important to consider in understanding the processes that underlie the transition to and continuation of chronic pain.

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Background The paucity of studies regarding cognitive function in patients with chronic pain, and growing evidence regarding the cognitive effects of pain and opioids on cognitive function prompted us to assess cognition via neuropsychological measurement in patients with chronic non-cancer pain treated with opioids. Methods In this cross-sectional study, 49 patients were assessed by Continuous Reaction Time, Finger Tapping, Digit Span, Trail Making Test-B and Mini-mental State Examination tests. Linear regressions were applied. Results Patients scored poorly in the Trail Making Test-B (mean?=?107.6?s, SD?=?61.0, cut-off?=?91?s); and adequately on all other tests. Several associations among independent variables and cognitive tests were observed. In the multiple regression analyses, the variables associated with statistically significant poor cognitive performance were female sex, higher age, lower annual income, lower schooling, anxiety, depression, tiredness, lower opioid dose, and more than 5?h of sleep the night before assessment (P?<?0.05). Conclusions Patients with chronic pain may have cognitive dysfunction related to some reversible factors, which can be optimized by therapeutic interventions.

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Introduction : La douleur chronique non cancéreuse (DCNC) est prévalente, notamment en première ligne où l’on traite la plupart des maladies chroniques. Cette étude de cohorte vise à décrire l’usage des analgésiques, la prévalence et le traitement des effets secondaires des analgésiques utilisés, la satisfaction ainsi que les croyances et attitudes face à la douleur et son traitement chez des patients souffrant de DCNC et suivis en première ligne. Méthodologie : Des patients souffrant de DCNC (douleur qui dure depuis six mois et plus), ressentie au minimum deux fois par semaine avec une intensité d’au moins 4 sur une échelle de 0 à 10 (10 = la pire douleur possible) et qui possèdent une ordonnance active d’un médecin de famille pour un médicament contre la douleur, ont été recrutés à travers le Québec. Ils ont complété une entrevue téléphonique et un questionnaire auto-administré afin de documenter les caractéristiques de leur douleur, son impact psychosocial et émotionnel ainsi que leur satisfaction et croyances face à la douleur et son traitement. L’information concernant la pharmacothérapie reçue a été collectée en utilisant les banques de données administratives de la Régie d’assurance maladie du Québec et les dossierspatients des pharmacies communautaires. Résultats : Les 486 patients qui ont participé à l’étude avaient une moyenne d’âge de 58,4 ans. Ils ont rapporté une douleur qui dure en moyenne depuis 11,7 ans évaluée à 6,5 sur une échelle de 0 à 10. Sur la période d’une année, 52,9% des patients ont reçu des analgésiques prescrits par deux ou trois médecins de famille. Les analgésiques les plus dispensés étaient les anti-inflammatoires non stéroïdiens (72,2%) et les opioïdes (65,6%). Bien que 90% des patients ont rapporté des effets gastro-intestinaux, les proportions de ceux n’ayant pas reçu de médicaments pour soulager la constipation ou les nausées et/ou vomissements étaient respectivement 36,4% et 54,4%. Le niveau de satisfaction était faible, notamment face à l’information reçue concernant la douleur et son traitement. La peur des effets néfastes des analgésiques constitue la barrière face à l’optimisation de la pharmacothérapie de la douleur la plus souvent rapportée par les patients. Conclusion : En première ligne, la prise en charge de la douleur chronique non cancéreuse modérée à sévère paraît sous-optimale. Elle implique différents médecins de famille suggérant un manque de cohérence et de continuité. Les effets secondaires aux analgésiques sont prévalents et souvent non traités; la satisfaction est faible et les patients paraissent réticents à prendre les médicaments contre la douleur. Ces résultats indiquent clairement la nécessité d’optimiser la pharmacothérapie de ces patients.

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La douleur chronique non cancéreuse (DCNC) est un phénomène complexe et des interventions multimodales qui abordent à la fois ses dimensions biologiques et psychosociales sont considérées comme l’approche optimale pour traiter ce type de désordre. La prescription d'opioïdes pour la DCNC a augmenté d’une façon fulgurante au cours des deux dernières décennies, mais les preuves supportant l'efficacité à long terme de ce type de médicament en termes de réduction de la sévérité de la douleur et d’amélioration de la qualité de vie des patients souffrant de DCNC sont manquantes. L'objectif de cette étude était d'investiguer dans un contexte de vraie vie l'efficacité à long terme des opioïdes pour réduire l’intensité et l’impact de la douleur et améliorer la qualité de vie reliée à la santé des patients souffrant de DCNC sur une période d’une année. Méthodes: Les participants à cette étude étaient 1490 patients (âge moyen = 52,37 (écart-type = 13,9); femmes = 60,9%) enrôlés dans le Registre Québec Douleur entre octobre 2008 et Avril 2011 et qui ont complété une série de questionnaires avant d'initier un traitement dans un centre multidisciplinaire tertiaire de gestion de la douleur ainsi qu’à 6 et 12 mois plus tard. Selon leur profil d'utilisation d'opioïdes (PUO), les patients ont été classés en 1) non-utilisateurs, 2) utilisateurs non persistants, et 3) utilisateurs persistants. Les données ont été analysées à l'aide du modèle d'équation d'estimation généralisée. Résultats: Chez les utilisateurs d’opioïdes, 52% en ont cessé la prise à un moment ou à un autre pendant la période de suivi. Après ajustement pour l'âge et le sexe, le PUO a prédit d’une manière significative l’intensité de la douleur ressentie en moyenne sur des périodes de 7 jours (p <0,001) ainsi que la qualité de vie physique (pQDV) dans le temps (p <0,001). Comparés aux non-utilisateurs, les utilisateurs persistants avaient des niveaux significativement plus élevés d'intensité de douleur et une moins bonne pQDV. Une interaction significative a été trouvée entre le PUO et le temps dans la prédiction de l’intensité de douleur ressentie à son maximum (p = 0,001), les utilisateurs persistants sont ceux rapportant les scores les plus élevés à travers le temps. Une interaction significative a aussi été observée entre le PUO et le type de douleur dans la prédiction de l'impact de la douleur dans diverses sphères de la vie quotidienne (p = 0,048) et de la mQDV (p = 0,042). Indépendamment du type de douleur, les utilisateurs persistants ont rapporté des scores plus élevés d'interférence de douleur ainsi qu’une moins bonne mQDV par rapport aux non-utilisateurs. Cependant, la magnitude de ces effets était de petite taille (d de Cohen <0,5), une observation qui remet en question la puissance et la signification clinique des différences observées entre ces groupes. Conclusion: Nos résultats contribuent à maintenir les doutes sur l'efficacité d’une thérapie à long terme à base d’opioïdes et remettent ainsi en question le rôle que peut jouer ce type de médicament dans l'arsenal thérapeutique pour la gestion de la DCNC.

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Contexte: La douleur chronique non cancéreuse (DCNC) génère des retombées économiques et sociétales importantes. L’identification des patients à risque élevé d’être de grands utilisateurs de soins de santé pourrait être d’une grande utilité; en améliorant leur prise en charge, il serait éventuellement possible de réduire leurs coûts de soins de santé. Objectif: Identifier les facteurs prédictifs bio-psycho-sociaux des grands utilisateurs de soins de santé chez les patients souffrant de DCNC et suivis en soins de première ligne. Méthodologie: Des patients souffrant d’une DCNC modérée à sévère depuis au moins six mois et bénéficiant une ordonnance valide d’un analgésique par un médecin de famille ont été recrutés dans des pharmacies communautaires du territoire du Réseau universitaire intégré de santé (RUIS), de l’Université de Montréal entre Mai 2009 et Janvier 2010. Ce dernier est composé des six régions suivantes : Mauricie et centre du Québec, Laval, Montréal, Laurentides, Lanaudière et Montérégie. Les caractéristiques bio-psycho-sociales des participants ont été documentées à l’aide d’un questionnaire écrit et d’une entrevue téléphonique au moment du recrutement. Les coûts directs de santé ont été estimés à partir des soins et des services de santé reçus au cours de l’année précédant et suivant le recrutement et identifiés à partir de la base de données de la Régie d’Assurance maladie du Québec, RAMQ (assureur publique de la province du Québec). Ces coûts incluaient ceux des hospitalisations reliées à la douleur, des visites à l’urgence, des soins ambulatoires et de la médication prescrite pour le traitement de la douleur et la gestion des effets secondaires des analgésiques. Les grands utilisateurs des soins de santé ont été définis comme étant ceux faisant partie du quartile le plus élevé de coûts directs annuels en soins de santé dans l’année suivant le recrutement. Des modèles de régression logistique multivariés et le critère d’information d’Akaike ont permis d’identifier les facteurs prédictifs des coûts directs élevés en soins de santé. Résultats: Le coût direct annuel médian en soins de santé chez les grands utilisateurs de soins de santé (63 patients) était de 7 627 CAD et de 1 554 CAD pour les utilisateurs réguliers (188 patients). Le modèle prédictif final du risque d’être un grand utilisateur de soins de santé incluait la douleur localisée au niveau des membres inférieurs (OR = 3,03; 95% CI: 1,20 - 7,65), la réduction de la capacité fonctionnelle liée à la douleur (OR = 1,24; 95% CI: 1,03 - 1,48) et les coûts directs en soins de santé dans l’année précédente (OR = 17,67; 95% CI: 7,90 - 39,48). Les variables «sexe», «comorbidité», «dépression» et «attitude envers la guérison médicale» étaient également retenues dans le modèle prédictif final. Conclusion: Les patients souffrant d’une DCNC au niveau des membres inférieurs et présentant une détérioration de la capacité fonctionnelle liée à la douleur comptent parmi ceux les plus susceptibles d’être de grands utilisateurs de soins et de services. Le coût direct en soins de santé dans l’année précédente était également un facteur prédictif important. Améliorer la prise en charge chez cette catégorie de patients pourrait influencer favorablement leur état de santé et par conséquent les coûts assumés par le système de santé.

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Contexte: La douleur chronique non cancéreuse (DCNC) génère des retombées économiques et sociétales importantes. L’identification des patients à risque élevé d’être de grands utilisateurs de soins de santé pourrait être d’une grande utilité; en améliorant leur prise en charge, il serait éventuellement possible de réduire leurs coûts de soins de santé. Objectif: Identifier les facteurs prédictifs bio-psycho-sociaux des grands utilisateurs de soins de santé chez les patients souffrant de DCNC et suivis en soins de première ligne. Méthodologie: Des patients souffrant d’une DCNC modérée à sévère depuis au moins six mois et bénéficiant une ordonnance valide d’un analgésique par un médecin de famille ont été recrutés dans des pharmacies communautaires du territoire du Réseau universitaire intégré de santé (RUIS), de l’Université de Montréal entre Mai 2009 et Janvier 2010. Ce dernier est composé des six régions suivantes : Mauricie et centre du Québec, Laval, Montréal, Laurentides, Lanaudière et Montérégie. Les caractéristiques bio-psycho-sociales des participants ont été documentées à l’aide d’un questionnaire écrit et d’une entrevue téléphonique au moment du recrutement. Les coûts directs de santé ont été estimés à partir des soins et des services de santé reçus au cours de l’année précédant et suivant le recrutement et identifiés à partir de la base de données de la Régie d’Assurance maladie du Québec, RAMQ (assureur publique de la province du Québec). Ces coûts incluaient ceux des hospitalisations reliées à la douleur, des visites à l’urgence, des soins ambulatoires et de la médication prescrite pour le traitement de la douleur et la gestion des effets secondaires des analgésiques. Les grands utilisateurs des soins de santé ont été définis comme étant ceux faisant partie du quartile le plus élevé de coûts directs annuels en soins de santé dans l’année suivant le recrutement. Des modèles de régression logistique multivariés et le critère d’information d’Akaike ont permis d’identifier les facteurs prédictifs des coûts directs élevés en soins de santé. Résultats: Le coût direct annuel médian en soins de santé chez les grands utilisateurs de soins de santé (63 patients) était de 7 627 CAD et de 1 554 CAD pour les utilisateurs réguliers (188 patients). Le modèle prédictif final du risque d’être un grand utilisateur de soins de santé incluait la douleur localisée au niveau des membres inférieurs (OR = 3,03; 95% CI: 1,20 - 7,65), la réduction de la capacité fonctionnelle liée à la douleur (OR = 1,24; 95% CI: 1,03 - 1,48) et les coûts directs en soins de santé dans l’année précédente (OR = 17,67; 95% CI: 7,90 - 39,48). Les variables «sexe», «comorbidité», «dépression» et «attitude envers la guérison médicale» étaient également retenues dans le modèle prédictif final. Conclusion: Les patients souffrant d’une DCNC au niveau des membres inférieurs et présentant une détérioration de la capacité fonctionnelle liée à la douleur comptent parmi ceux les plus susceptibles d’être de grands utilisateurs de soins et de services. Le coût direct en soins de santé dans l’année précédente était également un facteur prédictif important. Améliorer la prise en charge chez cette catégorie de patients pourrait influencer favorablement leur état de santé et par conséquent les coûts assumés par le système de santé.

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Aim The aim of this study was to analyse the effect of an 8-week multimodal physiotherapy programme (MPP), integrating physical land-based therapeutic exercise (TE), adapted swimming and health education, as a treatment for patients with chronic non-specific neck pain (CNSNP), on disability, general health/mental states and quality of life. Methods 175 CNSNP patients from a community-based centre were recruited to participate in this prospective study. Intervention: 60-minute session (30 minutes of land-based exercise dedicated to improving mobility, motor control, resistance and strengthening of the neck muscles, and 30 minutes of adapted swimming with aerobic exercise keeping a neutral neck position using a snorkel). Health education was provided using a decalogue on CNSNP and constant repetition of brief advice by the physiotherapist during the supervision of the exercises in each session. Study outcomes: primary: disability (Neck Disability Index); secondary: physical and mental health states and quality of life of patients (SF-12 and EuroQoL-5D respectively). Differences between baseline data and that at the 8-week follow-up were calculated for all outcome variables. Results Disability showed a significant improvement of 24.6% from a mean (SD) of 28.2 (13.08) at baseline to 16.88 (11.62) at the end of the 8-week intervention. All secondary outcome variables were observed to show significant, clinically relevant improvements with increase ranges between 13.0% and 16.3% from a mean of 0.70 (0.2) at baseline to 0.83 (0.2), for EuroQoL-5D, and from a mean of 40.6 (12.7) at baseline to 56.9 (9.5), for mental health state, at the end of the 8-week intervention. Conclusion After 8 weeks of a MPP that integrated land-based physical TE, health education and adapted swimming, clinically-relevant and statistically-significant improvements were observed for disability, physical and mental health states and quality of life in patients who suffer CNSNP. The clinical efficacy requires verification using a randomised controlled study design.

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Background: Providing an effective exercise prescription process for patients with non-specific chronic low back pain (NSCLBP) is a challenging task. Emerging research has indicated that partnership in care and shared decision making are important for people with NSCLBP and calls for further investigation into the approaches used to prescribe exercise. Objective: To explore how shared decision making and patient partnership are addressed by physiotherapists in the process of exercise prescription for patients with NSCLBP. Design: A qualitative study using a philosophical hermeneutic approach. Methods: Eight physiotherapists were each observed on three occasions undertaking their usual clinical activities (total n=24 observations). They conducted brief interviews after each observation and a later in depth semi-structured interview. Iterative hermeneutic strategies were used to interpret the texts and identify the characteristics and processes of exercise prescription for patients with NSCLBP. Findings: The findings revealed how physiotherapy practice often resulted in unequal possibilities for patient participation which were in turn linked to the physiotherapists? assumptions about the patients, clinical orientation, cognitive and decision making processes. Three linked themes emerged: (1) I want them to exercise, (2) Which exercise? - the tension between evidence and everyday practice and (3) Compliance-orientated more than concordance based. Conclusions: This research, by focusing on a patient-centred approach, makes an important contribution to the body of evidence relating to the management of NSCLBP. It challenges physiotherapists to critically appraise their approaches to the prescription of exercise therapy in order to improve outcomes for these patients.

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Fibromyalgia (FM) is characterized by chronic non-inflammatory widespread pain (CWP) and changes in sympathetic function. In attempt to elucidate the pathophysiological mechanisms of FM we used a well-established CWP animal model. We aimed to evaluate changes in cardiac autonomic balance and baroreflex function in response to CWP induction in rats. CWP was induced by two injections of acidic saline (pH 4.0, n = 8) five days apart into the left gastrocnemius muscle. Control animals were injected twice with normal saline (pH 7.2, n = 6). One day after the second injection of acidic saline or normal saline, the animals had pulse interval (PI) and systolic arterial pressure (SAP) variability, and spontaneous baroreflex sensitivity (BRS) evaluated. After induction of CWP, there was an increase of power in the low frequency (LF) band of PI spectrum (12.75 +/- 1.04 nu), a decrease in the high frequency (HF) band (87.25 +/- 1.04 nu) and an increase of LF/HF ratio (0.16 +/- 0.01), when compared to control animals (7.83 +/- 1.13 nu LF; 92.16 +/- 1.13 nu HF; 0.08 +/- 0.01 LF/HF). In addition, there was an increase of power in the LF band of SAP spectrum (7.93 +/- 1.39 mmHg(2)) when compared to control animals (2.97 +/- 0.61 mmHg(2)). BRS was lower in acidic saline injected rats (0.59 +/- 0.06 ms/mmHg) when compared to control animals (0.71 +/- 0.03 ms/mmHg). Our results showed that induction of CWP in rats shifts cardiac sympathovagal balance towards sympathetic predominance and decreases BRS. These data corroborate findings in humans with FM. (C) 2011 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Abstract Background Low back pain is a relevant public health problem, being an important cause of work absenteeism worldwide, as well as affecting the quality of life of sufferers and their individual functional performances. Supervised active physical routines and of cognitive-behavioral therapies are recommended for the treatment of chronic Low back pain, although evidence to support the effectiveness of different techniques is missing. Accordingly, the aim of this study is to contrast the effectiveness of two types of exercises, graded activity or supervised, in decreasing symptoms of chronic low back pain. Methods/design Sample will consist of 66 patients, blindly allocated into one of two groups: 1) Graded activity which, based on an operant approach, will use time-contingent methods aiming to increase participants’ activity levels; 2) Supervised exercise, where participants will be trained for strengthening, stretching, and motor control targeting different muscle groups. Interventions will last one hour, and will happen twice a week for 6 weeks. Outcomes (pain, disability, quality of life, global perceived effect, return to work, physical activity, physical capacity, and kinesiophobia) will be assessed at baseline, at treatment end, and three and six months after treatment end. Data collection will be conducted by an investigator blinded to treatment allocation. Discussion This project describes the randomisation method that will be used to compare the effectiveness of two different treatments for chronic low back pain: graded activity and supervised exercises. Since optimal approach for patients with chronic back pain have yet not been defined based on evidence, good quality studies on the subject are necessary. Trial registration NCT01719276

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OBJECTIVE: To compare costs of function- and pain-centred inpatient treatment in patients with chronic low back pain over 3 years of follow-up. DESIGN: Cost analysis of a randomized controlled trial. PATIENTS: A total of 174 patients with chronic low back pain were randomized to function- or pain-centred inpatient treatment. METHODS: Data on direct and indirect costs were gathered by questionnaires sent to patients, health insurance providers, employers, and the Swiss Disability Insurance Company. RESULTS: There was a non-significant difference in total medical costs after 3 years' follow-up. Total costs were 77,305 Euros in the function-centred inpatient treatment group and 83,085 Euros in the pain-centred inpatient treatment group. Likewise, indirect costs after 3 years from lost work days were non-significantly lower in the function-centred in-patient treatment group (6354 Euros; 95% confidence interval -20,892, 8392) and direct medical costs were non-significantly higher in the function-centred inpatient treatment group (574 Euros; 95% confidence interval -862, 2011). CONCLUSION: The total costs of function-centred and pain-centred inpatient treatment were similar over the whole 3-year follow-up.

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Background The culture of current clinical practice calls for collaboration between therapists and patients, sharing power and responsibility. This paper reports on the findings of a qualitative study of exercise prescription for patients with NSCLBP, taking into account issues such as decision making and how this accords with patient preferences and experiences. Objective To understand the treatment decision making experiences, information and decision support needs of patients with NSCLBP who have been offered exercise as part of their management plan. Design A qualitative study using a philosophical hermeneutic approach. Methods Semi-structured interviews with eight patients (including use of brief patient vignettes) was undertaken to explore their personal experiences of receiving exercise as part of the management of their NSCLBP, and their involvement in decisions regarding their care. Findings The findings provide a detailed insight into patients’ perceptions and experiences of receiving exercise-based management strategies. Four themes were formed from the texts: (1) patients’ expectations and patients’ needs are not synonymous, (2) information is necessary but often not sufficient, (3) not all decisions need to be shared, and (4) wanting to be treated as an individual. Conclusions Shared decision making did not appear to happen in physiotherapy clinical practice, but equally may not be what every patient wants. The overall feeling of the patients was that the therapist was dominant in structuring the interactions, leaving the patients feeling disempowered to question and contribute to the decision making.

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OBJECTIVES:
To examine the feasibility of a main RCT to compare the effectiveness of two frequencies (2 versus 5 times/week) of acupuncture treatment for chronic low back pain (LBP).
METHODS:
Participants (n=30) with chronic LBP were randomised into two groups to receive 10 acupuncture treatments: Low Frequency Group, 2 times/week for five weeks (n=15); High Frequency Group, 5 times/week for two weeks (n=15). The following outcomes were measured blindly at baseline, 2 weeks, 5 weeks, 3 months and 1 year: pain on a VAS, functional disability using the RMDQ, quality of life using the Measure Yourself Medical Outcome Profile (MYMOP-2), psychological impact with the Coping Strategies Questionnaire (CSQ) and Pain Locus of Control (PLC) questionnaire. Two objective outcomes, the Shuttle Walk Test (SWT) and Lateral Trunk Flexibility (LTF), were also measured.
RESULTS:
The compliance rate was 100% for each group. Some of the measurements were shown to be sensitive (VAS, RMDQ, MYMOP-2 Wellbeing). 66-330 participants would be required for a fully powered non-inferiority trial. The groups were balanced at baseline for LBP and demographic characteristics. There were no significant differences between the groups in terms of any of the outcomes, at each follow-up time point. It was notable however that the clinically important improvement in terms of pain, functional disability, quality of life, and SWT in both groups was achieved within the first two weeks, which was maintained at one year follow-up.
CONCLUSIONS:
It is feasible to conduct a main RCT, to compare different frequencies of acupuncture for LBP, using sensitive measurements. Also the trend for early clinically important improvement within a minimum of four measurements is worthy of further study.