15 resultados para Christianism
Resumo:
Resumen: La presente colaboración pretende valorar la ‘historicidad’ de los textos del Nuevo Testamento, de aquellos que tradicionalmente se ha considerado que presentan una ‘envoltura’ ambiental más fidedigna. Tal tarea no puede llevarse a cabo sin un previo discernimiento de las diferencias que sus distintos textos presentan, sin explicar los ambientes distintos en los que cada tradición se forjo, ni la intencionalidad de los distintos géneros a los que se recurrió. La obra de Lucas, constituida por la suma del tercer evangelio sinóptico y de los llamados Hechos de los apóstoles, presenta la percepción más evidentemente diacrónica, desde el nacimiento de Jesús hasta la instalación del cristianismo en Roma, y suma casi un tercio del texto neotestamentario, bastante más si tenemos en cuenta que para su comprensión es necesario el cotejo con los otros evangelios sinópticos y con las cartas paulinas. La perspectiva desde la cual se enfrenta este estudio es la del historiador, no la de la exégesis, la obra de Lucas se analiza como si se tratase de un texto más de la tradición helenística. Un texto que ha de responder, por lo tanto, a unos cánones literarios comprensibles a sus hipotéticos lectores, un texto construido en los años de máximo esplendor del Imperio romano, muy probablemente a finales del siglo I, en un contexto geográfico y cultural de momento impreciso pero que ha de tener en cuenta los problemas palestinos posteriores a la guerra judía de los años 67-70 y el entorno de pugna religiosa y creatividad teológica que, necesariamente, habría de caracterizar a una religión nueva, aún en proceso de formación y que estaba perfilando y perfeccionando sus definitivas señas de identidad. En este sentido se ha de valorar la personalidad del autor y su nivel de compromiso con el grupo religioso del cual pretende presentar una semblanza; por supuesto, es necesario descifrar la intencionalidad del texto, mediatizada por el género y por el público al cual pretende llegar. Debemos insertar la información particular que Lucas-Hechos aporta dentro de un contexto y, cuando sea posible, corroborar su información recurriendo a otras fuentes contemporáneas. A partir de ese proceso podremos concluir si la información aportada es verídica o no, si tal nivel de precisión es imposible podremos al menos pronunciarnos sobre si es creíble o si, por el contrario, es un mero artificio.
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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.
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RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne.
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Esta tesis es el resultado de un ejercicio interdisciplinar, tanto metodológico como teórico, para observar y analizar las lógicas de construcción de subjetividad que se entraman en una iglesia evangélica y pentecostal en el sur de Bogotá llamada Comunidad Pantokrator. Allí, el cristianismo interactúa y afecta la particularidad más significativa de esta iglesia: la presencia de la subcultura del rock y del metal. En este encuentro que pareciera contradictorio entre el cristianismo y el metal, se presentan mecanismos sociales que son parte de la construcción de una subjetividad metalera y cristiana, que altera el modo en el que los asistentes de Pantokrator se entienden a sí mismos, a su congregación y a la realidad social a la que se enfrentan diariamente. En este trabajo, se relata la construcción de esos mecanismos y su operación sobre la estructura jerárquica de la iglesia, los procesos de conversión religiosa y la asunción de su fe cristiana y la forma en la que definen al mundo social que los rodea, especialmente a otras comunidades cristianas y al metal secular.
Salvação e Juízo Final na Alta Idade Média hispânica: o Comentário ao Apocalipse do Beato de Liébana
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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Pós-graduação em Letras - FCLAS
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Baseado na pesquisa desenvolvida junto ao rap gospel/cristão evangélico em Belém do Pará, pude reunir dados que me levaram a refletir sobre questões gerais da antropologia. Desta forma, estruturei a dissertação na perpectiva de uma compilação de ensaios que tratam da questão de como é possivel a utilização da subjetividade, na construção do texto etnográfico. Esta subjetividade (minha e de meus manos do hip hop) emerge do que chamei de experiências, ou, os encontros no campo entre pesquisador, intermediários, interlocutores e informantes. Para a exposição da análise em si, sobre este sistema cultural (rap gospel), em forma de compreensão e interpretação, me vali da analogia com a composição, produção e gravação de um cd, na verdade, é como se cada ensaio contido aqui, constituísse uma faixa do disco Palavras Sagradas, rimas e experiências: Uma tentativa de compreensão sobre cristianismo pentecostal, rap e antropologia, do mc e antropólogo Bruno “B.O.” Borda, com uma faixa bônus inclusive. O rap rap gospel/cristão evangélico proporcionou-me reflexões sobre religião, juventude e relações raciais por um lado, e epistemologia, metodologia e arte por outro, fazendo com que eu apresentasse este trabalho com vistas muito mais de incitação ao questionamento e a dúvida, no melhor estilo filosófico, mantendo o rítimo e a poesia, para propiciar uma leitura mista, que atinja parceiros antropólogos e aliados hip hoppers, no mínimo.
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Nuestra ponencia propone en primer lugar precisar qué significa realmente el término mesianismo. Desde el punto de vista investigativo nos interesan especialmente los trabajos sobre la cultura judía y cristiana entre los siglos II a.C. a II d.C. y los textos-fuente de esos estudios, debido a que el mesianismo dominaba muchos aspectos del ideario de ese período. La parte más relevante del trabajo se centra en las relaciones del pensamiento helenista de Filón con temáticas que resultan de la concurrencia de los ideales políticos y religiosos emergentes de la Biblia hebrea. Así, el tema general de la investigación será el pensamiento judío de Filón de Alejandría y los tópicos de la política: la conformación del pueblo, el mesianismo, la vida en el más allá, el destino individual y el de la comunidad, la elección divina y el universalismo
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Nuestra ponencia propone en primer lugar precisar qué significa realmente el término mesianismo. Desde el punto de vista investigativo nos interesan especialmente los trabajos sobre la cultura judía y cristiana entre los siglos II a.C. a II d.C. y los textos-fuente de esos estudios, debido a que el mesianismo dominaba muchos aspectos del ideario de ese período. La parte más relevante del trabajo se centra en las relaciones del pensamiento helenista de Filón con temáticas que resultan de la concurrencia de los ideales políticos y religiosos emergentes de la Biblia hebrea. Así, el tema general de la investigación será el pensamiento judío de Filón de Alejandría y los tópicos de la política: la conformación del pueblo, el mesianismo, la vida en el más allá, el destino individual y el de la comunidad, la elección divina y el universalismo
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Nuestra ponencia propone en primer lugar precisar qué significa realmente el término mesianismo. Desde el punto de vista investigativo nos interesan especialmente los trabajos sobre la cultura judía y cristiana entre los siglos II a.C. a II d.C. y los textos-fuente de esos estudios, debido a que el mesianismo dominaba muchos aspectos del ideario de ese período. La parte más relevante del trabajo se centra en las relaciones del pensamiento helenista de Filón con temáticas que resultan de la concurrencia de los ideales políticos y religiosos emergentes de la Biblia hebrea. Así, el tema general de la investigación será el pensamiento judío de Filón de Alejandría y los tópicos de la política: la conformación del pueblo, el mesianismo, la vida en el más allá, el destino individual y el de la comunidad, la elección divina y el universalismo
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A proposta de utilização do marketing na ação evangelizadora da Igreja Católica provoca debates entre os diversos segmentos da instituição. Por um lado, setores favoráveis defendem que a utilização do marketing religioso é uma alternativa disponível para Igreja Católica buscar a eficácia na realização de seus objetivos. Por outro lado, setores contrários ao marketing religioso afirmam que há incompatibilidade entre a lógica do marketing e a lógica profética da tradição judaico-cristã. Estes setores assumem a visão de que a lógica do marketing está articulada à lógica da sociedade do consumo, e, portanto, à lógica do capitalismo. Como são críticos ao capitalismo, passam a ser, também, contrários ao uso do marketing na ação eclesial. Diante desta controvérsia, esta dissertação tem o objetivo de mostrar que não há contradição na utilização de algumas técnicas de marketing na ação evangelizadora dos setores católicos comprometidos com a crítica profética à cultura do consumo, a fim de que sua ação profética seja mais eficaz. Nesse sentido, pretendemos mostrar que, de fato, há contradição entre a lógica do marketing e a lógica profética, mas que não existe, necessariamente, contradição entre o uso de algumas técnicas de marketing e a missão profética do cristianismo. Como procedimentos metodológicos, optamos por uma pesquisa bibliográfica a partir dos seguintes referenciais teóricos: Peter Drucker e Philip Kotler foram importantes para fundamentar o significado do marketing nas áreas de Marketing e de Administração. No campo das Ciências da Religião os referenciais teóricos foram Jung Mo Sung, que contribuiu com o estudo das relações entre lógica do mercado, lógica profética e evangelização, e Afonso Murad, que foi importante para articular os conceitos de gestão e de estratégia na ação evangelizadora.(AU)
Resumo:
A proposta de utilização do marketing na ação evangelizadora da Igreja Católica provoca debates entre os diversos segmentos da instituição. Por um lado, setores favoráveis defendem que a utilização do marketing religioso é uma alternativa disponível para Igreja Católica buscar a eficácia na realização de seus objetivos. Por outro lado, setores contrários ao marketing religioso afirmam que há incompatibilidade entre a lógica do marketing e a lógica profética da tradição judaico-cristã. Estes setores assumem a visão de que a lógica do marketing está articulada à lógica da sociedade do consumo, e, portanto, à lógica do capitalismo. Como são críticos ao capitalismo, passam a ser, também, contrários ao uso do marketing na ação eclesial. Diante desta controvérsia, esta dissertação tem o objetivo de mostrar que não há contradição na utilização de algumas técnicas de marketing na ação evangelizadora dos setores católicos comprometidos com a crítica profética à cultura do consumo, a fim de que sua ação profética seja mais eficaz. Nesse sentido, pretendemos mostrar que, de fato, há contradição entre a lógica do marketing e a lógica profética, mas que não existe, necessariamente, contradição entre o uso de algumas técnicas de marketing e a missão profética do cristianismo. Como procedimentos metodológicos, optamos por uma pesquisa bibliográfica a partir dos seguintes referenciais teóricos: Peter Drucker e Philip Kotler foram importantes para fundamentar o significado do marketing nas áreas de Marketing e de Administração. No campo das Ciências da Religião os referenciais teóricos foram Jung Mo Sung, que contribuiu com o estudo das relações entre lógica do mercado, lógica profética e evangelização, e Afonso Murad, que foi importante para articular os conceitos de gestão e de estratégia na ação evangelizadora.(AU)
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CONTENTS. (cont.) --The Christianity of the fourth Gospel, by the Rev. C. B. Hedrick.--Correctness, by the Rev. M. B. Stewart.--An optimistic realist, Ernst Zahn, by B. Q. Morgan.--The hermit story, as used by Voltaire and Mark Twain, by F. A. G. Cowper.--Thumbnail classics. Jack Harker at Yalevard, by P. Curtiss.--The man who heard everything, by W. Trumbull.--"Whiskey, bullets, and..."--The novelist takes to real estate, by R. Wright.
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A proposta de utilização do marketing na ação evangelizadora da Igreja Católica provoca debates entre os diversos segmentos da instituição. Por um lado, setores favoráveis defendem que a utilização do marketing religioso é uma alternativa disponível para Igreja Católica buscar a eficácia na realização de seus objetivos. Por outro lado, setores contrários ao marketing religioso afirmam que há incompatibilidade entre a lógica do marketing e a lógica profética da tradição judaico-cristã. Estes setores assumem a visão de que a lógica do marketing está articulada à lógica da sociedade do consumo, e, portanto, à lógica do capitalismo. Como são críticos ao capitalismo, passam a ser, também, contrários ao uso do marketing na ação eclesial. Diante desta controvérsia, esta dissertação tem o objetivo de mostrar que não há contradição na utilização de algumas técnicas de marketing na ação evangelizadora dos setores católicos comprometidos com a crítica profética à cultura do consumo, a fim de que sua ação profética seja mais eficaz. Nesse sentido, pretendemos mostrar que, de fato, há contradição entre a lógica do marketing e a lógica profética, mas que não existe, necessariamente, contradição entre o uso de algumas técnicas de marketing e a missão profética do cristianismo. Como procedimentos metodológicos, optamos por uma pesquisa bibliográfica a partir dos seguintes referenciais teóricos: Peter Drucker e Philip Kotler foram importantes para fundamentar o significado do marketing nas áreas de Marketing e de Administração. No campo das Ciências da Religião os referenciais teóricos foram Jung Mo Sung, que contribuiu com o estudo das relações entre lógica do mercado, lógica profética e evangelização, e Afonso Murad, que foi importante para articular os conceitos de gestão e de estratégia na ação evangelizadora.(AU)
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A obra compósita conhecida como I Enoque, formada por cinco livros, logrou muita importância para os Judaísmos do segundo templo, como também para os Cristianismos dos primeiros quatro séculos. Por isso, a intenção dessa pesquisa foi testar a contribuição do Mito dos Vigilantes (I Enoque 6-11) para o imaginário do demoníaco nos sinóticos, em especial enquanto espírito imundo. Para esse intento, primeiramente apresentamos as influencias do Mito dos Vigilantes na tradição enoquita e judaica em geral, para depois analisarmos suas contribuições para o imaginário do demoníaco. Depois, mostramos a presença de temas e idéias desse mito em alguns textos neotestamentários. Comprovada a presença do mito nas comunidades cristãs, analisamos as características e expressões simbólicas que pintam o quadro demonológico nos sinóticos, perguntando pela possível relação com os demônios das tradições judaicas. Com o acúmulo de imagens dos seres malignos dessas tradições no período do segundo templo, e a sua próxima relação com o Mito dos Vigilantes, concluímos ser possível a hipótese de que o demoníaco ao ser chamado de espírito impuro trás indícios e ecos do desenvolvimento, nas tradições de Enoque e na apocalíptica, do Mito dos Vigilantes. Possivelmente, podemos afirmar que as imagens e idéias geradas pelas releituras desse mito permeavam o imaginário das comunidades cristãs que geraram os sinóticos, em especial na concepção dos demônios. Assim, a influência do Mito dos Vigilantes não se resume a utilização literária, mas está no âmbito do imaginário, apropriado de maneira muito mais sutil e dinâmica.