985 resultados para Cest la dedvction du sumptueux ordre plaisantz spectacles .. et exhibes par les citoiens de Rouen ... mil cinq cens cinquante ...


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

En port.: Ouvrage qui fait suite à celui de M. Toullier, mais dans lequel on a adop© la forme plus commode du commentaire.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

€™extrémi© des chromosomes li©aires est une structure nuc©oprotéique t¨s conservée chez les organismes eucaryotes. Elle est constit©e du ©lomère et des ©gions sous-©lomériques ré©tées (STR) qui sont placées en amont du télo¨re. Chez la levure bourgeonnante, on trouve deux types de ©lomère, les ©lomères XYâ€et les télo¨res X, qui se distinguent par la nature des STR positionnées en amont des ©pétitions ©lomériques. Le télo¨re et les STR sont liés par pas moins de dix pro©ines qui vont participer au maintien et à la régulation de €™extrémi© chromosomique ©cessaires à la stabili© du génome. Le télo¨re protège ainsi le chromosome de ©gradations ou encore de fusions avec €™autres chromosomes. Le maintien de la taille du ©lomère est assuré par la ©lomérase, une transcriptase inverse, qui permet €™ajout de ré©titions pour pallier leur perte lors de la phase de réplication durant le cycle cellulaire. Lorsque la télo©rase est absente, deux types particuliers de cellules, les survivants de type I et les survivants de type II, peuvent maintenir leurs télo¨res g¢ce aux ©canismes de recombinaison homologue. Chez l’humain, les ré©titions télo©riques sont également liées par un certain nombre de protéines nécessaires au maintien de la stabilité de €™extrémi© chromosomique. L’implication des télo¨res dans les processus de can©risation, de vieillissement, mais également dans des maladies congénitales fait de cette structure un pivot dans le domaine de la recherche fondamentale. Dans 10 % des cas de cancers, l’allongement n’est pas dû à une ©activation de la ©lomérase comme c’est en ©néral le cas, mais est inhérent à des processus de recombinaison homologue, comme chez la levure. Les homologies de ©quences, de pro©ines, mais aussi de mécanismes de ©gulation des ©lomères avec les cellules humaines, font de S. cerevisiae un excellent modèle d’étude. Cette t¨se se divise en trois chapitres. Les deux premiers traitent de €™interaction du complexe yKu avec les télo¨res de type X€™ dans le chapitre 1 puis de son interaction avec les télo¨res de type X dans le chapitre 2. Le chapitre 3 traite du comportement €™un type de survivant chez S. cerevisiae. Le chapitre 1 porte donc sur l’analyse des sites de liaison aux ©lomères XYâ€du complexe yKu par la technique de ChEC in vivo. yKu intervient dans de nombreux processus de régulation des télo¨res, mais aussi dans un mécanisme de réparation des cassures double-brin de l’ADN (DSBs), la NHEJ (Non homologous end-joining). Les résultats présentés dans cette partie appuient un mo¨le dans lequel yKu aurait plusieurs sites de liaison aux ©lomères et dans les ©pétitions ©lomériques interstitielles. Nous supposons que la liaison du complexe se ferait lors de la formation d’une cassure de type « one-sided break » gé©rée à la suite du passage de la fourche de ©plication à €™in©rieur des ré©titions télo©riques. Le chapitre 2 est également une étude des sites de liaison par la technique de ChEC in vivo du complexe yKu, mais cette fois-ci aux ©lomères X. Les observations faites dans cette partie viennent corroborer les résultats du chapitre 1 de la liaison de yKu à la jonction entre le télo¨re et les STRs, de plus elle met en évidence des interactions potentielles du complexe avec les é©ments X laissant supposer l’existence d’un potentiel repliement du ©lomère sur la ©gion sous-télo©rique chez la levure. Enfin, le chapitre 3 est a© sur €™Ã©tude du comportement des survivants de type I, des cellules post-sénescences qui maintiennent leurs télo¨res par un processus de recombinaison homologue, le mécanisme de BIR (break-induced replication) en €™absence de télo©rase. Les survivants de type I présentent une croissance lente l©e à un arrêt du cycle cellulaire en phase G2/M qui ©pend de la protéine de contrôle Rad9, dont €™activi© est en gé©ral induite par des cassures double-brin. Ce chapitre a permis €™apporter des p©cisions sur la croissance lente probablement in©rente à un berceau télo©rique t¨s restreint chez ce type cellulaire.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Au Q©bec, comme partout dans les pays ©velop©s, le vieillissement de la population oblige à repenser les ©thodes €™intervention (Couturier et al., 2013). De plus, vieillir chez soi en conservant la meilleure quali© de vie possible est un souhait cher à la majori© des personnes ®nées (Mauriat et al., 2009). Pour prendre en consi©ration ce souhait, malg© la complexité de la situation biopsychosociale de plusieurs, le sys¨me de san© et de services sociaux offre un service de soutien à domicile dans lequel des coordonnateurs ©d©s (ex. : gestionnaires de cas, travailleuses sociales pivots) coordonnent les dif©rents services requis afin de répondre aux besoins des personnes vivant à domicile avec une autonomie fonctionnelle dimin©e (Couturier et al., 2013). Plusieurs personnes ®nées en situation biopsychosociale complexe refusent les services offerts (Corvol et al., 2012). Ce refus peut aller de la simple ©cision de ne pas prendre sa médication ou de ne pas accepter l’aide à la toilette à celle de refuser l’aide alimentaire ou des soins et services essentiels, et, ce faisant, d’encourir €™importants risques quant à leur sécuri©, voire leur survie (Balard et Somme, 2011). Au Q©bec, sauf dans les cas €™exception prévus par la loi, la liber© de consentir ou non à des soins est un droit reconnu à chaque personne, consacrant ainsi les principes d’intégrité et €™inviolabilité de la personne (gouvernement du Q©bec, n.d.). Le cadre professionnel des travailleuses sociales, via leur formation et les lignes directrices de €™Ordre des travailleurs sociaux et des t©rapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ), favorise également l’autonomie de la personne à travers des approches visant €™empowerment. Cependant, les ªmes cadres leur donnent également un rôle central à jouer lorsqu’il est question de reconn®tre l’inaptitude des personnes à décider pour elles-mêmes, notamment à travers €™acte d’évaluation psychosociale dans un tel contexte. Plus largement, la socié© donne plus ou moins formellement un mandat de protection des personnes vul©rables aux travailleuses sociales. Ce mandat de protection est au cÅ“ur de leur métier, mais il ne fait pas €™objet €™une reconnaissance légale forte, comme €™est le cas pour €™objet aptitude/inaptitude. Pour la ©alisation de ce mémoire, 10 entretiens semi-directifs furent menés auprès de travailleuses sociales en soutien à domicile afin de nous permettre de comprendre comment les travailleuses sociales prennent en compte le refus de services des personnes aî©es. Pour ce faire, nous répondons à quatre objectifs. Premièrement, nous dégageons le sens qu’accordent les travailleuses sociales au refus de services et la f§on dont elles le reçoivent. Deux¨mement, nous ©crivons les stratégies d’adaptation au refus des travailleuses sociales. Trois¨mement, nous tentons de comprendre les liens entre le sens donné au refus de services et les stratégies d’adaptation des travailleuses sociales. Finalement, nous explorons comment les relations de pouvoir expliquent en partie ces adaptations. Cette recherche nous a permis de montrer que dans de nombreux cas, les stratégies impliquant une prise de pouvoir lors de situations de refus n’étaient pas ©gitimées par une volon© de faire vivre la personne le plus longtemps possible en la protégeant, mais plutôt par le discours valorisant son autonomie. Nous croyons que ce discours, en constante évolution, pourrait prendre de plus en plus de place dans les prochaines années et qu’en conséquence, si nous souhaitons que les modèles de prise de ©cision partagée (par exemple l’usager-partenaire) soient appliqués de la bonne façon, il est essentiel d’outiller les travailleuses sociales pour éviter que les personnes ©sistant au discours de €™autonomie soient perçues comme de mauvais usagers.