997 resultados para Cannabis consumption


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

The concentration of 11-nor-9-carboxy-Δ(9)-tetrahydrocannabinol (THCCOOH) in whole blood is used as a parameter for assessing the consumption behavior of cannabis consumers. The blood level of THCCOOH-glucuronide might provide additional information about the frequency of cannabis use. To verify this assumption, a column-switching liquid chromatography-tandem mass spectrometry (LC-MS/MS) method for the rapid and direct quantification of free and glucuronidated THCCOOH in human whole blood was newly developed. The method comprised protein precipitation, followed by injection of the processed sample onto a trapping column and subsequent gradient elution to an analytical column for separation and detection. The total LC run time was 4.5 min. Detection of the analytes was accomplished by electrospray ionization in positive ion mode and selected reaction monitoring using a triple-stage quadrupole mass spectrometer. The method was fully validated by evaluating the following parameters: linearity, lower limit of quantification, accuracy and imprecision, selectivity, extraction efficiency, matrix effect, carry-over, dilution integrity, analyte stability, and re-injection reproducibility. All acceptance criteria were analyzed and the predefined criteria met. Linearity ranged from 5.0 to 500 μg/L for both analytes. The method was successfully applied to whole blood samples from a large collective of cannabis consumers, demonstrating its applicability in the forensic field.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Background Outcome expectancies are a key cognitive construct in the etiology, assessment and treatment of Substance Use Disorders. There is a research and clinical need for a cannabis expectancy measure validated in a clinical sample of cannabis users. Method The Cannabis Expectancy Questionnaire (CEQ) was subjected to exploratory (n = 501, mean age 27.45, 78% male) and confirmatory (n = 505, mean age 27.69, 78% male) factor analysis in two separate samples of cannabis users attending an outpatient cannabis treatment program. Weekly cannabis consumption was clinically assessed and patients completed the Severity of Dependence Scale-Cannabis (SDS-C) and the General Health Questionnaire (GHQ-28). Results Two factors representing Negative Cannabis Expectancies and Positive Cannabis Expectancies were identified. These provided a robust statistical and conceptual fit for the data. Internal reliabilities were high. Negative expectancies were associated with greater dependence severity (as measured by the SDS) and positive expectancies with higher consumption. The interaction of positive and negative expectancies was consistently significantly associated with self-reported functioning across all four GHQ-28 scales (Somatic Concerns, Anxiety, Social Dysfunction and Depression). Specifically, within the context of high positive cannabis expectancy, higher negative expectancy was predictive of more impaired functioning. By contrast, within the context of low positive cannabis expectancy, higher negative expectancy was predictive of better functioning. Conclusions The CEQ is the first cannabis expectancy measure to be validated in a sample of cannabis users in treatment. Negative and positive cannabis expectancy domains were uniquely associated with consumption, dependence severity and self-reported mental health functioning.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Background and aims Self-efficacy beliefs and outcome expectancies are central to Social Cognitive Theory (SCT). Alcohol studies demonstrate the theoretical and clinical utility of applying both SCT constructs. This study examined the relationship between refusal self-efficacy and outcome expectancies in a sample of cannabis users, and tested formal mediational models. Design Patients referred for cannabis treatment completed a comprehensive clinical assessment, including recently validated cannabis expectancy and refusal self-efficacy scales. Setting A hospital alcohol and drug out-patient clinic. Participants Patients referred for a cannabis treatment [n = 1115, mean age 26.29, standard deviation (SD) 9.39]. Measurements The Cannabis Expectancy Questionnaire (CEQ) and Cannabis Refusal Self-Efficacy Questionnaire (CRSEQ) were completed, along with measures of cannabis severity [Severity of Dependence Scale (SDS)] and cannabis consumption. Findings Positive (β = −0.29, P < 0.001) and negative (β = −0.19, P < 0.001) cannabis outcome expectancies were associated significantly with refusal self-efficacy. Refusal self-efficacy, in turn, fully mediated the association between negative expectancy and weekly consumption [95% confidence interval (CI) = 0.03, 0.17] and partially mediated the effect of positive expectancy on weekly consumption (95% CI = 0.06, 0.17). Conclusions Consistent with Social Cognitive Theory, refusal self-efficacy (a person's belief that he or she can abstain from cannabis use) mediates part of the association between cannabis outcome expectancies (perceived consequences of cannabis use) and cannabis use.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Les enfants présentant un niveau élevé d’agressivité physique sont davantage à risque de commettre des actes criminels à l’âge adulte. Ces enfants sont également plus à risque de consommer des substances psychoactives au cours de leur adolescence. Les études portant sur le lien entre la consommation de substances psychoactives et la criminalité arrivent à des conclusions différentes, dépendamment des substances à l’étude et des comportements criminels ciblés. Un lien positif a été démontré entre la consommation chronique d’alcool et la perpétration d’actes criminels contre la personne et contre la propriété, tandis que la consommation de cannabis a été associée positivement aux actes criminels contre la propriété et négativement aux crimes contre la personne. La présente étude visait à tester l’hypothèse que l’agressivité physique manifestée à l’enfance est associée à une augmentation du nombre de charges criminelles durant l’âge adulte et que cette association est spécifique au type de criminalité et modérée différemment par la consommation d’alcool et de cannabis durant l’adolescence. À cette fin, 887 participants de sexe masculin provenant de milieu défavorisé ont été suivis de 6 à 25 ans. Les analyses de régressions logistiques multinomiales indiquent que les individus cheminant sur une trajectoire modérée ou élevée d’agressivité physique durant l’enfance sont plus à risque de commettre des actes criminels. Cette association reste significative après avoir contrôlé pour l’adversité familiale et de la consommation de substances psychoactives. Les hypothèses des effets modérateurs de la consommation d’alcool et de cannabis sont infirmées. Toutefois, des effets principaux de la consommation d’alcool sur les crimes contre la personne et de la consommation de cannabis sur les crimes contre la propriété sont observés. Les implications de ces résultats sont discutées.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Contexte Malgré les conséquences néfastes bien connues de la consommation de cannabis chez les patients souffrant de schizophrénie (SCZ), ces derniers en font usage dans une proportion atteignant 40%. Plusieurs études ont tenté d’éclaircir la nature du lien qui existe entre ces deux problématiques, mais cela demeure à ce jour un sujet d’incertitude. Des études précédentes, dont certaines de notre groupe, ont montré que les patients souffrant de schizophrénie et d’un trouble d’abus de cannabis (SCZCAN) présentaient moins de symptômes négatifs, de meilleures capacités cognitives et un processus de traitement des émotions se rapprochant davantage de la normale. Objectif La présente étude vise à évaluer la mémoire émotionnelle ainsi que ses corrélats neurobiologiques par imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) chez les SCZCAN en comparaison avec les SCZ. Notre hypothèse est que les SCZCAN vont mieux performer lors d’une tâche de mémoire émotionnelle en comparaison avec les SCZ et qu’ils démontreront des activités dans des régions cérébrales plus étendues et impliquées dans la mémoire et le traitement émotionnel. Méthode Trois groupes de sujets, soit un groupe de SCZ (N=14), un groupe de SCZCAN (N=14) et un groupe contrôle (N=21) ont participé à une tâche de mémoire émotionnelle lors d’une imagerie par IRMf. Résultats Les résultats de notre étude ont montré que les SCZCAN performaient mieux que les SCZ dans une tâche de mémoire émotionnelle et montraient des activations dans des régions cérébrales plus étendues à l’IRMf, en particulier celles impliquées dans mémoire et dans le traitement des émotions (cortex orbitofrontal et temporal, hippocampe). Conclusion Les SCZCAN ont une préservation relative de leur mémoire émotionnelle en comparaison aux SCZ, ce qui est corrélé avec de plus grandes activations cérébrales dans les régions qui jouent un rôle dans la mémoire et le traitement émotionnel.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

AIMS: To examine changes in illicit drug consumption between peak holiday season (23 December-3 January) in Australia and a control period two months later in a coastal urban area, an inland semi-rural area and an island populated predominantly by vacationers during holidays. DESIGN: Analysis of representative daily composite wastewater samples collected from the inlet of the major wastewater treatment plant in each area. SETTING: Three wastewater treatment plants. PARTICIPANTS: Wastewater treatment plants serviced approximately 350, 000 persons in the urban area, 120,000 in the semi-rural area and 1100-2400 on the island. MEASUREMENTS: Drug residues were analysed using liquid chromatography coupled to a tandem mass spectrometer. Per capita drug consumption was estimated. Changes in drug use were quantified using Hedges' g. FINDINGS: During the holidays, cannabis consumption in the semi-rural area declined (g = -2.8) as did methamphetamine (-0.8), whereas cocaine (+1.5) and ecstasy (+1.6) use increased. In the urban area, consumption of all drugs increased during holidays (cannabis +1.6, cocaine +1.2, ecstasy +0.8 and methamphetamine +0.3). In the vacation area, methamphetamine (+0.7), ecstasy (+0.7) and cocaine (+1.1) use increased, but cannabis (-0.5) use decreased during holiday periods. CONCLUSIONS: While the peak holiday season in Australia is perceived as a period of increased drug use, this is not uniform across all drugs and areas. Substantial declines in drug use in the semi-rural area contrasted with substantial increases in urban and vacation areas. Per capita drug consumption in the vacation area was equivalent to that in the urban area, implying that these locations merit particular attention for drug use monitoring and harm minimisation measures.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis quelques décennies, la consommation de cannabis et son usage thérapeutique sont le sujet de nombreux débats. Le cannabis est la drogue illicite la plus consommée au monde et cette consommation se trouve dix fois plus élevée chez les patients atteints de schizophrénie que dans la population générale. L’hypothèse d’une automédication initialement proposée afin d’expliquer la consommation élevée de cannabis chez les patients atteints de schizophrénie est maintenant remise en question. En effet, les rapports indiquant une aggravation des symptômes plutôt qu’une amélioration suite à une consommation à long terme sont de plus en plus nombreux. Sachant que le cannabis peut induire des effets soit plaisants soit aversifs, la question se pose à savoir si une prédominance de la valence motivationnelle positive ou une diminution de la valence négative du cannabis peut expliquer la consommation élevée parmi les individus ayant un diagnostic de schizophrénie? Bien qu’un grand nombre de recherches pré-cliniques aient été menées chez l’animal normal pour évaluer l’effet motivationnel du Δ9-tétrahydrocannabinol (THC) et autres cannabinoïdes synthétiques, aucune n’a abordé cette problématique dans un modèle animal de la schizophrénie. Cette lacune nous a donc amené à étudier la valence motivationnelle du THC et de l’agoniste cannabinoïde WIN55,212-2 (WIN) dans un modèle animal de la schizophrénie: la lésion néonatale de l’hippocampe ventral (NVHL). Dans le premier article, nous présentons les résultats de quatre expériences. Une première avait pour objectif de déterminer si la procédure expérimentale que nous avons utilisée permettait de reproduire des signes distinctifs du modèle animal de la schizophrénie. Par la suite, nous avons évalué i) l’effet d’une dose de WIN sur l’activité locomotrice spontanée et ii) la valence motivationnelle du THC (0.5 mg/kg, i.p) et du WIN (1 mg/kg, i.p) chez les rats adolescents (jour post-natal 28-40, PD28-40) et adultes (PD56) au moyen du paradigme de préférence de place conditionnée (PPC). Tel qu’attendu, la réponse locomotrice à l’amphétamine (0.75 et 1.5 mg/kg) chez les rats NVHL adultes était supérieure à celle des rats contrôles (test distinctif du modèle). Le THC a induit une tendance aversive chez les rats contrôles adultes. Enfin, le WIN a stimulé l’activité locomotrice et induit une aversion significative chez les rats adultes NVHL. Dans un deuxième article, nous avons évalué la valence motivationnelle du THC (0.5 mg/kg), du WIN (1 et 3 mg/kg) et l’effet de l’amphétamine au moyen du paradigme d’autostimulation électrique intracérébrale (ASI). Les résultats montrent que : i) l’effet amplificateur de l’amphétamine sur l’ASI était de plus courte durée chez les rats NVHL; ii) le THC produit une légère atténuation de la récompense chez les rats contrôles tandis que le WIN a produit une atténuation plus prononcée de la récompense chez les rats NVHL, un effet qui a été bloqué par l’antagoniste aux récepteurs CB1, le AM251 (3 mg/kg). Pour la première fois les résultats suggèrent une altération du système endocannabinoïde dans un modèle animal de la schizophrénie. Ils indiquent qu’une exposition aigüe conduit à une prédominance de la valence négative. Bien qu’en apparente contradiction avec les études cliniques, ces résultats soulignent l’importance du contexte socio-environnemental pour expliquer les effets du cannabis chez les patients. De plus ils encouragent les futures études à évaluer cette valence sur un modèle d’exposition chronique.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The aim of this research is to know the training of health professionals in health promotion and disease prevention, and to examine its manifestation among the actions and interventions for prevention of tobacco, alcohol or cannabis consumption. The sample includes 225 professionals. The study used a self-made design of quantitative methodology (survey study). The most important results are: the formative limitations in health education and prevention of substance use and the fact that professionals who have received specific training in substance use tap more health education as a prevention tool in their daily activities. It is also noted that 80% of professionals believe they should improve quality training, and 67% quantity, always in relation to the tobacco, alcohol and cannabis use. Generally, the overload care and the lack of time are cited as factors preventing the health education activities. Finally, the study also shows that secondary prevention activities are the most used, while community interventions are underutilized by professionals.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Differentiation between external contamination and incorporation of drugs or their metabolites from inside the body via blood, sweat or sebum is a general issue in hair analysis and of high concern when interpreting analytical results. In hair analysis for cannabinoids the most common target is Delta9-tetrahydrocannabinol (THC), sometimes cannabidiol (CBD) and cannabinol (CBN) are determined additionally. After repeated external contamination by cannabis smoke these analytes are known to be found in hair even after performing multiple washing steps. A widely accepted strategy to unequivocally prove active cannabis consumption is the analysis of hair extracts for the oxidative metabolite 11-nor-9-carboxy-THC (THC-COOH). Although the acidic nature of this metabolite suggests a lower rate of incorporation into the hair matrix compared to THC, it is not fully understood up to now why hair concentrations of THC-COOH are generally found to be much lower (mostly <10 pg/mg) than the corresponding THC concentrations. Delta9-Tetrahydrocannabinolic acid A (THCA A) is the preliminary end product of the THC biosynthesis in the cannabis plant. Unlike THC it is non-psychoactive and can be regarded as a 'precursor' of THC being largely decarboxylated when heated or smoked. The presented work shows for the first time that THCA A is not only detectable in blood and urine of cannabis consumers but also in THC positive hair samples. A pilot experiment performed within this study showed that after oral intake of THCA A on a regular basis no relevant incorporation into hair occurred. It can be concluded that THCA A in hair almost exclusively derives from external contamination e.g. by side stream smoke. Elevated temperatures during the analytical procedure, particularly under alkaline conditions, can lead to decarboxylation of THCA A and accordingly increase THC concentrations in hair. Additionally, it has to be kept in mind that in hair samples tested positive for THCA A at least a part of the 'non-artefact' THC probably derives from external contamination as well, because in condensate of cannabis smoke both THC and THCA A are present in relevant amounts. External contamination by side stream smoke could therefore explain the great differences in THC and THC-COOH hair concentrations commonly found in cannabis users.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The endocannabinoid (EC) system is implicated in many chronic liver diseases, including hepatitis C viral (HCV) infection. Cannabis consumption is associated with fibrosis progression in patients with chronic hepatitis C (CHC), however, the role of ECs in the development of CHC has never been explored. To study this question, anandamide (AEA) and 2-arachidonoyl glycerol (2-AG) were quantified in samples of HCV patients and healthy controls by gas and liquid chromatography mass spectrometry. Fatty acid amide hydrolase (FAAH) and monoaclyglycerol lipase (MAGL) activity was assessed by [3H]AEA and [3H]2-AG hydrolysis, respectively. Gene expression and cytokine release were assayed by TaqMan PCR and ELISpot, respectively. AEA and 2-AG levels were increased in plasma of HCV patients, but not in liver tissues. Hepatic FAAH and MAGL activity was not changed. In peripheral blood mononuclear cells (PBMC), ECs inhibited IFN-γ, TNF-α, and IL-2 secretion. Inhibition of IL-2 by endogenous AEA was stronger in PBMC from HCV patients. In hepatocytes, 2-AG induced the expression of IL-6, -17A, -32 and COX-2, and enhanced activation of hepatic stellate cells (HSC) co-cultivated with PBMC from subjects with CHC. In conclusion, ECs are increased in plasma of patients with CHC and might reveal immunosuppressive and profibrogenic effects.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

While recreational drug use in UK women is prevalent, to date there is little prospective data on patterns of drug use in recreational drug-using women immediately before and during pregnancy. A total of 121 participants from a wide range of backgrounds were recruited to take part in the longitudinal Development and Infancy Study (DAISY) study of prenatal drug use and outcomes. Eighty-six of the women were interviewed prospectively while pregnant and/or soon after their infant was born. Participants reported on use immediately before and during pregnancy and on use over their lifetime. Levels of lifetime drug use of the women recruited were high, with women reporting having used at least four different illegal drugs over their lifetime. Most users of cocaine, 3,4-methylenedioxy-N-methylamphetamine (MDMA) and other stimulants stopped using these by the second trimester and levels of use were low. However, in pregnancy, 64% of the sample continued to use alcohol, 46% tobacco and 48% cannabis. While the level of alcohol use reduced substantially, average tobacco and cannabis levels tended to be sustained at pre-pregnancy levels even into the third trimester (50 cigarettes and/or 11 joints per week). In sum, while the use of ‘party drugs’ and alcohol seems to reduce, levels of tobacco and cannabis use are likely to be sustained throughout pregnancy. The data provide polydrug profiles that can form the basis for the development of more realistic animal models.